Communauté de communes du Bassin de Pont-à-Mousson' communauté de communes de Meurthe-et-Moelle, associant 31 communes et 40 400 hab. sur 26 620 ha. Pont-à-Mousson (siège), Blénod-lès-Pont-à-Mousson, Dieulouard, Pagny-sur-Moselle ont plus de 2 000 hab. Maidières (1 570 Maidiérois, 181 ha) a un très petit territoire au pied du relief entre Pont-à-Mousson et Montauville, qui a gagné 190 hab. depuis 1999; laboratoire de recherche Saint-Gobain PAM (150 sal.), transports par cars DMA (85 sal.). Montauville (1 090 Montauvillois, 1 619 ha dont 442 de bois), 2 km OSO de Pont-à-Mousson, en banlieue ouest sur la D958, résidentielle, s’étend assez largement dans les bois du plateau de Haye et sa population a crû depuis les 650 hab. de 1950, mais pas près 1999; nécropole nationale de Pétant. Norroy-lès-Pont-à-Mousson (1 230 Nogarédiens, 589 ha dont 375 de bois), 4 km NO de Pont-à-Mousson, nommée seulement Norroy jusqu’en 1937, se tient dans un vallon de la côte au-dessus de la Moselle; beau point de vue à partir du plateau, à 363 m, au-dessus du village. Le canal latéral, la voie ferrée et la D952 passent au pied. La population communale était seulement de 380 hab. en 1954 et croît encore, gagnant 170 hab. après 1999. Vandières (940 Vandiérois, 1 235 ha dont 377 de bois), 7 km NNO de Pont-à-Mousson en lente croissance jusqu’en 1999, est à 2 km au nord, au débouché du profond vallon du Trey, longée par le canal latéral, la voie ferrée et la D952. Le finage s’étend à l’est dans la vallée de la Moselle parmi les étangs de gravières. Il est traversé du NO au SE par la LGV Est qui emprunte un viaduc de 1 510 m de long, 27 piles, entre 10 et 22 m au-dessus de la vallée, et qui est raccordé au réseau par une triple fourche. Le finage s’étire vers l’ouest, avec une annexe boisée de 80 ha et 2 km de long au-delà d’un étranglement de moins de 30 m de large. Le site de Vandières avait été proposé pour accueillir la gare de Lorraine du TGV mais celui de Louvigny était plus proche de Metz. La commune a un poste d’interconnexion électrique, et une fabrique de tubes d’emballage Albea du groupe Alcan (90 sal.); couverture Maddalon (45 sal.). Villers-sous-Prény (350 hab., 617 ha dont 251 de bois), 6 km NO de Pont-à-Mousson, est dans le vallon du Trey 3 km à l’ouest de Vandières. Vittonville (140 Vittonvillois, 403 ha), 7 km au nord de Pont-à-Mousson, a un petit village sur le versant droit de la Moselle, limitrophe du département de la Moselle. Champey-sur-Moselle (340 Champenais, 242 ha), 6 km au nord de Pont-à-Mousson, Champey seulement avant 1936, est sur la D657 et sur la rive droite de la Moselle. Au sud, le viaduc de la LGV est en partie dans la commune. Le finage monte à l’est à 394 m au Froidmont, à la limite de la Moselle. La mention sur-Moselle est de 1929. Bouxières-sous-Froidmont (370 hab., 771 ha dont 167 de bois), 7 km NNE de Pont-à-Mousson, est limitrophe de la Moselle au nord et à l’est et culmine au nord au Froidmont à 394 m; sous-Froidmont a été ajouté au nom dès 1801. Le village est sur la Côte de Moselle et tourne le dos à la rivière. L’A31 traverse la partie orientale de la commune, qui a 100 hab. de plus qu’en 1999 (+37%). Lesménils (500 hab., 1 084 ha dont 198 de bois), 5 km ENE de Pont-à-Mousson, est aussi sur le front de la Côte de Moselle à l’écart de la vallée de la Moselle et limitrophe du département de la Moselle le long de la Seille, qui borde son finage à l’est. Côté ouest, le relief est dominé par la grosse butte ronde de la Côte de Xon. Xon et Héminville sont des hameaux prolongeant le village sur les pentes de ce relief. La commune est traversée du nord au sud par l’A31 et du SO au NE par la D910 qui ont un échangeur à l’est du village, assorti d’une zone d’activités et d’une double aire de repos; fabrique de vis et boulons Gris Découpage (150 sal.), négoces d’équipements d’automobiles Car Avenue (120 sal.) et de boissons Rega (80 sal.); comptabilité Bailly (25 sal.). La LGV traverse au nord du finage. Morville-sur-Seille (150 Morvillois, 534 ha), 9 km à l’est de Pont-à-Mousson, juche son village en haut du versant gauche de la Seille, dont le cours borne le finage à l’est. La limite commune atteint celle du département de Moselle tout au nord. Port-sur-Seille (240 hab., 637 ha, 10 km ESE de Pont-à-Mousson, est sur la rive gauche de la Seille, avec une petite partie de son finage rive droite. Mousson (110 Mussiniens, 573 ha dont 336 de bois), juste à l’est de Pont-à-Mousson, perche son village tout en haut de la butte de Mousson, élément de la Côte de Moselle qui monte à 381 m. Au nord, la commune contient le centre d’enfouissement Sur la Rappe et, au NE, la forêt domaniale de Facq et Juré; l’A31 passe à la limite orientale. Atton (860 Attonais, 1 538 ha dont 779 de bois), 4 km ESE de Pont-à-Mousson, est sur la rive droite de la Moselle au pied de la butte de Mousson. Le village est sur la D120, complété de lotissements et, à l’est, d’une zone d’activités étendue sur plus de 60 ha. L’A31 traverse du nord au sud, offrant un échangeur avec la D120 et, un peu au sud, un autre avec l’A313 qui emprunte la vallée de la Moselle. Celle-ci est constellée d’étangs de gravières. Le finage contient de grands bois à l’est, dont une partie de la forêt domaniale de Facq et Juré. Outre la métallerie TSM (65 sal.), l’activité est surtout dans le domaine logistique: plate-forme logistique Arvato du groupe Bertelsmann (ALSF, 190 sal.), entreposage STEF (45 sal.), négoce de plomberie Brossette (DSC, 100 sal.) et de matériel de chantier Somatec (30 sal.), location de matériel médical Pharma Dom (65 sal.), distribution pharmaceutique OCP (85 sal.); supermarché Match (80 sal.). La population a augmenté de 220 hab. depuis 1999 (+34%). Au sud d’Atton, la butte de la Côte (385 m), un peu plus grande et plus contournée que les précédentes, longe au sud par la Natagne qui rejoint la Moselle au Pont de Mons, est entourée par cinq villages. Sainte-Geneviève (190 Génovéfains, 714 ha), 8 km au SE de Pont-à-Mousson, est à l’extrémité nord de ce relief, sur le site d’un ancien oppidum protohistorique en forme d’éperon barré, et contient un musée agricole et le monument du Grand Couronné. Loisy (330 Loisytais, 558 ha), 7 km SSE de Pont-à-Mousson, est à l’ouest et juste au pied de Sainte-Geneviève au bord de la Moselle, dont la plaine est traversée par l’A31 équipée d’une double aire de service. Bezaumont (270 hab., 426 ha), 10 km SSE de Pont-à-Mousson, a son village sur la pente SO de la Côte; gros poste d’interconnexion électrique à l’ouest, hameau de Pont de Mons au SO au bord de la plaine de Moselle, le long du canal de l’Obrion; l’A31 passe un peu à l’ouest. Ville-au-Val (200 hab., 579 ha), 11 km SSE de Pont-à-Mousson, est sur le flanc sud de la Côte, avec un château, juste au-dessus du cours de la Natagne. Landremont (150 hab., 552 ha), 13 km SE de Pont-à-Mousson, est sur le flanc SE de la Côte. Passé le val de la Natagne, une autre butte qui monte à 377 m porte les noms de la Grande Côte et de la Falaise. Autreville-sur-Moselle (280 Autrevillois, 449 ha), 15 km SSE de Pont-à-Mousson, est au pied de ce relief sur la rive droite de la Moselle. À l’ouest, le finage est traversé par l’A31 et comprend une partie de la plaine de Moselle, avec des étangs de gravières et une base nautique. Autreville a pour voisine juste en amont Millery, mais qui est dans la communauté du Bassin de Pompey. La mention sur-Moselle a été ajoutée en 1936. Belleville (1 480 Bellevillois, 1 022 ha dont 491 de bois), 14 km SSE de Pont-à-Mousson par la N57, occupe le versant gauche de la Moselle juste à l’aval d’un grand coude. Le village est traversé par la D657 et la voie ferrée et un ancien canal de la Moselle. Le finage est recoupé du NO au SE par l’A31, qui franchit en deux points le coude de la Moselle. Le finage s’élève au sud sur un élément de la Côte de Moselle montant à 330 m et portant la Forêt entre Deux Chemins. La commune a des silos de l’Union des coopératives agricoles (110 000 t); métallerie CMI (30 sal.). Elle avait 450 hab. vers 1900; sa population est lentement montée à 1 300 hab. en 1962, s’est tenue à peu près à ce niveau ensuite, puis a augmenté de 190 hab. après 1999. Rosières-en-Haye (240 hab., 1 074 ha), 17 km SO de Pont-à-Mousson, est sur la D907, qui croise un peu à l’est aux Quatre Vents la D911 rectiligne. Au SO, la commune contient une ancienne base de l’OTAN, dite de Toul-Rosières, qui a abrité la base militaire aérienne 136, dotée d’un aérodrome LFSL. La base a été désaffectée, et son emprise sert de support à une opération hors normes: l’installation de ce qui était annoncé comme la plus puissante centrale solaire d’Europe en 2012. EDF y a posé, sur 367 des 522 ha de la base, 1 400 000 panneaux photovoltaïques fournis par la firme états-unienne First Solar, pour un coût de l’ordre de 430 M€; la puissance obtenue est de 115 MW. La commune a 60 hab. de moins qu’en 1999. Rogéville (170 hab., 694 ha dont 268 de bois), 14 km SO de Pont-à-Mousson, est une petite commune sur le plateau, bordée au nord par la vallée d’Esch. Villers-en-Haye (170 hab., 729 ha dont 226 de bois), 12 km SSO de Pont-à-Mousson, a son village sur un promontoire du versant droit de la vallée d’Esch. Griscourt (140 hab., 574 ha), 11 km SSO de Pont-à-Mousson, est sur un lobe de méandre de la vallée d’Esch, face à Villers-en-Haye. Gézoncourt (180 hab., 534 ha dont 223 de bois), 12 km SO de Pont-à-Mousson, est sur le versant gauche de la vallée d’Esch; église inscrite. Martincourt (100 hab., 1 066 ha dont 402 de bois), 14 km SO de Pont-à-Mousson, est sur le versant gauche de la vallée d’Esch. En face, restes du château féodal de Pierrefort, devenu une ferme; en amont rive gauche, le hameau de Saint-Jean est dans un site de confluence de la «Petite Suisse lorraine». Jezainville (990 Jezainvillois, 1 819 ha dont 1 383 de bois), 5 km SSO de Pont-à-Mousson, au nord de Dieulouard et au sud de Blénod, s’étend largement sur le plateau de Haye dans la forêt domaniale de Puvenelle; elle a gagné 100 hab. depuis 1999. (4 640 Bellédoniens, 958 ha dont 130 de bois) est une commune de Meurthe-et-Moselle, juste au sud de Pont-à-Mousson, dans la communauté du Bassin de Pont-à-Mousson sur la rive gauche de la Moselle; N57 et voie ferrée Nancy-Metz, un collège public. Blénod a une fonderie de fonte du groupe Saint-Gobain (PAM, 290 sal.), dont l’effectif a beaucoup diminué; maçonnerie Poletti (20 sal.), Phone Régie (35 sal.), intérim Sup (70 sal.) et Agri Placement (56 sal.). Le territoire de la commune déborde à l’est de la Moselle à la faveur d’un ancien méandre qui avait fixé la limite; c’est là qu’a été installée en 1965 une centrale thermique au charbon, dotée de 4 groupes de 250 MW chacun et desservie par la Moselle canalisée et par une boucle ferroviaire; mais la cokerie de Blénod a été fermée en 2001, la centrale remplacée sur place en 2011 par une unité au gaz naturel avec une puissance réduite à 450 MW et un personnel passé à 80 salaries, sous-traitants compris. La population de la commune a augmenté assez régulièrement: moins de 500 hab. vers 1850, 1 000 à la fin du 19e s., 2 900 hab. en 1931, 4 100 en 1975. Mais elle a perdu 320 hab. depuis le maximum de 1999. (4 810 Déicustodiens, 1 769 ha dont 325 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de la Meurthe-et-Moselle, 20 km NNO de la préfecture sur la rive gauche de la Moselle, dans le Bassin de Pont-à-Mousson. La ville est traversée par la N57 et la voie ferrée vers Metz. Au centre de la ville, orné de belles maisons anciennes, jaillit la source du Chaudrupt et subsistent quelques restes du château seigneurial originel, à laquelle la ville doit son nom, puisque les évêques de Verdun qui en reçurent la propriété la baptisèrent Dieu-le-garde… d’où le nom actuel des habitants, érudit et même un peu précieusement arrangé à partir du latin. L’ancien nom était Scarponne, et reste celui de l’île de Scarponne (ou Scarpone à tort, le nom n’étant nullement italien mais dérivé d’onna, l’eau courante) où ont été découverts quelques restes de l’ancienne cité des Leuques, l’une des trois principales de la tribu avec Toul et Nassium. La ville a un musée archéologique (antiquités gallo-romaines) du site de fouilles local; travaux publics STPL (40 sal.), démolitions Xandel (60 sal.); supermarché Colruyt (25 sal.), aide à domicile BCS (30 sal.); collège public. Dieulouard a eu 1 500 hab. en 1846, 2 000 en 1900, 3 000 en 1931 et sa population a culminé à 5 400 hab. autour de 1970; elle est restée stable après 1999. Dieulouard est le bureau du nouveau canton Entre Seille et Meurthe (39 communes, 29 300 hab.). (4 180 Pagnotins, 1 120 ha dont 391 de bois) est une commune de Meurthe-et-Moselle dans le Bassin de Pont-à-Mousson, 18 km au nord de Dieulouard, sur la rive gauche de la Moselle au pied de l’arrière-côte de Moselle; un collège public. L’usine Mersen, ex-Carbone-Lorraine, occupe 180 personnes; c’est le site historique de l’entreprise, née ici en 1892 sous le nom de Compagnie générale électrique de Nancy pour fabriquer ensuite des moteurs électriques, puis fusionnée en 1937 avec la société parisienne Le Carbone qui fabriquait des balais pour moteurs électriques; le nom de Mersen a été adopté en 2010. Le site de Pagny s’est converti vers le génie chimique (matériaux anticorrosion pour l’aéraulique). La population communale a connu la croissance de 1861 (1 000 hab.) à 1990 et reste stable depuis. (14 620 Mussipontains, 2 160 ha dont 382 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de la Meurthe-et-Moselle dans l’arrondissement de Nancy, 30 km NNO de la préfecture. La ville est sur les deux rives de la Moselle et s’est rendue célèbre à deux titres: comme première université de Lorraine et pour ses tuyaux de fonte. Elle a commencé rive droite, au pied de la butte de Mousson, qui monte à 382 m et fait partie d’une série de buttes-témoins des Côtes de Moselle (panorama, ruines du premier château); puis à partir de 1260 la tête de pont sur la rive gauche, juste en aval du confluent de l’Esche et de la Moselle, s’est développée, devenant la ville marchande et donnant le centre-ville actuel. Sur la rive droite, une abbaye de prémontrés et un collège de jésuites ont coexisté; l’abbaye est le deuxième monument du département par le nombre visites enregistrées (65 000 par an). Le collège est devenu en 1572 un foyer de contre-réforme avec une université tenue par les jésuites; il a été transféré plus tard à Nancy; les bâtiments sont aujourd’hui affectés à un lycée. La première est devenue au 18e siècle un centre intellectuel réputé, dans des bâtiments rénovés; elle offre à présent un bel ensemble du 18e s. avec un grand cloître. La rive gauche, où est le centre marchand et administratif, contient de belles maisons anciennes, la grande place Duroc agrémentée d’arcades et de façades renaissance, un hôtel de ville de la fin du 18e s., un musée consacré au papier, dont des objets en papier mâché et des œuvres d’imprimeurs et imagiers attirés par le collège et l’abbaye. Au 19e siècle, la possibilité d’exploiter les proches gisements de fer, tout spécialement la proche mine de Marbache, a suscité la création d’une fonderie en 1856; elle a mis au point les premiers tuyaux de fonte en 1866, profité du marché nouveau de l’adduction d’eau et entraîné en 1886 la création de la Société nouvelle des hauts fourneaux et fonderies de Pont-à-Mousson: la plupart des villes françaises ont eu besoin de ses services. La société a fusionné avec le groupe Saint-Gobain en 1970, et travaille depuis 2001 sous le sigle PAM: restent deux fonderies Saint-Gobain PAM Canalisations (660 sal.) et Saint-Gobain PAM (200 sal.). D’autres usines avaient suivi, mais beaucoup ont disparu; ne reste guère que le matériel électrique Legrand (60 sal.) et la métallerie GNTI (40 sal.). Dans le tertiaire, magasins Intermarchés (150 sal.) et Match (70 sal.), distribution pharmaceutique Alliance Santé (80 sal.), jardinerie Point Vert (100 sal.), intérim Manpower (180 sal.) et Axia (110 sal.); La Poste (65 sal.). La ville a un collège, un lycée général et un lycée professionnel publics, un centre hospitalier public (99 lits). En aval, une vaste base de loisirs de 300 ha a été équipée dans la vallée de la Moselle, comprenant une réserve naturelle de 60 ha. À l’ouest, le finage mord sur le revers des côtes de Meuse, dans les bois où se cache le menhir de la Pierre de Jô à 381 m. La maison du Parc de Lorraine est établie sur la pente du talus, curieusement hors du Parc lui-même. La commune a eu un peu plus de 7 000 hab. avant 1850, 12 500 dans les années 1890, 14 000 en 1911: descendue à 11 300 hab. en 1936, sa population est lentement remontée jusqu’à en 1982; elle a perdu 400 hab. depuis 1999. La communauté de communes du Bassin de Pont-à-Mousson réunit 31 communes et 40 400 hab., et siège dans la ville. L’unité urbaine Insee est donnée pour 24 600 hab. (6 communes), l’aire d’attraction pour 26 000 (16 communes). Le nouveau canton de Pont-à-Mousson a 24 communes et 34 400 hab. |