Tremblay-les-Villages

(2 340 Tremblaisiens, 6 331 ha dont 400 de bois) est une commune de l’Eure-et-Loir dans le Pays de Dreux, 19 km au sud de Dreux et 22 km au NNO de Chartres. Elle a un échangeur de la N154 à l’est du bourg. Tremblay avait déjà absorbé Landouville, au sud-est, en 1846; mais elle s’est surtout agrandie en 1972 en fusionnant avec Gironville-et-Neuville (310 hab.) au nord, Chêne-Chenu (400) à 5 km à l’ouest, Écublé (440) et au sud-ouest Theuvy-Achères (220), elle-même résultant d’une fusion de 1839, à l’est Saint-Chéron-des-Champs (180). La commune est ainsi passée de 440 à 1 000 hab. et a changé son nom de Tremblay-le-Vicomte en Tremblay-les-Villages. Ensuite la population a encore sensiblement augmenté; elle a gagné 480 hab. de plus après 1999 (+26%).

Toutefois, l’interposition de Sérazereux au sud-est, opposée à la fusion, a fait de Saint-Chéron une enclave, 7 km au SE de Tremblay, qui héberge un conditionnement de produits avicoles Cg Coq Île-de-France (40 sal.). Le finage compte les hameaux de Moreaulieu au NO, Gironville et Neuville la Mare au nord, Landouville et Achères au sud, le parc d’activités de la Vallée du Saule à l’est près d’un échangeur de la N154. Tremblay a perdu des emplois industriels; restent une fabrique de linge de maison (Ké France, 50 sal.), une entreprise de bâtiment (Alm, 25 sal.) et une de travaux publics (TP28, 40 sal.), nettoyage Plus de Temps (20 sal.); un théâtre de l’Aube; restes d’un château du 13e s.

Retour