Guingamp-Paimpol Armor-Argoat Agglomération

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est une communauté d’agglomération des Côtes-du-Nord, siégeant à Guingamp et forte de 57 communes, 74 500 hab., 110 800 ha, regroupant 7 anciennes communautés associées en 2017. Guingamp y est accompagnée par cinq communes de plus de 2 000 habitants: Grâces, Pabu, Plouisy, Ploumagoar et Saint-Agathon (v. ces noms). Le territoire dessine une bande SO-NE entre Finistère et Goëlo.

Coadout (580 Coadoutais, 973 ha dont 301 de bois), 4 km SSO de Guingamp, s’orne du château du Bois de la Roche au NE et contient le bois de Kerauffret, dominant à l’est la vallée encaissée du Trieux. Moustéru (690 Moustériens, 1 428 ha), sur la D767 à 6 km de Guingamp, en est séparée par le cours encaissé du ruisseau du Bois de la Roche, affluent de gauche du Trieux; Coadout a gagné 70 hab. depuis 1999, Moustéru 80. Au NO, la commune a reçu 4 des 8 éoliennes Enercon du parc de Penker (16 MW, 40 GWh, au canadien Electrowinds).

Au sud, Bourbriac a servi de centre local, entouré de petites communes dépeuplées. La moins petite est Plésidy (630 Plésidiens, 2 579 ha), 6 km au SE de Bourbriac à 13 km SSE de Guingamp, Plijidi en breton (jadis Ploésidy), qui se signale par un menhir, le manoir de Toul-an-Golet (16e-17e s.) et une chapelle du 16e (restaurée), et par un collège catholique diwan; elle avait plus de 1 700 hab. en 1911 et a encore perdu 100 hab. depuis 1999. Le relief est accidenté et le bourg niche au creux d’un vallon. Le Trieux fixe à l’est la limite du finage. Celui de Saint-Adrien (370 Saint-Adriennais, 993 ha), 9 km SSE de Guingamp, est également bordé à l’est par le Trieux; camping, village de Saint-Roch au nord; +60 hab. depuis 1999.

Senven-Léhart (240 Senvenais, 1 250 ha), 19 km SSE de Guingamp, est au contraire la seule commune à l’est du Trieux. Le petit bourg est au sud, Pen Léhart au nord; nombreux élevages de volailles; Senven est «la vieille pierre».

Kerpert (290 Kerpertois, 2 100 ha dont 349 de bois), 26 km SSE de Guingamp, tient l’angle sud-est du territoire communautaire et contient la source du Trieux, sous le bois de Coat Mallouen et les restes de son abbaye, fondée en 1142, où se tiennent des fest noz; la commune avait atteint 1 270 hab. en 1866.

Magoar (90 Magoariens, 779 ha), 12 km au sud de Bourbriac, a le sens de «vieux murs», comme ailleurs les Mazères; elle a été dotée d’un parc éolien de 7 hélices Enercon de 48 m (5,6 MW, 14 GWh, au chinois CGN Wind), à Coat Piquet vers l’est à la limite de Kerpert, qui a reçu l’une des hélices.

Kerien (270 Kerinois, 2 188 ha) est à 2 km à l’ouest de Magoar, 22 km au sud de Guingamp; le finage est bordé au NO par le haut Blavet, enrichi de l’étang du Blavet près du village de Saint-Nogent; site archéologique de Cosquer Jéhan au nord; la commune a repris 50 hab. depuis 1999, mais avait un millier d’habitants vers 1900.

Pont-Melvez (640 Pont-Melvéziens, 2 298 ha), 21 km au SO de Guingamp, dont le finage est bordé par le cours encaissé du Léguer au sud et à l’ouest, a reçu en 2007 un parc de 7 éoliennes Siemens de 62 m, au nord près de Keranfouler (9,1 MW, 22 GWh, au portugais EDP). Le bourg est au sud-ouest de la commune, à 10 km OSO de Bourbriac. Le finage comprend quelques gros villages comme le Gollot, qui a un autre parc éolien de 8 machines Siemens (10,4 MW, 26 GWh, aussi à EDP) et Guerduel à l’est du bourg (calvaire de la Croix Rouge), Quilliac au nord-est; il est traversé par la voie ferrée de Guingamp à Carhaix et la D787, qui la croise à la gare.

Au sud-ouest, les environs de Callac sont l’une des parties les plus pauvres et dépeuplées de la Bretagne. L’Hyère y draine un bassin qui prolonge celui de Châteaulin à la faveur du même affleurement de schistes tendres, mais ici beaucoup plus étroit, qualifié localement de «plaine». Bulat-Pestivien (430 Bulatois, 3 123 ha), 23 km au SO de Guingamp, se signale par d’intéressantes chapelles, croix et fontaines et a eu un grand pardon; château de Bodilio au nord, avec musée et petit étang; musée du granite et des tailleurs de pierre. Elle a un label de «commune du patrimoine rural de Bretagne», mais est très dépeuplée: elle abritait plus de 1 700 hab. en 1886, 1 000 encore en 1954; sa population est stable toutefois depuis 1990.

Maël-Pestivien (400 Maëlois, 3 129 ha), 13 km à l’est de Callac, 26 km SSO de Guingamp, a depuis 2007 un parc de 7 éoliennes Enercon de 48 m (6,3 MW, 15 GWh, à la société locale Le Duigou) au nord-est à Kerlan. Le finage s’étire vers le nord-est jusqu’au cours supérieur du Léguer; il touche ainsi à l’étang du Blavet et englobe le village de Kerbalen. La commune poursuit son dépeuplement depuis les 1 740 hab. de 1911, perdant encore 50 hab. après 1999.

Saint-Nicodème (170 Nicodémois, 1 694 ha) est à 12 km au SE de Callac; le plateau y atteint 293 m au Crec’h an Barz.

Saint-Servais (420 Servaisiens, 2 804 ha dont 512 de bois), 4 km SE de Callac, contient la forêt dite de Duault, abondante en mégalithes et qui se termine tout au sud par le site apprécié des gorges du Corong, où un petit affluent de l’Hyère se perd dans un chaos de rochers granitiques. Au NE sur le plateau de Goaz Ven, la commune a reçu en 2007 un parc de 7 éoliennes Enercon de 48 m, au total 5,6 MW et 14 GWh (à FEIH-Predica, filiale de GDF-Suez et du Crédit Agricole); musée de peinture Yan’Dargent au bourg.

Duault (370 Duaultois, 2 159 ha), 6 km au sud de Callac, a un nom (Duaod en breton) qui évoque une hauteur noire; son territoire ne participe guère à la forêt de Duault, qu’il longe à l’est, et atteint la vallée de l’Hyère à l’ouest, que suit la voie ferrée de Carhaix à Guingamp (arrêt); ancien moulin et chapelle du Pénity sur l’Hyère, château de Rosviliou, du 17e s., près de la forêt; roc, château et prieuré de Landugen à l’ouest. La population était de 1 300 hab. au début du 20e siècle, 790 en 1962; elle est stabilisée.

Carnoët (700 Carnoëtois, 4 206 ha), 9 km SO de Callac, dont le nom évoque une roche et les bois (cairn+coat), a une fabrique d’aliments du bétail Vitalac (80 sal.,) au bourg; une autre est au Moulin d’Hyère (Triskalia, 20 sal.) La commune avait plus de 2 500 hab. en 1911; elle en a encore perdu 40 après 1999. À l’est, le finage est limité par la vallée de l’Hyère, qui accueille la D 787. Au NO, une longue queue longe la forêt de Fréau et atteint le cours de l’Aulne à la limite du département, où sont le moulin et la motte féodale d’ar C’hastell.

Plusquellec (550 Plusquellecois, 2 631 ha), 4 km au SO de Callac, est limitée à l’est par la vallée de l’Hyère; qu’empruntent la D787 et la voie ferrée; au NE; elle partage avec Callac son étang dans la vallée du Guervilly; quellec est le chardon, plus une forme de plou.

Plourac’h (340 Plouracois, 3 215 ha), à 11 km ONO de Callac, est une grande commune limitrophe du Finistère, l’Aulne fixant la limite occidentale du finage. Le bourg a une église gothique-renaissance avec porche très travaillé, parfois considérée comme la plus belle de l’Arcoat; la commune avait plus de 1 600 hab. en 1911 et a encore perdu 50 hab. depuis 1999.

Calanhel (210 Calanhelois, 1 432 ha), 7 km au NO de Callac, Kalanel en breton, a donné son nom à un petit pays traditionnel de Cornouaille, qui inclut Callac et se distingue par une forme particulière de danse. La commune a perdu 60 hab. depuis 1999, près d’un quart; elle avait dépassé 1 000 hab. de 1880 à 1920. Elle a accueilli en 2009 un parc de 11 éoliennes Gamesa de 58 m (9,4 MW, 23 GWh, au portugais EDP) à la Lande du Vieux Pavé à la limite occidentale du finage. Ce parc est partagé avec Lohuec (270 Lohuécois, 1 718 ha) dont le bourg, 5 km au NO de Calanhel, est au bord de l’Aulne, qui prend sa source dans la commune, au NE. Lohuec avait encore 1 100 hab. entre 1900 et 1920, 680 en 1950; le finage, limitrophe du Finistère, atteint au nord l’orée de la forêt de Beffou.

La Chapelle-Neuve (430 Chapelle-Neuvois, 2 378 ha), 8 km au nord de Callac, a un écomusée; le finage touche au NO à l’orée de la forêt de Beffou. L’Hyère a sa source à la pointe NE de la commune et fixe sa limite orientale.

Le finage de Plougonver (740 Plougonverois, 3 572 ha dont 204 de bois), dont le bourg est à 18 km OSO de Guingamp, atteint au nord le cours du Guic, et monte au sud à 320 m, au-dessus d’une petite gare du chemin de fer de Guingamp à Carhaix; la commune avait 2 700 hab. dans la seconde moitié du 19e s. et se dépeuple encore un peu.

Belle-Isle-en-Terre (1 080 Belillois, 1 411 ha dont 465 de bois) est un ancien chef-lieu de canton, 17 km à l’ouest de Guingamp sur la route de Brest à la traversée du Léguer. Le bourg se tient en fond de vallée du Léguer au confluent du Guil. Son nom, Benac’h en breton, avait probablement pour sens le confluent (la pointe des eaux); il a évolué vers Benisse, compris ensuite comme Belle-Île, ce qui a greffé une légende selon laquelle des moines de Belle-Île-en-Mer y auraient fondé un monastère au 12e siècle, dont serait venue la chapelle de Locmaria qui domine le Léguer un peu plus au nord; mais le village existait depuis trois siècles au moins. La voie rapide N12 traverse en droite ligne le finage juste au nord du bourg et offre un accès à celui-ci, mais sur le territoire de Plounevez-Moëdec (communauté de Lannion). Le village est fleuri (trois fleurs) et a un collège public. La papeterie qui fonctionnait depuis le 16e s. a fermé; il reste une petite biscuiterie du Guer (Les Galettes de Belle-Isle, 18 sal.); les autocars Jézéquel emploient 50 personnes. La commune a bénéficié des largesses de l’épouse d’un magnat du nickel (Mond), qui y a laissé deux châteaux des années 1930, l’un au bourg avec aquarium et centre de découverte de la rivière, l’autre au sud-ouest près d’une ancienne mine de fer dans la forêt de Coat-an-Noz, qui occupe tout le sud du finage et de celui de Louargat. La forêt (368 ha) est traversée par le Léguer et s’accroche à des buttes qui sont dans le prolongement des monts d’Arrée, à l’endroit où le relief des barres de quartzites s’infléchit en direction de l’ESE. La population diminue depuis longtemps; elle avait atteint 2 000 hab. en 1881.

Loc-Envel (70 Locenvellois, 336 ha), 4 km au SSO de Belle-Isle, porte un nom de saint et s’écrivait Locquenvel avant 1902; elle est connue pour son église flamboyante à charpente peinte et nombreuses statues (16e s.); le finage est borné au nord par un grand méandre du Guic.

Juste au NE de Belle-Isle se tient la grande commune de Louargat, relayée au nord par Bégard. Gurunhuel (450 Gurunhuellois, 1 958 ha), 8 km au SO de Guingamp, se perche sur une autre butte couronnée par un calvaire du 16e s. et une chapelle ruinée; son nom même, plus correctement écrit en breton Gurunuhel, fait référence à la butte (uhel); au sud, la chapelle Saint-Fiacre, du 14e au 18e s., a été restaurée; la D787 passe à l’est, où le finage est limité par le cours du Dourdu (eau noire). La commune avait 1 500 hab. en 1886, mais a repris 60 hab. depuis 1999. Elle partage avec Moustéru et Tréglamus le parc éolien de 8 hélices dit de Penker (16 MW, 40 GWh, au canadien Electrowinds). Tréglamus (1 020 Tréglamusois, 1 879 ha), plus au nord à 10 km à l’est de Belle-Isle et autant à l’ouest de Guingamp, a gagné 170 hab. depuis 1999. La N12 et la voie ferrée passent au nord de son finage, qui a quelques carrières.

Pédernec (1 900 Pédernécois, 2 705 ha), 13 km ONO de Guingamp, est traversée au sud par la route de Rennes à Brest, au centre par celle qui s’en détache entre Guingamp et Lannion (D767) et par la voie ferrée Paris-Brest; le Jaudy traverse le finage du sud au nord, à l’est du bourg. Le relief monte au sud-ouest au sommet de la grosse butte ronde du Menez Bré (302 m), partagée avec Louargat. La population communale était de plus de 3 000 hab. au 19e siècle, 2 000 en 1950; mais elle a repris 170 hab. après 1999.

Trois communes, plus proches de Guingamp, bénéficient de la croissance urbaine. Saint-Laurent (520 Saint-Laurentais, 896 ha), 11 km NO de Guingamp, est une petite commune bordée à l’ouest par le Jaudy; elle a gagné 80 hab. depuis 1999. Kermoroc’h (460 Kermorochois, 616 ha), qui en a gagné 130 dans le même temps (un tiers) est un peu plus à l’est, suivie par Trégonneau (560 Trégonnois, 632 ha), 7 km au nord de Guingamp, qui en a gagné 150 (plus d’un tiers); son finage est traversé par la voie ferrée Guingamp-Carhaix et bordé à l’est par le Trieux bien encaissé.

Un peu plus au nord et également bordée à l’est par le cours du Trieux, Squiffiec (820 Squiffiécois, 1 080 ha) a tout au nord le château de Kertanguy et à l’ouest la voie ferrée de Guingamp à Lannion (arrêt). Landebaëron (190 Landebaëronnais, 644 ha), 12 km NNO de Guingamp, a quelques mégalithes. Brélidy (310 Brélidiens, 814 ha), 16 km NNO de Guingamp et 7 km au SO de Pontrieux, au bord du Jaudy, s’orne d’un château des 16e-17e s. sur un oppidum. Le finage est bordé à l’est et au nord par le Théoulas, à l’ouest par le Jaudy.

Runan (240 Runanais, 512 ha), est un peu au nord, 5 km à l’ouest de Pontrieux, et longée à l’ouest par le Jaudy; elle a un bel enclos paroissial et elle est classée «commune du patrimoine rural de Bretagne». Plouëc-du-Trieux (1 190 Plouëcois, 1 827 ha), 15 km au nord de Guingamp, s’étend entre les vallées du Théoulas à l’ouest et du Trieux à l’est; gare, chapelle du 15e et du 18e s. dite Belle Église et, au sud-est près du Trieux, la chapelle plus ancienne de Kerprovost (14e et 17e s.); la commune a 80 hab. de plus qu’en 1999. Saint-Clet (900 Saint-Cletois, 1 446 ha) est de l’autre côté du Trieux, 12 km au nord de Guingamp, et a gagné 100 hab. depuis cette date. Les finages de ces deux communes touchent au nord aux premières maisons de Pontrieux.

Pontrieux (1 050 Pontriviens, 102 ha) est un ancien chef-lieu de canton, 18 km au nord de Guingamp au fond de la vallée du Trieux, sur un site de traversée, mais de très petite taille. On y manipule encore des sables, et la Secma y fabrique des engrais (200 sal.), mais la ville, fleurie (4 fleurs), mise surtout sur le tourisme: elle a un vieux centre-ville intéressant avec deux places triangulaires et des maisons à colombage, une belle fontaine de granite; nombreux lavoirs, avec une fête annuelle; festival d’orgue de Barbarie; artisanat d’art et un label de «petite cité de caractère»; petit train touristique à vapeur vers Paimpol en saison, un camping, un hôtel; port de plaisance de 160 places à quai, bien que la mer soit à 20 km. Pontrieux a deux collèges, public et privé, celui-ci avec internat, maison de retraite (ehpad, 50 sal.); Intermarché (30 sal.). La population communale est en baisse (2 200 hab. en 1886, 1 700 en 1954) et a perdu 220 hab. depuis 1999.

Ploëzal (1 290 Ploëzalais, 2 624 ha), 4 km au nord-ouest de Pontrieux, dont le nom vient de sal, château, a gagné 190 hab. depuis 1999; elle conserve au nord-est, au bord du Trieux, le beau château de granite de la Roche-Jagu, du 15e s. sur un site du 11e s. qui domine l’aber du Trieux; restauré, il appartient au département et offre parc et animations; manoir de Kermarquer au sud.

Quemper-Guézennec (1 160 Quemperrois, 2 308 ha), 18 km NNE de Guingamp, domine le confluent du Leff et du Trieux, d’où son nom (quimper = confluent), complété par celui de son moine fondateur; le manoir de Kerlouet est des 16e-17e s. La commune a un hôtel, un camping, 23% de résidences secondaires; petite zone d’activités sur la voie ferrée le long du Trieux, avec une fabrique d’engrais (Timac, 25 sal.) et une de cosmétiques (Biotechmarine, 35 sal.); elle a 110 hab. de plus qu’en 1999. L’Armoricaine de Navigation extrait sable et maërl.

Paimpol anime le nord de l’intercommunalité, flanquée au nord de Ploubazlanec, à l’est de Plouézec, au sud de Plourivo. Yvias (780 Yviasais, 1 161 ha), 10 km au sud de Paimpol, est bordée au SO par le cours encaissé du Leff; à l’est, le Danot a un échangeur de la D7, avec la zone d’activités de la Petite Tournée près d’un tumulus (Tossen ar Run); la commune a 110 hab. de plus qu’en 1999. Juste au sud, Lanleff (120 Lanleffois, 216 ha) est une toute petite commune bordée par le Leff, 12 km au sud de Paimpol, connue pour son «temple» circulaire que l’on crut romain et qui est préroman (11e s.), et dont la forme importée d’Orient aurait été proposée par d’anciens croisés templiers.

Pléhédel (1 320 Pléhédelais, 1 236 ha) éparpille ses maisons à l’est, 11 km SSE de Paimpol, au-delà de la voie rapide D7, à laquelle elle a un accès; camping avec petit étang; serres à l’est (Kernévez); au SO, oppidum et châteaux au Boisgelin. Le nom vient d’un saint Hedel. La commune a 160 hab. de plus qu’en 1999. La petite Lanloup (260 Lanloupais, 245 ha) est au NE de Pléhédel, 12 km SE de Paimpol, traversée par la D786 et proche du littoral; camping, manoir restauré de la Noé Verte (15e-16e s.); elle a gagné 50 hab. depuis 1999. Kerfot (730 Kerfotais, 571 ha), 5 km au sud de Paimpol, s’étire le long de la D7; camping au bourg; négoce de matériel agricole MS (25 sal.); elle a 130 hab. de plus qu’en 1999.