Seyssinet-Pariset

13 200 hab. (Seyssinettois), 1 065 ha dont 516 de bois, commune du département de l’Isère dans le canton de Fontaine-Seyssinet, juste face à Grenoble à l’ouest, de l’autre côté du Drac canalisé. Son finage monte jusqu’à la corniche du Vercors où trônent les Trois Pucelles et qu’escalade la route de Saint-Nizier-du-Moucherotte. Le donjon ruiné de la Tour sans Venin, l’une des «sept merveilles du Dauphiné», y offre un vaste point de vue sur Grenoble. La commune s’est d’abord nommée Pariset (ou Parizet); en 1929, elle s’est séparée de Saint-Nizier-du-Moucherotte, et a pris son nom actuel. Elle n’avait alors guère que 1 000 hab.; elle est passée à 2 000 en 1954, puis 11 000 en 1970, et sa population a crû jusqu’en 1990. La ville a un collège et un lycée publics.

Elle abrite plusieurs entreprises d’ingénierie et services aux entreprises, comme Hardis (210 sal.), RFI (90 sal.) et Opsys (70 sal.) en informatique, BBM en comptabilité (40 sal.), 40-30 (maintenance électronique, 100 sal.), Ameg (ingénierie, 70 sal.), ou la régie publicitaire de France-Télécom (Pages Jaunes, 100 sal.), le routage Agences et Diffusion (40 sal.); gardiennages Euro Sécurité Industrie (150 sal.) et Pass (45 sal.), nettoyage Cap (80 sal.), blanchisserie Morel-Bordet (40 sal.), réparation d’électronique G2S (50 sal.). Les principaux ateliers de fabrication s’occupent d’appareils de chauffage (EFD Induction, 100 sal., groupe norvégien), d’horlogerie (Gorgy Timing, 45 sal.), de mécanique (Wittmann, 40 sal.).