2 100 hab. (Saint-Andréens) dont 130 à part, 889 ha, commune du département de l’Isère dans le canton du Pont-de-Beauvoisin, 12 km ONO du chef-lieu. Le village-centre est bordé par la Bourbre et dispose d’une gare où la voie de Lyon bifurque vers le sud à destination de Grenoble, vers l’est pour Chambéry. Il conserve deux tissages de 50 sal., Jabouley et Vérel, celui-ci ayant également un négoce d’étoffes (30 sal.); s’y ajoute un atelier de plasturgie (Knauf, 40 sal.). La commune héberge deux maisons familiales rurales. La commune vient d’une fusion ancienne, datant de la Révolution; «Le Gaz» était un village dont l’écriture un peu fantaisiste cache gâ, ou gua, qui signifie le gué en pays dauphinois. Elle avait autour de 1 300 hab. au 19e s. et dans la première moitié du 20e s., puis sa population a crû. Elle a encore gagné 270 hab. de 1999 à 2004. |