Pré-Bocage Intercom

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communauté de communes à l’ouest du Calvados, associant 27 communes et 24 800 hab. sur 41 700 ha. Les Monts d’Aunay (siège), Caumont-sur-Aure, Val d’Arry et Villers-Bocage ont plus de 2 000 hab.

Bonnemaison (410 Bonnemaisonais, 840 ha), 4 km ESE d’Aunay, a un petit village sur le plateau. Le finage atteint au sud-ouest et au sud-est les reliefs boisés de la forêt de Valcongrain; la Douvette y a sa source; +80 hab. depuis 1999.

Courvaudon (240 Courvaudonais, 953 ha) est à 5 km ENE d’Aunay, sans village.

Malherbe-sur-Ajon (560 hab., 1 177 ha), 10 km NE d’Aunay, est une commune nouvelle créée en 2016 par fusion. Banneville-sur-Ajon (440 Bannevillais, 563 ha) a un village au nord-est, et propose un musée de peinture «Toiles et cadres» dans une chapelle du 13e s. où se tiennent expositions et animations; la population a augmenté de 160 hab. (+40%) depuis 1999. Saint-Agnan-le-Malherbe (120 hab., 614 ha) s’étire au sud de la précédente, sans village; son finage atteint au SO le cours de la Douvette.

Maisoncelles-sur-Ajon (200 Maisoncellois, 424 ha) est à 11 km NE d’Aunay. L’Ajon encaissé traverse le finage. La mention sur-Ajon est ancienne.

Landes-sur-Ajon (420 Landais, 600 ha), 10 km NNE d’Aunay, a son village au nord de Banneville; l’Ajon traverse le finage à l’est. La commune n’avait que 250 hab. en 1999 (+68%). Sur-Ajon a été ajouté en 1950.

Monts-en-Bessin (420 hab., 716 ha), 5 km NE de Villers-Bocage, se nommait seulement Monts avant 1954. Elle a un petit village et trois châteaux, dont à l’ouest le château de Monts (18e s.); l’A84 la frôle au sud.

Villy-Bocage (820 Villyssois, 1 139 ha), 3 km au nord de Villers-Bocage, a village et château sur la D6. La Seulline limite le finage à l’ouest en passant au petit hameau avec menhir de Pierrelaye (Pierre Lée), et conflue peu après avec la Seulles; hameau des Landes de Montbrocq au sud-est, frôlé par l’A84. La population a augmenté de 190 hab. (+30%) depuis 1999. La mention Bocage existait en 1790.

Parfouru-sur-Odon (210 Parfourutins, 365 ha), 4 km ENE de Villers-Bocage, a son finage limité au nord par le tracé de la D675 ex-N175. Le village est au centre, sur le versant gauche de l’Odon; +70 hab. (+50%) depuis 1999.

Épinay-sur-Odon (640 Épinois, 1 158 ha), 4 km à l’est de Villers-Bocage, jouxte Villers au SE et a plusieurs hameaux, +100 hab. depuis 1999.

Le Mesnil-au-Grain (77 hab., 430 ha), 5 km NE d’Aunay, est traversée par la Douvette et envoie une queue vers le SO jusqu’à l’Odon.

Longvillers (360 Longvillois, 665 ha), 6 km SSE de Villers-Bocage, 4 km au nord d’Aunay, a son village au NE du finage sur le versant gauche de l’Odon.

Maisoncelles-Pelvey (270 hab., 540 ha), 3 km SSO de Villers-Bocage, a un petit village. L’A84 traverse le nord du finage, avec un échangeur à la limite de Villers-Bocage au NE; tout au nord sur la D675, hameau de la Poste. La Seulline traverse le finage au nord-ouest; +40 hab. depuis 1999.

Tracy-Bocage (310 hab., 524 ha), 3 km OSO de Villers-Bocage, est longée au sud par la D675, à l’est par le cours de la Seulline.

Saint-Louet-sur-Seulles (150 hab., 433 ha), 3 km NNO de Villers-Bocage, se tient sur la large colline de l’interfluve entre Seulles à l’ouest et Seulline à l’est, qui confluent à la pointe NE du finage. Le petit village est proche de la Seulline, doublé par le hameau du Haut de Saint-Louet sur le relief.

Amayé-sur-Seulles (230 Amayéens, 562 ha), 5 km à l’ouest de Villers-Bocage, est traversée au nord par la Seulles et a plusieurs hameaux; +60 hab. depuis 1999.

Aurseulles (1 970 hab., 4 600 ha dont 345 de bois), au nord-ouest de Villers-Bocage, est une commune nouvelle, créée en 2017 par la réunion de quatre anciennes communes. Le nom est une combinaison de ceux des deux rivières principales, l’Aure au nord et la Seulles au sud. Anctoville (1 100 Anctovillais, 1 748 ha), dont le village est sur la rive gauche de la Seulles, avait déjà été agrandie en 1973 par l’absorption de Feuguerolles-sur-Seulles (170 hab.), Orbois (130) et Sermentot (340), toutes trois à l’est. Saint-Germain-d’Ectot (290 hab., 497 ha) est juste au nord d’Anctoville. Longraye (240 hab., 659 ha) est à 7 km NNE d’Anctoville dans un vallon affluent de l’Aure. Torteval-Quesnay (330 hab., 1 696 ha dont 248 de bois), au NO, résultait elle-même d’une fusion de 1974 entre Torteville et Quesnay-Guesnon; il reste un témoin de la Baronnie de Torteval au sud, non loin d’Ectot, et tout au nord le grand bois du Quesnay, qui ferme le finage de la commune nouvelle le long de l’Aurette. L’ensemble a 200 hab. de plus qu’en 1999.

Val-de-Drôme (860 hab., 2 762 ha), 14 km à l’ouest de Villers-Bocage, 17 km ONO d’Aunay et au sud-ouest de Caumont-sur-Aure, est une autre commune nouvelle de 2017, limitrophe de la Manche. Sept-Vents (450 Sept-Ventais, 1 252 ha) est à l’angle NE, avec un village à 2 km SO de Caumont. La Lande-sur-Drôme (68 hab., 157 ha) est au bord de la Drôme et de la limite du département sur la D9, 6 km OSO de Caumont. Dampierre (130 Dampierrais, 526 ha), au sud-ouest, a un habitat plus dispersé, en partie au sud de la Drôme. Saint-Jean-des-Essartiers (210 Essartais, 827 ha) a son village à 5 km SSO de Sept-Vents, 3 km à l’est de Dampierre. Le finage envoie vers le SE une queue entre les finages de Cahagnes et des Loges, qui atteint le cours de la Seullette et contient une aire de repos sur l’A84. L’ensemble a 130 hab. de plus qu’en 1999.

Les Loges (130 Logeais, 446 ha), 15 km OSO de Villers-Bocage, est une petite commune ayant résisté aux fusions et enclavée par les nouveaux territoires de Val-de-Drôme et de Souleuvre-en-Bocage. L’A84 traverse le finage (sans accès).

Cahagnes (1 420 Cahagnais, 2 435 ha), 10 km OSO de Villers-Bocage, a un assez gros village qui conserve quelques commerces. Elle a eu 2 000 hab. au début du 19e siècle, s’est dépeuplée jusque vers 1920, et a gagné 340 hab. depuis 1999. À l’ouest se tient le château d’Aubigny (17e s.), orné d’une pièce d’eau. La Seullette passe au sud du village et conflue à l’est avec la Seulles, qui offre un petit étang avec parc de loisirs et camping près du hameau de Craham. L’A84 traverse le sud du finage (sans accès) près du hameau de Benneville, qui est desservi par la D675. La commune a une enclave allongée de 135 ha au sud, sur le versant droit de la Seullette, qui porte une moitié de l’aire de repos de l’A84.

Saint-Pierre-du-Fresne (200 hab., 343 ha), 13 km SO de Villers-Bocage, est une petite commune au sud de Cahagnes, traversée par la D675 et dans le haut bassin de la Seulles.

Seulline (1 350 hab., 2 782 ha dont 300 de bois), 7 km SO de Villers-Bocage, 5 km NO d’Aunay, est une commune nouvelle de 2016, née de la fusion de trois communes. Saint-Georges-d’Aunay (730 Saint-Georgeais, 2 351 ha dont 296 de bois) est la principale, au NE. Coulvain (400 Coulvinois, 431 ha) est au nord-ouest, La Bigne (210 Bignetons, 385 ha) au sud-ouest, sans vrais villages. Au nord, le nouveau finage est traversé par l’A48, la D675 et la D577 associées par un double échangeur. Le hameau de la Blanche Maison y est plus peuplé que celui de Coulvain. La Seulline, qui a donné son nom à la commune nouvelle, a ses sources à l’ouest, entre Coulvain et La Bigne. L’Odon traverse le sud du finage, que borde le bois de Buron, sur un escarpement de faille du massif ancien. L’ensemble a 220 hab. de plus qu’en 1999.

Dialan-sur-Chaîne (1 090 hab., 2 193 ha dont 250 de bois), 11 km SO de Villers-Bocage et 10 km à l’ouest d’Aunay, est une commune nouvelle créée en 2017 par la fusion de deux communes, Jurques et Le Mesnil-Auzouf. Le nom est celui d’un bloc de quartzite nommé la Pierre Dialan, tout au sud, aux confins des deux communes, sur le versant du ruisseau de la Chaîne qui conflue peu après avec l’Odon à l’angle SE du finage. Jurques (710 Jurquois, 1 269 ha dont 220 de bois), 9 km à l’ouest d’Aunay sur la route de Caen à Vire (D577), contient les proches sources de l’Odon et de la Seulles, sur un petit massif de quartzites prolongeant les reliefs du mont Pinçon et qui domine la campagne d’Aunay par un talus rectiligne de 150 m. La commune, qui a gagné 150 hab. depuis 1999, propose un parc zoologique (20 salariés) dans les bois au sud-ouest; on y a exploité du fer. Le Mesnil-Auzouf (380 hab., 924 ha) est au sud de Jurques sur la D577, qui contourne le village, et n’est rattachée à Jurques que par un étroit pédoncule (240 m) sur le cours de la Chaîne. Sa population a augmenté de 130 hab. depuis 1999.

Brémoy (230 Brémontois, 1 250 ha dont 221 de bois), 15 km SO de Villers-Bocage et autant OSO d’Aunay, dessine une avancée dans le territoire de Souleure-en-Bocage; le relief monte à 357 m au nord sur la barre de quartzites, dans le bois de Brimbois.