Arpajon-sur-Cère

(6 510 hab., 4 767 ha dont 1 055 de bois) est un ancien chef-lieu de canton du département du Cantal dans l’arrondissement d’Aurillac, juste au SE de la ville, à 600 m sur la rive droite de la Cère, dont elle n’a pris le nom qu’en 1921. La population était de plus de 2 000 hab. dès le début du 19e siècle; elle a lentement progressé, surtout après 1950 (2 800 hab.) et poursuit sa croissance, gagnant 710 hab. depuis 1999. C’est maintenant une banlieue d’Aurillac, et aussi une «station verte de vacances»; arboretum «arbres et jardins», moulin de la Cère. En aval se dresse le château de Conros (13e-17e s.) au bord de la Cère, avec donjon et jardins. Il jouxte l’aérodrome d’Aurillac, qui est surtout dans la commune d’Arpajon et dispose d’un aéroclub et d’une piste goudronnée de 1 700 m; deux liaisons quotidiennes avec Orly sont assurées par Amelia; le trafic est d’environ 38 000 voyageurs par an (2019); 11 000 mouvements dont 1 300 commerciaux, 6 500 locaux (aéroclub), 3 000 voyages privés.

La commune fait partie de la communauté d’agglomération du Bassin d’Aurillac. Elle abrite les laboratoires Biose ex-Lyocentre (médicaments, 190 sal., souvent enregistrés à Aurillac); la plâtrerie Roques (Art et Mur, 45 sal.), travaux publics Matière (110 sal.): levage-montage Teil (30 sal.); menuiserie Bouysse (20 sal.); négoce de pièces d’automobiles Euro Pièces (25 sal.); EDF (25 sal.), nettoyage CNET 15 (65 sal.), La Poste (60 sal.).

Le nouveau canton d’Arpajon-sur-Cère a 14 communes et 11 200 hab.

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