Creuse Confluence

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nouveau nom (2017) de l’ancienne communauté de communes Pays de Boussac, Carrefour des Quatre Provinces, Évaux-les-Bains/Chambon-sur-Voueize, créée par l’addition des trois communautés. Le siège est à Boussac; la communauté comprend 42 communes, 17 350 hab., 100 800 ha.

Boussac (1 280 Boussaquins, 148 ha) est un ancien chef-lieu de canton de la Creuse dans l’arrondissement de Guéret, 40 km au NE de la préfecture et 36 km à l’ouest de Montluçon. Le bourg domine la vallée encaissée de la Petite Creuse au confluent du Béroux; son très petit finage est presque entièrement bâti sur le plateau. Il fut un moment sous-préfecture et conserve un certain rayonnement, notamment par ses foires aux porcs et aux veaux. Il a un pont ancien, et un gros château du 15e s., assez abîmé mais restauré à partir de 1965; musée rural Berry-Marche. Le socialiste Pierre Leroux y avait lancé en 1844 une imprimerie coopérative. Boussac a un collège public et l’usine Dagard pour les chambres froides et enceintes stériles (350 sal.); constructions métalliques Gibard (ACMG, 25 sal.); supermarché Carrefour (40 sal.), La Poste (25 sal.). La population communale avait augmenté entre les années 1930 (1 250 hab.) et 1975 où elle a atteint son maximum absolu (1 930 hab.); mais elle baisse depuis (-380 hab. après 1999). Le nouveau canton de Boussac a 6 300 hab., 17 communes.

Boussac-Bourg (760 hab., 3 869 ha dont 336 de bois), juste au NE de Boussac, partage avec elle certaines activités car le finage de Boussac est très étroit, dont France-Fermetures pour la menuiserie de bâtiment (groupe SFPI, 140 sal.). Le village est sur une croupe à 430 m; église classée du 12e s.; deux campings (250 places) dont un de luxe (150 places), petit lac de barrage sur le Béroux, au nord de Boussac (les Martinats). Au NO, château de Poinsouze et hameau de Sugères. La population a diminué de 60 hab. depuis 1999.

Leyrat (150 Leyratois, 1 832 ha) est à 7 km à l’est de Boussac, et limitrophe de l’Allier; restes de douves à la Motte à l’est du village, châteaux du Boucherouc au SO, de la Villatte au nord.

Saint-Pierre-le-Bost (140 hab., 1 724 ha) est à 8 km NNE de Boussac, limitrophe de l’Allier et du Cher et donc au contact de trois régions; château de la Grande Jupille tout au sud; la commune n’a pas de village; le plateau y atteint 501 m.

Saint-Marien (190 hab., 1 278 ha) est un petit village de crête à la limite du Cher, vers 470 m, à 11 km au nord de Boussac. Le finage atteint 504 m à l’angle NO au Magnoux juste à la limite du Berry, dont c’est aussi le point culminant (table d’orientation).

Bussière-Saint-Georges (260 Bussiérois, 2 245 ha dont 188 de bois), limitrophe de l’Indre et du Cher, a un très petit village à l’ouest du finage, 11 km NO de Boussac, et un habitat bien dispersé; le hameau de Couchardon, au SE, est plus peuplé. Bussière a reçu tout à l’est sept des neuf éoliennes Vestas du groupe Aalto (16 MW), les deux autres étant de l’autre côté de la D917 à Saint-Marien. La commune a 70 hab. de plus qu’en 1999.

Nouzerines (250 Nouzerinois, 1 909 ha) est à 13 km NO de Boussac, à 420 m; au NE, son finage envoie une longue queue le long de la limite de l’Indre, drainée vers l’Indre.

Bétête (370 Bétêtois, 2 824 ha dont 300 de bois) est à 13 km à l’ouest de Boussac, 9 km au NE de Genouillac à 420 m. Le village s’étire sur une croupe. Des restes de l’abbaye cistercienne de Prébenoît se voient à l’ouest au bord de la Petite Creuse; logis du 17e s., avec animations estivales. La commune a perdu 70 hab. depuis 1999.

Clugnat (660 Clugnatois, 4 242 ha dont 561 de bois) est une grande commune à 32 km NE de Guéret, 8 km au SO de Boussac. Le finage est traversé du sud au nord par le Verraux, qui y conflue tout au nord avec la Petite Creuse; musée d’archéologie, ouvert en 2015 à la suite de fouilles dans la commune; 40 hab. de moins qu’en 1999.

Malleret-Boussac (200 Mallerétois, 2 543 ha) est à 7 km à l’ouest de Boussac, au bord de la Petite Creuse; tout au sud, hameau du Theix et plusieurs étangs collinaires.

Saint-Silvain-Bas-le-Roc (430 Baslerocois, 1 532 ha) est juste au sud de Boussac de l’autre côté de la Petite Creuse; l’habitat se disperse entre plusieurs petits hameaux, vers 450 m, et comprend un faubourg de Boussac (Gouby), mais a perdu 80 hab. depuis 1999. Le village est sur le plateau vers 440 m, mais le relief s’élève au sud en fortes collines, montant à 534 m.

C’est le début du massif granitique des Pierres Jaumâtres, un site réputé de chaos de rochers en boules au sommet du mont Barlot, à 595 m avec un chalet d’accueil. Son nom est une altération de Pierres aux Martres, c’est-à-dire aux fées, appellation fréquente des chaos de rochers. Il est dans la commune de Toulx-Sainte-Croix (270 Toulois, 3 505 ha dont 663 de bois), dont le village est un peu plus au sud, à 8 km de Boussac, perché au sommet d’une butte montant à 656 m. Le village y aurait été précédé par le site gallo-romain de Tullum, nom évocateur d’un relief marqué; église romane un peu massive, avec restes de fouilles, tour médiévale, large panorama; -40 hab. depuis 1999. La Pierre d’Ep-Nell, gros bloc de granite isolé et protégé, est au sud de Toulx près du petit habitat des Pinelles (Pinelles et Ep-Nell, apparentés, se réfèrent probablement à des épineux). La commune s’est agrandie de celle de Pradeau au nord-est en 1829, ce qui lui apporta les Pierres Jaumâtres et le hameau de Pradeau au pied de ce relief. La voie ferrée de Guéret à Montluçon passe au SE au hameau de Chanon.

Saint-Silvain-sous-Toulx (160 hab., 1 457 ha dont 194 de bois) est juste au SO de Toulx, au pied des reliefs vers 490 m; château de la Roche à l’est.

Trois-Fonds (120 Trifontins, 953 ha) est à 6 km au SSE de Toulx, au passage de la D997; la voie ferrée Guéret-Montluçon traverse le finage au NO près du hameau de Ventenat.

Bord-Saint-Georges (360 hab., 3 250 ha dont 329 de bois) est à 15 km au SE de Boussac. La commune, étendue du nord au sud, est traversée tout au sud par la N145 qui frôle le hameau du Sou; forêt de Favant juste à l’est du village.

Lavaufranche (250 Lavaufranchais, 1 634 ha), 5 km au SE de Boussac, conserve les restes d’une commanderie d’hospitaliers, dont un donjon, et eut une bifurcation ferroviaire. Plusieurs hameaux se dispersent dans le finage, vers 450 m.

Soumans (620 Soumanais, 3 668 ha dont 1 385 de bois), 10 km au SE de Boussac à 420 m, est à la tête d’une commune assez étendue qui tient les sources de la Petite Creuse; elle avait plus de 1 500 hab. en 1891; elle en a regagné 60 depuis 1999. Elle a absorbé en 1829 Belle-Fay (ou Bellefaye), dont le hameau et le château subsistent tout à l’est; une mine d’étain a été exploitée au nord du finage, près du hameau de Montebras et de la voie ferrée, qui franchit en viaduc la Petite Creuse. Soumans a bénéficié tôt (1966) d’une piscine et met en avant un lotissement modèle dit Village de l’Éveil. Le paysage est de bouchures à troupeaux de charolais; il est plus ouvert sur le Bourbonnais, voire le Berry, que sur le Limousin même.

Le sud-est de l’intercommunalité relève des Combrailles.

Évaux-les-Bains (1 430 Évahoniens, 4 555 ha dont 830 de bois) est un ancien chef-lieu de canton, 45 km au NE d’Aubusson et 26 km au SO de Montluçon, et la commune la plus peuplée du tiers sud-est de l’intercommunalité. Le village occupe à 470 m une croupe du plateau de Combraille entre deux petits affluents encaissés de la Tardes. C’est une station thermale, connue des Romains, aménagée au 19e siècle et dont l’ensemble thermal a été rénové en 1973, un nouvel établissement thermal étant inauguré en 2000 (75 sal. avec le Grand Hôtel, près de 3 000 curistes par an). Les eaux sourdent entre 40 et 60 °C; un institut de rééducation pour enfants a également été ouvert; parc thermal de 3 ha, parc aux daims; casino (30 sal.); charpente Sainte-Martine (20 sal.), supermarché Carrefour (30 sal.). Le nom même d’Évaux a pour radical l’hydronyme eve. La mention «les Bains» date de 1961.

La bourgade, «station verte de vacances», s’orne d’une église très remaniée à clocher-porche; les anciens thermes à l’est, les gorges du Chacros à l’ouest du village, le bois d’Évaux au-delà sont des occasions de promenades. Une mine d’or fut exploitée au Châtelard dans la gorge de la Tardes. Tout au nord, le finage se termine en pointe au-dessus du confluent du Cher et de la Tardes (Maison du Passeur et chapelle Saint-Marien, hameau d’Entraigues), rehaussé par le plan d’eau du barrage de Rochebut. Au sud-est, le finage atteint la vallée encaissée du Cher et de son affluent la Vianlière. La commune a eu 3 400 hab. en 1901 et n’a cessé de se dépeupler depuis, perdant 200 hab. après 1999. Le nouveau canton d’Évaux a 6 700 hab., 17 communes.

Chambon-sur-Voueize (920 Chambonnais, 3 358 ha dont 555 de bois) relaie Évaux à 5 km en aval à 380 m, au confluent de la Voueize et de la Tardes, à 40 km au NE d’Aubusson. C’est un ancien chef-lieu de canton, qui a un collège public et quelques petits ateliers. Elle a conservé un pont gothique et une grosse église abbatiale romane, riche d’une nef du 11e s. et d’un trésor assez fourni, mais très retouchée au 19e s. Au sud du village, apparaît le château de Villemoleix, du 15e s., avec parc; plâtrerie Giraud (20 sal.). La commune a eu 2 400 hab. en 1906 et sa population diminue depuis, perdant 110 hab. par rapport à 1999.

Saint-Julien-la-Genête (230 hab., 1 191 ha), 3 km au SSO d’Évaux, est traversée par le Chacros et bordée à l’ouest par le Bois d’Évaux.

Le site du village de Chambonchard (80 Chambonchérois, 1 286 ha dont 244 de bois), 7 km à l’est d’Évaux à 467 m au fond de la vallée du Cher au confluent de la Tartasse, a été l’objet d’une querelle exemplaire, déclenchée par un projet de grand barrage destiné à régulariser les débits du Cher et de la Loire, apportant un plan d’eau de 400 ha et très souhaité en aval du bassin ligérien, mais violemment combattu par les Verts, et finalement abandonné officiellement en 1999 par le gouvernement Jospin. Le finage s’étend sur le plateau au SO du village, limité à l’est par la gorge du Cher; il est limitrophe à la fois du Puy-de-Dôme et de l’Allier. Tout au sud, château de Ligondes; parc de six éoliennes Vestas (10,8 MW) du groupe Aalto.

Budelière (740 Budeliérois, 2 507 ha dont 474 de bois), au NE de Chambon à 415 m, est limitée au sud par la gorge de la Tardes et atteint à l’est son confluent avec le Cher, noyé par le lac de barrage de Rochebut (qui est dans l’Allier); maison pour handicapés (70 sal.). Au hameau du Châtelet, au sud du village et non loin d’Évaux, une mine d’or a été exploitée en 1907, mais vite fermée. Au sud-ouest, grand viaduc ferroviaire métallique de la Tardes, construit par la compagnie Eiffel en 1884, long de 251 m et haut de 91 m; au NE, un pont routier suspendu sur le lac de Rochebut.

Viersat (310 Viersatois, 2 909 ha dont 241 de bois), 10 km au nord de Chambon à 460 m, a une clinique privée dite de Châtelguyon (50 lits, 45 sal.), avec traitement de maladies nerveuses. La commune est limitrophe de l’Allier; hameaux de Basroucheix au NE, de Combraille au SO.

Nouhant (300 Nouhantais, 2 575 ha) est à 15 km au nord de Chambon et également limitrophe de l’Allier. Le village est dans la vallée de la Verneigette, affluent de la Voueize, près de la N145 à quatre voies qui traverse la commune.

Verneiges (110 hab., 759 ha) est un village de plateau, 16 km au NNO de Chambon, avec de petits étangs.

Auge (100 Augeois, 997 ha) est aux abords de la N145 et de la Verneigette, 17 km au NO de Chambon; le petit village est doublé au sud par celui d’Huillat.

À Lépaud (380 hab., 2 412 ha dont 293 de bois), 10 km NNO de Chambon à 460 m sur le plateau, le château de Montpensier, refait en granite et brique au 19e s., est le lieu de spectacles historiques estivaux. Au sud-ouest du village, le grand aérodrome de Montluçon-Guéret, à 4 km de la N145 et à 417 m d’altitude, a été inauguré en 1982; il est doté d’une piste en dur de 1 900 m et d’une piste parallèle en herbe de 1 000 m pour les planeurs; s’il n’a pas très bien réussi dans les vols commerciaux réguliers, il est fréquenté pour le vol à voile, l’entraînement de pilotes militaires et la voltige. Le finage atteint au sud la vallée de la Voueize; à l’extrême nord, échangeur de la N145.

Lussat (440 Lussatois, 4 686 ha dont 597 de bois), 7 km à l’ouest de Chambon entre Tardes et Voueize, à 420 m, englobe dans sa commune la forêt des Landes et l’étang des Landes, ainsi que d’autres étangs plus petits. L’étang des Landes, de 120 ha, a été créé en 1684 mais à partir d’un plan d’eau naturel dans un petit bassin faillé; c’est un haut lieu de la pêche, et une halte sur les migrations des grues cendrées. Une réserve naturelle de 166 ha, la première créée dans la Creuse, l’englobe depuis décembre 2004; terres et eaux appartiennent presque en entier au département; une usine électrique est au SE, sur le cours de la Tardes. La Voueize traverse le finage au nord.

Saint-Loup (180 hab., 1 882 ha dont 232 de bois ) est sur le plateau, 16 km OSO de Chambon, 7 km SSE de Gouzon, à 440 m; bois des Souchères au SE. La Voueize borde le finage à l’ouest.

Saint-Julien-le-Châtel (150 hab., 1 530 ha) est au sud de Saint-Loup vers 425 m aux abords de la Voueize, avec les restes d’un château; grand étang de Pineau au NO (37 ha).

Tardes (140 Tardais, 2 140 ha) n’a qu’un centre minuscule à 12 km au SO de Chambon dans la vallée de la Tardes; étang de Poutinchoux à la limite NO, château de Montflour au SO.

Saint-Priest (160 hab., 2 234 ha) dessine une avancée de l’intercommunalité de Boussac dans celle de Chénérailles, 16 km au SO de Chambon. Le très petit village est sur le plateau à 480 m. Au SO, pont médiéval sur la Tardes au hameau de Beaulieu, sur la Tardes.

La partie occidentale de l’intercommunalité est davantage orientée vers Guéret.

Jarnages (480 Jarnageaux, 917 ha) y est un ancien chef-lieu de canton, 20 km à l’est de la préfecture, à 460 m, sur la D990; fabrique de portes Atulam (45 sal.). Au nord, plan d’eau de l’Étang Neuf et échangeur de la voie rapide N145. La population communale diminuait depuis 1886; elle avait alors dépassé les 850 habitants; mais elle en a regagné 60 après 1999.

Cressat (560 Cressatois, 3 341 ha dont 386 de bois) est sur la D990 à 5 km SSE de Jarnages. Le finage touche à l’ouest à la vallée de la Creuse; il est traversé par la voie ferrée de Guéret à Montluçon (gare au sud du village).

Vigeville (170 hab., 717 ha) est une petite commune au SO de Jarnages; le relief s’y élève à 530 m.

Pionnat (780 Pionnatois, 4 177 ha dont 986 de bois) est à 15 km à l’est de Guéret, a des restes d’un oppidum et d’une ancienne abbaye; site de mégalithes à l’est à Ménardeix, château de Bosgenet un peu au nord du village. La Creuse borde le finage à l’ouest, mettant en valeur la petite butte qui porte le hameau de la Villatte Sainte-Marie, où est une petite centrale hydroélectrique.

Blaudeix (100 Blaudeixois, 690 ha) est une petite commune au NO de Jarnages.

Ladapeyre (350 hab., 3 063 ha dont 597 de bois) et à 9 km NNO de Jarnages et 22 km NE de Guéret, sur la D990; le village est baigné par l’étang de Fragne (18 ha).

Domeyrot (220 Domeyratois, 2 459 ha dont 294 de bois) est à 14 km au NE de Jarnages, vers 440 m; le Veraux s’encaisse à l’ouest du finage.

Parsac-Rimondeix (710 Parsacois, 4 702 ha dont 665 de bois) est une grande commune, traversée au centre par la N145 et à l’est par la voie ferrée vers Montluçon. Le village principal, Parsac (630 hab.), est près de leur croisement et a un accès à la voie rapide. Rimondeix (80 hab.) était une petite commune au NO (80 hab.) dont le principal habitat est au nord (la Sennadisse, camping). Le Verraux traverse le finage du sud au nord, passant par Parsac. La N145 offre une aire de service tout à l’est, où le finage est un peu boisé.

Gouzon (1 640 Gouzonnais, 5 003 ha dont 417 de bois), 28 km à l’est de Guéret par la N145, sur la Voueize, est le vrai centre de services de cette partie occidentale de l’intercommunalité, bénéficiant d’une position de carrefour aux abords de la Combraille; quelques ateliers: lignes électriques Socalec (30 sal.), bétons Boudard (25 sal.), moules et modèles MBM (20 sal.); supermarché Carrefour (25 sal.); golf de la Jonchère au NE du village; +210 hab. depuis 1999. Le nouveau canton de Gouzon a 9 700 hab., 26 communes.

La Celle-sous-Gouzon (150 hab., 1 407 ha) est 4 km au NO de Gouzon; centre de création culturelle au hameau de la Spouze au NO du village, avec festival des jardins les jeudis d’été, dans une maison qui appartint au dessinateur Gavarni (1804-1866); pâtisserie Les Comtes de la Marche (35 sal.)

Pierrefitte (70 Pierrefittois, 640 ha) est une petite commune au sud de Gouzon, où coule la haute Voueize