Lavalette-Tude-Dronne

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communauté de communes du sud-est de la Charente, associant 50 communes, 18 200 hab., 75 500 ha. Le siège est à Montmoreau, seule commune de plus de 2 000 hab.

Boisné-La Tude (720 hab., 3 425 ha) est une commune nouvelle au nord de Montmoreau, créée en 2016 par la fusion de trois communes. Son nom associe le chemin Boisné, voie romaine de Saintes à Périgueux qui traverse Charmant et Juillaguet, et la Tude, sous-affluent de la Dordogne qui prend sa source à Juillaguet et arrose les trois communes du nord au sud. Au nord, Charmant (360 hab., 1 715 ha dont 482 de bois), 14 km NNE de Montmoreau, est sur la crête de partage des eaux entre Charente et Dordogne, que la voie ferrée d’Angoulême à Libourne franchit par un tunnel de 1 600 m; elle est ainsi entre la Boëme, qui va vers la Charente, et la Tude, qui coule vers la Dordogne par la Dronne et l’Isle. Le Chemin Boisné traverse le finage au nord, la D674 le borne à l’ouest. Le village conserve une église des 11e-12e s. et des restes d’un prieuré; l’ancienne commune a eu 820 hab. en 1846 mais sa population est un peu remontée depuis le minimum de 1982 (260 hab.). Au NE, Juillaguet (160 hab., 727 ha) se tient sur une crête au-dessus de la source de la Tude; son territoire atteint au NE le Chemin Boisné. Au sud, Chavenat (200 hab., 983 ha) est sans village; la vallée de la Tude, empruntée par la voie ferrée, divise son finage de collines; Logis de Chenard au SE. L’ensemble a 100 hab. de plus qu’en 1999.

Chadurie (520 Chaduriens, 1 642 ha dont 310 de bois), 10 km au nord de Montmoreau, a une église du 12e s. mais pas de village; à l’extrême nord, Logis de Puygâty (15e-17e s.). La commune est à la source de la Boëme, qui coule vers le nord, longée à l’est par la D674, au NE par la voie ferrée, tandis qu’au nord la D5 est sur le tracé du Chemin Boisné.

Fouquebrune (680 Fouquebrunois, 2 835 ha) est à 17 km NNE de Montmoreau, au pied d’une longue butte-témoin du Campanien montant à 207 m à la Motte. La D674 traverse le finage à l’ouest, le Chemin Boisné au sud.

Ronsenac (580 Ronsenacois 2 673 ha dont 693 de bois), 15 km NE de Montmoreau dans une vallée évasée qui descend vers la Lizonne, s’orne d’une église prioriale clunisienne du 12e s., à fresques; fontaine dite «Légendaire» sous le village.

Villebois-Lavalette (770 Villeboisiens, 720 ha) est un ancien chef-lieu de canton, 25 km au SSE de la préfecture et 17 km NE de Montmoreau. C’est un «village de charme» haut perché qui occupe le site d’un ancien oppidum, auquel ont succédé un castrum gallo-romain, puis une citadelle médiévale. Il fut siège d’un duché-pairie, et reste le chef-lieu du pays d’Horte. Le château a gardé des murs et tours du 12e s., mais a été refait et complété dans les années 1660; de sa terrasse, la vue est très étendue. L’enceinte du village subsiste en partie, ainsi que ses belles halles du 17e s.

Le village a un collège public, et deux fabriques de chaussures, Ferrand (45 sal.) et JLF (30 sal.), et un supermarché U (50 sal.). Le nom ancien de la commune était Villebois. Il s’est vu imposer en 1622 le nom de son nouveau seigneur, La Valette. Il devint Lavalette et le resta jusqu’au compromis de 1861. Sa population n’a pas considérablement changé: environ 950 hab. dans la seconde moitié du 19e s., 650 de 1910 à 1950, 750 après 1970. Elle a toutefois gagné une cinquantaine d’habitants depuis 1999.

Magnac-Lavalette-Vilars (450 Magnacois, 2 375 ha dont 605 de bois) est à 16 km NNE de Montmoreau, juste au nord-ouest de Villebois-Lavalette. Le nom est lié à l’idée de grandeur qu’inspire la forte butte-témoin de terrains campaniens du Puy de Magnac (221 m) qui domine le paysage. Le village est sur son versant sud, le château de la Mercerie déploie sur son flanc ouest une façade de 220 m, des jardins à la française et un parc de 40 ha; il s’agit d’une construction des années 1930, inspirée de Versailles et restée inachevée; dans la commune, fabrique de savons et détergents Avel-Saphir (35 sal.). Le Chemin Boisné passe au sud, au hameau de Lombre. Villars est un hameau au NE, depuis longtemps rattaché et dans un petit bassin bordé de bois. La commune a gagné 70 hab. depuis 1999.

Gardes-le-Pontaroux (280 hab., 1 330 ha dont 300 de bois), 22 km NE de Montmoreau, est une commune sans village au NE de Villebois. La D939 traverse tout le finage du NO au SE en franchissant la vallée du Voutron au hameau du Pontaroux. Au SO, la Quina, dans la même vallée, se signale par un gisement paléolithique (outils moustériens) et un village de vacances (22 maisons, 2 ha, étang, piscine). De Gardes, au sud-est, ne restent qu’une chapelle et un cimetière.

Rougnac (410 Rougnaquais, 2 988 ha dont 2 063 de bois), 27 km NE de Montmoreau, a un grand finage très boisé et étage son village sur le versant droit escarpé de la vallée de la Mangre, orné d’une église des 12e et 14e s. Un peu au nord dans la même vallée au bord d’un étang, château du Repaire (15e au 19e s.). Au SE, hameau du Clédou dans la forêt domaniale de l’Horte. La commune a perdu 150 hab. depuis 1999 (-25%).

Combiers (130 hab., 2 396 ha dont 1 617 de bois), 30 km NE de Montmoreau, est également très boisée, contenant au nord la forêt de la Rochebeaucourt, partie de l’Horte. C’est dans la commune, au nord-ouest au-delà de l’ancien prieuré grandmontain du Rozet (12e s.), qu’a été aménagé par le botaniste Jean Aubouin, dès 1932, un arboretum de 10 ha avec parcours pédagogiques. Le petit village est au SE du finage, à la limite du département de la Dordogne, dans la vallée de la Nizonne qui borne le territoire au sud.

Édon (260 Édonais, 1 649 ha dont 595 de bois), 25 km NE de Montmoreau, est également bordé par la Nizonne et la limite départementale à l’est, mais le village est plus à l’ouest dans un vallon, près de la D938 qui traverse le finage; au sud, grotte de Gavechou au creux d’un méandre de la Nizonne.

Blanzaguet-Saint-Cybard (300 hab., 1 195 ha), 4 km au SE de Villebois et 21 km NE de Montmoreau, est traversée par le Voutron, qui conflue avec la Nizonne au SE en formant la Lizonne. Le village de Blanzaguet est sur la rive gauche du Voutron un peu avant le confluent, avec arboretum et château. Saint-Cybard est au NO sur le versant droit, mais n’a plus guère que son ancienne église classée, un bel édifice roman du 12e s. à haute nef et clocher carré. La commune a 80 hab. de plus qu’en 1999 (+36%).

Gurat (180 Guratois, 1 603 ha dont 401 de bois), 14 km ENE de Montmoreau, est à la limite départementale, dans la vallée de la Lizonne au confluent du Ronsenac et de la Nizonne; église monolithe creusée dans la paroi calcaire aux 11e-12e s. et site archéologique; carrière des Calcaires et Diorites du Moulin Roc (30 sal.) à l’ouest.

Vaux-Lavalette (100 hab., 678 ha) a quelques maisons sur une échine à 10 km ENE de Montmoreau, dominant le vallon du Rivallis qui conflue à l’est avec la Lizonne à la limite du département.

Salles-Lavalette (370 Sallesiens, 2 015 ha dont 342 de bois), 10 km à l’est de Montmoreau, a son village sur un petit éperon de confluence de vallons; son finage est bordé à l’est par la vallée de la Lizonne, à la limite de la Dordogne.

Juignac (400 Juignacais, 2 418 ha), 5 km SE de Montmoreau, a son village sur une échine, non loin de la D709 qui traverse toute la commune en courant sur une longue crête. Le finage est bordé à l’ouest par le cours de la Tude, que longe la voie ferrée d’Angoulême à Coutras. La population a baissé de 50 hab. depuis 1999.

Courgeac (200 Courgeacois, 1 642 ha dont 575 de bois), 5 km à l’ouest de Montmoreau, a un finage étiré dans le sens nord-sud.

Nonac (300 Nonacais, 2 084 ha dont 425 de bois), 8 km NO de Montmoreau, est traversée par la vallée de l’Arce; église classée du 12e s., château de la Léotardie (15e-18e).

Deviat (150 hab., 842 ha dont 325 de bois), 12 km ONO de Montmoreau dans le petit bassin du Margerac, affluent de l’Arce et barré de petits étangs; château (16e-18e) et étang de la Faye. La LGV traverse le finage juste à l’ouest du village.

Bessac (110 hab., 1 055 ha), 15 km ONO de Montmoreau, est une commune sans village, traversée au nord par l’Arce qui y reçoit le Margerac.

Poullignac (90 hab., 894 ha dont 195 de bois), 14 km à l’ouest de Montmoreau, est sur un petit promontoire dominant la vallée de la Gorre (affluent de la Maury), le long de laquelle s’étire le finage, traversé juste à l’est du petit village par la LGV.

Saint-Martial (140 hab., 931 ha dont 166 de bois), 8 km OSO de Montmoreau, domine la petite vallée de la Gaveronne, affluent de la Tude. Une queue du finage vers l’est atteint la D674 au hameau de Peudry, qui a une église classée du 11e s.

Le sud de la communauté est desservi par Chalais, dans un paysage de fortes collines, réputées pour la production du veau blanc de Chalais, nourri de lait et d’œufs.

Saint-Laurent-des-Combes (100 Saint-Laurentais, 767 ha), 12 km OSO de Montmoreau, est aux sources du Reteuil, affluent de la Tude.

Montboyer (380 hab., 2 679 ha dont 394 de bois), 10 km SSO de Montmoreau, a un finage étendu; le village est sur la D674 dans le vallon du Mardacon, qui rejoint la Tude à la pointe sud. La limite orientale du finage suit le cours de la Tude, tandis que la limite occidentale suit une longue crête. La commune a 40 hab. de moins qu’en 1999.

Châtignac (180 hab., 975 ha dont 178 de bois), 16 km OSO de Montmoreau, a son village perché sur une échine, au passage de la D70; église du 12e s.

Brie-sous-Chalais (160 hab., 1 034 ha dont 181 de bois), 17 km SO de Montmoreau, est sur une croupe entre la vallée de la Viveronne, qui borde le finage au sud, et celle de l’Auzance à l’est, les deux confluant à l’angle SE.

Bardenac (240 Bardenacais, 804 ha dont 205 de bois), 20 km SO de Montmoreau, a des allures de village perché, au-dessus des sources de l’Argentonne et de la D731. La Viveronne borde le finage au nord.

Curac (130 hab., 492 ha), 17 km SSO de Montmoreau, est au nord de Chalais; le petit village domine la vallée de la Viveronne.

Chalais (1 880 Chalaisiens, 1 758 ha) est un ancien chef-lieu de canton, 47 km au sud d’Angoulême et 17 km SSO de Montmoreau, dans la vallée de la Tude. Le bourg bénéficie du passage de la route et de la voie ferrée de Libourne à Angoulême, mais dans une contrée de marge boisée et passablement dépeuplée. Doté d’assez nombreux commerces, dont un Intermarché de 60 emplois, et d’un collège public, il conserve un gros château, refait aux 16e, 17e et 18e s. qui fut à la famille Talleyrand, et une église au portail roman à quatre voussures sculptées, ainsi qu’un beau cloître restauré d’un ancien prieuré (17e s.), et une église romane classée.

Le finage est étiré du nord au sud. Au nord, une puissante échine sépare les vallées de la Tude et de la Viveronne, traversée en tunnel par la D674 juste au nord du bourg. Celui-ci occupe le promontoire de confluence, qui porte le château. L’habitat s’est développé vers l’est sur la rive gauche de la Tude à la faveur de la gare. Chalais a gros marchés aux veaux du lundi, atelier de mobilier métallique ICT (30 sal.), Intermarché (50 sal.), magasin de bricolage Odrine (20 sal.). Un aérodrome (code LFIH) doté d’une piste en herbe de 850 m, avec aéroclub, est sur les basses collines à l’ouest, le long de la D20. La commune, qui n’avait que 850 hab. environ dans les années 1930, s’est agrandie en 1946 en absorbant Saint-Christophe (820 hab.), en 1972 avec Sainte-Marie (350 hab.) et Sérignac (300 hab.), passant ainsi successivement à 1 700 et 2 500 hab. en 1975; mais elle se dépeuple depuis et a encore perdu 220 hab. depuis 1999. Chalais est le bureau distributeur du nouveau canton Tude-et-Lavalette.

Yviers (510 hab., 2 256 ha dont 961 de bois), 4 km à l’ouest de Chalais au bord de l’Argentonne, a un centre d’aide par le travail. Le finage, très boisé à l’ouest, touche au sud à la limite du département.

Rioux-Martin (240 hab., 1 460 ha dont 606 de bois) est à 5 km SO de Chalais sur la rive droite de l’Argentonne, qui rejoint la Tude à la limite orientale du finage. Celui-ci est limitrophe de la Charente-Maritime au sud; étang de barrage de 14 ha au SO.

Médillac (160 Médillacais, 584 ha dont 261 de bois), 6 km SSO de Chalais, a un finage très étiré vers le sud le long de la Tude, puis de la Dronne, ce qui en fait la commune la plus méridionale de la Charente, à la limite de la Charente-Maritime et de la Dordogne à la fois. La voie ferrée passe par la vallée. Le village, tout au nord, est minuscule, mais avec une église classée du 12e s.; la mairie est plus au sud à Pont de Corps, où fut une gare.

Bazac (150 hab., 492 ha), 5 km au sud de Chalais, est sur le relief dominant la vallée de la Dronne; le finage est très étiré le long de la rivière, jusqu’au confluent de la Tude, et ainsi limitrophe de la Dordogne. La D674 l’emprunte à l’ouest.

Saint-Avit (210 Saint-Avitois, 366 ha), 4 km SSE de Chalais a un minuscule village au creux d’un petit relief à l’est du finage, et trois hameaux au nord (Godichaud), à l’ouest au bord de la Tude (le Bertaud) et au sud-ouest (le Grélis) au passage de la voie ferrée et de la D674.

Saint-Quentin-de-Chalais (270 Saint-Quentinois, 1 238 ha dont 234 de bois) est à 5 km SE de Chalais dans la vallée de la Rivaille; son finage va à la limite du département de la Dordogne, le long de la Dronne, au sud; église classée du 12e s.

Les Essards (200 Essartais, 898 ha dont 166 de bois), 9 km SE de Chalais ont leur village sur une butte et un finage borné au sud par le cours de la Dronne. La Beuronne s’encaisse à l’ouest et conflue avec la Dronne à l’angle SO.

Bonnes (420 Bonnois, 1 476 ha), 12 km ESE de Chalais, est sur la rive droite de la Dronne et son finage, limitrophe du département de la Dordogne, déborde largement à l’est sur la plaine de rive gauche (camping), tandis que sa moitié occidentale est dans les collines; église du 13e s., château du 17e; +80 hab. depuis 1999 (+24%).

Aubeterre-sur-Dronne (390 Aubeterriens, 239 ha), 12 km à l’est de Chalais 18 km SSE de Montmoreau au nord de Bonnes, est un ancien chef-lieu de canton, 47 km au SSE de la préfecture. Malgré son petit nombre d’habitants, le village s’est fait une réputation dans le monde du loisir et du tourisme, au point de figurer parmi les «plus beaux villages de France» et les «stations vertes de vacances». Ses maisons s’étagent au-dessus de la Dronne, entre un village haut et un village bas. On y voit la tour carrée de l’ancien château fort; une collégiale à façade romane du 12e s., dont le portail arbore cinq voussures sculptées, et qui a été restaurée en 1993; plus originale, une église creusée dans le rocher qui domine la vallée, sans doute dès le 8e siècle. Le village n’avait pas moins de trois couvents de minimes, clarisses et cordeliers, dont restent des traces. Il propose trois musées, de l’école publique, des papillons et des poupées, et une base nautique. Aubeterre honore par un buste l’avocat Ludovic Trarieux, né en 1840, député et sénateur de la Gironde, ministre de la Justice, défenseur de Zola et fondateur et premier président de la Ligue des Droits de l’homme et du citoyen en 1898 (mort en 1904). Le nom d’Aubeterre, a été allongé en 1962. Sa population déclinait continûment depuis les 850 hab. de 1886; pour la première fois depuis bien longtemps, la commune a repris une vingtaine d’habitants après 1999.

Laprade (250 hab., 1 017 ha) est à 2 km à l’est d’Aubeterre au pied du coteau droit de la Dronne à la limite du département. Son finage comprend au SE une bonne part de la plaine alluviale et s’étend un peu au nord dans les collines; installations thermiques Sweetcom (80 sal.).

Nabinaud (100 Nabinaldiens, 588 ha), 5 km ENE d’Aubeterre et 19 km SSE de Montmoreau, est également au bord de la Dronne, qui reçoit l’Auzonne au NE; petit parc de loisirs au bord de la rivière.

Saint-Romain (560 Rominois, 2 269 ha dont 464 de bois), 10 km à l’est de Chalais, est sur un bas plateau, boisé au NE.

Rouffiac (120 Rouffiacais, 989 ha dont 221 de bois), 4 km à l’est de Chalais, a un finage de collines vigoureuses.

Orival (160 Orivalais, 543 ha) est dans les collines 3 km à l’est de Chalais; la Tude, longée par la voie ferrée, borde le finage à l’ouest.

Courlac (53 Courlacois, 658 ha), 5 km NNE de Chalais, est un petit village sur le versant gauche de la Tude.

Bellon (170 Bellonnais, 913 ha) est à 7 km NE de Chalais dans un paysage de basses collines. Le finage est traversé par la voie ferrée et limité par la Tude au NO.

Bors (270 Borsois, 1 614 ha dont 452 de bois) est à 9 km SSE de Montmoreau; le village est sur une crête empruntée par la D10. Le finage est bordé par l’Auzonne à l’est, la Tude à l’ouest. Le nom de la commune, qui a un homonyme près de Baignes-Sainte-Radegonde, est souvent écrit Bors de Montmoreau. Le nom semble faire référence à des fontaines ou sources.

Pillac (270 Pillacois, 1 964 ha dont 370 de bois), 6 km NE d’Aubeterre, est dans une petite plaine; l’Auzonne limite le finage à l’est. Le golf d’Aubeterre est à l’angle SE.

Saint-Séverin (760 Saint-Séverinois, 1 493 ha), 16 km SE de Montmoreau à la limite de la Dordogne, domine le confluent de la Lizonne et de la Dronne, où la cartonnerie Ahlstrom (groupe finlandais) occupe 140 personnes. La commune conserve des restes d’anciens moulins à papier.

Montignac-le-Coq (140 hab., 1 020 ha), 12 km SE de Montmoreau, est sur la D709; près de la route au bord de l’Auzonne à l’ouest, fabrique de panneaux de bois Burguet (45 sal.) au Moulin des Rides.

Palluaud (240 hab., 857 ha), 14 km ESE de Montmoreau, est au bord de la vallée de la Nizonne, qui limite la commune et le département à l’est; viandes SACL (40 sal.); ovoproduits Lafaye (25 sal.). La population a diminué de 50 hab. depuis 1999.