Communauté d’agglomération Saint-Lô Agglo

Saint-Lô Agglo

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communauté d’agglomération de la Manche, associant 61 communes et 76 300 hab. sur 80 600 ha. Saint-Lô (siège), Agneaux, Bourgvallées, Condé-sur-Vire, Marigny-Le-Lozon, Pont-Hébert, Saint-Jean-d’Elle, Saint-Amand-Villages, Tessy-Bocage, Torigny-les-Villes dépassent 2 000 hab.

Au nord de Saint-Lô

Saint-Georges-Montcocq (960 Montcocquois, 894 ha) est voisine de la préfecture et bordée au sud par la vallée de la Vire; +40 hab. depuis 1999.

Le Mesnil-Rouxelin (540 hab., 474 ha, a son village à 4 km au nord de Saint-Lô; +90 hab. depuis 1999.

Rampan (210 Rampanais, 409 ha), 5 km NO de Saint-Lô, est une commune sans village, bordée à l’ouest par la Vire; hameau du Grand Hamel tout au sud.

Amigny (150 hab., 369 ha) est à 11 km NO de Saint-Lô, dans le parc régional.

Thèreval (1 840 hab., 2 839 ha) est une commune nouvelle de 2016, unissant deux anciennes communes. Son nom est formé sur la vallée de la Terrette, qui traverse le finage et rejoint la Taute à Tribehou au nord, et qui porta jadis le nom de Thère. Hébécrevon (1 160 Hébécrevonnais, 1 339 ha), 7 km ONO de Saint-Lô, a deux châteaux du 16e s. (inscrits), la Roque et le Castel, et une église moderne des années 1950; elle a gagné 170 hab. depuis 1999; son finage est traversé par la rocade occidentale de Saint-Lô, partie de la N174, pourvue d’un échangeur avec la D900 vers Lessay et qui contourne le village par l’ouest. La Chapelle-en-Juger (670 Chapelais, 1 500 ha), 10 km ONO de Saint-Lô, est à l’ouest de la Terrette, qui sépare les deux finages. La Losque borde le territoire à l’ouest; +40 hab. depuis 1999.

Saint-Gilles (940 hab., 784 ha), 8 km à l’ouest de Saint-Lô sur la D972, a une entreprise de peinture RD (40 sal.). Sa population s’est accrue de 130 hab. depuis 1999. Son finage est bordé au sud par la Joigne, jusqu’à son confluent avec la Vire.

Le Mesnil-Amey (280 hab., 281 ha), 11 km à l’ouest de Saint-Lô, n’a pas de village mais un hameau central, Village ès Groult, avec un petit château.

Le Lorey (610 hab., 1 457 ha), 17 km OSO de Saint-Lô à l’ouest de Marigny-le-Lozon, traversée par le Lozon, a une fabrique de détergents Fabrinor (35 sal.). La D972 fixe la limite sud de la commune; +50 hab. depuis 1999 (+38%).

Montreuil-sur-Lozon (330 Montreuillais, 645 ha, est à 12 km ONO de Saint-Lô, au-delà de Thèreval; +90 hab. depuis 1999.

Le Mesnil-Eury (180 Mesnileuryais, 346 ha), 13 km ONO de Saint-Lô, est juste à l’aval de Montreuil au bord du Lozon. Son village, au sud du finage, est frôlé par la D900.

Remilly-les-Marais (1 110 Remillais, 2 218 ha) est une commune nouvelle de 2017, fondée sur trois communes. Remilly-sur-Lozon (700 Rémillais, 956 ha), 19 km NO de Saint-Lô, a un musée de l’entreprise de vannerie Lehodey, avec oseraie expérimentale; les restes du château féodal de Monfort (15e) au nord, en bordure des marais du Lozon; toitures Marie (55 sal.), travaux publics Poisson (70 sal.). La commune est bordée à l’est par le Lozon, que la Venloue rejoint à la pointe nord du finage. Elle a 140 hab. de plus qu’en 1999 (un quart). Les Champs-de-Losque (200 Saint-Aubinais, 931 ha), à l’est de Remilly, est issue de la fusion en 1831 de Saint-Aubin-de-Losque (d’où le gentilé) au sud et Saint-Martin-des-Champs au nord. La Losque en traverse les finages. Le Mesnil-Vigot (220 Minn’Gotains, 326 ha) est au sud-ouest de Remilly, formée de plusieurs hameaux dits «Village» et traversée par la D900 rectiligne; oppidum et motte féodale au nord. (la Butte Saint-Clair), au nord de la Venloue et de ses marais.

Graignes-Mesnil-Angot (900 Graignais, 1 427 ha), 18 km NO de Saint-Lô, a de grandes foires aux chevaux, un hippodrome actif, doté d’une maison familiale rurale avec centre de formation d’employés d’écurie (160 élèves), une maison de retraite (30 sal.), et un mémorial franco-américain. Des marais occupent le nord-est et l’ouest du territoire, que la Taute longe à l’ouest, le canal de Vire et Taute au NE; une partie est dans la réserve des marais de la Taute. La commune est le résultat d’une fusion de 2007; Graignes avait 670 hab. en 1999, Le Mesnil-Angot, au sud-est, 50 hab. (408 ha); leur population a donc augmenté de 190 hab. depuis 1999 (+26%).

Le Mesnil-Véneron (130 hab., 286 ha), 17 km NNO de Saint-Lô, est une petite commune du bocage.

Le Dézert (600 Dézertins, 1 458 ha), 14 km NO de Saint-Lô, a un manoir du 16e s., héberge la maison de retraite les Élides (35 sal.) et a gagné 90 hab. depuis 1999. Le village est à l’ouest du finage sur la D8; à l’est sur la D974 (Voie de la Liberté) se tient le hameau-rue de la Perrine; manoir Saint-Ortaire au SO (16e); musée du Bocage au NE près de Saint-Jean-de-Daye.

Saint-Jean-de-Daye (630 Dayots, 424 ha), est un ancien chef-lieu de canton, 15 km au nord de la préfecture sur la D974; collège public. La voie rapide N174 traverse le finage au nord-est et dispose d’un accès à l’angle SE au croisement de la D8. La commune n’a jamais été très peuplée pour un chef-lieu: elle n’a atteint 300 hab. qu’à la fin du 19e s. et n’en avait encore que 420 en 1954; elle a progressé un peu, mais plafonne depuis 1982.

Saint-Fromond (780 Fromondais, 1 552 ha), 16 km au nord de Saint-Lô, a son village au bord de la Vire, rive droite, doublé à l’ouest par le hameau de la Vauterie. Au nord, ancien canal de Vire et Taute et large étendue de marais, avec le château de la Rivière sur une presqu’île. La Vire borde le finage au nord et à l’est. L’usine de produits chimiques KMG Chemicals de Cleveland (États-Unis) (60 sal.) fabrique des produits minéraux pour semi-conducteurs (site Seveso 2); verger-conservatoire de pommes; église romane du 12e s. issue d’un prieuré, inscrite; la commune s’est accrue de 100 hab. depuis 1999.

Airel (540 Airellois, 1 017 ha), 17 km NNE de Saint-Lô, est dans la plaine d’Elle et Vire et traversée par la voie ferrée vers Saint-Lô. L’Elle longe le finage au NE, la Vire à l’ouest; +50 hab. depuis 1999.

Cavigny (260 Cavignais, 678 ha), 12 km NNO de Saint-Lô, est bordée à l’est par la Vire. La D174 et la 974 traversent la commune à l’ouest, avec un grand échangeur qui a attiré une déchèterie avec usine de méthanisation; château de la Mare au NO.

La Meauffe (1 090 Meauffois, 1 022 ha), 7 km NNO de Saint-Lô, est une commune d’habitat très dispersé, sans village, longée par la Vire à l’ouest et desservie par la voie ferrée. Un gros groupe d’habitations est apparu au sud-ouest face à Pont-Hébert (Quartier du Pont), mais la mairie, l’école et l’église sont au nord-ouest à Saint-Gilles, avec une petite base de loisirs. La Meauffe a eu de vastes carrières et une industrie laitière, maintenant fermées. Un groupe de six anciens fours à chaux est protégé. Elle avait moins de 700 hab. en 1962, 550 en 1926; le nombre des habitants n’a toutefois guère changé depuis 1999.

Moon-sur-Elle (860 Moonais, 984 ha) est à 15 km NNE de Saint-Lô. L’Elle traverse la commune, le village est sur une colline de rive droite.

Saint-Clair-sur-l’Elle (960 Saint-Clairais, 799 ha) est un ancien chef-lieu de canton, 12 km au NNE de Saint-Lô, sur la rive droite de l’Elle; collège public, maison de retraite (40 sal.), négoce de matériel agricole Bellamy (35 sal.), traitement des eaux Saur (20 sal.). La commune se nommait seulement Saint-Clair avant 1897; sa population a augmenté lentement depuis 1962 (460 hab.), mais stagne depuis 1999.

Villiers-Fossard (650 Villariens, 852 ha), 7km NNE de Saint-Lô, a un ensemble de jardins botaniques (le Jardin d’Elle) et le site de la Vallée aux Oiseaux, un musée de la Ferme miniature. La vallée de la Jouenne traverse le finage; fabrique d’aliments du bétail Morel (30 sal.), espaces verts Les Paysages d’Elle (25 sal.). La population croît (+170 hab. depuis 1999, soit +35%).

À l’est de Saint-Lô

La Luzerne (78 hab., 194 ha), 5 km NE de Saint-Lô, est une très petite commune, jouxtant le finage de Saint-Lô.

Couvains (490 Couvinois, 1 503 ha), 10 km NE de Saint-Lô, a gagné 100 hab. depuis 1999; elle accueille les transports Dufayel (STDF, 30 sal.).

Saint-Jean-de-Savigny (440 Savignais, 758 ha), 14 km NE de Saint-Lô, a un petit village au-dessus du confluent de l’Elle et du Branche, qui vient du sud et a traversé Couvains. L’Elle borde le finage au nord; château de Rochefort au NO. La commune a 150 hab. de plus qu’en 1999 (+52%).

Cerisy-la-Forêt (1 030 Cerisyais, 2 381 ha dont 373 de bois), 18 km NE de Saint-Lô, tire sa notoriété de son abbaye, rénovée, qui conserve de nombreux témoignages des 11e et 13e s., et un musée lapidaire. Elle accueille de nombreuses rencontres, des concerts, un symposium annuel de sculpture; installations électriques Sorapel (110 sal.), couverture Pimont (25 sal.). La commune n’a qu’une petite partie de la forêt domaniale de Cerisy, qui est pour l’essentiel dans le département voisin, le finage dessinant une avancée dans le Calvados. L’Elle le traverse à l’ouest. La commune s’est accrue de 180 hab. depuis 1999.

Saint-Georges-d’Elle (410 Saint-Georgeois, 896 ha), 12 km NE de Saint-Lô, est limitée au sud par la D972 et bordée à l’est par l’Elle; +40 hab. depuis 1999.

Bérigny (430 Bérignais, 1 215 ha), 12 km ENE de Saint-Lô, est limitrophe du Calvados et touche au nord à la forêt de Cerisy. La D972 traverse le finage au NE puis fixe sa limite nord-ouest; un étang collinaire, proche d’un minuscule village; +60 hab. depuis 1999.

Saint-André-de-l’Épine (550 hab., 724 ha), 8 km NE de Saint-Lô, a son village au NE du finage, et un quartier d’habitation à la pointe SO, proche de Saint-Lô, au Hameau Pied; fabrique d’emballages plastiques SAP (Saint-André-Plastiques, 140 sal.). La D972 rectiligne limite le finage au sud. La commune a gagné 80 hab. depuis 1999.

La Barre-de-Semilly (1 030 Barriens, 774 ha), 5 km à l’est de Saint-Lô, n’avait que 400 hab. en 1970 et a encore gagné 220 hab. depuis 1999 (+27%). Presque tout son habitat est aux abords du finage de Saint-Lô.

Saint-Pierre-de-Semilly (450 Semillais, 459 ha) est à 7 km à l’est de Saint-Lô, au nord de La Barre, et bornée au nord par la D972; +50 hab. après 1999.

Saint-Germain-d’Elle (220 hab., 887 ha),14 km à l’est de Saint-Lô, est limitrophe du Calvados; parc des Sources d’Elle au sud-ouest.

Montrabot (81 Montrabotains, 386 ha), 17 km à l’est de Saint-Lô, est également à la limite du Calvados, que fixe la vallée de la Drôme.

Biéville (190 Biévillais, 556 ha), 19 km ESE de Saint-Lô, est bornée à l’est par la Drôme, qui fixe la limite du département, et n’a pas de village.

Lamberville (180 Lambervillais, 712 ha),16 km ESE de Saint-Lô, n’a pas davantage de village. La D34 fixe sa limite occidentale.

Le Perron (210 Perronnais, 466 ha), 19 km SE de Saint-Lô, est au sud de Lamberville et de la D13 et limitrophe du Calvados, avec un habitat très dispersé. Elle a gagné 60 hab. depuis 1999.

Au sud de Saint-Lô, s’imposent Torigny et Tessy, qui se sont agrandies par fusion en devenant Torigny-les-Villes et Tessy-Bocage. Elles sont entourées de plusieurs communes à la limite ou très proches du Calvados.

Domjean (1 090 Domjeanais, 1 657 ha), 19 km SSE de Saint-Lô et 3 km au NE de Tessy, a un village très fleuri (4 fleurs), le château de l’Angotière (16e et 18e s.) et un parc paysager communal, ainsi qu’une usine où 240 salariés de Tecnov Donaldson (États-Unis) fabriquent des silencieux pour automobiles; travaux publics Bernasconi (40 sal.). La commune est bordée à l’ouest par la Vire; elle a gagné 260 hab. depuis 1999 (+31%).

Saint-Louet-sur-Vire (210 hab., 733 ha) est à 18 km SSE de Saint-Lô, mais absolument pas sur Vire, avec un habitat dispersé; +40 hab. depuis 1999.

Beuvrigny (140 Beuvrignais, 677 ha), 22 km SSE de Saint-Lô, est une commune sans village, au relief relativement accidenté, longée au sud par l’A84 et limitrophe du Calvados.

Fourneaux (160 hab., 334 ha), 20 km SSE de Saint-Lô au SE de Tessy, est bordée à l’ouest et au sud par la Vire sinueuse, que suit la limite départementale. Elle n’avait que 90 hab. en 1999.

Gouvets (270 Gouvions, 1 101 ha), 6 km au SO de Tessy, comprend au sud-ouest une aire de service d’autoroute avec station Shell (40 sal.).

Saint-Vigor-des-Monts (290 Saint-Vigorais, 1 574 ha), traversé par l’autoroute des estuaires, accueille une métallerie (Avinov, 40 sal.); un belvédère offre une vue étendue sur le bocage.

Beaucoudray (140 Beaucondriers, 470 ha) 21 km SSO de Saint-Lô, est une petite commune sans village.

Moyon-Villages (1 540 hab., 3 294 ha) est une commune nouvelle formée en 2016 par la réunion à Moyon de deux petites communes. Moyon (1 160 Moyonnais, 2 374 ha dont 162 de bois), 6 km au NO de Tessy, ancienne baronnie créée après la bataille de Val-ès-Dunes pour un compagnon du duc de Normandie, a une confiserie (Les Chevaliers d’Argouges, 100 sal.), une laiterie (Délicelait, 45 sal.) et une menuiserie (Lise, 20 sal.), un haras et l’un des rares marchés au cadran de la région; bois de Moyon au SO. Elle a gagné 270 hab. depuis 1999 (+30%). Chevry (110 Chevryais, 362 ha) est à 4 km au sud de Moyon. Le Mesnil-Opac (270 Opaciens, 558 ha) est à 3 km au NE de Moyon. La commune a reçu en 2015 un parc de quatre éoliennes Enercon (9,2 MW), dont trois au nord-ouest à la Venerie, une autre au Mesnil-Opac (allemand Zephyr). La D999 traverse le finage à l’ouest.

Saint-Martin-de-Bonfossé (530 Saint-Martinais, 1 268 ha dont 250 de bois),11 km SSO de Saint-Lô, a un finage contourné, qui atteint au SE la D999. Elle conserve quelques restes du manoir de la seigneurie de Bonfossé (16e s.); au sud-ouest, hameau et bois de Saint-Sauveur-de-Bonfossé, ancienne commune absorbée en 1832, ce qui avait alors porté la population communale à 880 hab.; le minimum date de 1975 (460 hab.).

Dangy (680 Dangyais, 993 ha), 14 km SO de Saint-Lô, a son finage au nord du finage, bordé tout au sud par la Soulles; +70 hab. depuis 1999.

Carantilly (660 Carantillais, 1 070 ha), 5 km au sud de Marigny, 15 km OSO de Saint-Lô a un château classé du 18e s. La voie ferrée vers Coutances passe au village, la D972 limite le finage au nord, le Lozon le borde au NO. La population s’est accrue de 120 hab. depuis 1999 (+25%).

Quibou (960 Quibois, 1 715 ha), 11 km SO de Saint-Lô et 3 km au SO de Canisy, a des entreprises de bâtiment, dont les constructions Izabelle (30 sal.), les charpentes et couvertures Espace Toiture (20 sal.). Le finage est traversé par la Joigne au sud et par la Terrette au nord, et par la voie ferrée vers Coutances au centre. La commune avait eu plus de 2 000 hab. au début du 19e s. et a connu son minimum en 1982 (780 hab.); elle a gagné 120 hab. après 1999.

Canisy (1 840 Canisyais, 1 815 ha) s’est agrandie en 2017 en fusionnant avec Saint-Ébremond-de-Bonfossé. Canisy même (1 080 hab., 625 ha) fut un chef-lieu de canton, 9 km au SO de la préfecture, au bord de la Joigne dans le bocage, au passage de la voie ferrée vers Coutances. Le village offre un collège public, un château-hôtellerie des 16e au 19e s. nanti d’un parc de 30 ha dans un domaine de 300 ha; constructions Les Chantiers de Demain (25 sal.), chaudronnerie MTCI (25 sal.). La population communale augmente depuis 1968 où elle était de 660 hab., niveau assez constant depuis 1900 mais inférieur à celui du début du 19e siècle (un millier); elle a ajouté 120 hab. après 1999. Saint-Ébremond-de-Bonfossé (750 Saint-Ébremondais, 1 190 ha), 3 km au SE de Canisy, a une petite entreprise de confection Horus (HIM, 25 sal.) et s’est accrue de 80 hab. depuis 1999.

Baudre (560 Baudrions, 381 ha) est juste au sud de Saint-Lô; son petit finage est bordé à l’ouest par la Vire et traversé tout au NE par la N174 qui longe le hameau de Fumichon; +190 hab. depuis 1999 (+44%).

Sainte-Suzanne-sur-Vire (690 Sainte-Suzannais, 505 ha) est à 7 km au sud de Saint-Lô sur la rive droite de la Vire, qui borde le finage à l’ouest. Elle a gagné 130 hab. depuis 1999 (un quart).


Agneaux

(4 520 Agnelais, 650 ha) est une commune de la Manche en banlieue ouest de Saint-Lô, juste de l’autre côté de la Vire, sur le lobe d’un grand méandre traversé par la route de Coutances (N174) munie d’un échangeur. Elle s’orne d’un château du 13e s. (et 19e), transformé en hôtel. Le finage n’atteint cependant pas la rive gauche de la Vire à l’est, qui relève de Saint-Lô, ainsi d’ailleurs que la gare. Sa croissance a été rapide et soutenue: 1 000 hab. en 1911, 1 700 en 1954, 2 800 en 1975, presque 5 000 en 1999; mais la saturation semble atteinte et la commune a perdu 460 hab. depuis 1999.

Agneaux appartient à la communauté d’agglomération de Saint-Lô agglo et abrite une part des activités tertiaires de l’agglomération saint-loise, dont la Chambre de Commerce; collège et lycée privés, institut de rééducation. Elle accueille un hypermarché Leclerc (275 sal.) et un magasin Intersport (30 sal.), les fabriques de matériel aéraulique Lemasson (30 sal.) et Lecaîtaine (30 sal.), la métallerie CTI (ex-ACDN, 50 sal.), la verrerie VIC (Vitrages isolants du Cotentin, 35 sal.); constructions Cap Avenir (190 sal.); étanchéité Corbet (25 sal.), lignes électriques Allez (40 sal.) et installations électriques Guérin (Préfanor, 25 sal.), travaux publics et canalisations Sitpo (60 sal.), transports Noyon (95 sal.); négoces de plomberie Fouchard (30 sal.) et d’équipements d’automobiles Sodiama (30 sal.), gestion comptable Cecom (25 sal.) et conseil CTI (85 sal.).


Bourgvallées

(2 640 hab., 3 150 ha) est une commune nouvelle de la Manche, créée en 2016 dans l’agglomération de Saint-Lô agglo, et augmentée en 2019. La mairie est à Saint-Samson-de-Bonfossé (880 Samsonais, 628 ha), 9 km SSO de Saint-Lô sur la D999, qui a gagné 140 hab. depuis 1999.

Gourfaleur (460 Gourfaleurais, 845 ha), 4 km au sud de Saint-Lô, a un atelier des équipements de contrôle GREEN (45 sal.). Son finage est borné au nord par la vallée de la Vire.

La Mancellière-sur-Vire (530 hab., 680 ha), qui est à 6 km au sud de Saint-Lô et 6 km au NE de Saint-Samson, a son village sur la rive gauche de la Vire, qui fixe la limite orientale de la commune. Elle a une église inscrite du 12e s. et un abattage-découpage de volailles (Nouet, 25 sal.), un vélorail de la Vire le long du fleuve, et 40 hab. de plus qu’en 1999; la mention «sur Vire» est de 1893.

Saint-Romphaire (760 hab., 997 ha) est au SE de Saint-Samson (4 km par la route); elle a gagné 150 hab. depuis 1999.

Les deux autres communes, qui ont adhéré en 2019, sont en contradiction avec la règle de continuité territoriale: la pointe NE du finage du Mesnil-Herman (140 Mesnil-Hermanais, 191 ha) est à 450 m de la pointe SO du reste de la commune nouvelle. Le petit village est sur la D999 et a un finage minuscule. Soulles (490 Soullais, 1 486 ha) elle-même, au sud-ouest du Mesnil-Herman, ne tient au territoire du Mesnil que par un contact de 150 m. Son village est à 7 km au SO de Saint-Samson. La Soulles traverse le finage et se dirige vers Coutances.


Condé-sur-Vire

(4 210 hab., 3 636 ha) est une commune de la Manche, dans la communauté d’agglomération de Saint-Lô Agglo. Elle s’est agrandie par deux fusions successives en 2016 et 2017, sans changer de nom.

Condé-sur-Vire au sens antérieur (3 490 Condéens, 2 485 ha) est à 8 km SSE de Saint-Lô, sur la rive droite de la Vire. C’est un gros centre d’industrie laitière; il juxtaposait les grosses installations d’Elle et Vire (créée en 1945 et dont l’usine est de 1950) et de l’Union laitière normande. Après la crise de cette dernière, le groupe Bongrain (devenu Savencia) a repris la marque et la plus grande partie des activités, au prix de redéploiements et suppressions d’emplois.

Il reste à Condé quelque 470 personnes dans la fabrication de beurres (Elvir), à quoi s’ajoutent, toutes du même groupe, la SBCRE (Société des Beurres et Crèmes des Régions d’Europe, 680 sal.) dans le négoce et la Sogeps (110 sal.) dans l’ingénierie laitière, plus Sofivo (130 sal., alimentation du bétail), Alliance Foodservice (négoce laitier, 60 sal.), Savencia (35 sal., négoce de crèmerie).

Une cidrerie, Dujardin (Les Cidres de Terroir), emploie 35 sal. La commune a aussi une fabrique de filtres (Guérin, 95 sal.), une fabrique de vêtements (SLS, 95 sal.), une chaudronnerie (Team, 90 sal.); installations électriques Lafosse (35 sal.) et travaux publics Boutte (40 sal.); Institut rural d’éducation et d’orientation, centre d’aide par le travail. La N174 à quatre voies traverse tout le finage à l’est, avec deux accès. Au sud de la ville on visite les Rochers de Ham, au pied desquels la Vire encaisse ses méandres. La commune avait plus de 2 000 hab. au début du 19e s.; descendue à moins de 1 400 dans les années 1930, sa population est remontée après la guerre et a culminé en 1982; elle a perdu 400 hab. depuis 1999.

Les deux autres communes intégrées en 2016 sont au sud-ouest, et de l’autre côté de la Vire. Le Mesnil-Raoult (390 Mesnilrodins, 398 ha) est à 3 km de Condé. Troisgots (340 Trégeois, 753 ha) à 7 km, donne à l’est sur un grand méandre de la Vire face aux Roches de Ham, et a un centre pour enfants inadaptés au hameau de La Chapelle-sur-Vire, doté d’une basilique sur un site de pèlerinage. La première a gagné 60 hab. depuis 1999, la seconde n’a pas changé.

Le nouveau canton de Condé-sur-Vire a 17 communes, 20 000 hab.


Marigny-le-Lozon

(2 690 Marignais, 1 917 ha) est une commune nouvelle de la Manche, dans l’agglomération de Saint-Lô Agglo, créée en 2016 par fusion simple.

Marigny (2 390 Marignais), 1 031 ha) est un ancien chef-lieu de canton, 11 km à l’ouest de la préfecture; collège public; fabriques de matériel d’assainissement Techneau (70 sal.) et de pièces plastiques Plasteau (25 sal.), maçonnerie Monrocq (40 sal.), chaudronnerie Chaudreau (40 sal.); salaisons des Jambons du Bocage (30 sal.); aliments du bétail Agri Déméter (25 sal.), vente à domicile Magasins Bleus (25 sal.). La population communale était de 1 100 hab. entre 1900 et 1965; elle augmente depuis et a encore gagné 480 hab. après 1999 (+25%). Le finage est borné au sud par la D972, le long de laquelle a été aménagée la zone d’activités de la Chevalerie.

Lozon (300 Lozonnais, 886 ha), qui est dans le Parc régional, a son village à 6 km NNO de Marigny au bord du Lozon, et atteint au NO le cours de la Venloue; manoir d’Hubertant (17e) au NO.


Pont-Hébert

(2 256 hab., 2 984 ha) est une commune de la Manche dans l’agglomération de Saint-Lô Agglo. Elle a fusionné en 2018 avec Le Hommet-d’Arthenay.

L’ancienne commune de Pont-Hébert (1 720 Pontois, 1 499 ha) est à 6 km NNO de Saint-Lô, au-dessus de la Vire et desservie par fer. Elle avait 2 100 hab. en 1975 (pour moins de 1 000 entre 1850 et 1950), mais a décliné depuis la fermeture de plusieurs ateliers et de la laiterie; elle conserve un atelier de vêtements (Manche-Confection) de 75 emplois et a regagné 40 hab. après 1999; transports par cars Delcourt (70 sal.), ferme expérimentale et pédagogique avec arboretum. Pont-Hébert a choisi d’intégrer la communauté de communes de Saint-Lô, après avoir formé une communauté de communes des Bords de Vire avec deux communes voisines.

Le Hommet-d’Arthenay (540 Saint-Pierrots, 1 485 ha dont 150 de bois) est à 6 km au NO de Pont-Hébert au bord de la Terrette; elle a des marais et abrite le lycée agricole de Saint-Lô-Thère (internat). Elle a 80 hab. de moins qu’en 1999, mais à cause de la révision des populations comptées à part (lycée). La commune est issue de la fusion, en 1831, de Saint-Pierre-d’Arthenay (sur la D77), d’où le gentilé, et du Hommet, dont il reste un petit hameau à l’ouest et un marais au sud-ouest. Le Hommet a le sens de petite île, ici dans les marais. Le nouveau canton de Pont-Hébert a 28 communes et 16 500 hab.


Saint-Amand-Villages

(2 620 hab., 3 819 ha) est une commune nouvelle de la Manche, née en 2017 de la fusion entre Saint-Amand et Placy-Montaigu, dans la communauté d’agglomération de Saint-Lô Agglo.

Saint-Amand (2 370 Saint-Amandais, 2 920 ha) est à 16 km SE de Saint-Lô et 1 km au NE de Torigni-sur-Vire. Elle abrite une grosse fabrique de cartonnages du groupe britannique DS Smith (ex-Otor, 190 sal.); carrosserie Lebrun (25 sal.); supermarché Carrefour (65 sal.), La Poste (35 sal.). La commune s’était déjà agrandie en 1973 en fusionnant avec La Chapelle-du-Fest au nord et Saint-Symphorien-les-Buttes au SE; sa population croît depuis et a gagné 340 hab. depuis 1999. La commune a reçu en 2011 deux fois trois éoliennes Enercon (13,8 MW au total) à l’allemand Zephyr, tout au nord (la Haute-Chèvre) et, à l’est, au lieu-dit les Hauts Vents.

Placy-Montaigu (240 hab., 899 ha) est 4 km ESE de Saint-Amand, à la limite du Calvados; elle a 40 hab. de plus qu’en 1999.


Saint-Jean-d’Elle

(2 490 hab., 3 372 ha) est une commune nouvelle de la Manche dans la communauté d’agglomération de Saint-Lô Agglo. Elle a été formée en 2016 par cinq communes. Le nom associe ceux de la commune principale et de la rivière locale, qui figurait déjà dans le nom d’une des autres communes.

Saint-Jean-des-Baisants (1 280 Saint-Jeannais, 1 337 ha), à 11 km ESE de Saint-Lô, se tient sur une forte colline, et a gagné 270 hab. après 1999.

Juste au pied côté sud, Précorbin (530 Précorbiniens, 721 ha) accueille les travaux publics Grente (30 sal.).

Vidouville (140 Vidouvillais, 446 ha), 6 km à l’est de Saint-Jean, n’est rattachée à la commune nouvelle que par un étranglement au passage de la D34. La Drôme fixe sa limite à l’est.

Rouxeville (360 Rouxevillais, 583 ha) est à 2 km ENE de Saint-Jean.

Notre-Dame-d’Elle (190 hab., 255 ha) est aux sources de l’Elle, au nord-est de Saint-Jean.


Saint-Lô

(20 080 Saint-Lois, 2 319 ha) est la préfecture de la Manche, sur un bas plateau dominant la vallée encaissée de la Vire. L’ancienne Briovère a pris son nom actuel au 6e siècle. Elle a bénéficié à la fois d’un site défensif et d’une bonne situation sur les routes de Basse-Normandie occidentale; mais l’autoroute des estuaires (A84) n’est pas allée jusqu’à Saint-Lô, qu’elle laisse à 20 km. Le centre historique est enserré dans les remparts de l’ancienne citadelle qui domine le fleuve et un vallon affluent; il s’est doublé à l’est d’une ville marchande au plan régulier, au milieu duquel trône le musée des Beaux-arts. L’hôtel de ville est à la jointure; plus loin à l’est s’étalent les vastes bâtiments du haras national, qui date de 1806 et font que Saint-Lô s’intitule volontiers «capitale du cheval».

L’activité de la ville est dominée par l’administration départementale et les services: centre hospitalier (390 lits), polyclinique de la Manche (120 sal.) et cliniques, hôpital spécialisé (Bon Sauveur), IUT, IUFM, école de commerce, école supérieure de cadres pour l’agro-alimentaire (ESC2A), 8 lycées dont 4 publics, un lycée agricole public, des établissements religieux et d’assistance, syndicat de contrôle laitier, aide à domicile, etc.; maison de retraite du Bois Ardent (50 sal.); nombreux services, à la taille d’une petite préfecture.

La principale entreprise industrielle est la carrosserie de véhicules frigorifiques Lecapitaine (460 sal.). Après la fermeture de Moulinex, Euromoteurs (200 sal.) n’a pu tenir longtemps et s’est replié sur l’usine de Carpiquet, mais il reste un atelier du groupe SEB (80 sal.). Dans le secteur productif, les principaux ateliers sont en mécanique (VFE, 45 sal.), meubles de bureau et de magasin (Lejamiel, 45 sal.), bicyclettes (Mobikytech, 30 sal.). Dans les services émergent les entreprises de presse La Manche Libre (60 sal.) et Ouest-France (30 sal.), l’informatique Alliance (80 sal.) et CEV (50 sal.), la comptabilité KPMG (65 sal.); publicité Adrexo (65 sal.), Radio Tendance Ouest (35 sal.), Radio France (55 sal.), Orange (90 sal.); La Poste (235 sal.).

Saint-Lô a de nombreux garages, les transports de fonds Brinks (55 sal.), les transports par autocars Transdev (230 sal.), la distribution pharmaceutique Cerp (60 sal.); magasins Intermarché (110 sal.), Carrefour (50 sal.), Bricomarché (35 sal.), Districo (35 sal.),). Dans le bâtiment, installations électriques CEME-Guérin (60 sal.), travaux publics Colas (70 sal.), traitement des eaux Veolia (50 sal.), nettoyages HC (55 sal.) et Netto Décor (40 sal.). D’autres entreprises sont à Agneaux, en banlieue ouest de l’autre côté de la Vire.

Saint-Lô s’est agrandie en 1963 en absorbant Sainte-Croix-de-Saint-Lô (660 hab.) à l’est et Saint-Thomas-de-Saint-Lô (310 hab.) au sud-ouest. La ville n’échappe pas aux difficultés urbaines et s’est vu reconnaître une zone urbaine sensible au sud-est du centre (Val Saint-Jean). Elle avait environ 11 000 hab. entre 1881 et 1931, puis sa population a augmenté après la guerre, et culminé autour de 1980; elle a perdu des habitants ensuite, et encore 1 510 depuis 1999.

Saint-Lô est le siège de la communauté d’agglomération Saint-Lô Agglo. L’unité urbaine insee est donnée pour 24 200 hab. (3 communes), l’aire urbaine pour 48 800 (41 communes). L’arrondissement a 102 900 hab., 92 communes, 52 600 ha. Les 2 nouveaux cantons contiennent une partie de Saint-Lô et 9 communes (18 800 hab.) pour le premier, le reste de Saint-Lô et 12 communes (21 900 hab.) pour le second.


Tessy-Bocage

(2 406 hab., 2 079 ha) est une commune nouvelle de la Manche, membre de l’agglomération de Saint-Lô Agglo, apparue en 2016 après fusion de deux communes, suivies par une troisième en 2018.

La principale est Tessy-sur-Vire (1 460 Tessyais, 1 590 ha), ancien chef-lieu de canton dans l’arrondissement de Saint-Lô, 19 km au sud de la préfecture et 10 km au SO de Torigni-sur-Vire; collèges public et privé, maison de retraite (30 sal.), fabrique de moteurs électriques Guérin (50 sal.). La population est stable depuis 1965.

Fervaches (400 Fervachais, 489 ha), 4 km au NNO de Tessy, a une menuiserie (CPL Bois, 45 sal.) et s’est accrue de 110 hab. depuis 1999.

Pont-Farcy (550 Farcy-Pontains, 1 345 ha), la dernière venue, a son village au bord de la Vire à la limite sud de son finage, que l’A84 traverse juste un peu au nord, offrant un échangeur (n°39); camping. Pont-Farcy a 40 hab. de plus qu’en 1999. C’était une commune du Calvados. Elle avait absorbé en 1973 la commune de Pleines-Œuvres à l’est, d’habitat dispersé et bordée au sud par la Vire. Elle devait intégrer la commune nouvelle des Noues-de-Sienne (Calvados) mais l’opposition de Landelles-et-Coupigny n’a pas permis d’établir la continuité territoriale, ce qui a obligé Pont-Farcy à choisir Tessy-Bocage et, par là, à changer de département. Pleines-Œuvres est une altération de Plaine-Sœuvres, forêt plane.


Torigny-les-Villes

(4 420 hab., 3 923 ha) est une commune nouvelle de la Manche, formée en 2016 par quatre communes et membre de l’agglomération de Saint-Lô Agglo. Le nom a repris celui de la commune principale, toutefois enjolivé d’un y final, et le complément Villes a été préféré à l’habituel Villages, non sans quelque ostentation — mais il est vrai que les noms de toutes les autres communes se terminaient en -ville.

Torigni-sur-Vire (2 340 Torignais, 301 ha) est un ancien chef-lieu de canton, 13 km au SE de la préfecture sur la D974, que double juste à l’ouest la voie rapide N174 mais dont l’accès est au nord, à Condé-sur-Vire. Le bourg n’est pas sur la Vire, mais à 4 km, dans un vallon affluent, et la commune ne touche même pas au fleuve, dont la sépare Condé-sur-Vire. La mairie occupe l’aile restante restaurée de l’ancien château classique des Maignon, flanqué d’un parc à étangs; musée de sculptures animalières Arthur Le Duc, collège public, camping; transports VP (100 sal.). La bourgade jouxte Saint-Amand et partage, avec elle et avec Condé-sur-Vire, la zone d’activités de la Détourbe. Torigni avait 1 800 hab. dans les années 1930, puis est montée à 2 900 en 1982 et s’est un peu dépeuplée ensuite; elle a perdu 290 hab. depuis 1999.

Brectouville (170 Brectouvillais, 374 ha) est à 3 km OSO de Torigni et atteint à l’ouest le cours de la Vire, dominé par les célèbres Rochers de Ham.

Giéville (680 Giévillais, 1 033 ha) est au sud de Torigni; transports Mesnil-Bas (35 sal.); +80 hab. depuis 1999.

Guilberville (1 230 Guilbervillais, 2 215 ha dont 200 de bois) est une commune plus étendue au sud, dont le finage s’étire le long de la limite du Calvados, traversé sur 8,7 km par l’A84, qui y croise la N174-D974; l’échangeur (n°40) a suscité une zone d’activités au Saussey; vérandas Blavait (20 sal.), Frigo-Transports (80 sal.), transports Alloin (30 sal.). La crête au sud, entamée par une carrière, porte au sud-ouest le parc éolien du Hameau au Brun, doté de quatre Gamesa (8MW) mises en place par l’espagnol Iberdola pour EDF. Guiberville, limitrophe du Calvados, a crû de 400 hab. depuis 1999 (+48%).