Vaux-sur-Seine

4 800 hab. (Vauxois), 845 ha, commune des Yvelines dans le canton de Meulan, 5 km à l’est du chef-lieu, dont elle est séparée par Évecquemont. Route et voie ferrée suivent la Seine, doublée par un canal en aval du lotissement de plaine de Port Maron, qui est à l’extrémité orientale de la commune. L’habitat ancien se tient au pied du plateau le long de la route, et dans l’île de Vaux. Les constructions ont gagné le moyen plateau (le Jonquet, le Gibet, les Cocagnes); la limite nord de la commune court sur la forêt domaniale de l’Hautil; celle-ci est criblée de fontis, trous d’eau provoqués par le soutirage à la faveur des galeries anciennes des carrières de gypse. À l’extrême ouest de la commune sur le coteau de Seine, trône un château du 16e s. (et 19e s.) avec parc; l’église est en partie du 12e s.; le pavillon d’Artois et son parc sont en contrebas. La commune accueille une faculté libre de théologie évangélique depuis 1965, et une maison de retraite Orpea (35 sal.). la commune s’appelait seulement Vaux jusqu’en 1902; elle avait alors 1 200 hab. puis sa population a augmenté: 2 000 hab. en 1954, 3 100 en 1982, 4 400 en 1999.