Communauté d’agglomération de l’Ouest Rhodanien' communauté d’agglomération du département du Rhône, associant 31 communes et 50 600 hab. sur 57 860 ha. Tarare (siège), Amplepuis, Cours, Thizy-les-Bourgs, Vindry-sur-Turdine ont plus de 2 000 hab. Les Sauvages (620 Sauvageons, 1 255 ha dont 420 de bois), 9 km NO de Tarare, limitrophe du département de la Loire, se tient sur la crête qui sépare les bassins de la Loire et du Rhône, près de la D8 au col des Sauvages (714 m). La commune a un institut médico-éducatif de l’association la Roche; sous le village, la voie ferrée de Roanne à Lyon emprunte un tunnel de 3 km. La population communale a eu un maximum de 810 hab. en 1846, un minimum de 310 hab. en 1968; elle n’a gagé que 30 hab. depuis 1999. Joux (770 Jouxiens, 2 518 ha dont 900 de bois) est limitrophe du département de la Loire, à 5 km en amont de Tarare à 500 m, au bord de la Turdine qui, un peu en aval, nourrit un lac de barrage de 9 ha établi en 1901. La commune contient les sources de la rivière; juste au nord, la N7 emprunte le col du Pin Bouchain à 759 m; à l’est et au sud, l’A49 suit le vallon du Boussuivre à la sortie du tunnel de Violay. Joux a eu 1 300 hab. en 1876, 380 en 1975; elle a gagné 160 hab. depuis 1999 (+26%). Saint-Marcel-l’Éclairé (550 Saint-Marcellois, 1 188 ha), limitrophe du département de la Loire, est juste au sud de Tarare à 560 m dans un vallon affluent de la Turdine. L’A89 traverse le nord du finage entre les deux tunnels de Chalosset et de la Bussière; +30 hab. après 1999. Affoux (400 Affousiens, 1 065 ha), limitrophe du département de la Loire, est à 9 km SSO de Tarare à 795 m dans un environnement boisé; +150 hab. depuis 1999 (+60%). Saint-Forgeux (1 510 Beureillons, 2 227 ha) est à7 km au SE de Tarare dans le vallon de Ronzière, affluent de la Turdine; +240 hab. après 1999 (+19%). Ancy (690 Ancéens, 1 184 ha dont 290 de bois) a son village 12 km SE de Tarare à 460 m: le finage monte jusqu’à 860 m au mont Pélerat et 815 sur la grosse butte boisée du mont d’Arjoux, partagée avec Savigny et Saint-Romain-de-Popey; +200 hab. depuis 1999 (+41%). Saint-Romain-de-Popey (1 600 Saint-Rominois, 1 702 ha dont 223 de bois), 10 km SE de Tarare, à 400 m, a une maison familiale rurale; hameau d’Ordilly au SE. Au nord, le hameau des Arnas voisine avec une gare et l’A89; le long de la Turdine passent la voie ferrée, la N7et l’A89, qui ont un échangeur partagé avec Vindry. La commune a gagné 330 hab. (+24%) depuis 1999; elle avait dépassé 1 600 hab. au milieu du 19e s., et était descendue à 700 en 1975. Saint-Clément-sur-Valsonne (920 Saint-Clémentois, 1 451 ha) est à 6 km NNE de Tarare dans la vallée du Soanan, affluent de l’Azergues; elle a 370 hab. de plus qu’en 1999 (+67%). Valsonne (990 Valsonnais, 1 825 ha dont 1 023 de bois) est à 9 km au nord de Tarare dans la vallée du Soanan à 460 m, sur la D313. La route de la vallée mène à Amplepuis par le col du Pilon (727 m). Valsonne a eu près de 1 400 hab. dans les années 1880 et était descendue à 450 en 1975, mais a repris depuis, gagnant 260 hab. après 1999 (+36%). Dième (190 Dièmois, 905 ha) est à 14 km NNE de Tarare aux sources du vallon de Dième, affluent de gauche du Soanan; +80 hab. depuis 1999. Saint-Appolinaire (230 Saint-Appolinairiens, 573 ha) est à 14 km au nord de Tarare à 690 m, au-dessus des sources du Soanan. Sa population a plus que doublé depuis 1999. Ronno (670 Ronnis, 2 292 ha) est à 16 km NNO de Tarare à 540 m; base nautique et de plein air au nord, sur le lac des Sapins dans la vallée du Reins. Saint-Just-d’Avray (770 Chouettes, 1 750 ha dont 780 de bois) a son village perché sur une butte, 19 km au nord de Tarare à 580 m, au-delà du col de la Croix de l’Orme (727 m), à la tête de vallons descendant à l’est vers l’Azergues; institut médico-éducatif (60 sal.). La commune avait 1 600 hab. dans les années 1840 et a décliné jusqu’en 1982, puis a un peu repris (+80 hab. après 1999). Avray est un petit hameau à l’ouest. Chambost-Allières (950 Chambostiens, 1 414 ha dont 800 de bois), 25 km NNE de Tarare au sud de Lamure, se divise entre Allières au bord de l’Azergues, où travaillent l’atelier de plasturgie Mora (110 sal.), et Chambost perché à l’est dans les collines, les deux étant réunies depuis 1790. Sa population a un peu diminué depuis un siècle mais s’est assez bien maintenue (850 hab. en 1901, 580 en 1962); elle a gagné 320 hab. après 1999 (+51%). Grandris (1 210 Grandrisiens, 1 522 ha dont 633 de bois) est à 27 km NNE de Tarare, à 470 m sur les collines dominant l’Azergues juste à l’ouest de Chambost-Allières. Elle fut un foyer de tissages mais n’a plus que de petits ateliers, et un hôpital local de 10 lits médicaux (170 en tout); la commune a eu 2 300 hab. en 1881 et s’est dépeuplée jusqu’en 1975 avant de se stabiliser; elle a gagné 170 hab. depuis 1999. Lamure-sur-Azergues (1 110 Lamuriens, 1 581 ha dont 626 de bois) est un ancien chef-lieu de canton à 26 km ONO de Villefranche-sur-Saône, 30 km NNE de Tarare. La commune a un collège public, une maison familiale rurale; château de Pramenoux à base féodale; gare. La Sofami fabrique des moules métalliques (40 sal.). La mention «sur Azergues» date de 1892. La population a connu un maximum à 1 300 hab. en 1896, un minimum à 780 en 1990. Elle a augmenté ensuite, mais a baissé de 50 hab. après 1999. Claveisolles (650 Claveisolliens, 2 833 ha dont 1 419 de bois) est 5 km au nord de Lamure à 483 m, 35 km NNE de Tarare. Elle avait plus de 1 000 hab. en 1896; elle a connu son minimum à 500 hab. en 1982 et a la même population qu’en 1999. La voie ferrée y dessine une grande spirale, en partie en tunnel; la commune héberge un collège privé avec internat. Chénelette (360 Chenelettons, 1 102 ha) est la commune la plus septentrionale de l’Ouest Rhodanien, 43 km au NNE de Tarare, 9 km à l’ouest de Beaujeu, à un confluent de la vallée de l’Azergues sur la D337. Poule-les-Écharmeaux (1 070 Poulons, 3 123 ha dont 2 000 de bois), limitrophe du département de la Loire, 41 km au nord de Tarare à 675 m, nommée Poule tout court jusqu’en 1954, tient les sources de l’Azergues et l’accès au col des Écharmeaux, et domine le débouché du grand tunnel ferroviaire de 4 152 m qui relie les vallées de l’Azergues et du Sornin par Chauffailles; le col, carrefour de routes où passe même le GR7, est à 712 m; il commande des routes vers Beaujeu, Chauffailles, la vallée du Reins et bien entendu celle de l’Azergues; le relief de la crête entre les bassins de la Loire et de la Saône monte à 970 m à la Roche d’Ajoux. La commune avait plus de 1 900 hab. en 1896 et sa population a diminué jusqu’en 1999, mais elle a gagné 210 hab. après1999 (+24%). Ranchal (330 Ranchalais, 1 514 ha), limitrophe du département de la Loire, 35 km au nord de Tarare, est à la source du Reins, avec un petit village à 722 m; +50 hab. après 1999. Saint-Nizier-d’Azergues (810 Saint-Niziards, 2 423 ha)est à 34 km NNE de Tarare sur le versant droit de l’Azergues à 516 m; son finage déborde aussi sur le versant gauche; forêt de Pramenoux au sud. La crête occidentale monte à 834 m. La commune a 160 hab. de plus qu’en 1999 (un quart). Saint-Bonnet-le-Troncy (320 Saint-Bonnins, 1 565 ha dont 780 de bois), 31 km au nord de Tarare, 10 km au NO de Lamure (5 km à vol d’oiseau) à 710 m, fut une bourgade active et fortifiée; musée d’arts des missions océaniennes; +40 hab. après 1999. Saint-Vincent-de-Reins (620 Saint-Vincentais, 1 387 ha, à 698 m), 28 km au nord de Tarare à 582 m sur le versant droit de la vallée du Reins, maintient un tissage Deveaux (80 sal.). Elle s’est constamment dépeuplée de 1876 (2 400 hab.) à 1999, puis a gagné 40 hab. après 1999. Meaux-la-Montagne (230 Meldois ou Montagnards, 919 ha) est à 25 km au nord de Tarare à 650 m; hameau de Bussières au nord, camping au NO. La commune a été créée en 1844 à partir de plusieurs voisines; «la Montagne» a été ajouté en 1937; +60 hab. depuis 1999. Cublize (1 320 Cublizards, 1 556 ha dont 400 de bois) est dans la vallée du Reins, 7 km au NNE d’Amplepuis à 464 m; le lac de barrage des Sapins (40 ha) s’accompagne d’une base de loisirs et d’une forêt d’aventure et cyberbase (50 000 véhicules par an); on y a aménagé aussi une Maison de l’Europe, avec spectacles sur grand écran. La commune héberge un atelier de plastiques AD Majoris (30 sal.). Cublize a eu jusqu’à 3 000 hab. dans les années 1840 et s’est ensuite dépeuplée jusqu’en 1975 (930 hab.), avant de reprendre modérément; elle a gagné 260 hab. depuis 1999 (un quart). Saint-Jean-la-Bussière (1 220 Bussiérois, 1 548 ha), limitrophe du département de la Loire, est à 3 km au nord d’Amplepuis à 520 m; elle avait dépassé 1 800 hab. dans les années 1850; elle a regagné 320 hab. depuis 1999 (+36%). (5 020 Amplepuisiens, 3 844 ha dont 953 de bois) est un ancien chef-lieu de canton du département du Rhône dans la CA de l’Ouest rhodanien, 45 km à l’ouest de Villefranche-sur-Saône et 28 km ESE de Roanne, à 571 m, sur le Reins, qui devient Rhins un peu en aval. La ville fut un grand centre d’industrie textile; le quartier Déchelette porte le nom et l’empreinte de l’industriel du textile qui, dans les années 1870 et 1880, en fit une sorte de modèle d’urbanisme fermé et dépendant de l’usine. Il en reste peu de chose; Robin Mariéton fait encore des couvertures et compresses (20 sal.), Abellard de l’ennoblissement textile (25 sal.), Hydrex des compresses et pansements (30 sal.); dans d’autres domaines, installations électriques Moos (70 sal.), maçonnerie Farjot (55 sal.), nombreux autres petits ateliers; un Intermarché. La ville consacre un musée à l’inventeur de la machine à coudre Barthélemy Thimonnier (1793-1857) et à une vaste collection de machines. Elle a un collège public et un privé, un hôpital local de 140 lits (aucun médical). La voie ferrée de Roanne à Tarare et Lyon passe par la ville, empruntant vers le SE la vallée encaissée du Rançonnet avant d’attaquer le tunnel des Sauvages. Au-dessus, sont des restes du château de Rochefort, des 16e-17e s. La commune avait déjà 4 500 hab. en 1820; sa population est montée à 7 300 hab. en 1886 puis s’est mise à baisser jusqu’en 1990. Elle a la même population qu’en 1999. (4 460 Courslauds, 3 381 ha) est une commune nouvelle du Rhône dans la CA de l’Ouest Rhodanien. Elle ajoute à Cours-la-Ville (3 690 hab., 1 948 ha) les deux anciennes communes de Pont-Trambouze (430 hab., 406 ha), 4 km au sud dans la vallée de la Trambouze et Thel (340 hab., 1 027 ha), 9 km au NE de Cours, 5 km à l’est de la Ville. Au total, la nouvelle commune a 390 hab. de moins qu’en 1999. Cours-la-Ville, 11 km au nord de Thizy dans la vallée de la Trambouze, résulte d’une fusion de 1974 entre Cours (5 400 hab.) et La Ville (400 hab.), 3 km au NNE; leur population a diminué ensuite (4 300 hab. en 1999); Cours seule avait culminé à 6 900 hab. en 1881. Son petit bassin, qui monte au col de la Bûche (683 m) au nord, fut un foyer d’activité des paysans-tisseurs; il se donna une spécialité de couvertures de laine vers 1825, puis de toiles à laver. Il en reste une fabrique de serpillières (Thion, 75 sal.), plus un atelier de fabrication de machines pour l’industrie textile (Andritz-Laroche, 85 sal.); menuiserie métallique Malerba (500 sal.), constructions métalliques SMC (100 sal.), négoce de bois et matériaux Cami (70 sal.); peintures et finitions de bâtiment Aubonnet (130 sal.), maçonnerie Bertrand Duron (60 sal.); transports Perrenot (60 sal.). L’ancien tissage Poizat et son parc restaurés, une exposition de couvertures et un château de la fin du 19e s. ajoutent de l’attrait à la ville; celle-ci a un collège public et un privé. Thel a son village juché sur une colline à 722 m, son finage borné à l’est par le cours du Reins. Elle a approché 1 200 hab. en 1872 et a eu moins de 300 hab. entre 1960 et 1986. Pont-Trambouze, à 500 m d’altitude, a une fabrique de portes et fenêtres du groupe Saint-Gobain (Guiraud, 160 sal.) et une menuiserie Gimm (70 sal.). La commune a été créée en 1886 avec 880 hab.; sa population a légèrement dépassé 1 000 hab. en 1911 et n’a pas cessé de diminuer ensuite. (10 830 Tarariens, 1 399 ha dont 453 de bois) est un ancien chef-lieu de canton du département du Rhône dans l’arrondissement de Villefranche-sur-Saône, à 44 km ONO de Lyon et à peu près autant de Roanne, membre de la CA de l’Ouest Rhodanien. La ville s’allonge dans la vallée de la Turdine en un site local de confluence, sur la N7. Elle a un collège, un lycée général et un lycée professionnel publics, un collège et un lycée privés, un centre hospitalier (114 lits de médecine, 280 en tout), un supermarché Auchan (50 sal.); gestion immobilière Habitat d’entre Rhône et Loire (70 sal., groupe Solendi). La population de la commune, qui atteignait 15 000 hab. vers 1870, n’a cessé de diminuer depuis. La ville a conservé des maisons anciennes, et le moulinage du Vert Galant (J.-B. Martin), de 1843, est restauré et entretenu. Elle fut un centre textile, connu pour sa spécialité de voiles de mousseline au 19e s., puis de voiles de tergal après 1957. Mais l’industrie, si elle reste active, a bien changé. Les principaux établissements sont ceux de Gerflor (660 sal., ex-Taraflex) dans les revêtements de sol; d’Agis dans les plats cuisinés (210 sal, groupe LDC). Le textile était encore représenté par des teintureries et impressions sur tissus, mais les trois ateliers regroupés par les Teintureries de la Turdine ont fermé en 2017. Le nouveau canton de Tarare a 18 communes, 29 100 hab. (6 060 hab., 4 444 ha) est une commune nouvelle du Rhône dans la CA de l’Ouest Rhodanien. Elle fusionne 5 anciennes communes depuis 2013. Elle est limitrophe de la Loire. Elle a 480 hab. de moins que ses composantes en 1999. Thizy (2 260 Thizerots, 194 ha) est un ancien chef-lieu de canton dans l’arrondissement de Villefranche-sur-Saône, 51 km à l’ouest de celle-ci à 560 m, 21 km à l’est de Roanne et 8 km au nord d’Amplepuis. Ancienne place forte des Beaujeu, elle fut une ville du textile et a conservé sa halle de 1610 et des maisons anciennes, un écomusée du Haut Beaujolais; collège et lycée publics, hôpital local (10 lits de médecine, 380 en tout). La menuiserie métallique France-Décors fabrique du mobilier d’étalages (160 sal., groupe Malerba); papeterie d’emballages pour cadeaux Cellocoup (45 sal.). La population de Thizy a culminé à 4 900 hab. en 1891, et dépassé les 4 000 hab. de 1881 à 1954; elle n’a pas cessé de diminuer depuis, perdant encore 340 hab. après 1999. Bourg-de-Thizy (2 460 Beuris, 1 449 ha) est à 461 m, juste à l’ouest de Thizy avec qui elle ne forme qu’une seule agglomération; institut médico-éducatif, collège privé, hôpital rural de 110 lits (aucun médical). De son passé textile et papetier sont issus une fabrique de U10 (linge et décors de maison, 170 sal.) et une fabrique de papiers adhésifs Avery Dennison (états-unien, 55 sal.). La commune a eu 4 700 hab. en 1901 et n’a pas cessé ensuite de perdre des habitants (-67 de 1999 à 2006). La Chapelle-de-Mardore (240 hab., 579 ha) est à 6 km NE de Thizy à 848 m. Mardore (470 hab., 1 347 ha) est à 10 km au NE de Thizy à 550 m. Marnand (620 hab., 875 ha) est juste à l’est de Thizy à 564 m. Le nouveau canton de Thizy-les-Bourgs a 21 communes, 26 500 hab. (5 400 hab., 2 387 ha) est une commune nouvelle du département du Rhône, dans la CA de l’Ouest Rhodanien., fusionnant 4 anciennes communes. La principale est Pontcharra-sur-Turdine (2 790 Ponturdinois, 473 ha), 5 km en aval de Tarare. Elle a été créée en 1840 à partir de Saint-Loup, avec 1 200 hab., et était nommée Pontcharra tout court jusqu’en 1890. Après avoir atteint 1 800 hab. en 1881, sa population a baissé jusqu’à 1 240 hab. en 1936, puis a augmenté à nouveau. Elle a gagné 620 hab. après 1999 (+29%); ingénierie TRAC (80 sal.). Juste au nord de Pontcharra, Saint-Loup (1 160 Saint-Loupiens, 965 ha) n’avait plus que 370 hab. en 1962, mais croît depuis et a gagné 280 habitants après 1999 (+32%); un centre Leclerc de 110 salariés s’y est établi. Dareizé (570 hab., 671 ha) est un peu au nord de Saint-Loup à 450 m et a 190 hab. de plus qu’en 1999. Les Olmes (880 hab., 278 ha) est juste à l’est de Pontcharra sur la D338 qui rejoint la N7; +110 hab. après 1999. Vindry est un hameau entre Pontcharra et Saint-Loup, dont le nom a été choisi en raison de sa position centrale dans le nouveau territoire, mais qui n’est pas sur Turdine. La vallée de la Turdine est empruntée au sud de Pontcharra par la N7, l’A89 (échangeur à péage n°35) et la voie ferrée de Roanne à Lyon. Au total, la commune a 1 200 hab. de plus que ses composantes en 1999 (+29%). |