Communauté de communes Terres-de-Montaigu, communauté de communes Montaigu-Rocheservière

Montaigu (Terres de)

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intercommunalité du nord-est de la Vendée, dont le nom complet est Terres de Montaigu, communauté de communes Montaigu-Rocheservière. Le siège est à Montaigu-Vendée. Elle a 10 communes (47 700 hab., 38 300 ha).Toutes les communes sauf une ont plus de 2 000 hab.: Montaigu-Vendée, La Boissière-de-Montaigu, La Bruffière, Cugand, L’Herbergement, Montréverd, Rocheservière, Saint-Philbert-de-Bouaine, Treize-Septiers.

La Bernardière (1 830 Bernardins, 1 430 ha), 10 km NNE de Montaigu, est également limitrophe de la Loire-Atlantique; sa population croît depuis un minimum à 790 hab. en 1975; elle s’est augmentée de 640 hab. (+54%) depuis 1999. Le village est au NE du finage, près du Cugand, et accompagné de divers petits hameaux.


Boissière-de-Montaigu (La)

(2 320 Boissiériens, 2 910 ha) est une commune de Vendée dans la communauté de Terres-de-Montaigu, 10 km ESE de Montaigu au bord de la Lignée. Son finage compte plusieurs étangs; la Société boissiérienne de confection y emploie 35 sal., les Charpentiers de l’Atlantique 35; travaux publics Migné (40 sal.). Au nord, le ruisseau d’Asson longe le château d’Asson et alimente plusieurs étangs, à la limite du finage des Treize-Septiers. À l’ouest, camping de l’Eden et hameau du Pont Léger sur la rive droite de la Grande Maine. Au sud, le barrage de la Bultlière sur la Maine, créé en 1994 et partagé avec Chavagnes-en-Palliers, retient 5,2 Mm3 d’eau et un lac de 75 ha. La commune a gagné 720 hab. depuis 1999 (+44%).


Bruffière (La)

(3 980 Bruffiériens, 4 042 ha) est une commune de Vendée à 11 km ENE de Montaigu en Terres-de-Montaigu. La fabrique d’organes de transmission pour automobiles du groupe Defontaine, 800 sal., y est implantée depuis 1945; elle fait partie du groupe Thyssenkrupp depuis 1996. La commune est bordée au nord par la Sèvre nantaise, qui fixe la limite départementale, à la fois avec le Maine-et-Loire et avec la Loire-Atlantique. Elle compte une cinquantaine d’exploitations agricoles, un magasin Super-U (40 sal.), le transport par autocars STAO (CAA, 45 sal.). Au SE, château de Beauregard, à douves; hameau de Saint-Symphorien. La commune avait 2 300 hab. en 1954 et croît depuis; elle a gagné 820 hab. depuis 1999.


Cugand

(3 560 Cugandais, 1 347 ha) est une commune de Vendée dans Terres-de-Montaigu, à 12 km NNE de Montaigu et 4 km au SE de Clisson. Elle est la commune la plus septentrionale de Vendée; gare, parc de loisirs et chapelle des Templiers aux portes de Clisson; centre de convalescence de la MGEN. Elle ne manque pas d’activités: charpentes MCFrance (300 sal.), fabrique de bougies et cierges La Française (160 sal.), articles en caoutchouc Sofop (Société française d’articles professionnels, groupe Taliaplast, 35 sal.) et France-Joint (30 sal.), revêtements Brochard (20 sal.); ingénierie Asmolding (20 sal.), installations électriques Pineau (25 sal.); vente à domicile MPC (65 sal.) La Sèvre nantaise borde la commune au NE et fixe la limite départementale; les hameaux de Fradet et de Hucheloup sont sur sa rive gauche. La population communale augmente lentement depuis les 1 860 hab. de 1936; elle s’est accrue de 730 hab. depuis 1999 (un quart).


Herbergement (L’)

(3 250 Herbergementais, 1 675 ha) est une commune au NE de la Vendée à 13 km SE de Rocheservière, 8 km au SO de Montaigu, en Terres-de-Montaigu; elle a une maison familiale rurale, une gare et un accès direct à la voie rapide de Nantes à La Roche-sur-Yon; un atelier de découpage-emboutissage (Jefmag, 110 sal.), décolletage Mecaturn (25 sal.), meubles et ameublement de yachts Brillouet (70 sal.), aliments diététiques Codilab (20 sal.); conseil de gestion Aiseco (30 sal.), négoce de matériaux VM (25 sal.). L’agglomération comporte plusieurs lotissements, une zone industrielle (la Vigne Rouge, au sud); elle est contournée à l’ouest par la D763. Elle est le siège du groupe Vendée Matériaux devenu Herige (160 sal.), né d’une entreprise locale de 1907 et possédant la filiale de menuiserie Atlantem (800 sal.) et des implantations dans tout l’Ouest (plus de 2 500 sal. en tout). La commune n’avait que 700 hab. en 1954 et croît depuis les années 1920. Elle a augmenté de 1 260 hab. depuis 1999, soit +63%. Le nom évoque un accueil médiéval de travailleurs libres.


Montaigu-Vendée

(20 560 hab., 11 665 ha) est une commune nouvelle née en 2019 de la réunion de Montaigu et des 4 communes de son agglomération, au centre de la communauté des Terres-de-Montaigu.

Montaigu (5 370 Montacutains, 303 ha) est un ancien chef-lieu de canton de la Vendée dans l’arrondissement de La Roche-sur-Yon, 36 km au NE de la préfecture, au bord de la Maine. C’est une petite capitale locale, aux confins du pays Nantais. Elle fut longtemps enclose; il en reste des remparts et un parc; bel ensemble de gargouilles au clocher. Au NO du centre, sont le grand parc et le château des Rochettes, avec centre culturel, maison du Maître et relais de poste. La ville organise chaque année depuis 1972 un tournoi mondial de jeunes footballeurs (minimes); elle affiche aussi un printemps du Livre, un festival d’arts sur Maines, un musée du Nord de la Vendée. Elle a un collège public et un privé, un lycée public et deux lycées privés dont un professionnel, un hôpital public de 75 lits.

Montaigu est un siège des transports Schenker-Joyau (filiale de la Deutsche Bahn), qui emploient au total plus de 3 200 personnes, dont 390 à Montaigu (et 140 à Boufféré); elle abrite aussi la fabrique de mélangeurs VMI (Vendée mécanique industrie, 230 sal.), la menuiserie d’aluminium Sermat (110 sal.), meubles JLP (50 sal.), carrosserie Héraud (25 sal.); constructions Fauchard (Espérance, 60 sal.), installations électriques Eiffage Energie ex-Jeanneau (220 sal.); couvoir de la Seigneurtière (Orvia, 120 sal.). Montaigu a aussi des négoces de confiserie (Biscoval-Supergroup, 150 sal.), et de bois et matériaux (Bouteau, 25 sal.), de fournitures Novelis (25 sal.); secrétariat Logtex (25 sal.); travail temporaire Synergie (200 sal.), Manpower (80 sal.), Leader (55 sal.); un hypermarché Leclerc (150 sal.). Montaigu a atteint pour la première fois 2 000 hab. en 1936 et a crû jusqu’en 1975 avant que sa population se stabilise; puis elle a gagné 550 hab. depuis 1999.

Boufféré (3 420 Boufféréens, 1 655 ha) est à 3 km au SO de Montaigu. Le petit village ancien est entouré de lotissements pavillonnaires. AU NE, le Petit Boufféré est un quartier de l’agglomération de Montaigu, de l’autre côté de la rocade (D202) et flanqué de la zone d’activités du Val du Sacré-Cœur et des carrières de Bellevue. Au sud du finage, hameau de château de Hallay, avec échangeur de la D763, de la D1137 et de l’A83; juste au nord, parc d’activités Vendée-sud-Loire et péage. Au nord, ancien château de la Sénardière à douves. Boufféré n’avait que 1 800 hab. en 1999 et a donc crû de 90% depuis. Elle accueille d’assez nombreuses entreprises. La principale est une fabrique d’aliments pour enfants de l’Institut de recherches biologiques Ponroy (IRB, 110 sal., marques Yves Ponroy et Nutrisanté) et de produits diétiques Vitarmonyl (Ponroy, 90 sal.), avec un laboratoire d’analyses de sécurité pharmaceutique Clean Cells (60 sal.) et les bureaux Ponroy Santé (35 sal.) du même groupe; véhicules sans permis Ligier (Microcar, 100 sal.); panneaux composites SMTC (120 sal.); brioches Fonteneau (110 sal.), confiserie Bonte (Europa Sweet, 25 sal.); automatismes Gebe2 (45 sal.); informatique Resa Airport (25 sal.); travail temporaire Adecco (150 sal.), Randstad (60 sal.); négoces de crèmerie Ouest Frais (60 sal.), de boissons Le Comptoir de la Bière (20 sal.); de matériaux VM (25 sal.); nettoyage Vendée Atlantique (55 sal.), espaces verts Brosseau (25 sal.); entreposage frigorifique SLO (100 sal.), transports Schenker (130 sal.); voyages Voyel (20 sal.); supermarché U (90 sal.).

La Guyonnière (2 890 Guyons, 2 284 ha) est à 5 km ESE de Montaigu. Le finage est traversé au nord par la D753. Il atteint à l’ouest l’urbanisation de Montaigu, dont il héberge un lycée, la rocade Est et des ateliers. Au SE, l’étang de la Chausselière est assorti d’une base de loisirs; maison familiale rurale et centre de formation professionnelle, centre d’aide par le travail; fabrique de la Pâtisserie Salée Vendéenne (Socebo, 210 sal.), centrale d’achats de la Coopérative Vétérinaire de l’Ouest (Coveto, 150 sal.), mécanique Solmeka (25 sal.), couverture Vendée rehaussement (30 sal.), négoce de matériel agricole Landa (20 sal.), aide à domicile Grossi (25 sal.), transports Fonteneau (20 sal.), ambulances Rouiller (25 sal.); formation d’adultes CIP Meslay (25 sal.). La commune n’avait que 850 hab. en 1936 et sa population augmente, depuis 1980 surtout; elle s’est accrue de 390 hab. depuis 1999, avec l’apparition de plusieurs lotissements de pavillons.

Saint-Georges-de-Montaigu (4 350 Georgeois, 3 361 ha) est 4 km à l’ESE de Montaigu. Le bourg se tient sur l’éperon de confluence, assez étroit, de la Grande et de la Petite Moine, sur le tracé de la D137. Il semble avoir été une place de commerce renommée à l’époque gallo-romaine. Il est devenu une capitale de l’industrie alimentaire, avec de très gros établissements, la charcuterie Sodebo (Société des établissements Bougro, 370 emplois sur place, 2 000 dans le groupe, 380 M€) et la Pâtisserie salée vendéenne (PSV, 640 emplois), auxquelles ajoutent la boulangerie industrielle Goodwich, spécialiste du sandwich (440 sal.), les fabriques de charcuterie et plats cuisinés Sobox (90 sal.), In Bo (95 sal.), Kimarmor (85 sal.), Sofresh (30 sal.). Toutes ces sociétés appartiennent à une même famille, Bougro et Brochard, héritière des époux Bougro, charcutiers au détail installés en 1960 et qui ont créé la Sodebo en 1973. La Sodebo investit une part de sa publicité dans le soutien d’un voilier de compétition, notamment dans le Vendée-Globe.

À côté sont la Laiterie de Montaigu (beurres, 200 sal.) et les brioches Briogel (140 sal.). Dans d’autres secteurs, la menuiserie d’aluminium Sermat (120 sal.), les enseignes lumineuses SEV (80 sal.), les bétons PPL (60 sal.), les charpentes Atlantem (Incobois, 30 sal.); transports par autocar Hervouet France (70 sal.), Hervouet Bus Travel (40 sal.); négoce d’articles chaussants CCI (50 sal.); travaux publics SMTR (Montacutaine, 30 sal.). transports Derocq (20 sal.). La commune propose une Maison de la Rivière et du Pêcheur au moulin, au sein du réseau des sites naturels de Vendée, et un village de vacances sur le versant gauche de la Moine juste à l’ouest du bourg; hameaux de la Templerie et de la Chapelière au SO, de la Daumière et de la Rangizière au SE, de la Roche-Pépin et de la Dragonnière à l’est; grande zone industrielle au nord du bourg à la limite de Montagu. Sa population croît depuis les 1 800 hab. de 1954; elle a gagné 1 120 hab. depuis 1999 (+32%).

Saint-Hilaire-de-Loulay (4 650 Loulaysiens, 4 062 ha), 3 km au NNO de Montaigu, eest comme Boufféré un ancien petit village totalement submergé par les lotissements. La Maine traverse le finage au SO; château de la Lande au sud, hameau de la Marionnière à la limite de Montaigu, nombreux hameaux dispersés. Les entreprises sont nombreuses: meubles de bureau Haworth (ex-Ordo, 180 sal.), ingénierie Oratech (45 sal.), équipements de contrôle Gebe 2 (35 sal.), aliments du bétail Difagri (20 sal.), maçonneries Limouzin (25 sal.) et MRC (25 sal.); dindonneaux de Boyé Accouvage (30 sal.); un Intermarché (60 sal.), La Poste (90 sal.); négoce d’équipements d’automobiles Sonamia (65 sal.) mais la fabrique de moules Sermo, qui eut 200 salariés, a fermé en 2010 après sa reprise par le japonais Arrk, qui a transféré les fabrications à La Séguinière (Maine-et-Loire). Saint-Hilaire cultive 49 ha de vignes; elle avait 1 700 hab. dans les années 1930 à 1950 et croît depuis. Elle a gagné 940 hab. depuis 1999.

Montaigu-Vendée est le siège de la communauté de communes Terres-de-Montaigu, qui rassemble 10 communes (47 700 hab., 38 300 ha). Le nouveau canton de Montaigu a 46 400 hab., 17 communes, 40 655 ha; il est limitrophe de la Loire-Atlantique et correspond à l’addition des anciens cantons de Montaigu et de Saint-Fulgent.


Montréverd

(3 670 hab., 4 847 ha) est une nouvelle commune de Vendée créée en 2016 et dont le nom composite est formé à partir de Mon pour Mormaison avec l’idée d’en faire un mont, Tré pour Treize-Voies, Verd pour Verdon; elle est dans la communauté de communes Terres-de-Montaigu.

Saint-André-Treize-Voies (1 460 Trévois, 1 896 ha), au bord de l’Ognon, 11 km à l’est de Rocheservière, conserve un menhir (la Petite Roche); elle accueille une métallerie Michenaud de 85 emplois, et l’élevage de volailles Orvia (20 sal.). Descendue à 810 hab. en 1982 (contre 1 280 en 1875), sa population a augmenté de 490 hab. depuis 1999 (+47%). Son curieux nom s’est écrit au 15e s. Tredecim Vocibus (13 voix) et la légende fait allusion au nombre de voix obtenu par la décision d’y créer une paroisse au 13e siècle… mais il s’agit plus probablement d’une mauvaise traduction de voie en latin médiéval, treize ayant le sens de «beaucoup» et étant une déformation de trois. Ce Treize-Voies en fait probablement un équivalent de Treize-Vents de la communauté de Mortagne. La commune est limitrophe de la Loire-Atlantique; hameaux d’Izereau au NO, la Pinière au NE

Mormaison (1 160 Mormaisonnais, 1 544 ha) au bord de l’Isoire à 6 km au SE de Rocheservière, a gagné 300 hab. depuis 1999 (+35%); maison de retraite. La Boulogne fixe la limite sud et sud-ouest du finage, château de la Bufière au nord, hameaux de la Rouaudière à l’ouest, des Airables au sud.

Saint-Sulpice-le-Verdon (1 060 Sulpiciens, 1 407 ha) est 9 km au SE de Rocheservière, au bord de l’Isoire. Le château dit Logis de la Chabotterie est un haut lieu du souvenir des guerres vendéennes, où fut arrêté Charrette en 1796; il a été aménagé en centre du patrimoine et musée, avec jardins et festival de musique; menuiserie Atelier du Bocage (40 sal.), négoce de matériel agricole MAV (30 sal.), restaurant la Roseraie (20 sal.). La commune a gagné 430 hab. (+68%) depuis 1999. La partie orientale du finage est traversée par la D763, qui évite le hameau de la Grande Chevasse, et la voie ferrée.


Rocheservière

(3 350 Cerviérois, 2 815 ha) est un ancien chef-lieu de canton de la Vendée dans l’arrondissement de La Roche-sur-Yon, 34 km au nord de la préfecture, au ras de la Loire-Atlantique. Le bourg domine le versant de rive droite de la vallée encaissée de la Boulogne, que traverse un pont gallo-romain. La commune a un collège privé et quelques établissements: machines d’assemblage Europlacer (70 sal.), décolletage ITV (25 sal.), agencement de magasins CAP (20 sal.); négoce et réparation de matériel agricole Ouest Agri (35 sal.), coopérative d’achat de matériaux pour bâtiment Orcab (25 sal.), un Intermarché (25 sal.); transports par cars Bourmaud (35 sal.). La population communale augmente depuis les 1 600 hab. des années 1950; elle a gagné 1 040 hab. de 1999 (+45%). Le nom aurait jadis été Roca Cerviera, la Roche aux Cerfs, d’où le choix de l’orthographe du gentilé; hameaux de la Cacherie au NO sur la Boulogne, de la Grolle au NE, château de Grammont au sud. La communauté de communes de Rocheservière s’est fondue dans celle de Terres-de-Montaigu.


Saint-Philbert-de-Bouaine

(3 410 Philbertins, 5 016 ha) est 6 km au nord de Rocheservière en Terres-de-Montaigu. Le territoire de la commune, compris entre les vallées de la Boulogne et de l’Issoire, est profondément enfoncé dans le département de Loire-Atlantique, entre Corcoué et Vieillevigne. Deux fortes entreprises y travaillent: les meubles de cuisine Arthur Bonnet (290 sal.), marque née dans la commune voisine de Geneston (Loire-Atlantique) mais acquise par le groupe italien Snaidero; les cartes électroniques Tronico (400 sal.), à la holding Alcen du groupe Prieux.

Un parc éolien de 8 machines Repower (16,4 MW) a été ouvert en 2010 par Valorem; une carrière est ouverte à la Gerbaudière, à l’ouest du village. En outre, la commune cultive 128 ha de vignes de muscadet et accueille les travaux publics Baudry (40 sal.); grands quartiers vides des Landes au nord-est et au centre-est; hameaux de la Noue Morin au nord, de Landefrère au SE. Elle gagne des habitants depuis 1954, où elle en avait 1 700; elle a augmenté de 1 120 hab. (+49%) depuis 1999.


Treize-Septiers

(3 240 Septiérois, 2 184 ha), 7 km à l’est de Montaigu sur la route de Cholet (D753), en Terres-de-Montaigu. Le nom, original et ancien, vient d’une ancienne mesure agraire. L’activité était dominée par l’industrie du meuble, mais la dernière usine (Forège) a fermé en 2013; vitrages TIV (techniques industrielles du verre, 110 sal.), vérandas et menuiserie d’aluminium Padiou (45 sal.), tôlerie Sovetol (30 sal.); travaux publics Girardeau (35 sal.); services funéraires Guilloux (35 sal.), transports Piveteau (65 sal.). La population a fortement augmenté à partir de 1975. La population communale n’était que de 1 100 hab. entre 1920 et 1954, et croît depuis; elle a augmenté de 810 hab. depuis 1999 (+33%). Le finage, étiré du NO au SE, contient plusieurs hameaux, dont la Hinchère au NO.