Saint-Brice-sous-Forêt

13 800 hab. (Saint-Briciens), 600 ha, commune du Val-d’Oise dans le canton d’Écouen, 5 km au sud-ouest du chef-lieu, au nord-ouest de Sarcelles. La ville est dans la dépression qu’empruntent la N 1 et la voie ferrée vers Persan au nord de Paris. Le relief monte à l’ouest sur le plateau de Montmorency dans le bois des Champeaux. Vers l’est, le finage n’atteint pas tout à fait le cours du Petit Rosne mais s’arrête à peu près au tracé de la voie ferrée; celle-ci offre une gare au sud-est, sur le territoire de Saint-Brice mais commune avec Sarcelles et proche d’un grand ensemble de collectifs (les Vergers). Au nord, la zone d’activités des Perruches longe la N 1 et touche à Piscop; elle est bordée au sud par un ensemble de tours carrées et disposées en carré. Le Clos du Château, côté ouest, est un lotissement de pavillons au bord des champs. Le nord-est et l’ouest de la commune restent agricoles, à l’exception, à l’angle sud-ouest, du quartier de Rougemonts qui est soudé aux urbanisations de Montmorency.

La ville a une église classée du 13e s. et conserve un pavillon néo-classique Colombe (18e s.). Elle accueille un collège public et une maison de retraite, les traitements de surfaces Protec (100 sal.), un hypermarché Carrefour (430 sal.) aux Perruches, un magasin Conforama (55 sal.). La commune avait 1 200 hab. au début du 20e s., 3 100 en 1954, et a crû sensiblement ensuite: 4 800 hab. en 1968, 9 500 en 1982. Sa croissance se poursuit.