Communauté d’agglomération ECLA (Espace Communautaire Lons Agglomération)

Lons Agglomération (Espace communautaire)

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est une communauté d’agglomération du Jura, associant 32 communes, 34 400 hab. sur 19 670 ha. Le siège est à Lons-le-Saunier, seule commune de plus de 2 000 hab. avec Montmorot.

Saint-Didier (280 San-Desiderois, 302 ha), 7 km NO de Lons-le-Saunier, a son petit finage sur une colline, dominée à l’est par les deux buttes successives du Mont Jevaux et du Montarbey, et prolongée vers l’ouest par une queue qui coupe en deux le Bois de Ruffey et le finage méridional de Ruffey-sur-Seille (Bresse-Haute-Seille).

L’Étoile (580 Stelliens, 613 ha dont 58 de vignes, 132 de bois), 6 km au NNO de Lons, étale ses maisons dans un petit bassin de confluences entre le Mont Genezet à l’est (424 m) et la butte du Château (368 m) à l’ouest. Elle est connue par son AOC viticole particulière, limitée à une soixantaine d’hectares et 3 communes, en vins blancs issus de chardonnay et savagnin (4 500 hl/an); on en tire également des mousseux. Le château de Persange au SO (19e) est à la limite de Saint-Didier. La D1083 et le ruisseau de la Madeleine traversent le finage au sud.

Villeneuve-sous-Pymont (300 hab., 267 ha), 3 km au nord de Lons-le-Saunier, a son petit village en deux hameaux au pied d’une butte montant à 344 m, le hameau de Feschaux (ancienne commune réunie en 1812) au NE sur la D1038, et quelques maisons sur le versant sud du Pymont (390 m) qui domine la ville de Lons, avec un château ruiné et un site aménagé; +80 hab. depuis 1999.

Chille (310 Chillois, 196 ha), 3 km au NE de Lons, se tient sur une double butte en avant du Revermont; +40 hab. après 1999.

Le Pin (260 Pinois, 282 ha), 4 km NNE de Lons-le-Saunier, a un château médiéval des 13e et 15e s. à grosse tour carrée, qui gardait la route du sel sur les collines d’avant-monts.

Pannessières (500 Pannessièrois, 535 ha dont 185 de bois, 6 km NE de Lons-le-Saunier, a son village juste au pied du Revermont, étagé aux abords d’un grand virage de la D471; arboretum, sites de vol libre et d’escalade sur la Côte au nord (527 m), bois de Rosnay sur le plateau. Le hameau de la Liesme s’ajoute à l’ouest dans la plaine au passage de la voie ferrée.

Baume-les-Messieurs (170 Baumois, 1 309 ha dont 767 de bois et 15 de vignes), 13 km NE de Lons-le-Saunier, a le site le plus connu, au fond d’une reculée du Jura. Il fut celui d’une abbaye, située à la confluence des trois branches de la reculée, dont sort la Seille. La plus longue, où coule le Dard, affluent de la Seille qui naît dans la reculée centrale, vient du cirque de la Baume, dominé par le belvédère des Roches de Baume et enrichi de la grotte de la Baume, qui offre 500 m de galeries aménagées. Le village, à côté de l’abbaye, est classé «petite cité comtoise de caractère»; musée ethnologique départemental. Juste au-dessus, la corniche du plateau a le site d’escalade des Échelles de Sermu, Sermu étant un hameau du plateau un peu plus au sud, issu d’une commune absorbée en1821; camping au bord de la Seille à l’aval. La mention les-Messieurs est de 1968, inspirée par Baume-les-Dames.

Perrigny (1 570 Perrignois dont 65 à part, 889 ha dont 583 de bois), juste à l’est de Lons-le-Saunie, est au pied du plateau du Jura, entièrement boisé dans la commune. La D678 longe le finage au SO, en suivant le cours de la Vallière, la D471 sert d’axe au NO en longeant un parc de loisirs et une grande zone d’activités qui double celle de Lons. Perrigny a un château du 15e s., une église inscrite, également du 15e s., un musée de véhicules anciens. La commune abrite deux instituts médico-éducatifs, plusieurs établissements industriels dont une usine SKF de roulements pour avions (350 sal.), ainsi qu’une série d’activités de banlieue: supermarché Carrefour (40 sal.), viandes La Comtoise (45 sal.); plusieurs garage et négoces dont un de vins (Jura Boissons, 30 sal.); transports Bouquerod (60 sal.); La Poste (160 sal.). Perrigny a connu une sensible croissance de banlieue: 710 hab. en 1911, 1 200 en 1962, 1 600 en 1975; toutefois, la population n’augmente plus, et a même perdu 170 hab. depuis 1999.

Montaigu (490 Montacutains, 710 ha dont 144 de bois), 3 km SE de Lons-le-Saunier, à l’ouest de Perrigny, a son village juché sur une étroite crête dominant Lons-le-Saunier et Perrigny. La commune a quelques vignes (15 ha) et un institut médico-éducatif. C’est le pays de la famille de Rouget de l’Isle, dont on peut encore voir la maison. Au village s’ajoutent le hameau de Vatagna tout à l’est aux abords de la Vallière, et un lotissement nouveau Sur les Monts au SE. La population a diminué de 110 hab. depuis 1999.

Conliège (700 Conliégeois, 605 ha dont 255 de bois), 5 km SE de Lons, est un ancien chef-lieu de canton dans la reculée de Revigny où son habitat est partagé entre la vallée de la Vallière et un axe orthogonal dans une reculée annexe à l’est, dont les hauts versants se signalent par des fontaines et la source de la Diane, le promontoire du camp de Coldre et de l’Ermitage au-dessus du village, le belvédère des Tilleuls au SE, ainsi que par les restes d’une ancienne voie ferrée héroïque, dont le viaduc de Vertancul au nord-est, le tunnel dit des Cent Marches au sud-est et la galerie du Faîte sur le plateau à l’est. Le finage a une large extension sur le plateau à l’est et au SE, dominant Revigny. La population diminue depuis 1968 (970 hab.) et avait atteint 1 400 hab. en 1881. Elle a baissé de 50 hab. après 1999.

Briod (210 Brioulais, 404 ha), 7 km ESE de Lons-le-Saunier, est une commune du plateau à l’est de Conliège, avec un village à 535 m et un appendice contenant le promontoire de Coldre au-dessus de Conliège; carrières au SE; +40 hab. après 1999.

Vevy (290 Vivissois, 962 ha dont 398 de bois), 9 km ESE de Lons-le-Saunier sur le plateau à 520 m, a une fromagerie (Monts et terroirs (140 sal.), de nombreux murgers et anciennes cabanes de bergers. Le finage est boisé à l’est et au sud.

Verges (200 Vergeois, 616 ha dont 302 de bois), 10 km ESE de Lons-le-Saunier, est à 515 m et s’est augmentée d’un lotissement. Le finage est fermé à l’est par les hauteurs de la Côte de Thorne (613 m).

Publy (290 Publicains, 1 518 ha dont 546 de bois), 12 km SE de Lons-le-Saunier, est sur le plateau à 530 m. Un château du 18e s. À l’est, son finage domine le pays de Clairvaux par le puissant pli de la Grande Côte, qui prolonge au sud la Côte d’Heute, monte à 646 m, porte les ruines des châteaux de Beauregard au sud et de Binans au nord (restes des 12e-13e s.), et au bas duquel se tapit le hameau de Binans, issu d’une commune réunie en 1824.

Revigny (260 Revignois, 651 ha dont 315 de bois), 7 km SE de Lons-le-Saunier, est un petit village de fond de culée en amont de Conliège; il abrite un institut de rééducation d’enfants handicapés. Le Creux de Revigny est un diverticule spectaculaire de la reculée à l’est, dominé par le belvédère de la Guillotine, et par lequel montait la voie ferrée. L’autre diverticule, au sud, d’où sort le ruisseau de la Vallière, est moins accessible; le Retour de la Chasse est un petit hameau du plateau juste au sud, où la commune s’étend assez largement sur le plateau en partie boisé.

Vernantois (340 Vernantoisiens, 699 ha dont 134 de bois), 7 km au SSE de la préfecture, est un autre village en fond de reculée à la source de la Sorne; église inscrite du 13e s., château du Diable (16e et 18e s.); golf avec hôtellerie (Val de Sorne, 30 sal.) au nord. Le finage envoie une queue sur le plateau au sud. La population a augmenté de 60 hab. depuis 1999.

Moiron (140 Moironnais, 185 ha), 5 km SSE de Lons-le-Saunier, est une très petite commune, bordée au nord par le cours de la Sorne; le village est sur le versant de la vallée et a une petite fraction de plateau au sud.

Macornay (1 010 Macorneusiens, 460 ha), 4 km SSO de Lons, est au confluent de la Sorne et du Savignard qui vient du sud. La grotte de Gravelle s’ouvre un peu au sud du village au-dessus du hameau de ce nom. Au nord, le finage s’étend sur le relief de la Côte de Mancy, dotée d’une réserve naturelle de 380 ha partagée avec Lons, et de sites d’escalade. La commune a 100 hab. de plus qu’en 1999; constructions Caniotti (30 sal.) et Roch (30 sal.).

Bornay (180 hab., 676 ha dont 171 de bois), 9 km au sud de Lons-le-Saunier, est sur le plateau à 495 m, dominant une étroite reculée à l’ouest.

Geruge (180 Gerugeois, 436 ha), 7 km SSO de Lons-le-Saunier, est sur le plateau à 440 m.

Courbouzon (600 Courbouzonais, 335 ha), 5 km SO de Lons-le-Saunier, est au pied du plateau dans la vallée de la Sorne, rive gauche. Son habitat s’étend vers le nord sur la route de Lons. Au nord, la butte du plateau de Montciel est partagée avec Lons et Montmorot; fabrique de matériel agricole (Kiva, 25 sal.).

Messia-sur-Sorne (860 Messornais, 269 ha), 4 km au SO de Lons-le-Saunier, entre les deux branches de la D1083, longée à l’est par la voie ferrée et traversée au sud par la Sorne; elle atteint la Vallière au nord. L’habitat s’est diffusé dans la plaine et sur les basses pentes occidentales de la grosse butte du Tartre (356 m). La commune a une entreprise de travaux publics (Colas, 100 sal.) et une fabrique de bouchons et capsules plastiques (United Caps, 120 sal.). Elle a complété son nom en 1962. Sa population a crû après 1950 (460 hab.) mais peu depuis 1999. La mention sur-Sorne a été ajoutée en 1962.

Chilly-le-Vignoble (690 Chillois, 307 ha),6 km SO de Lons-le-Saunier, se tient également entre Sorne et Vallière, avec un habitat augmenté de lotissements de banlieue. Sa population fut de 400 hab. dans la seconde moitié du 19e siècle, 220 vers 1930 et croît depuis, gagnant 280 hab. depuis 1999 (+68%). Elle n’a plus de vigne.

Frébuans (380 Frébuanais, 265 ha), 8 km OSO de Lons-le-Saunier, est dans la plaine sur la rive gauche de la Sorne, qui borde son finage au nord; travaux publics et transports Roux (75 sal.). La commune avait été réunie à Chilly-le-Vignoble de 1822 à 1839.

Gevingey (550 Gevingeois, 590 ha), 8 km SO de Lons-le-Saunier, est un village du vignoble au pied du Revermont, dont le finage se partage entre plaine au NO et reliefs au SE; il ne cultive que 26 ha de vignes mais il abrite un centre de formation d’apprentis agricoles (Cerfa) avec internat, et deux châteaux, l’un du 17e s., l’autre des 18e-19e s.; le premier est utilisé comme maison de vacances par le comité d’entreprise du groupe bancaire CIC. La D1083 et la voie ferrée traversent le finage à l’ouest.

Cesancey (400 Cesançois, 512 ha), 10 km SO de Lons-le-Saunier, est juste au sud de Gevingey au pied du relief; +60 hab. depuis 1999.

Trenal (470 Trénaliensn, 954 ha), 10 km OSO de Lons-le-Saunier, est une commune de plaine, dont le finage est limité au NO par le cours de la Sorne. Le village est appuyé par le hameau de Beyne à l’est, ancienne commune de Beyne-Saint-Georges réunie en 1822, celui de Mallerey (70 hab., 290 ha) au sud-ouest, réuni en 2017.

Condamine (280 hab., 365 ha), 11 km OSO de Lons-le-Saunier, a son village sur le bas versant droit de la Vallière, que vient de rejoindre la Sorne; son finage est limité à l’est par le cours de la Dérobe, qui coule parallèlement à la Vallière et dérive de la Sorne; +50 hab. depuis 1999.

Courlaoux (1 140 Corlavois, 1 242 ha dont 231 de bois), 8 km OSO de Lons-le-Saunier est desservie par la D678 qui traverse tout le finage d’est en ouest. Juste au nord est l’aérodrome de Lons (code LFGL), qui a une piste gazonnée de 1 000 m et un aéroclub. La commune héberge un atelier de moteurs électriques Tech Power (60 sal.), les transports de fonds Loomis (35 sal.) et une nouvelle plate-forme logistique des transports Perrier (100 sal.), entrepôts Perrenot (50 sal.); gestion d’autoroutes SAPRR (30 sal.), travaux publics Eiffage (35 sal.). La Vallière et la Sorne coulent au sud en se rapprochant vers la limite de Condamine au SO. Le hameau de Nilly, ancienne commune réunie en 1823, relaie Courlaoux au SO. À l’ouest, le croisement de l’A39 et de la D678 ex-N78 se traduit par un échangeur à péage assorti d’une zone d’activités. Au NO le finage déborde sur les bois et étangs de la Bresse, traversés par l’A39. La population communale croît depuis un minimum de 470 hab. en 1968. Elle a augmenté de 270 hab. après 1999 (+31%).

Courlans (960 Courlanais, 616 ha), 6 km à l’ouest de Lons-le-Saunier, est également sur la D678, en plusieurs hameaux de pavillons, l’ancien village étant très petit et un peu au sud au bord de la Vallière. Au NO, une queue du finage sépare Courlaoux de l’enclave de Larnaud; l’aérodrome de Laon-Courlaoux déborde sur le finage à l’ouest. Courlans avait moins de 400 hab. en 1960 et en a gagné 200 (+26%) après 1999.


Lons-le-Saunier

(18 020 Lédoniens, 768 ha) est la préfecture du Jura. La ville est située au pied du Revermont, au débouché de la reculée de Revigny. Elle est desservie par la voie ferrée qui longe le Jura et va de Besançon à Lyon, et à 10 km par l’autoroute A39. Ville historique, née de la source saline Ledonia au Puits Salé, elle a conservé des maisons anciennes et un hôpital du 18e s., mais l’église romane, ancienne abbatiale, a été refaite au 19e s. Le centre-ville est au bord de la Vallière, suivie côté sud par la rocade et la voie ferrée. Au sud-ouest, parc de loisirs sur le Plateau de Montciel; au sud, réserve naturelle de la Côte de Mancy. Au nord, le relief s’élève un peu sur le flanc sud de la butte du Pymont. À l’ouest, le quartier de Sugny accueille le lycée agricole et une zone d’activités et quelques bois.

Comme station thermale, Lons est dotée d’un établissement de cure (35 sal.), d’un grand parc et d’un casino de 70 emplois (groupe Émeraude), d’un théâtre clinique (60 sal.), piscine et camping au NE; maison de retraite du Parc des Salines (55 sal.). Elle offre plusieurs musées: archéologique, des Beaux-arts, Rouget de l’Isle (le compositeur de La Marseillaise, né à Lons en 1760), pharmacie de l’Hôtel-Dieu. Mais la ville a aussi sa «zone urbaine sensible», à l’est du centre-ville (la Marjorie, les Mouillères). Le centre hospitalier accueille 360 lits, la clinique du Jura 37 (60 sal.); Lons-le-Saunier a trois collèges publics et un privé, un lycée général et deux lycées professionnels publics, deux lycées privés dont un professionnel; deux instituts médico-éducatifs; un centre d’aide par le travail.

Lons-le-Saunier est le pays des fromageries Bel, créées en 1921 et qui y ont mis au point la production de fromages fondus sous la célèbre marque de La Vache qui rit; elles emploient 300 personnes. Une autre fromagerie (ex-Grosjean) appartient au groupe Lactalis (Fromagère de Lons-le-Saunier, fromages fondus, 370 sal.). La ville a reçu un centre commercial avec l’hypermarché Géant Casino (140 sal.). Dans le tertiaire, la ville accueille le cortège habituel d’établissements financiers et de négoces, mais de taille modérée, dont la comptabilité Mazars (50 sal.), les transports par autocars Keolis Mont Jura (90 sal.), les transports Trans’Iles (50); distribution d’électricité Enedis (50 sal.), pharmaceutique Cerp (50 sal.); peinture Bonglet (180 sal.), Nettoyage industriel (55 sal.), recyclage d’emballages Demain (50 sal.).

Lons-le-Saunier avait 13 000 hab. autour de 1900, 15 000 en 1954; sa population a culminé à 20 900 en 1975 et diminue depuis; elle s’est abaissée de 1 940 hab. depuis 1999, soit un dixième. L’Espace communautaire Lons Agglomération est une communauté d’agglomération de 32 communes et 34 400 hab. L’unité urbaine Insee est donnée pour 26 700 hab. (11 communes), l’aire urbaine pour 58 600 hab. (89 communes). L’arrondissement a 104 500 hab., 249 communes.

Les deux nouveaux cantons ont 29 100 hab., 20 communes. Ils se limitent au rebord du plateau et à la petite plaine que draine la Vallière, affluent de la Seille, et les communes y ont de fort petits finages. La banlieue la plus peuplée est Montmorot, côté plaine.


Montmorot

(3 360 Catharus, 1 136 ha dont 154 de bois) est une commune du Jura qui jouxte Lons-le-Saunier à l’ouest. Elle est membre de l’Espace communautaire Lons Agglomération. La ville est dans la vallée de la Vallière au pied de la butte portant la Tour de Montmorot, mais l’habitat s’est étendu sur les basses collines au nord, jusqu’au gros hameau de Savagna. Au sud, une grande zone commerciale s’est établie dans la cluse entre le Plateau de Montciel et le Tartre de Messia, où s’engouffrent D1083 et voie ferrée. À l’ouest le paysage est plus dégagé et devient même boisé, mais la D470 a attiré deux zones d’activités dans le quartier de Sugny, avec le lycée agricole.

La ville héberge au centre commercial Hyper-U (190 sal.) divers magasins et entrepôts dont Bricomarché (90 sal.); gestion immobilière OPH du Jura (160 sal.), aide à domicile Dubois (25 sal.), nettoyages Dubois (100 sal.) et Net et Clair (45 sal.), récupération de déchets Chimirec (70 sal.). transports Perrenot (110 sal.); fromagerie Rivoire-Jacquemin (40 sal.). Montmorot accueille un lycée agricole avec centre de formation professionnelle, ainsi que le parc d’exposition, de concerts et de foires Juraparc. La commune avait 1 800 hab. autour de 1900, 2 300 en 1954 et sa population a culminé à 3 300 hab. entre 1975 et 1985, avant de diminuer un peu; elle a perdu près de 200 hab. depuis 1999.