Communauté d’agglomération du Grand Villeneuvois

Villeneuvois

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pays de Villeneuve-sur-Lot, connu pour ses légumes, son tabac et ses fruits, dont le pruneau d’ente; le centre en est la riche vallée du Lot, de Fumel à Clairac; nombreux organismes professionnels et de valorisation des produits agricoles (fruits, légumes, tabac et vigne), spécialités de petits pois et haricots verts. Le Haut-Villeneuvois correspond aux collines calcaires du nord, autour de Monflanquin.

Le Grand Villeneuvois est une communauté d’agglomération du Lot-et-Garonne, associant 19 communes et 48 400 hab. sur 35 400 ha; le siège est à Casseneuil. Villeneuve-sur-Lot, Bias, Casseneuil, Pujols et Sainte-Livrade-sur-Lot ont plus de 2 000 hab.

Trois autres communes sont au nord du Lot.

Lédat (1 430 Lédatais, 1 243 ha dont 146 de bois), est à 6 km NO de Villeneuve, au bord de la Lède. Le finage s’étire du nord au sud, où il s’élargit et inclut 4 km de la rive droite du Lot (pont vers Bias); fabrique d’appareils médicaix Syst’Am Ondska (60 sal.), travaux publics Colas (30 sal.), négoce de métaux Coprometal (20 sal.). La commune a gagné 520 hab. depuis 1999 (+57%).

Saint-Étienne-de-Fougères (840 Stéphanois, 990 ha), 14 km à l’ouest de Villeneuve, a un finage petit, entre ceux de Castelmoron-sur-Lot et de Sainte-Livrade-sur-Lot, et limité à la plaine; il atteint au sud la rive droite du Lot à Feuillade; +90 hab. depuis 1999.

Fongrave (640 Fongravais, 946 ha), 16 km OSO de Villeneuve, est dans la même situation mais un peu plus à l’ouest, et son village est sur la berge du Lot, où son église, issue d’un monastère fontevraldien, est enrichie d’un très beau retable; +60 hab. depuis 1999.

Le reste du Grand Villeneuvois est au sud du Lot.

Dolmayrac (720 Dolmayracais, 1 940 ha dont 300de bois) est à 15 km OSO de Villeneuve, son village perché sur un pech vigoureux. C’est un ancien bourg castral, avec des éléments intéressants et classés de l’église, du château et des murailles (13e au 16e s.). Le finage, limité au nord par l’Autonne, a un relief accidenté, et contient au sud la source et le haut vallon de la Bausse, qui rejoint le Lot à Granges; +180 hab. depuis 1999 (+33%).

Allez-et-Cazeneuve (610 Alléziens, 1 069 ha), 8 km OSO de Villeneuve, étire son finage entre plaine du lot au nord et serres au sud, de part et d’autre de la vallée de l’Autonne. L’habitat y est dispersé: la mairie est à Allez sur le coteau gauche du Lot, mais à distance de l’église qui est plus bas; Cazeneuve n’est plus qu’un petit hameau sur la rive gauche de l’Allonne, au pied du promontoire qui porte le château de Tombebouc (13e) et l’esquisse de hameau de Vidalot. En fait l’habitat principal est tout au nord, aux abords de la D911 qui parcourt la plaine parmi les vergers. La réunion des trois paroisses d’Allez, Cazeneuve et Tombebouc date des années 1790.

Sainte-Colombe-de-Villeneuve (510 hab., 1 892 ha dont 345 de bois), 7 km SO de Villeneuve, est un village de plateau accidenté, juché au-dessus du profond vallon drainé par un petit affluent de la Masse (de Villeneuve), au fond duquel est un lac de 12 ha; plus au sud en tête de vallon, grottes de Lastournelles. L’Autonne a sa source un peu au nord du village et son vallon s’enfonce très vite. La commune a gagné 140 hab. depuis 1999. (+38%).

Saint-Antoine-de-Ficalba (730 Antonins, 1 093 ha dont 149 de bois) est à 10 km SSE de

Villeneuve près de la N21 qui court sur le plateau; fabrique de bennes Dalby (130 emplois). Elle a 160 hab. de plus qu’en 1999 (+28%). Le nom de Ficalba a été ajouté officiellement en 1919 mais il est d’un usage local très antérieur: il désignerait la figue blanche, abondante en ces lieux où elle aurait été importée d’Orient au temps des Crosiades. Le village aurait été créé par des hospitaliers antonins au début du 13e siècle.

Hautefage-la-Tour (980 hab., 2 075 ha), 16 km SE de Villeneuve, 9 km au SSO de Penne, a son village sur un rebord de plateau, avec une une tour hexagonale renaissance, et un finage très accidenté par les têtes de la Tanconne, où s’insinue la voie ferrée d’Agen à Villeneuve et Périgueux. L’habitat se disperse sur les lambeaux de plateau; anciennes églises isolées du 12e s. à Saint-Just, Saint-Thomas et Bonneval au nord sur des croupes, +220 hab. depuis 1999 (+29%). L’adjonction la-Tour à Hautefage est de 1919.

Cassignas (120 Cassignacais, 786 ha dont 155 de bois), 20 km SE de Villeneuve, au sud d’Hautefage, n’a pas de vrai village; le plateau y est accidenté par les têtes du Vidalet, affluent de la Tanconne.

Monbalen (430 Monbalenois, 1 300 ha dont 161 de bois), 13 km SSE de Villeneuve, est également sans village; Montbalen est un lieu-dit au sud, au-dessus d’un lac collinaire de 7 ha, la mairie est au minuscule hameau de l’Église au NE. Un parc animalier se signale à l’angle SO du finage près de la N21 qui traverse le plateau à l’ouest. La commune a gagné 80 hab. depuis 1999 (+23%).

Castella (370 Chatelains, 1 252 ha dont 173 de bois), 13 km SSO de Villeneuve-sur-Lot, n’a guère plus de village que les précédentes, sinon mairie et église juste près de la source du Bourbon; à l’est, grottes et parc préhistorique de Fontirou et source de la Masse (de Villeneuve). Une queue du finage au SO le long du Bourbon contient le lac collinaire d’Arasse (24 ha), partagé avec Foulayronnes. La commune a gagné 50 hab. depuis 1999.

La Croix-Blanche (1 030 Cruciblanchais, 1 305 ha dont 185 de bois), 15 km au sud de Villeneuve, est traversée par N21 et proche d’Agen (14 km au NNE), ce qui lui a valu de recevoir 270 hab. de plus depuis 1999 (+36%) et des maisons éparpillées sur le plateau. À l’est, le finage atteint la Masse en plusieurs vallons.

Laroque-Timbaut (1 710 Roquentins, 2 164 ha dont 240 de bois) est un ancien chef-lieu de canton du Lot-et-Garonne dans l’arrondissement d’Agen, 17 km au NE de la ville et 16 km SSE de Villeneuve-sur-Lot. Le village, bien équipé, est perché en tête de vallon; halle ancienne, musée Gertrude Schoen; institution pour enfants. La voie ferrée d’Agen à Périgueux emprunte un vallon (gare) et franchit par un tunnel de 1 100 m le partage entre les bassins de la Garonne et du Lot, juste au nord du village; la D656 traverse le plateau à l’est. La commune a absorbé en 1839 celle de Vitrac, au nord-ouest; restent un lieu-dit et un Pech de Vitrac, avec une grotte. Le peuplement a nettement repris depuis 1962 (910 hab.), augmentant de 350 hab. depuis 1999 (+26%).

Saint-Robert (190 Saint-Robertois, 674 ha) est à 21 km SSE de Villeneuve au SE de Laroque-Timbaut. Le petit village, à l’est, est proche de la vallée de la Petite Séoune, vers laquelle se dirigent les vallons qui accidentent le paysage, surtout au nord, où le hameau de Renaudy domine un lac collinaire. Au sud, le finage est proche de La Sauvetat-de-Savères.


Bias

(3 170 Biassais, 1 229 ha) est une communedu Lot-et-Garonne en banlieue ouest de Villeneuve-sur-Lot sur la plaine de rive gauche du Lot. , dans l’aggomération du Grand Villeneuvois. Elle n’a été créée qu’en 1935, par détachement de Villeneuve, et avait 740 hab. en 1936; elle est brusquement montée à 2 500 en 1968 avec l’installation d’un camp de harkis (1962-1983), puis a crû lentement (+40 hab. depuis 1999). Le village originel est vers le nord; de l’ancien camp, il reste une petite cité résidentielle. L’essentiel de l’habitat et des activités est au sud, le long de la route (D911), et aux abords de Villeneuve à l’est; château classé de Favols (13e et 16e s.) à l’extrême NO au bord du Lot; conserves de fruits dont Favols, au groupe britannique Hillsdown (40 sal.); espaces verts Courserant (35 sal.), recyclage Brange (20 sal.); hypermarché Auchan (200 sal.), ambulances Alliance (30 sal.) et Saga Laborde (30 sal.), travail temporaire AEJ Intérim (85 sal.), Jardinerie de la Plaine, avec collections de papillons vivants, maison familiale rurale.


Casseneuil

(2 420 Casseneuillois, 1 809 ha dont 189 de bois) est une commune du Lot-et-Garonne à 10 km NO de Villeneuve-sur-Lot, dans le Grand Villeneuvois, sur la rive droite du Lot; industries alimentaires (prunes, conserves); entreprises de bâtiment; collèges public et privé, centre nautique; foires et salons GL (20 sal.). Le nom indique une clairière parmi les chênes. De 2 000 au milieu du 19e s., le nombre des habitants était descendu à moins de 1300 dans les années 1920, avant de remonter; il est stable depuis 1999. Le bourg est à la confluence de la Lède et du Lot; il se double rive gauche de la Cité Belle Rive. Au nord, le finage s’étend dans les collines, qui se terminent sur le Lot par un fort coteau de 70 m. À l’est, il s’étend dans la plaine du Lot. Au sud, il contient une part de la rive gauche sur 3 km vers l’amont.


Pujols

(3 750 Pujolais, 2 498 ha dont 290 de bois) est une commune du Lot-et-Garonne en banlieue sud de Villeneuve-sur-Lot, membre du Grand Villeneuvois. La ville haute (Pujols-le-Haut) est classée dans les «plus beaux villages de France» pour les restes d’une place forte perchée du 13e s., halle et maisons à colombage, anciennes murailles, église du 15e s. (gothique flamboyant). Elle domine la vallée de la Masse — le nom Pujols, comme puy ou pech, signale une hauteur. Le peuplement s’est largement étendu sur toute la serre vers l’est et le sud-est, ainsi qu’au pied du relief au nord du côté de Villeneuve; à l’est, la N21 se faufile dans les vallons. Pujols abrite une maison familiale rurale de 240 élèves; négoce d’appareils d’hydrothérapie Aquamarine (25 sal.), comptabilité @Com (30 sal.). La population a fortement augmenté de 1936 (850 hab.) à 1999, mais plafonne et a même diminué de 90 hab. depuis 1999.


Sainte-Livrade-sur-Lot

(6 550 Livradois, 3 094 ha) est un ancien chef-lieu de canton du Lot-et-Garonne, 10 km à l’ouest de Villeneuve-sur-Lot sur la rive gauche du Lot, dans le Grand Villeneuvois. La commune est dite «sur Lot» depuis 1919. Elle occupe un large lobe de méandre de la rivière jusqu’en face de Casseneuil. Le bourg est une ancienne bastide de 1289, mais sur un site occupé antérieurement; il a conservé une tour carrée de l’enceinte du 13e siècle, des maisons anciennes.

La spécialité ancestrale de chapeaux de feutre a disparu mais la ville est un centre notable d’agro-alimentaire, avec une fabrique de plats cuisinés Raynal et Roquelaure (75 sal.), plusieurs sécheries de pruneaux et autres fruits dont les vergers Vergnes (50 sal.) et Coufidou (25 sal., pruneaux); menuiseries métalliques Loubat (95 sal., fermetures de bâtiment) et SML (25 sal.), constructions Sogec (45 sal.); espaces verts Antoine (25 sal.), transports Vezo (25 sal.); Intermarché (30 sal.). Elle a un collège public et un lycée agricole avec centres de formation professionnelle et d’apprentis agricoles, et elle est «station verte de vacances». La D911 traverse le finage, avec une dérivation par le sud. Le finage s’étale largement dans la plaine du Lot au nord-est. Il monte au sud sur les premiers reliefs du coteau du Lot et atteint la vallée de l’Autonne, qui conflue avec le Lot à la limite occidentale de la commune.

La population a fortement augmenté entre les années 1920 (2 500 hab.) et 1954 (3 600), puis fait un saut à 5 300 hab. en 1962, et s’est à peu près stabilisée depuis 1968; +330 hab. depuis 1999. Ces fluctuations sont en partie liées à l’apparition du «camp» de Sainte-Livrade, devenu le CAFI, d’abord chantier de construction d’une poudrerie, puis garnison, enfin camp d’accueil de Vietnamiens en 1956, qui y ont fait souche. La commune est le bureau distributeur du nouveau canton du Livradais (14 communes).

Le CAFI de Sainte-Livrade. Au Moulin du Lot, sur la rive juste au nord de la ville, s’est ouvert à la fin des années 1930 un camp de travailleurs pour le chantier d’une immense poudrerie dont la construction avait été décidée en 1935; elle était loin d’être achevée en juin 1940. Les bâtiments du camp ont été utilisés ensuite pour accueillir des Chantiers de Jeunesse et, après 1944, des régiments coloniaux. En 1956, l’État décida de l’affecter à l’accueil de Vietnamiens exilés d’Indochine, soit 1 200 personnes, parmi lesquels 740 enfants, transformant ainsi le camp en «CAFI», Centre d’accueil des Français d’Indochine. Quelques entreprises s’ouvrirent, dont une usine de chaussures, fermée en 1976. Les familles sont restées et ont fait souche, en dépit de la précarité de l’habitat. Puis l’État transféra l’ensemble à la commune en 1983, avec quelques fonds, à charge pour elle de rénover l’habitat, d’assurer sa salubrité et l’intégration au tissu urbain municipal. Une opération de «réhabilitation» d’urgence a été lancée en 1993 et les travaux se poursuivent. La population reste à majorité asiatique, avec des boutiques et lieux de culte propres.


Villeneuve-sur-Lot

(23 280 Villeneuvois, 8 132 ha dont 979 de bois), est une sous-préfecture du Lot-et-Garonne à 30 km NNE d’Agen. C’est l’une des rares bastides (1264) à avoir «réussi», jadis nommée Villeneuve, ou Villeneuve-d’Agen; le nom actuel date de 1875. Elle a été créée à la demande d’Alphonse de Poitiers près du site du monastère bénédictin d’Eysses, lui-même réutilisant un vieux site gallo-romain (Excisum). Elle tient un notable carrefour routier sur la N21, doublée par la voie ferrée d’Agen à Périgueux, dans une superbe vallée très bien cultivée.

Le vieux centre, en damier, est sur la rive droite, entouré d’une ceinture rectangulaire; mais il a été rapidement doublé rive gauche par un nouvel ensemble de taille comparable, entouré maintenant d’un boulevard semi-circulaire à la place de l’enceinte, et dont le tracé des rues est moins régulier. Cette double vieille ville à trois ponts rapprochés vaut la visite; elle cumule une belle place à arcades (place des Cornières), la tour-porte de Paris, des églises, le vieux pont, des maisons anciennes, un théâtre, un marché couvert; au sud, grands haras et villa Gaston Rapin, de style «balnéaire 1900», devenue musée d’art et d’histoire, avec une école d’art. Juste en amont, l’ancien moulin de Gajac a été rénové en musée des beaux-arts. Un nouveau parc est aménagé à l’emplacement de l’ancienne gare. Au NE de la ville, le site gallo-romain d’Eysses montre quelques restes, et un musée d’histoire et, tout près, la prison. En amont sur la rive droite, hippodrome de Sengruères; en face rive gauche, base de loisirs de Rogé, base nautique, aérodrome (LFCW) avec une piste de 1 050 m à revêtement souple; aéroclub.

Villeneuve organise un festival de jazz et un salon du livre et entretient un centre culturel. La «centrale» d’Eysses est un centre de détention installé dans les locaux de l’ancienne abbaye au NE de la ville; elle reçut pendant la dernière guerre de nombreux prisonniers politiques et résistants, qui se soulevèrent sans succès, mais non sans victimes, en février 1944.

Villeneuve est un grand marché rural et centre de services, doté d’un hôpital public de 240 lits, deux cliniques dont une de 180 emplois et une autre de 80 (ensemble 130 lits); maison de retraite Orpea (45 sal.), trois lycées dont deux publics, trois collèges dont deux publics, un lycée agricole privé, un marché de gros de fruits et légumes; hypermarché Leclerc (340 sal.), Intermarché (40 sal.), bricolage BBJ du groupe Leclerc (75 sal.), Conforama (20 sal.); La Hutte (25 sal.); comptabilité ECE (35 sal.), informatique Sigema (40 sal.).

La commune dispose de 5 zones industrielles (1 800 emplois) et 2 commerciales. Les ateliers sont surtout orientés vers le bois et l’agro-alimentaire; charpentes BCI (50 sal.), Siga (30 sal.), sécheries et négoces de pruneaux dont les Pruneaux de Menet (25 sal.) et Cotolot (25 sal.); viandes et plats cuisinés Barral (70 sal.) et Lou Traiteur (55 sal.), Viandes des Bastides (40 sal.); céréales Georgelin (25 sal.); emballages de carton Sodapack (35 sal.), emballages métalliques légers Ardagh (30 sal.); mécanique MGA (40 sal.) et CMV (25 sal.); bétons Sovidal (20 sal.) et plastiques Lafarge (25 sal.).

Villeneuve est également le siège de la société de distribution GIFI, créée en 1981, qui dispose d’assez nombreux magasins de fournitures à bon marché pour la maison, les cadeaux, les jouets (1 200 sal.). S’y ajoutent des transporteurs (A Vive Allure, 25 sal.; Fiagéo, 25 sal.) et l’entreposage Sofrica (25 sal.), et des entreprises de bâtiment et travaux publics comme Eurovia (85 sal.), Sogea (50 sal.), les lignes électriques Allez (55 sal.), traitement des eaux Veolia (40 sal.); négoce alimentaire CBS (50 sal.), de céréales Eurocer (50 sal.); travail temporaire Adecco (160 sal.), électricité EDF (55 sal, dont une centrale hydroélectrique) et Enedis (45 sal.).

Le finage s’étend loin vers le NO le long de la N21, dépassant la vallée de la Lède autour du château de Beauregard qui est sur son versant droit. Il avance loin aussi au nord-est autour du hameau et de la butte de Montmarès parmi les vergers. Au sud-est, la zone d’activités autour du château de Bonrepos est dominée par un puissant relie f de serre où passe le GR652. Le finage est plus resserré au sud-ouest rive gauche, où il est contenu par ceux de Bias et de Pujols.

La commune avait 14 000 hab. dans les années 1880, 12 000 dans les années 1930; sa population est montée à 17 300 en 1962, 22 300 en 1975; elle a baissé de 880 hab. depuis 1999. L’unité urbaine comprend les communes de Bias et Pujols et dépasse ainsi 30 000 hab. L’aire urbaine Insee a 44 800 hab., mais elle inclut discutablement Fumel. La communauté d’agglomération du Grand Villeneuvois associe 19 communes et 48 400 hab. (siège à Casseneuil). L’arrondissement de Villeneuve a 89 900 hab., 92 communes et occupe le quart NE du département. Deux nouveaux cantons portent le nom de Villeneuve-sur-Lot, chacun comprenant une fraction de la commune, le premier en y ajoutant Lédat, le second cinq autres communes.