Communauté de communes des Vallées du Haut-Anjou

Vallées du Haut-Anjou (communauté des)

'

Highslide JS

intercommunalité du Maine-et-Loire au nord-ouest, associant 16 communes, 35 400 hab., 73 100 ha. Le siège est au Lion-d’Angers. Outre Le Lion, Bécon-les-Granits, Erdre-en-Anjou, Les Hauts d’Anjou, Val d’Erdre-Auxence ont plus de 2 000 hab.

Montreuil-sur-Maine (760 Montreuillais, 1 113 ha) est à 3 km NNE du Lion-d’Angers sur la rive droite de la Mayenne; son finage déborde sur rive gauche (coopérative agricole, vergers) mais s’étend surtout vers NO, où sont les manoirs de la Touche (16e au 19e), Villedavis (17e-18e), la Chouanière (16e au 19e) et le Poirier (18e s.); +200 hab. depuis 1999 (+36%).

Chambellay (400 Cambolitains, 1 286 ha), 8 km NNE du Lion-d’Angers, est sur la rive droite de la Mayenne, avec un port de plaisance; à l’ouest, château du Bois Mauboucher (15e et 17e s.), avec étang, et bois des Défais; vergers au nord. Le finage a une extension rive gauche et un pont. La N162 court en droite ligne à l’ouest du finage, comme à Montreuil. Les ormes séculaires du Verger, à l’est de Montboucher, sont un site classé. La commune a 100 hab. de plus qu’en 1999.

La Jaille-Yvon (330 Jaonnais, 1 255 ha), 13 km NNE du Lion-d’Angers, aussi sur la rive droite de la Mayenne, est limitrophe du département de la Mayenne; elle se déclare «station verte de vacances», avec un port de plaisance (camping) et le château-hôtellerie du Plessis-d’Anjou (18e et 19e s.); châteaux de Loncheray (15e et 18e) au sud, de Cussé (18e) au nord; elle a 80 hab. de plus qu’en 1999.

Chemillé-Champteussé (360 hab., 1 678 ha) est une commune nouvelle née en 2016 par fusion. Chenillé-Changé (140 Chiniliens, 530 ha) est à 12 km NNE du Lion-d’Angers. Chenillé est sur la rive gauche de la Mayenne, où elle a aussi son port de plaisance, et le château des Rues (19e s.); location de bateaux MRB au Moulin (25 sal.), maison de retraite. Changé est un petit hameau tout au sud, entre étangs, serres et vergers. Leur réunion date de 1790; le finage est entièrement à l’est de la Mayenne. Champteussé-sur-Baconne (220 Champteusséens, 1 148 ha), 8 km NE du Lion-d’Angers, mais à l’écart de la Mayenne, se signale par le château de Verney (17e et 19e s., avec parc) à l’est, une église romane du 12e s. et une ingénierie de bâtiment (expertises Allo Diagnostoc, 45 sal.); traitement de déchets Seda (20 sal.). Le village est un site inscrit de 36 ha.

Thorigné-d’Anjou (1 250 Thorignéens, 1 645 ha) est 4 km à l’est du Lion-d’Angers sur la D770. Le finage atteint la rive gauche de la Mayenne; peinture Frémy (30 sal.). La commune, dont le nom a été complété en 1920, a gagné 480 hab. depuis 1999 (+60%).

Grez-Neuville (1 490 Grez-Neuvillois, 2 690 ha), sur la rive gauche de la Mayenne à 4 km SE du Lion, a un actif port de plaisance, un pont sur la Mayenne, une église ancienne (11e-12e et 17e-18e) et une ferme pédagogique; supermarché U (90 sal.) à la Grange à la limite du Lion; château de la Grandière au NE (16e et 18e s., site classé sur 17 ha). Le finage est plus étendu à l’ouest de la Mayenne qu’à l’est; il contient à l’ouest le château de la Beuvrière, avec bois, étang et hameau, et atteint au SO la forêt de Longuenée. Grez est le village de rive gauche et le centre actuel, Neuville est le hameau du bout du pont sur la rive droite, mais son finage occupait tout l’ouest de la Mayenne avant leur réunion, en 1790. La population communale remonte depuis le minimum de 1975 (760 hab.), gagnant 160 hab. depuis 1999, mais elle avait culminé à 1 400 hab. au 19e s.

Sceaux-d’Anjou (1 200 Salciens, 1 718 ha dont 200 de bois) est 9 km à l’est du Lion-d’Angers et a gagné 460 hab. depuis 1999 (+62%); bois Monkerbut et château de Launay au nord, paysage bocager à fermes dispersées.

Juvardeil (840 Juvardeillais, 1 895 ha), 3 km en aval du chef-lieu sur la rive droite de la Sarthe, a un petit port de plaisance avec parc de loisir (Rives Gabare). Le finage s’étend surtout vers le NO, porte de nombreux vergers, et n’a qu’une petite extension sur la rive gauche, sans pont; château de la Cour des Cellières au sud (18e s.); +60 hab. depuis 1999.

Miré (1 000 Miréens, 1 773 ha), 11 km au nord de Châteauneuf, bénéficie d’un étang de barrage sur la Savennière, sous-affluent de la Sarthe, d’une église très décorée du 15e s. (et partie du 11e s.), du dolmen de la Maison des Fées à l’est et, à la limite nord du finage, des restes du château de Vaux (1470), ruiné, mais qui précéda celui de Plessis-Bourré, appartenant à la même famille Bourré; manoir de Crémaillé (15e, 17e s.) au SO; négoce de matériaux Arma (20 sal.); pisciculture Bigot à la Bouhourderie (40 ha de bassins).

Deux autres communes sont tout au sud du territoire intercommunal, mais n’ont pas adhéré à la commune nouvelle Val-d’Erdre-Auxence, pas plus qu’à la proche communauté Loire-Layon-Aubance.

Saint-Sigismond (380 Saint-Sigismondais, 1 272 ha), 12 km au SO du Louroux-Béconnais, 31 km au SO du Lion-d’Angers, étire son finage le long de la limite départementale; l’Auxence le traverse au nord, l’A11 passe à la limite sud; +60 hab. depuis 1999.

Saint-Augustin-des-Bois (1 240 Saint-Augustinois, 2 728 ha dont 400 de bois) est à 12 km SE du Louroux; le finage contient une partie de la forêt de Bécon à l’est, les aires de repos des Montilets et de Réveillon sur l’A11 tout au sud. La commune a gagné 390 hab. depuis 1999, +41%); charpentes et menuiseries Préfa Kit (25 sal.), restaurant l’Orée des Bois (20 sal.). La limite communale suit au nord le ruisseau de Coudre, à l’ouest la Romme.


Bécon-les-Granits

(2 940 Béconnais, 4 617 ha) est à 20 km ONO d’Angers, dans les Vallées du Haut Anjou, sur la Voie de la Liberté (D963) qui contourne le bourg par le nord. Le socle granitique a fourni des pierres de belle qualité, ce qui a permis à la commune d’orner son nom en 1922, et d’ouvrir un musée du granite. Le petit village initial s’est étoffé de lotissements, qui vont jusqu’au bord de la Romme; un lycée privé (Bois Robert, 40 sal.), supermarché U (55 sal.), maison de retraite; ferme de la Grande Maison (16e s.) et château du Bois Guignot (18e s.) au sud du bourg; châteaux de la Carterie au SE, de Landeronde (15e et 17e s.) au sud du finage, avec parc; moulin à vent de la Landronnière au nord. La commune avait 2 300 hab. en 1886, 1 600 en 1936, 1 400 en 1975 puis sa population s’est mise à croître; elle a gagné 470 hab. depuis 1999.


Erdre-en-Anjou

(5 840 hab., 5 854 ha) est une nouvelle commune du Maine-et-Loire, créée en 2016 par la fusion de quatre communes au nord-ouest d’Angers, dans les Vallées du Haut-Anjou. La nouvelle commune a 1 000 hab. de plus que ses parties en 1999 (+43%).

Vern-d’Anjou (2 370 Vernois, 3 611 ha) est à 10 km OSO du Lion-d’Angers sur la route de Nantes (D770) au croisement de la D961. Elle a deux châteaux du 19e s., quelques manoirs plus anciens; une fabrique de papeterie (articles sanitaires Sipinco, 40 sal.), une métallerie (Techno-Bat, 25 sal.); surgelés Artika ( 60 sal.); transports Michel (25 sal.), maison de retraite, camping. Son finage atteint au sud le cours de l’Erdre, près de sa source qui est à La Pouëze; hameau de Cuilllon et château du Bignon au sud-ouest. Il est à la source de l’Hommée, qui coule vers le nord et rejoint l’Argos à Marans. Sa population, qui avait culminé à 2 300 hab. en 1866 et était descendue à 1 300 hab. en 1975, a remonté légèrement ensuite, puis a gagné 770 hab. depuis 1999 (+49%).

Brain-sur-Longuenée (970 Brainois, 2 243 ha dont 393 de bois), 6 km ESE de Vern, inclut au sud la plus grande partie de la forêt de Longuenée, qui s’étire sur 7 km, et fut un site d’exploitation d’ardoisières; +190 hab. depuis 1999.

La Pouëze (1 990 Pouëzéens., 2 215 ha), 6 km SSE de Vern, est aux sources de l’Erdre; la chapelle Sainte-Émerance (15e s.) fut élevée à La Pouëze à la demande de Louis XI pour la guérison de ses coliques; fonderie de métaux non ferreux (Fonderie d’Anjou, 35 sal.), mécanique Serma (25 sal.), ancien site d’ardoisières en cours de revalorisation; camping. Le finage touche au nord à la forêt de Longuenée. La population a augmenté de 540 hab. (+35%) depuis 1999.

Gené (510 Genéens, 925 ha), 5 km NE de Vern, a gagné 250 hab. depuis 1999 (+96%); église du 11e s., château de Ribou (19e s.) à l’ouest, avec parc paysager.


Hauts d’Anjou (Les)

(9 010 hab., 14 316 ha dont 600 de bois) est une commune nouvelle du nord du Maine-et-Loire, formée en 2017 par la réunion de Champigné, Brissarthe, Contigné, Cherré, Marigné, Sœurdres et Querré, augmentée en 2019 de Châteauneuf-sur-Sarthe, et membre de la communauté des Vallées du Haut-Anjou. L’ensemble a 2 370 hab. de plus qu’en 1999 (plus d’un un tiers).

Champigné (2 290 Champignéens, 2 270 ha) est à 26 km au nord d’Angers, 12 km ENE du Lion-d’Angers sur la D770. C’est un village-centre étoffé, accueillant une maison familiale rurale et une maison de retraite, une assez grosse entreprise de maçonnerie et taille de pierres (Bonnel, 100 sal.), un couvreur (Adam, 25 sal.), une pâtisserie avec spécialités à la pomme (Pomone, 65 sal.), liée à un grand verger (La Cochetière, 45 sal., groupe Pomone avec la pâtisserie Foucteau d’Avrillé), associé à une conserverie (Flash Fruits, 30 sal.); horticulture Novaflore (30 et 20 sal.). Au sud du bourg, on voit le beau château de la Hamonnière (15e s. et renaissance) et celui de Mozé; à l’est, vergers de la Ritée; au NE, vergers de la Cochetière et château de Baillé les Bois; au nord-ouest château des Briottières (18e s.) avec parc à l’anglaise de 50 ha, étang et hôtellerie. La commune a gagné 640 hab. depuis 1999 (+39%).

Querré (340 Querréens, 1 241 ha), 5 km ONO de Champigné, s’orne à l’ouest du château de Verney (ou Vernay, voire Vernée, 15e et 19e s.), partagé avec Chenillé-Champteussé, et a gagné 110 hab. depuis 1999 (+44%); au sud, bois de Vernay et château de Maillé.

Marigné (720 Marignéens, 2 441 ha dont 124 de bois), 10 km NNO de Champigné, a une église des 11e-12e s.; le finage, en limite de département, atteint la rive gauche de la Mayenne au NO, au château de Port Jourdain; plusieurs hippodromes; à l’ouest, château de la Perrine avec parc. Marigné a 190 hab. de plus qu’en 1999 (+35%).

Cherré (560 Cherréens, 1 391 ha), à 7 km au nord de Champigné sur la D859, a un négoce de matériel agricole Romet (40 sal.). La commune a gagné 150 hab. (+36%) depuis 1999, château Martou au nord.

Sœurdres (410 Sœurdréens, 1 524 ha), 12 km au nord de Champigné, limitrophe de la Mayenne, contient le manoir classé de la Touche-Moreau (16e s.) au nord, le château de Moiré au SO; la commune a 140 hab. de plus qu’en 1999 (+54%).

Contigné (770 Contignéens, 2 331 ha), 9 km NNE de Champigné sur la D768, conserve un ancien prieuré des 17e et 18e s. La commune a eu 1 200 hab. au début du 19e s. et s’est lentement dépeuplée de 1840 à 1990; mais elle a augmenté de 150 hab. depuis 1999. Le finage n’atteint pas la limite départementale, mais une longue digitation au NE va jusqu’à la rive droite de la Sarthe à la hauteur de Morannes; serres et vergers au sud, château du Margat à l’extrême SE.

Brissarthe (640 Brissarthois, 1 699 ha dont 200 de bois), 12 km ENE de Champigné et 4 km au NE de Châteauneuf-sur-Sarthe qui s’interpose sur la D770, est sur la rive droite de la Sarthe qui limite son finage à l’est et accueille un port de plaisance; l’église a des parties des 11e-12e s. et s’accompagne d’un presbytère classé du 18e s.; châteaux de la Coutardière (15e et 16e-17e s.) au nord, de la Haye à l’ouest; +100 hab. depuis 1999.

En 2019, Châteauneuf-sur-Sarthe (3 280 Castelneuviens, 1 439 ha) a rejoint la commune des Hauts-d’Anjou. C’est un ancien chef-lieu de canton, 30 km au NNE d’Angers, sur la rive droite de la Sarthe. Elle a un collège public et s’orne du château de la Vérouillière (19e s.); festival de jazz, un musée (maison de la Rivière), supermarché U (90 sal.); tanneries France-Tanneries ex-Dupire (45 sal.) et CET (Compagnie européenne de tannage, 50 sal.); chocolaterie Mathez (80 sal.); travaux publics Vinci (150 sal.), transports Martinet (35 sal.), négoce agricole Nutral (55 sal.), La Poste (45 sal.); deux maisons de retraite. Le finage a une extension sur la rive gauche, avec pont et camping. Châteauneuf avait 1 300 hab. en 1954 et a atteint 2 600 en 1982; après une légère baisse, elle a repris 830 hab. depuis 1999 (+34%).


Lion-d’Angers (Le)

(4 970 Lionnais, 4 774 ha) est un ancien chef-lieu de canton du Maine-et-Loire dans l’arrondissement de Segré, 24 km au NO d’Angers au bord de l’Oudon, juste en amont du confluent avec la Mayenne, qui borde la commune côté est. Le nom Lion, jadis Legio, semble venir de la présence d’une légion romaine dans l’Antiquité.

La ville est tout à l’est de son finage et circonscrite par une demi-rocade de la D775. Elle a deux usines de viandes Soviba (Elivia, groupe Terrena, 230 et 210 sal.), une fabrique de foies gras et plats cuisinés LTG (Les Treilles gourmandes, 40 sal.), analyses de produits alimentaires Microsept (40 sal.), négoce de matériel agricole Sama Tech (30 sal.); travaux publics Santrac (40 sal.); dépôt de presse Distribanjou (45 sal.).

La ville, «station verte de vacances», a une base de loisirs et un port de plaisance, un collège public et un privé, et organise des Heures musicales du Haut-Anjou; maison de retraite; château de la Roche aux Fées au nord. L’Isle-Briand, péninsule entre Oudon et Mayenne, est le fief du haras national, installé en 1974, qui y occupe 160 ha, avec château, musée et hippodrome. La commune avait déjà 2 800 hab. en 1846; sa population est descendue jusqu’à 2 100 hab. en 1954 puis a repris peu à peu, passant les 3 000 hab. en 1989; elle a gagné 1 0300 hab. depuis 1999, sans compter Andigné qui en a gagné elle-même 160.

Andigné (430 Andignéens, 663 ha), 8 km NO du Lion, a fusionné avec Le Lion en 2016; son petit finage est bordé au nord par l’Oudon, au bord duquel se dresse le château de Saint-Hénis (15e-16e s.); ancien prieuré, halte nautique; travaux publics Moreau (20 sal.). La commune nouvelle est le siège de la communauté des Vallées du Haut-Anjou.


Val d’Erdre-Auxence

(4 920 hab., 13 024 ha dont 1 053 de bois) est une commune nouvelle du Maine-et-Loire à l’ouest, formée en 2017 par la fusion de trois communes et membre de la communauté des Vallées du Haut-Anjou.

Le Louroux-Béconnais (3 230 Lorétains, 6 557 ha dont 461 de bois) est un ancien chef-lieu de canton du Maine-et-Loire dans l’arrondissement d’Angers, 27 km ONO de la préfecture sur la D963 (Voie de la Liberté). Le nom vient d’un oratoire, et du pays de Bécon. La commune a un collège public, deux maisons de retraite, un centre de soins spécialisés pour enfants à l’est (butte du Pé); élevage de volailles Anjou Accouvage (45 sal.), maçonnerie (Jado, 25 sal.); ancienne abbaye de Pontron (17e s.) au SO au bord du Vernoux, étangs. Le finage est limité au nord par l’Erdre; il contient plusieurs fermes d’élevage, notamment avicole. Au sud-ouest, le château du Chillon (19e s.) abrite un centre médical avec maison de convalescence (UGECAM, 86 chambres, parc de 18 ha); au sud, château de Piard (19e) au bord d’un long étang de barrage dans la vallée du Vernoux, et château du Vernoux (19e) à la limite du finage. Sa population augmente après un creux à 1 700-1 750 hab. entre 1963 et 1977 (contre 3 000 hab. en 1866). Elle a gagné 1 090 hab. après 1999, soit +51%.

La Cornuaille (1 010 Cornuaillais, 4 392 ha dont 470 de bois), 8 km à l’ouest du Louroux, occupe tout l’ouest du canton jusqu’aux portes de Candé et bénéficie de l’étang de la Clémencière et du bois des Charmeraies; sa population a augmenté de 200 hab. (20%) depuis 1999 (+30%). Le village est environné de buttes et d’étangs. Le finage, limitrophe de la Loire-Atlantique, va au nord jusqu’à l’Erdre et aux portes de Candé; bois au sud et à l’ouest, châteaux de la Giraudaie au NO, de la Caillotière au NE au passage de la D963 (Voie de la Liberté).

Villemoisan (670 Villemoisanais, 2 075 ha), 7 km au sud du chef-lieu, est au-dessus de la vallée de l’Auxance; maison de convalescence, chapelle de la Commanderie au nord; 170 hab. de plus qu’en 1999 (+32%). Le finage est limité à l’est par la vallée encaissée de la Romme, qui conflue avec l’Auxance à l’angle SE. Le quartier de Romagne, au NE, accueille un parc d’attractions.