Commercy-Void-Vaucouleurs

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communauté de communes de la Meuse, associant 54 communes et 22 700 hab. sur 71 020 ha. Commercy (siège) est seule à dépasser 2 000 hab.

Euville (1 690 Euvillois, 2 976 ha dont 845 de bois), sur la rive droite de la Meuse à 3 km au SE de Commercy, a fusionné sous son nom avec trois autres communes en 1973: Vertuzey (230 hab.), 3 km ESE sur le canal de l’Est, Aulnois-sous-Vertuzey (320 hab.) 4 km à l’est au pied du plateau, et Ville-Issey (310 hab.) 2 km SSE sur la rive gauche de la Meuse et sur la voie ferrée. L’hôtel de ville, achevé en 1909, victime d’un incendie en 1994 mais restauré, est un remarquable spécimen d’«art nouveau nancéen» de l’architecte Henri Gutton. La pierre d’Euville fut appréciée dans la construction, par exemple pour l’Opéra de Paris. La population communale s’est accrue de 230 hab. depuis 1999. Le finage touche en pointe à la limite de la Meurthe-et-Moselle à l’est.

Vignot (1 350 Vignotins, 1 602 ha dont 961 de bois) est à 2 km au NE de Commercy sur la D958 vers Pont-à-Mousson. Le territoire est boisé sur les collines à l’est; +40 hab. depuis 1999.

Boncourt-sur-Meuse (340 hab., 1 084 ha dont 357 de bois), 4 km NNO de Commercy, est au débouché d’un vallon sur la rive droite de la Meuse, emprunté par la voie ferrée vers Metz; musée des truffes. La mention sur-Meuse est de 1919.

Pont-sur-Meuse (140 hab., 363 ha), 6 km NNO de Commercy, est une petite commune juste à l’ouest de Boncourt. La mention sur-Meuse est ancienne.

Mécrin (230 Mécrinois, 1 019 ha dont 258 de bois), 10 km NNO de Commercy, a son village sur la rive droite de la Meuse face à Sampigny (Sanmiellois).

Lérouville (1 430 Lérouvillois, 1 438 ha dont 627 de bois), 5 km au NO de Commercy au bord du canal de l’Est, est un lieu de bifurcation ferroviaire, où la ligne vers Metz par la vallée de l’Orne se détache du tronc Paris-Nancy-Strasbourg; la SNCF y a 30 agents; petit site d’escalade sur un promontoire; champ de manœuvre et de tir au sud dans les bois à l’ouest de Commercy. Lérouville a eu 3 300 hab. en 1911; tombée à 1 100 hab. en 1921, sa population est ensuite remontée à 1 800 en 1962; elle a diminué jusqu’en 1999.

Vadonville (260 hab., 521 ha dont 240 de bois), 7 km NO de Commercy, sur la D964 et la voie ferrée vers Pais, a des petits commerces.

Grimaucourt-près-Sampigny (80 hab., 927 ha dont 630 de bois), 13 km NO de Commercy, est dans le vallon de la Dœuille emprunté par la voie ferrée Paris-Est.

Chonville-Malaumont (210 hab., 1 880 ha dont 642 de bois) réunit depuis 1972 deux villages distants de 4 km, proches de Commercy (7 à 8 km). Chonville (170 hab.) est dans une petite vallée sèche qui va vers la Meuse, et à la limite occidentale du champ de tir de Commercy-Lérouville; Malaumont (40 hab.) est sur une colline 5 km au nord. Leur population a bien décliné, même depuis la fusion; Chonville avait à elle seule plus de 500 hab. autour de 1850, Malaumont une centaine.

Dagonville (84 Dagonvillois, 1 301 ha dont 316 de bois) est à 19 km ONO de Commercy près de l’Aire, rive gauche.

Cousances-lès-Triconville (140 hab., 1 827 ha dont 517 de bois), 20 km à l’ouest de Commercy, accueille la fromagerie Donge (55 sal.). Le nom était Triconville jusqu’en 1972; à cette date, Triconville (80 hab.), au sud de Dagonville, qui conserve la mairie, a fusionné avec Cousances-aux-Bois (60 hab.) au NE, qui est à la source de la Dœuille et au passage de la voie ferrée, et propose les Jardins d’Ingrid.

Erneville-aux-Bois (160 Ernevillois, 2 805 ha dont 882 de bois) 19 km OSO de Commercy réunit depuis 1972 Ernecourt (60 hab., mairie) au bord de l’Aire, Domrémy-aux-Bois (60 hab.) juste au sud au bord de l’Aire, et Loxéville (40 hab.) un peu à l’ouest; hameau de la Gare au nord.

Willeroncourt (110 hab., 789 ha dont 200 de bois), 21 km OSO de Commercy, est dans une percée de la Côte des Bars par un vallon affluent de l’Ornain, empruntée par la voie ferrée Pais-Est.

Nançois-le-Grand (77 hab., 925 ha dont 230 de bois), 20 km OSO de Commercy, est juste à l’est de Willeroncourt. La N4 suit la limite méridionale de la commune, qui a reçu deux des éoliennes du parc de Saint-Aubin-sur-Aire.

Saint-Aubin-sur-Aire (170 hab., 1 417 ha dont 153 de bois), 15 km OSO de Commercy, est à la source de l’Aire, et traversé par la voie rapide N4. La mention sur-Aire a été ajoutée en 1888. La commune a sept éoliennes Nordex d’un parc de neuf (espagnol Iberdrola).

Saulvaux (130 hab., 2 242 ha dont 490 de bois), 10 km SO de Commercy, a un nom artificiel qui contracte depuis une fusion de 1972 ceux de l’ancienne Saulx-en-Barrois (70 hab.), tout proche de la N4 (échangeur avec la D958) et ceux de Vaux-la-Grande (50 hab.) et Vaux-la-Petite (30 hab.) qui sont au sud-ouest dans un vallon descendant vers l’Ornain par la Barboure, et n’ont plus chacune que 20 hab. en 2021. La commune a reçu en 2007 à l’est sept éoliennes Nordex du groupe espagnol Iberdrola.

Boviolles (100 hab., 813 ha dont 276 de bois), 22 km SO de Commercy, est à la pointe SO du territoire intercommunal dans la vallée de la Barboure juste avant son confluent avec l’Ornain; site archéologique sur la colline au sud.

Marson-sur-Barboure (47 hab., 590 ha dont 222 de bois) est à 21 km SO de Commercy au bord de la Barboure; sur le plateau au NE, deux des éoliennes du parc de Reffroy. La mention sur-Barboure a été acquise en 1919.

Reffroy (80 Reffroyens, 941 ha dont 350 de bois), 23 km SO de Commercy est un petit village dans la vallée de la Barboure. La commune a reçu au nord sur le plateau dès 2005 l’un des mâts du parc éolien du Boutonnier (6 Repower, 12 MW) partagé avec Méligny et Marson, au sud et, entièrement dans la commune, le parc des Hauts de Vausse de même composition, tous deux exploités par Engie (Suez-GDF).

Méligny-le-Petit (79 Biquis, 839 ha dont 395 de bois), 19 km SO de Commercy, a son village dans un vallon affluent de la Barboure; au sud sur le plateau, trois des éoliennes du parc du Boutonnier.

Méligny-le-Grand (93 hab., 1 152 ha dont 393 de bois), 16 km SO de Commercy, est à la source du vallon de Méligny qui descend vers la Barboure. Elle accueille depuis 2006 un parc de 4 éoliennes Repower (8 MW, firme allemande WPD).

Bovée-sur-Barboure (140 Bovéens, 1 337 ha dont 376 de bois), 19 km SSO de Commercy, 12 km au sud-ouest de Void, a son village à la tête de la Barboure, au pied de la Côte des Bars. Au SE, elle partage avec Broussey le parc éolien des Vallottes, apparu en 2010 avec 6 Enercon (12 MW, groupe allemand WPD). La mention sur-Barboure est de 1922.

Broussey-en-Blois (60 hab., 1 104 ha dont 385 de bois), 18 km SSO de Commercy, a son village juste au pied de la Côte des Bars; sur le plateau à l’ouest, la commune a reçu la moitié du parc éolien des Vallottes (6 Enercon, groupe allemand WPD).

Villeroy-sur-Méholle (43 hab., 647 ha dont 188 de bois), 19 km SSO de Commercy, est sur le bas plateau mais son finage monte en pointe à l’ouest sur la Côte des Bars. Il est bordé à l’est par la petite vallée encaissée de la Méholle, que suit le canal de la Marne au Rhin. La mention sur-Méholle a été acquise en 1924.

Sauvoy (62 hab., 782 ha dont 266 de bois), 16 km au sud de Commercy, est un village-rue dans la vallée de la Méholle au bord du canal de la Marne au Rhin. Son finage contient à l’est une partie de la forêt domaniale de Vaucouleurs.

Naives-en-Blois (160 hab., 1 570 ha dont 467 de bois), 17 km SSO de Commercy, est sur une butte au bord du plateau des Bars, avec des bois au NE; petits hameaux de Braux et Bannaucourt au NO.

Ménil-la-Horgne (170 hab., 1 656 ha dont 445 de bois), 9 km SO de Commercy, est au pied de la Côte des Bars, au passage de la voie rapide N4. Elle partage à l’ouest sur le plateau le parc éolien de Saulvaux (Iberdrola).

Laneuville-au-Rupt (200 hab., 1 323 ha dont 839 de bois), 8 km au sud de Commercy, 4 km au NO de Void, a reçu en 2007 aux Grosses Bornes un parc de 5 éoliennes Repower (10 MW, EDF); grands bois de Palisse au sud, de Laneuville au nord.

Au SE

Void-Vacon (1 670 Vidusiens, 3 568 ha dont 1 288 de bois), 9 km SSE de Commercy, est un ancien chef-lieu de canton. Le village de Void est dans un large méandre de la Meuse, presque circulaire, au débouché de la vallée encaissée de la Méholle, par où se faufile le canal de la Marne au Rhin. La nationale 4, à quatre voies, passe aussi par le village, et y croise la route de Verdun et Commercy à Neufchâteau et au-delà vers le sud. Pareille situation aurait pu faire apparaître un grand carrefour, mais n’a pas attiré beaucoup d’activités, sans doute en raison de la concurrence de Toul plus à l’est, et de Commercy au nord. La commune n’a même pas de collège; quelques petites entreprises, dont les transports par autocars Coutarel (45 sal.); base nautique sur le canal. Vacon, 3 km au sud, a fusionné avec Void en 1972; elle avait alors 150 hab. La population de Void-Vacon a augmenté de 1975 (1 200 hab.) à 1990, et encore de 70 hab. après 1999; mais Void à elle seule avait atteint 1 750 hab. en 1891.

Sorcy-Saint-Martin (1 120 hab., 2 172 ha dont 611 de bois), 8 km SSE de Commercy et 3 km au nord de Void sur la rive droite de la Meuse, englobe une partie du large méandre, et tout ce qui reste du lobe, une butte qui forme la côte Saint-Jean, ancien oppidum qui a livré quelques restes archéologiques et porte les ruines d’un château fort; plus à l’est, le pédoncule est recoupé, ce qui permet le passage de la voie ferrée et du canal de l’Est, qui rejoint celui de la Marne au Rhin à la limite orientale de la commune; enfin, tout à l’est, une partie du plateau boisé qui domine la vallée de la Meuse, a été et demeure un grand site de carrières. Les Fours à chaux de Sorcy (groupe Lhoist) emploient encore 70 personnes; aliments du bétail Lorial (20 sal.). La commune a eu près de 1 800 hab. au début du 19e s. et s’est dépeuplée jusqu’en 1999, mais a repris 210 hab. depuis. Elle est limitrophe de la Meurthe-et-Moselle.

Troussey (470 hab., 1 723 ha dont 500 de bois), 14 km au SE de Commercy, a son village sur la rive gauche de la Meuse et un finage est limitrophe de la Meurthe-et-Moselle. La N4 passe au sud, le canal de la Marne au Rhin et la voie ferrée au nord; la jonction avec le canal de l’Est est à la limite NO de la commune, qui a gagné 140 hab. (+42%) depuis 1999.

Pagny-sur-Meuse (1 030 Pagnotins, 1 881 ha dont 797 de bois), 6 km SE de Commercy entre la rive droite de la Meuse et le canal de la Marne au Rhin, est sur le faisceau de circulation formé par la N4, la voie ferrée Paris-Strasbourg et le canal, qui s’engouffrent ici dans le val de l’Asne: Pagny est au site même de l’ancienne confluence de la Moselle et de la haute Meuse. Le groupe Intermarché y a établi une grosse base de distribution (250 sal.); mécanique ACMG (25 sal.), carrière de calcaire Novacarb (25 sal.); transports Sodel (35 sal.) négoce agricole Estagri (35 sal.); base nautique sur le canal. La commune avait culminé à 1 270 hab. en 1926 puis sa population s’était abaissée à 730 hab. en 1982; elle a un peu progressé depuis et a gagné 110 hab. après 1999. Elle est limitrophe de la Meurthe-et-Moselle. La mention sur-Meuse est ancienne.

Ourches-sur-Meuse (230 Orcadiens, 1 035 ha dont 294 de bois), 17 km SE de Commercy, limitrophe de la Meurthe-et-Moselle, est sur la rive gauche de la Meuse et a 60 hab. de plus qu’en 1999 (+35%). La mention sur-Meuse a été ajoutée en 1919.

Saint-Germain-sur-Meuse (250 hab., 767 ha dont 280 de bois), 18 km SSE de Commercy 8 km au nord de Vaucouleurs, se tient à l’extrémité d’un étroit éperon de méandre sur la rive droite de la Meuse. La commune est boisée à l’est et est limitrophe de la Meurthe-et-Moselle. La mention sur-Meuse est de 1919.

Ugny-sur-Meuse (110 hab., 429 ha), 20 km SSE de Commercy, est sur la rive gauche de la Meuse dans un large méandre de la vallée entre Saint-Germain et Rigny. La mention sur-Meuse est de 1919.

Rigny-la-Salle (380 hab., 1 028 ha dont 671 de bois), 22 km SSE de Commercy, est à 3 km au NE de Vaucouleurs près du confluent de la Meuse et de l’Aroffe, et limitrophe de la Meurthe-et-Moselle dans les bois à l’est. Elle a gagné 50 hab. après 1999; plâtrerie Elvinger (20 sal.).

Rigny-Saint-Martin (53 hab., 1 611 ha dont 1 100 de bois), 24 km SSE de Commercy, est au bord de l’Aroffe, 6 km à l’et de Vaucouleurs au débouché d’un vallon est-ouest qu’emprunte la D960 vers Toul. Son finage est limitrophe de la Meurthe-et-Moselle et dessine vers l’est une extension de 3 km englobant la forêt domaniale de l’Essart.

Chalaines (320 Chalainois, 810 ha dont 304 de bois), juste à l’est de Vaucouleurs, est sur la rive droite de la Meuse et s’appuie sur la colline entre Meuse et Aroffe, que contourne la D960.

Vaucouleurs (1 960 Valcolorois, 3 935 ha dont 2 153 de bois) est un ancien chef-lieu de canton, 21 km SSE de Commercy au pied de la côte qui domine la rive gauche de la Meuse. Ancien centre du pays champenois des Vaux, la bourgade devint une ville forte aux confins de la Champagne et de la Lorraine, et une ville royale en 1365: c’est le représentant du roi, Baudricourt, que Jeanne Darc (c’est l’orthographe de son nom de famille) serait allée trouver un jour de 1428. Vaucouleurs avait alors une grande muraille à 17 tours et 4 portes; il en reste de larges pans, dont 6 tours et la porte de France; on a retrouvé quelques fondations et caves de l’ancien château où logeait le sire de Baudricourt. La chapelle castrale a été entièrement refaite en 1929 et pourvue de vitraux modernes, mais a conservé son ancienne crypte. Un musée est consacré à Jeanne d’Arc; au nord de la ville, à l’orée de la grande forêt de Vaucouleurs, ruines du château féodal de Gombervaux, dont un donjon carré du 14e s.; château de la Voivre tout au sud dans la vallée, près de Neuville.

Vaucouleurs est au croisement de la D964 N-S et de la D960 O-E; elle a un collège public et quelques ateliers, dont les Textiles de Vaucouleurs (65 sal., linge de maison) et les Fonderies de Vaucouleurs (25 sal.), la mécanique Valmeca (30 sal.), le couvreur Thomas (25 sal.), un Intermarché (25 sal.). La population communale s’est tenue au-dessus de 3 000 hab. de 1896 à 1962, et diminue peu à peu depuis; elle a baissé de 360 hab. après 1999.

Montigny-lès-Vaucouleurs (71 hab., 1 183 ha dont 612 de bois), 5 km SO de Vaucouleurs, est dans un vallon encaissé que traverse la D960.

Neuville-lès-Vaucouleurs (180 hab., 835 ha dont 296 de bois), 2 km au sud de Vaucouleurs, est au pied du versant gauche de la Meuse sur la D964.

Burey-en-Vaux (160 hab., 647 ha dont 268 de bois), 4 km au sud de Vaucouleurs, est également au bas du versant gauche de la Meuse sur la D964, au débouché d’un vallon.

Épiez-sur-Meuse (44 hab., 819 ha dont 357 de bois), 8 km SSO au sud de Vaucouleurs, est un petit village à la tête d’un vallon débouchant sur la Meuse, rive gauche, entre Burey et Maxey. Le finage, limité au plateau, n’atteint pas la Meuse. La mention sur-Meuse a néanmoins été ajoutée en 1919.

Maxey-sur-Vaise (300 Sorciers, 1 090 ha dont 485 de bois), 8 km au sud de Vaucouleurs, est au pied du versant gauche de la Meuse sur la D964. La Vaise est une boire locale au pied du coteau, devenant en aval, à Neuville et Vaucouleurs, canal de la Haute Meuse. Le gentilé vient d’une légende du 17e siècle.

Sepvigny (80 hab., 631 ha dont 165 de bois), sur la rive droite de la Meuse à 6 km SSE de Vaucouleurs, a une église fortifiée du 14e s. Son finage est limitrophe de la Meurthe-et-Moselle

Champougny (90 hab., 591 ha), 29 km SSE de Commercy, 8 km SSE de Vaucouleurs, est sur la rive droite de la Meuse et limitrophe de la Meurthe-et-Moselle. L’ancien fort de Pagny-la-Blanche-Côte (années 1880, Séré de Rivières) est à la limite orientale du finage sur le relief, au sein d’un site Natura 2000 (pelouses à orchidées). Au sud, le finage fait une avancée en incluant le promontoire de méandre de Rousseaux, contourné par la Meuse et son bras de la Chêtre.

Pagny-la-Blanche-Côte (240 Blancôtois ou Pagnotins, 1 243 ha dont 412 de bois), 10 km SSE de Vaucouleurs, limitrophe de la Meurthe-et-Moselle, occupe un beau site de méandre de la Meuse, dominé par une ancienne batterie de Pagny juste au-dessus du village et de l’amphithéâtre de méandre que longe le bras de Meuse nommé rivière de la Chêtre.

Taillancourt (130 hab., 1 109 ha dont 664 de bois), 10 km SSE de Vaucouleurs, est sur bras de la Meuse au milieu de la vallée et proche de la D964. Le finage s’étend loin vers le sud-ouest sur le plateau boisé.

Montbras (21 hab., 540 ha), 11 km SSE de Vaucouleurs, est sur un petit promontoire juste au-dessus de Taillancourt et à la limite nord de son finage, avec un château renaissance (fin du 16e s.). Le finage est traversé par la D964 et atteint au SE le cours de la Meuse en amont de Pagny; dans l’intervalle, le modeste relief étroit des Grandes Montagnes est un pédoncule de méandre de la Meuse qui s’élargit au NE dans la commune de Pagny.

Burey-la-Côte (90 hab., 429 ha dont 178 de bois), 13 km SSE de Vaucouleurs, 34 km SSE de Commercy, a son village juste au-dessus du versant gauche de la Meuse près de la D964.

Sauvigny (240 hab., 1 751 ha dont 800 de bois), 15 km SSE de Vaucouleurs, aligne son village sur la rive droite de la Meuse. Le finage s’étend à l’est sur le plateau, jusqu’à la limite de la Meurthe-et-Moselle et des Vosges.

Brixey-aux-Chanoines (86 hab., 762 ha dont 164 de bois), 18 km SSE de Vaucouleurs, limitrophe des Vosges, a son village sur un promontoire du versant droit de la Meuse.

Goussaincourt (61 Goussaincourtois, 1 033 ha dont 399 de bois), 16 km SSE de Vaucouleurs, est au pied du versant gauche de la Meuse au passage de la D964; un musée de la vie paysanne vise à décrire la campagne au temps de Jeanne d’Arc. Le finage, limitrophe des Vosges, s’étend à l’ouest sur le plateau boisé. La commune a 40 hab. de moins qu’en 1999.