Vals du Dauphiné (Les)

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communauté de communes du département de l’Isère, associant 36 commues et 62 900 hab. sur 34 740 ha.

La Tour-du-Pin (siège), Les Abrets en Dauphiné, Aoste, La Bâtie-Montgascon, Cessieu, Dolomieu, Le Pont-de-Beauvoisin, Saint-André-le-Gaz, Saint-Clair-de-la-Tour, Saint-Didier-de-la-Tour, Saint-Victor-de-Cessieu ont plus de 2 000 hab.

Saint-Jean-de-Soudain (1 700 Saint-Jeannais, 748 ha), juste à l’ouest de La Tour-du-Pin, tient une bonne part dans les activités de l’agglomération. Elle a un collège public, et un éventail de productions: enduction textile et textiles techniques Ferrari (170 sal.), mécanique (MGT Thollon, 35 sal.); Intermarché (100 sal.) et magasin de bricolage La Boîte à Outils (35 sal.), transport de voyageurs (autocars Faure, 50 sal.). La population a augmenté lentement depuis les 480 hab. de 1936; puis elle a gagné 700 hab. après 1999 (70%).

Rochetoirin (1 130 Rochetoirinois, 1 062 ha), 3 km ONO de La Tour-du-Pin, a son village sur le plateau au nord de la Bourbre mais possède une partie de la vallée dans la zone industrielle des Vallons qu’elle partage avec Saint-Jean. Elle accueille la fabrique de stores Franciaflex (110 sal.), un atelier textile Rovitex (20 sal.); viandes Cooperl (95 sal.); conseil Pulse (Playgones, 35 sal.); la commune a gagné 250 hab. après 1999 (+28%).

La Chapelle-de-la-Tour (1 970 Chapelands, 904 ha) est juste au nord de La Tour-du-Pin, avec un habitat étiré vers le nord le long de la D16; étang et hameau des Écherolles au nord; +550 hab. après1999 (+39%).

Faverges-de-la-Tour (1 510 Favergeois, 767 ha) est à 8 km ENE de La Tour-du-Pin; un château très transformé au 19e s. abrite une hostellerie (Châteauform, 20 sal.), avec golf. Faverges a eu environ 1 300 hab. de 1840 à 1875, seulement 680 au minimum de 1968, et sa population augmente depuis, gagnant 390 hab. après 1999 (+35%). La mention «de la Tour» est de 1932.

Chimilin (1 430 Chimilinois, 966 ha) est à 14 km à l’est de La Tour-du-Pin juste au sud d’Aoste sur la Bièvre. La commune a été créée en 1831, en partie sur le territoire d’Aoste; sa population a ensuite diminué jusqu’en 1975 (780 hab.) puis s’est mise à croître; elle a encore gagné 270 hab. après 1999 (+23%). La commune a un échangeur sur l’A43 et quelques entreprises dont les appareillages électriques Mafelec (260 sal.) du groupe Schneider, quincaillerie Ferro Bulloni (30 sal.).

Granieu (520 Granieulans, 373 ha) est à 14 km ENE de La Tour-du-Pin juste à l’ouest d’Aoste, avec un habitat étalé dans un petit finage. Sa population a presque doublé depuis les 265 hab. de 1999.

Romagnieu (1 670 Romagnolans, 1 711 ha) a un tout petit village, 17 km à l’est de La Tour-du-Pin, au bord du Guiers au passage de l’A43, à la limite de la Savoie; base de loisirs avec étang au nord. La population communale, de plus de 2 000 hab. en 1852, était tombée à 870 en 1975; elle augmente depuis et a gagné 410 hab. après 1999 (un tiers).

Saint-Albin-de-Vaulserre (420 Saint-Albinois, 499 ha), 23 km ESE de La Tour-du-Pin, limitrophe de la Savoie, a un habitat dispersé qui contient le gros château de Vaulserre, surtout du 18e s. dont les jardins sont signalés; +40 hab. après 1999.

Pressins (1 180 Pressinois, 1 010 ha dont 215 de bois), 18 km ESE de La Tour-du-Pin, est traversée par la D1006 ex-N6 et la voie ferrée. Elle a 330 hab. de plus qu’en 1999 (+39%).

Saint-Martin-de-Vaulserre (250 Saint-Martiniaux, 392 ha) est une petite commune à 22 km SE de La Tour-du-Pin; +40 hab. après 1999.

Saint-Jean-d’Avelanne (1 000 Saint-Jeannais, 785 ha dont 224 de bois), 20 km ESE de La Tour-du-Pin, limitrophe de la Savoie, a un petit aérodrome de loisir et de tourisme (LFKH), doté d’une piste gazonnée de 500 m et d’un aéroclub, entre Pont-de-Beauvoisin et le château de Vaulserre.

Le Passage (960 Passageois, 668 ha), 7 km ESE de La Tour-du-Pin à 471 m, se distingue par son château classé du 18e s. La commune a gagné 310 hab. depuis 1999 (+48%).

Saint-Ondras (660 Ondrasiens, 815 ha), 11 km SE de La Tour-du-Pin, fait face au Passage de l’autre côté de la Bourbre; menuiserie et charpentes du Dauphiné (50 sal.); +160 hab. depuis 1999 (+32%).

Valencogne (700 Valencognards, 755 ha) est à 13 km SE de La Tour-du-Pin à 570 m dans un vallon descendant vers le lac de Paladru; +230 hab. après 1999 (+49%).

Chassignieu (230 Chassignards, 517 ha) est au bas du versant droit de la Bourbre, 11 km au SE de La Tour-du-Pin à l’aval de Val-de-Virieu.

Chélieu (750 Cheliaquois, 1 013 ha) est sur le versant gauche de la Bourbre, 6 km SSE de La Tour-du-Pin; +220 hab. depuis 1999 (+42%).

Val-de-Virieu (1 560 hab., 1 626 ha) est une commune nouvelle de 2019 résultant de la fusion des communes de Virieu et Panissage.

Virieu (1 110 Viriaquois), 1 138 ha dont 322 de bois) est un ancien chef-lieu de canton, 10 km au sud de de La Tour-du-Pin dans la haute vallée de la Bourbre; maison de convalescence. Le village est dominé par le château, en place depuis le 12e s. et refait aux 16e et 19e s., où Lamartine fit plusieurs séjours. La commune a eu un maximum de 1 300 hab. en 1841 et s’est ensuite lentement dépeuplée; le minimum a été atteint en 1962 avec 720 hab.; la population a légèrement augmenté ensuite (+150 hab. après 1999).

Panissage (450 Panissageois, 488 ha) est un village de butte face à Virieu au NO, disposant dans la vallée de la Bourbre d’une zone d’activités avec une gare sur la ligne de Grenoble à Lyon; fabrique de semelles de chaussures Reltex (40 sal.), matériel de levage Chapel (20 sal.); fromagerie du Domessin (50). Panissage a 90 hab. de plus qu’en 1999.

Blandin (160 Blandinois, 426 ha) est 14 km au sud de La Tour-du-Pin dans la vallée de la Bourbre au SO de Virieu.

Montrevel (460 Morvelots, 937 ha) est à 12 km SSO de La Tour-du-Pin sur la D520, flanquée de l’A48; +110 hab. après 1999.

Belmont (610 Belmontois, 651 ha), 14 km SO de La Tour-du-Pin à 550 m, s’est fortement peuplée depuis les 270 hab. de 1999 (+126%).

Biol (1 530 Biolois, 1 551 ha dont 242 de bois), à 12 km SO de La Tour-du-Pin à 500 m, a des ateliers de mécanique (Obuljen, 40 sal.) et d’installations électriques (GRP, 40 sal.). L’habitat se divise en un village compact à l’est (Bas Biol, vers 450 m) où est la mairie, et un long ruban de maisons accompagnant la D511 de sens nord-sud à l’ouest vers 590 m. De 1 600 hab. en 1846, le nombre de ses habitants s’était réduit à 770 en 1975; il augmente depuis (+310 hab. après 1999, un quart).

Doissin (910 Doissinois, 845 ha), 10 km SSO de La Tour-du-Pin à 450 m, a un tissage de soieries Sfate et Combier (55 sal.). La commune a 290 hab. de plus qu’en 1999 (+47%).

Torchefelon (850 Torchefelonais, 868 ha) est à 8 km SO de La Tour-du-Pin au-delà de l’A48 qui la contourne par le nord-est et y a une aire de repos. La commune a 390 hab. de plus qu’en 1999 (+85%).

Montagnieu (1 170 Montagnards, 883 ha), 6 km au sud de La Tour-du-Pin, a un atelier des plastiques Plastim (20 sal.); +460 hab. après 1999 (+65%).

Sainte-Blandine (1 020 Blandinois, 921 ha) accueille la menuiserie Suscillon (45 sal.) et a 240 hab. de plus qu’en 1999 (+31%).

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