Portes-lès-Valence

(10 690 Portois, 1 443 ha) est un ancien chef-lieu de canton du département de la Drôme dans l’arrondissement de Valence, 7 km au sud de la préfecture et membre de la CA Valence Romans Agglo. La commune se nommait jadis Flancey et n’a pris son nom actuel qu’en 1908. Elle n’avait guère que 500 hab. au 19e s., puis est passée à 1 400 en 1911, 3 400 en 1954, 6 100 dès 1968; sa population croît encore: elle a gagné 2 470 hab. (+30%) après 1999. La ville est très marquée par le passage du flot de circulation unissant A7 (échangeur), N7, voie ferrée (gare de triage) et cours du Rhône (port de Valence); elle fut longtemps une ville de cheminots.

La ville accueille un collège public et les bureaux de la direction régionale de Valence de la Compagnie nationale du Rhône (100 sal.). Elle réunit d’assez nombreuses entreprises: semences Clause du groupe Limagrain (170 sal.), transformation de fruits Andros (240 sal.); maisons mobiles Trigano (120 sal.), fours de boulangerie Pavailler SEBP (85 sal., groupe britannique Aga Food), meubles de bureau et de magasin Mobidecor (60 sal.); installations thermiques Hervé (55 sal.) et électriques Constructel (410 sal.); ingénierie Propolys (75 sal.). Son rôle logistique est illustré par des entreprises de transport de voyageurs (Keolis, 200 sal.) et de fret (Martin 160 sal., Gondrand 80 sal., Schenker 65 sal., MVD 50 sal.) et de distribution comme les négoces de matériaux Descours et Cabaud (100 sal.); jardinerie Vilmorin (90 sal.); travaux publics Entreprise 26 (65 sal.).

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