Loudunais (communauté de communes du Pays)

'

Highslide JS

intercommunalité de la Vienne au nord-ouest, 45 communes, 24 400 hab. et 84 900 ha. Seule Loudun, qui en est le siège, dépasse 2 000 hab.

Chalais (530 Chalaisiens, 1 487 ha dont 183 de bois) est 4 km au sud de Loudun. Le village est minuscule, l’essentiel de l’habitat se partageant entre les cinq hameaux du rebord de plateau, Neriau au nord, Mazault, Nouzilly le principal, le Petit et le Grand Puy d’Ardanne au sud-est; église romane inscrite, moulin à vent protégé du Puy d’Ardanne sur un promontoire. La D347 traverse le finage. La population a diminué de 40 hab. depuis 1999.

La Roche-Rigault (580 hab., 2 564 ha dont 521 de bois), 10 km ESE de Loudun, résulte d’une fusion de 1972 entre les communes de Claunay-en-Loudun (Claunay jusqu’en 1967) au NE et Le Bouchet, petit hameau à l’orée des bois qui prolongent vers le nord la forêt de Scevolles; églises romanes du 12e s., classée à Claunay, inscrite au Bouchet, restes du château renaissance de la Chapelle-Bellouin (16e s.) au sud; parc d’«aventure scientifique» avec centre de séjour; dolmen de la Pierre Levée de Maison Neuve au SO; lycée professionnel rural privé. C’est le hameau principal, au centre près de l’ancienne gare, qui porte le nom de la Roche-Rigault et a reçu la mairie; plusieurs autres hameaux s’éparpillent, dont la Brandallière près de Claunay; voie verte sur l’ancienne voie ferrée.

Messemé (250 Messeméens, 984 ha dont 193 de bois) est au nord de Claunay, 6 km à l’est de Loudun sur la D661; hameaux de Villiers au NO et le Haut Messemé au SE, ancien château de la Motte avec un grand parc, au sud-ouest; élevages et silos à la Bruyère à l’ouest.

Ceaux-en-Loudun (580 Ceauxois, 2 889 ha dont 339 de bois), 12 km ENE de Loudun, disperse plusieurs hameaux sur son territoire très plat; château d’Artigny au NE, à la limite de l’Indre-et-Loire.

Sammarçolles (660 Sammarçollois, 2 122 ha dont 247 de bois), 6 km ENE de Loudun, est aussi limitrophe de l’Indre-et-Loire mais a un village plus étoffé, où se distingue le château de la Grande Jaille (17e-18e s.); préparation de viandes Bocage Restauration (25 sal.); hameaux d’Estrepieds et du Crué au NE. La limite occidentale de la commune suit le cours du Négron, affluent de la Vienne dirigé vers le nord, qui naît au SE de Loudun. La commune a gagné 140 hab. depuis 1999.

Beuxes (560 Beauxois, 1 119 ha dont 235 de bois) est à 12 km NE de Loudun au bord du Négron et à la limite de l’Indre-et-Loire: château au village, église du 12e s., 70 hab. de plus qu’en 1999. La voie ferrée vers Loudun et Thouars est maintenue pour le fret (silos) et la D759 de Chinon à Loudun traverse tout le finage; +70 hab. depuis 1999.

Basses (330 Bassésiens, 1 025 ha dont 155 de bois), 4 km NE de Loudun, longée à l’est par le Négron, a un habitat assez dispersé sur le plateau; D759 et voie ferrée de Beuxes.

Vézières (370 Véziérois, 2 631 ha dont 737 de bois), 9 km au nord de Loudun, limitrophe de l’Indre-et-Loire, contient une partie du grand bois de Villiers où se dresse la tour de Villiers-Boivin (14e au 16e s.). Au nord, hameau d’Artheay et château de Montpensier, du 15e s.; au NE, château de Chavenay. L’habitat est surtout de fermes dispersées; le village est à l’angle occidental du finage, tout près de Bournand.

Bournand (890 Bournandais, 3 242 ha dont 934 de bois), 8 km au nord de Loudun, a une église romane à beau portail, un château médiéval avec de beaux jardins, un camping. Au sud, châteaux de Verrière (14e au 16e s.) et de la commanderie de Moulins (13e et 15e s.), bois de la Grange et hameau d’Auton, un dolmen à la limite des Trois-Moutiers. Au SE est le hameau d’Épennes; au nord, allée couverte de la Pierre Folle et bois de Chalmont, petit hameau de Lambray, avec caves, sur le relief. La commune a gagné 240 hab. depuis 1999 (+37%).

Roiffé (770 Roifféens, 2 430 ha dont 818 de bois), 13 km au nord de Loudun, sur la D147, héberge une partie du camp militaire de Fontevraud; maçonnerie RMC (20 sal.), travaux publics RTL (25 sal.), hôtellerie GHR (25 sal.). Le nord du finage autour de Saint-Hilaire est accidenté, et limitrophe à la fois de l’Indre-et-Loire et du Maine-et-Loire, avec de nombreuses caves, la grosse coopérative de fruits et légumes du Lac Gouland sur la D147 et le château de la Roche Marteau (15e-16e). Le sud est boisé et abrite à l’orée des bois les châteaux de Rabaté et de la Tapotière. La Colonie de Saint-Hilaire fut ouverte en 1842 comme maison de redressement de mineurs, avec travaux agricoles, dépendance de la centrale pénitentiaire de Fontevraud puis autonome en 1860; elle occupa une centaine de jeunes sur un domaine de 400 ha, fut transformée en Maison d’éducation surveillée en 1927, puis en IPES (Institution publique d’éducation surveillée) jusqu’en 1974. Le golf de Loudun, avec hôtellerie, a occupé le site à partir de 1985; +100 hab. depuis 1999.

Saix (290 hab., 2 255 ha dont 385 de bois), 17 km NNO de Loudun, est à la fois la commune la plus septentrionale de la région et la plus viticole du département de la Vienne (137 ha de vignes), dans la mouvance de l’Anjou. Elle a 100 hab. de plus qu’en 1999 (+53%). Tout le nord, sur le relief, est dans le camp militaire de Fontevraud. Les vignes sont sur le rebord du plateau exposé au sud, avec les châteaus du Pas de Loup et d’Éterne, de nombreuses caves, le hameau de la Tourette et le site de la Guerche; église inscrite.

Raslay (130 Raslaysiens, 398 ha dont 156 de bois), 16 km NNO de Loudun, est une petite commune d’habitat dispersé et à demi boisée, traversée par le Martiel qui se mue en Petite Maine.

Morton (350 Mortonais, 799 ha dont 240 de bois), 15 km NNO de Loudun, est bornée au nord par le cours de la Petite Maine, et à l’ouest par la limite du Maine-et-Loire. À l’est, à moitié sur Les Trois-Moutiers, a été ouvert un Center Parc de 500 emplois dans 320 ha de forêt. La commune s’est accrue de 60 hab. depuis 1999.

Les Trois-Moutiers (1 110 Trimoustériens, 3 594 ha dont 1 031 de bois) est un ancien chef-lieu de canton, 9 km au NO de Loudun sur la N147; atelier de mécanique (M3M, 60 sal.), maison de retraite Korian (les Trois Chemins, 40 sal.). Il ne reste plus rien des trois monastères qui lui donnèrent son nom. À l’ouest du village et au sud-ouest sont les hameaux de Vaon et de Beaulieu, l’allée couverte de Vaon, le bois et le château de Lantray (1660, et 18e s.), un menhir (Pierre Levée de Courçu) dans les bois. Au sud-est, hameaux de la Fête, château et dolmen de la Roche Vernaize, gros hameau et dolmen de Bernazay, un moulin à vent protégé. Au nord sont les châteaux de Chantdoiseau (15e s.) et de la Mothe Chandeniers, celui-ci entouré de pièces d’eau et canaux dans la vallée du Martiel, affluent de la Dive. Le bois voisin au NO accueille la moitié du Center Park de Morton. La population communale a lentement et constamment diminué, des années 1830, où elle avait dépassé 1 500 hab., à 1982 (850 hab.); elle remonte un peu depuis (+60 hab. depuis 1999).

Saint-Léger-de-Montbrillais (360 Léodégariens, 1 040 ha), 16 km NO de Loudun, est limitrophe du Maine-et-Loire. Le village, tout au sud, en touré de vignes, a une église romane du 12e s. à chapiteaux. et un manoir dit Logis de Rouvray (16e s.). Il est doublé par les gros hameaux de Villeneuve et Montbrillais à l’est, Bessé à l’ouest. Au nord, près d’une ancienne gare, deux dolmens à la Fontaine de Son. La commune cultive 85 ha de vignes mais a perdu 60 hab. depuis 1999. Elle avalt 890 hab. en 1851 et se dépeuple depuis.

Pouançay (240 hab., 546 ha), 18 km NO de Loudun, se tient aussi parmi les vignes (40 ha) au SE de son finage. Au NO, hameau de la Motte Bourbon sur la D347 au passage de la Dive, dont la vallée fixe la limite occidentale de la commune (et de la région). Elle a 40 hab. de moins qu’en 1999.

Berrie (270 hab., 1 664 ha dont 256 de bois), 16 km ONO de Loudun, est aussi une commune en partie viticole (63 ha de vignes); château (13e-14e) au village, hameaux de Pouan et du Haut Nueil sur le relief parmi les vignes; ruines de prieuré (12e s.) au Bas Nueil au bord de la Dive, que suit la limite départementale à l’ouest, hameaux et château de Savoie au sud. La commune est limitrophe à la fois du Maine-et-Loire et des Deux-Sèvres.

Ternay (180 hab., 1 005 ha dont 273 de bois et 30 de vignes), 12 km ONO de Loudun, conserve le château de Bois-Freslon à l’orée des bois (16e s., à donjon). L’habitat est complété au nord par le hameau de Montjaugin, et au pied du relief par les alignements des Cavards Villon et des Caves Neuves, encadrant 60 ha de vignes. Grand bois de la Pique Noire à l’est, jardin botanique au village.

Curçay-sur-Dive (210 Cursayais, 1 579 ha dont 249 de bois) est 14 km à l’ouest de Loudun sur la route de Thouars, qui est à 12 km. Le village est sur le relief en promontoire et conserve un donjon rectangulaire, un manoir du 16e s., une église des 12e et 14e s. Un vieux pont sur la Dive ajoute au titre de «petite cité de caractère». Curçay produit des vins blancs, mais la commune n’a que 25 ha de vignes. Le finage dépasse nettement la Dive au sud-ouest, incluant la moitié du hameau de Limon.

Ranton (190 Rantonais, 607 ha) est à 11 km à l’ouest de Loudun, sur le rebord du plateau qui domine la vallée de la Dive; château féodal (14e-15e s.) à grande enceinte octogonale et douves, musée paysan de 18 salles dans une ferme du 19e s.; c’est également une «petite cité de caractère».

Glénouze (110 Glénouzéens, 965 ha dont 118 de bois) est 8 km OSO de Loudun, en tête d’un vallon creusant le rebord du plateau; le finage n’atteint pas la Dive; église; hameau de Mignac au nord, château de Jalnay à l’extrême NE.

Saint-Laon (130 Saint-Laonnais, 1 193 ha), 9 km OSO de Loudun, est dans la plaine de la Dive, mais le finage monte à l’est sur le relief; dolmen de la Pierre de Verre au NO. La D759 frôle le village et traverse la Dive à la limite de Pas-de-Jeu (Deux-Sèvres). Le finage s’étend assez loin vers le sud-ouest sur le bas plateau, où s’isolent deux dolmens dans les champs, dits Petite et Grande Pierre Levée: il est traversé par la voie ferrée de Loudun à Thouars.

Mouterre-Silly (680 Mouterrois, 3 089 ha), 6 km au SO de Loudun, associe trois villages, Mouterre, Silly et Chasseignes réunis en 1845. On y voit les châteaux de la Bâtie (17e s., au nord) et de la Fuye (éléments du 16e s., à Chasseignes); église classée (11e-12e) à Chasseigne, église inscrite (13e s.) à Mouterre. Le finage s’étend largement au nord, englobant plusieurs hameaux, dont le Grand Islay, Germier, Baussay; château de Nué à la limite ouest, quelques grosses fermes.

Arçay (370 Arçois, 1 405 ha), 9 km SO de Loudun, est tout au nord de son finage, où fut une bifurcation ferroviaire; deux dolmens (de Briande) et un tumulus au sud, non loin du hameau de Chassigny. Le finage atteint la vallée de la Dive et la limite départementale au SO.

Moncontour (1 000 Moncontourois, 4 106 ha dont 365 de bois) est un ancien chef-lieu de canton du département de la Vienne dans l’arrondissement de Châtellerault, 47 km au NO de Poitiers au bord de la Dive, 18 km au SO de Loudun, en limite de département. Le village se signale de loin par un gros donjon carré de 26 m de haut, datant du 12e s. La commune a aménagé dans la plaine humide de la Dive une base de loisirs de 25 ha avec un plan d’eau de 10 ha et un village de vacances communal, un sentier des Lavoirs; maison de retraite (Résidence du Lac, 25 sal.), quelques ateliers dont Siam, matériel agricole (30 sal.) et la métallerie DC (groupe Roland, 55 sal.).

Moncontour englobe dans son finage une enclave méridionale traversée par la Dive, qui comprend les hameaux d’Airon, Jay et Saint-Chartres, 5 km au sud, et dont elle est séparée par la commune de Marnes (Deux-Sèvres). Cette enclave correspond à l’ancienne commune de Saint-Chartres, intégrée par fusion en 1972 en même temps qu’Ouzilly-Vignolles au nord-est du chef-lieu, et Messais au sud-est. Ouzilly, 3 km au nord de Moncontour, conserve un ensemble maisons à murs de terre, et en a fait un musée (Terra Villa). La population de Moncontour était ainsi passée de 540 hab. en 1968 à 1 060 en 1975, mais elle a stagné depuis.

La Grimaudière (400 Grimaudiens, 1909 ha) est au bord de la Dive à 8 km SSE de Moncontour; église classée du 12e s., négoce de matériel agricole Auriau (30 sal.); la commune s’est agrandie en 1972 en intégrant Notre-Dame-d’Or au nord et Verger-sur-Dive au sud-est, près de Mazeuil.

Craon (190 Craonnais, 2 158 ha) est plus au sud sur le plateau, 13 km à l’ouest de Mirebeau; église inscrite, petits hameaux de la Lande et l’Abbaye au sud-ouest, Vieillemont au nord-ouest. Craon et La Grimaudière sont limitrophes des Deux-Sèvres.

Mazeuil (260 Mazeuillais, 1 363 ha) est sur la Dive en amont, 4 km au SE de La Grimaudière et 5 km au sud de Saint-Jean-de-Sauves, avec aussi une église classée du 12e s.

Saint-Jean-de-Sauves (1 410 Clémentins, 5 658 ha), 10 km au SE de Moncontour et 21 km au sud de Loudun dans la petite vallée du Prepson, affluent local de la Dive, qui conflue avec elle à Moncontour, est un village-centre avec des commerces, un collège public, une collégiale du 13e s. et un pôle culturel comportant un petit musée archéologique. Celui-ci est issu des découvertes d’un site gallo-romain local avec théâtre, thermes et fondations, mais dont il reste peu de chose. La commune s’était agrandie en intégrant en 1845 Saint-Aubin-du-Dolet, au nord; elle a fusionné en 1972 avec Frontenay-sur-Dive, à l’ouest, qui lui a apporté près de 400 hab.; mais la population a diminué ensuite; le maximum de 1861 (1 530 hab.) n’a jamais été retrouvé. Toutefois, la commune a regagné 70 hab. depuis 1999.

La Chaussée (190 Chausséens, 1 358 ha dont 367 de bois), 11 km à l’est de Moncontour, 17 km au sud de Loudun près de l’ancienne voie romaine venant de Poitiers, qui lui a donné son nom, affiche un musée-maison de l’Acadie, créé en 1984, qui rappelle l’exil d’habitants du Loudunais vers le Canada au 17e siècle; aux environs, château de la Bonnetière (15e-18e s.). Le finage mord sur la forêt de Scevolles à l’est, où il est borné par la route rectiligne D 347 de Poitiers à Saumur.

Saint-Clair (210 Saint-Clairois, 1 067 ha) est un village à mi-distance de Moncontour et de La Chaussée, 7 km à l’est de Moncontour.

Aulnay (100 Aulnois, 801 ha), 13 km au sud de Loudun, a 40 hab. de moins qu’en 1999.

Martaizé (390 Martéziens, 1 948 ha), 13 km SSO de Loudun, s’orne du beau château de Sautonne (17e s.); camping.

Angliers (650 Anglésiens, 2 331 ha dont 402 de bois), sur la N 147 à 8 km SSE de Loudun, accueille le siège de la société de coiffure à domicile Viadom (ex-Bosc), qui emploie 100 personnes. Saint-Cassien est un gros hameau à l’ouest du village, marqué par un donjon (14e s.). La forêt de Scevolles commence au sud du fiinage.

Guesnes (240 Guesnois, 1 298 ha dont 836 de bois), 14 km SE de Loudun au bord de la Briande, a dans la forêt de Scevolles un parc de loisirs et, isolé, le château de la Guérinière (19e s.).

Verrue (400 Verrucois, 2 844 ha dont 1 121 de bois), 21 km SSE de Loudun, détient une autre grande partie de la forêt de Scevolles et le château de Purnon (18e au 20e s.).

Saires (140 Sairois, 1 405 ha dont 357 de bois), 22 km SE de Loudun, est à l’extrémité orientale de la forêt de Scevolles et à la source de la Briande; voie verte; hameau de Vayolles à la limite nord, avec manoir de Vayolles (15e s.).

Monts-sur-Guesnes (840 Montois, 1 140 ha dont 417 de bois) est un ancien chef-lieu de canton dans l’arrondissement de Châtellerault, 30 km ONO de la ville, à 15 km SE de Loudun; curieux château renaissance avec une tour du 15e s., maison de retraite médicale des Scevolles (50 sal.). La population communale fut de 970 hab. en 1881 pûis a baissé; mais elle a augmenté de 180 hab. depuis 1999 (+26%). La culture du melon a, dans tout l’est du Loudunais, pris une grande importance, comme en Richelais.

Berthegon (310 Berthegonais, 1 061 ha dont 242 de bois) est à 19 km SE de Loudun; voie verte, quelques bois à l’est.

Prinçay (220 Princéens, 1 659 ha dont 245 de bois), 4 km ENE du chef-lieu, s’orne au nord du beau château de la Roche du Maine, de la première renaissance (1520), avec tours rondes et force mâchicoulis, très bien restauré; et, au sud, du château de Richemont, assorti d’un grand parc; église inscrite des 12e et 15e s. La vallée du Mable est flanquée de bois. Prinçay a gagné 40 hab. entre 1999 et 2008.

Dercé (160 Dercéens, 1 228 ha) est 14 km ESE de Loudun, au nord de Monts-sur-Guesnes. Son finage est très étiré du sud-ouest au nord-est et d’habitat très dispersé, en plusieurs hameaux et châteaux; église romane (inscrite) des 12e et 16e s. Au sud-ouest, le finage atteint la vallée de la Briande dans une partie boisée et traversée par une «coulée verte» qui suit le tracé d’une anciennee voie ferrée de Châtellerault à Loudun.

Maulay (190 Maulaisiens, 2 301 ha dont 368 de bois) est à 12 km ESE de Loudun, au bord du Maine, mais son finage s’étire vers le sud-ouest jusqu’à atteindre la vallée de la Briande et se partage ainsi entre le bassin du Thouet et celui de la Vienne.

Nueil-sous-Faye (220 hab., 1 599 ha dont 275 de bois), 17 km ESE de Loudun, limitrophe de l’Indre-et-Loire, comprend le gros hameau de Neuville et le château de Jaillet au sud, le château de la Maurinerie au nord-est (19e s.), près du le confluent du Mable et de son petit affluent de gauche le Maine.

Pouant (420 Pouantais, 2 657 ha dont 261 de bois), 15 km à l’est de Loudun, 4 km à l’ouest de Richelieu, est limitrophe de l’Indre-et-Loire; elle a perdu 100 hab. depuis 1999.