Saint-Léger-de-Linières

(3 540 hab., 2 408 ha dont 692 de bois) est une commune nouvelle du Maine-et-Loire, créée en 2019 par la fusion de de Saint-Jean-de-Linières et Saint-Léger-des-Bois, dans l’agglomération d’Angers-Loire.

Saint-Jean-de-Linières (1 850 Liniérois, 866 ha dont 192 de bois) est à 8 km OSO d’Angers, traversée par l’A11 (gros échangeur à péage de Troussebouc avec D963 Voie de la Liberté), à la bifurcation des voies vers Nantes (D723 ex-N23) et vers Châteaubriant (D963). Cette position a commencé à être exploitée par les commerces et l’industrie, avec un centre Leclerc (75 sal.), les cars ANO (Adiate, 170 sal.), un centre d’exploitation d’autoroutes (Cofiroute, 50 sal.), un transporteur (La Versaillaise, 35 sal.), travaux publics Razel Bec (25 sal.), Sogea (20 sal.), traitement des eaux Saur (50 sal.). Elle contient à l’ouest un bois (Forêt de Linières) largement approprié par l’armée. Elle a gagné 420 hab. depuis 1999.

Saint-Léger-des-Bois (1 760 Légérois, 1 542 ha dont 500 de bois), est 13 km à l’ouest d’Angers. Le village est à la source de la Coudre, qui coule vers l’ouest en direction de la Romme; il s’est entouré de lotissements, et s’accompagne au NO du hameau des Essarts. Le finage englobe une grande part de la forêt de Bécon, avec son Grand Étang et l’Étang Neuf, le château de Bergère à l’orée nord. L’A11 court le long de la limite sud et est de la commune; transports Hunault (45 sal.), nettoyage APN (30 sal.), comptabilité Sogec (20 sal.). La population a gagné 400 hab. depuis 1999.