Communauté d’agglomération du Bassin de Brive' est le nom de la communauté d’agglomération siégeant à Brive; elle réunit 48 communes, 109 700 hab., 80 800 ha. Brive-la-Gaillarde, Allassac, Donzenac, Cosnac, Malemort, Objat, Saint-Pantaléon-de-Larche, Ussac et Varetz dépassent 2 000 hab. Dampniat (750 Dampniacois, 1 539 ha dont 568 de bois), 9 km à l’est de Brive, est un village sur le site accidenté bordé au nord par la vallée encaissée de la Corrèze, à l’est au sud-ouest par celles de ses affluents le Roanne et la Loyre. Le finage dépasse à l’est la vallée de la Roanne et atteint les maisons d’Aubazine. La commune a gagné 160 hab. depuis 1999. La Chapelle-aux-Brocs (430 Chapellois, 499 ha), 10 km ESE de Brive, est également un village de crête, à l’est de la Loyre et au sud de son affluent le Colombier, dont la vallée accueille la D921. Turenne (870 Turennois, 2 803 ha dont 1 121 de bois) est à 14 km au sud de Brive. Elle fut le site principal et originel de la puissante et très ancienne seigneurie de Turenne, qui domina le sud-ouest du Limousin. La citadelle campe sur une butte-témoin ovale un peu en avant du plateau du Causse de Martel, lequel se termine au-dessus du bassin par un puissant front de côte, dominant la vallée de la Tourmente et la voie ferrée qui la suit vers la vallée du Lot. Il ne reste cependant que deux tours du château, entourées par les trois enceintes concentriques de la citadelle; mais l’ensemble est de premier ordre, et très visité. Le village, «petite cité de caractère», s’est établi entre la butte et la côte, et conserve de belles maisons anciennes, foirail et place des halles. La gare de Turenne est à 2 km au sud du village; distillerie de spiritueux Pagès-Védrenne (20 sal.), sur le site d’une fabrique de batteries Autosil, société portugaise dont le projet, initialement prévu à Brive en zone industrielle, a été orienté en 1996 vers Turenne avec l’appui des finances publiques en dépit des oppositions locales et de plusieurs annulations d’autorisations, pour finalement fermer en 2003; la distillerie, qui relève du groupe Pagès du Puy-en-Velay, a bénéficié du transfert de la distillerie de la gentiane Salers depuis Montaignac-Saint-Hippolyte. Au sud du village, le vigoureux promontoire de Linoire (350 m) avance vers le SE, dominant le site de la gare. Sur le revers de la côte au nord-ouest du village, le château de la Peyrouse (ou la Pérouse) est des 17e-18e s. et a succédé à une ancienne tour de guet. Vers le nord, le finage lance à l’est de Nazareth une longue digitation qui englobe les hameaux perchés de Gernes (château) et de Jalinet, celui-ci dominant les sources de la Loyre. À l’ouest, le causse est aux alentours de 350 m et son relief est très bosselé et boisé. La commune est limitrophe du département du Lot. Depuis quelque décennies, Turenne rivalise avec Collonges-la-Rouge, qui lui fait face de l’autre côté de la plaine à 5 km à l’est, au point d’avoir préféré adhérer à la communauté d’agglomération de Brive plutôt qu’à la communauté du Midi corrézien. La commune a gagné 120 hab. depuis 1999. Jugeals-Nazareth (980 Jugaliens-Nazaréens, 1 095 ha dont 239 de bois), 14 km au sud de Brive, a une église classée, et a gagné 280 hab. depuis 1999. Le nom de Nazareth a été ajouté en 1927, avec l’incorporation du hameau de Nazareth, jusqu’alors à Turenne, le seul peuplé de la commune, sur la D8 au-dessus de la Tourmente. Ce nom lui fut donné par un vicomte de Turenne retour des Croisades. Jugeals était l’ancien chef-lieu de la commune un peu à l’ouest, dont ne restent qu’une chapelle et le cimetière et dont le nom a disparu des cartes. Noailles (910 Novaliens, 1 257 ha dont 431 de bois), 9 km au sud de Brive, est un village de crête dans les collines du Lias; la voie ferrée Paris-Limoges-Toulouse et l’A20 passent en tunnel sous le village même. qui a un échangeur autoroutier (n°52) et une gare, et s’est accrue de 130 hab. depuis 1999; au sud, la commune mord sur le front de côte du causse de Martel, où sont les gouffres des Abîmes de la Fage; tout au nord, grottes de Lamouroux. Nespouls (650 Nespoulois, 2 014 ha dont 1 188 de bois), 15 km au sud de Brive, est entièrement sur le causse; gros échangeur N20-A20, église inscrite du 12e s. fortifiée au 14e s.; hameaux de Favars à l’ouest, Belveyre au NO. Nespouls a gagné 140 hab. depuis 1999. Au sud du village, le nouvel aéroport de Brive-Vallée de la Dordogne (codes BVE et LFSL, classe C) s’est installé sur 200 ha du causse en 2010, avec une piste en dur de 2 100 m, une en herbe de 1 000 m, et déborde légèrement sur Cressensac (Lot); il a enregistré 66 000 passagers en 2017, dont 20 000 en vol international (liaison à bas coût avec Londres) et a une liaison régulière avec Paris-Orly (45 000); il a assuré la même année 14 600 mouvements, dont 1 800 commerciaux, 5 900 voyages privés, 7 000 d’aéroclub. Estivals (130 Estivalais, 888 ha dont 521 de bois), 22 km au SSO de Brive, est la commune la plus méridionale de la communauté, limitrophe à la fois de la Dordogne et du Lot, au SO de Nespouls. Elle a une église romane inscrite (11e au 13e s.). La voie ferrée traverse son finage, qui est sur le causse. Chartrier-Ferrière (370 Chartriens, 1 516 ha dont 868 de bois), dont le village est à 18 km au SO de Brive, est sur le causse, constellé de dolines. La commune est issue d’une fusion de 1848 et avait alors 730 hab.; son minimum a été de 220 hab. autour de 1970 et elle a gagné 90 hab. après 1999. Chartrier est à la limite NE du finage, Ferrière l’un des petits hameaux du causse au sud. Chasteaux (790 Castellois, 1 875 ha dont 987 de bois), 14 km SO de Brive, est au pied du causse dans la vallée de la Couze, sur la rive amont du grand lac du Causse (78 ha) dont le barrage est à l’angle NO du finage, sous les ruines du château de Couzage (13e-14e s.). Le finage déploie une pointe vers le NE autour du Chauzanel et de Crochet (carrières de pierre, 20 sal.) et monte au sud-est sur le causse avec la voie ferrée, incluant le hameau de la Coste. À l’ouest, forêt de Couzage et hameau de Beaugout sur une autre partie du causse; +270 hab. depuis 1999 (+51%). Lissac-sur-Couze (770 Lissacois, 1 262 ha dont 533 de bois) est à 1 km au nord de Chasteaux et partage avec elle le lac du Causse où sont une base de loisirs et un village de vacances, un autre étant plus en hauteur à l’ouest. Vers le nord s’élève la butte de Gramont, où se juche un hameau à 340 m. La commune s’orne des châteaux de Lissac (13e, 15e, 18e s.) au village, Moriolles (17e s.) à l’est, Lasteyrie au nord; église inscrite, en partie du 12e s.; +230 hab. depuis 1999 (+45%). Saint-Cernin-de-Larche (670 Saint-Cerninois, 915 ha dont 446 de bois) est à la sortie des reliefs en aval du lac sur la Couze, 16 km SO de Brive; menhir de Lapalain et dolmen de la Chassagne, église inscrite des 12e et 14e s. La plus grande partie du finage, au sud, est sur le causse; +210 hab. depuis 1999 (+46%). Larche (1 640 Larchois, 574 ha) est un ancien chef-lieu de canton du département de la Corrèze dans l’arrondissement de Brive-la-Gaillarde, 12 km OSO de Brive sur la rive gauche de la Vézère, au bord de la N89 vers Périgueux; un collège public, château de Puyjubert (19e s.). En raison de la proximité de Brive, la population augmente depuis la dernière guerre (650 hab. en 1954); elle n’avait jamais atteint 900 hab. auparavant; elle a encore gagné 170 hab. depuis 1999. Le finage, un peu étriqué et au dessin contourné, se limite à la plaine au sud de la Vézère. Mansac (1 440 Mansacois, 1 840 ha dont 511 de bois) est un très petit village de crête dans les collines du bassin de Brive à 8 km NNO de Larche et 17 km à l’ouest de Brive. L’habitat principal est au sud-ouest, à la Rivière de Mansac, dans la plaine de confluence de la Vézère et de la Logne, près de la gare sur la voie de Brive à Périgueux et d’une petite centrale hydroélectrique sur la Vézère; maison de retraite publique, ferronnerie du Cantre (Faure, 25 sal.). La commune a gagné 100 hab. depuis 1999. L’A89 traverse le finage en son milieu (accès et péage). Cublac (1 720 Cubiacois, 2 018 ha dont 292 de bois), au pied du versant nord de la plaine de la Vézère, est dans la mouvance de l’agglomération industrielle périgourdine de Terrasson-Lavilledieu, qui est à 2 km; la population communale s’est constamment tenue au-dessus de 1 000 hab. depuis 1820, et a nettement augmenté entre 1962 (1 020 hab.) et 1990 (1 560); elle a gagné 170 hab. depuis 1999. L’ensemble du finage au nord de la vallée de la Vézère est en collines, traversées par l’A89. Brignac-la-Plaine (1 010 Brignacois, 1 872 ha dont 607 de bois) est dans la vallée de la Logne, 21 km ONO de Brive; l’autoroute A88 passe dans les collines au SO; +180 hab. depuis 1999. Yssandon (690 Yssandonnais, 2 017 ha dont 456 de bois), 19 km ONO de Brive et 12 km SSO d’Objat, juche son Vieux Bourg sur une butte étroite, à 350 m, le Puy d’Yssandon, où reste un pan de mur de l’ancien château seigneurial. Le nom même, un équivalent d’Uxellodunum, évoque la hauteur jadis fortifiée. Le finage est tout en collines; +80 hab. depuis 1999. Perpezac-le-Blanc (480 Perpezacois, 1 942 ha dont 485 de bois) est à 24 km ONO de Brive et 13 km au SO d’Objat. Le village, au pied d’une grande butte résiduelle du calcaire toarcien qui va jusqu’à Ayen, dominant les collines modelées dans les grès et marnes du Permien, s’orne du château du Puy et d’une église cistercienne classée des 12e-14e s.; la commune a gagné 70 hab. depuis 1999. Louignac (240 hab., 2 191 ha dont 802 de bois) est à 32 km ONO de Brive 16 km OSO d’Objat. Le village se tient sur une crête dominant la vallée de l’Elle; le finage est limitrophe du département de la Dordogne. Saint-Robert (320 Saint-Robertois, 608 ha), 3 km à l’ouest d’Ayen, est perché sur le rebord d’une autre table calcaire; le site et quelques vieilles pierres, dont une église classée du 12e s., lui ont valu d’être inscrit dans les «plus beaux villages de France» et les «petites cités de caractère». La commune est limitrophe de la Dordogne. Ayen (740 Ayennois, 1 316 ha dont 322 de bois), 10 km à l’ouest d’Objat, est un ancien chef-lieu de canton à 25 km ONO de Brive, sur le flanc nord contourné de la table calcaire qui va jusqu’à Perpezac. Un peu au sud, un lotissement de pavillons avec village de vacances a colonisé le rebord du plateau face à l’est, près du hameau du Temple. Le finage s’étend au nord jusqu’à la vallée du Roseix, où le hameau de Soulet tient un petit carrefour; arboretum à la Tuilière. Ayen reste un village-centre de cet Yssandonais. La population communale diminuait depuis le milieu du 19e s., où elle dépassait 1 300 hab.; mais elle a augmenté de 110 hab. depuis 1999. Segonzac (230 hab., 2 021 ha dont 452 de bois), 16 km ONO d’Objat au NO de Saint-Robert et 6 km au NO d’Ayen, limitrophe de la Dordogne, a une église inscrite du 11e s. et, dans son finage, au sud sur une butte, le château de Puyval (15e-16e s.). Rosiers-de-Juillac (190 hab., 985 ha), 5 km SO de Juillac et 13 km ONO d’Objat, étire ses maisons sur une colline au-dessus de la vallée du Roseix. Juillac (1 160 Juillacois, 3 314 ha dont 943 de bois) est un ancien chef-lieu de canton, 31 km au NO de Brive et 16 km NO d’Objat. Le village, desservi par la D901, est juché sur un promontoire qui s’avance au bord du bassin de Brive, au-dessus de la large et profonde vallée de la Tournerie, affluent du Roseix; panorama avec table d’orientation, camping, deux châteaux. Son grand finage, limitrophe de la Dordogne, s’étend vers l’ouest et le nord, où il porte de nombreux vergers sur un plateau traversé par la Tourmente; serres au Montchabrol tout à l’ouest, avec une station réputée de framboises en plein champ. Juillac avait plus de 2 500 hab. pendant toute la seconde moitié du 19e s. et jusqu’en 1914; elle s’est dépeuplée jusqu’en 1999. Chabrignac (600 Chabrignacois, 1 104 ha), juste à l’est de Juillac, tend à confondre son habitat avec celui de Juillac, jusqu’au hameau de la Perche au sud-est; +140 hab. depuis 1999 (+30%). Lascaux (220 Lascautois, 726 ha) est le village le plus septentrional du Bassin de Brive, à 17 km NNO d’Objat sur le rebord du plateau dominant le bassin de Brive et riche en vergers. Vignols (570 Vignolais, 1 541 ha dont 502 de bois), 9 km NNO d’Objat, est situé sur la faille bordière du bassin de Brive, au pied du plateau arboricole; viaduc ferroviaire sur la ligne Brive-Saint-Yrieix; négoce de fruits et légumes Eifel (20 sal.). Saint-Solve (480 hab., 584 ha), 6 km NNO d’Objat, se tient au pied du plateau, sur une petite butte que traverse en tunnel la voie ferrée. L’habitat est complété au sud par le hameau de la Chapelle Salamard, au nord, sur le versant du plateau, par ceux de Priézac et Malaval, mais le finage ne s’étend pas sur le plateau, qui relève de Vignols; +150 hab. depuis 1999 (+44%). Saint-Bonnet-la-Rivière (390 hab., 1 011 ha dont 200 de bois) est un village de fond de vallée, 6 km NO d’Objat, au nord de la Moyne; il a une église classée aux formes originales, du 11e et du 16e s. Le finage atteint au sud la vallée du Roseix; +80 hab. depuis 1999. Saint-Cyr-la-Roche (510 Saint-Cyriens, 824 ha), 2 km ONO d’Objet, a une église classée du 15e s. et se tient sur les collines dominant la vallée de la Moyne, face à Objat. La population a augmenté de 140 hab. depuis 1999 (+38%). Vars-sur-Rozeix (380 Varsois, 426 ha), à l’ouest d’Objet, est un petit village aligné sur une crête, qui a gagné 120 hab. depuis 1999 (+44%); ambulances Breuil (20 sal.), petite fromagerie. Au nord, le finage occupe les deux rives du Roseix. Saint-Cyprien (390 Cypriannais, 786 ha), 5 km OSO d’Objat, se perche sur une petite colline; +140 hab. depuis 1999 (+56%). Saint-Aulaire (820 Saint-Aulairiens, 1 079 ha), 5 km SO d’Objat, a aussi un village perché, mais son habitat se disperse parmi les collines — la mairie est sur la colline centrale à Bellevue. Le principal habitat est devenu celui du quartier de la gare (Les Quatre Chemins) dans la plaine du Rozeix au NE, en banlieue d’Objat, où s’est établie la grande station fruitière des vergers de la Boissière et du groupe coopératif Perlim, qui associe 250 producteurs de pommes (60 000 t/an, surtout des golden d’altitude) et 1 000 de noix (3 300 t/an) (30 salariés en tout); +50 hab. depuis 1999. Voutezac (1 420 Voutézacois, 2 238 ha dont 464 de bois), 5 km NNE d’Objat est également sur le talus de faille; son habitat est doublé vers le NO par le gros hameau de Ceyrat, et prolongé sur la route d’Objat par une longue file de maisons jusqu’au lycée agricole de Murat. Au nord, le finage comprend une partie du plateau avec des vergers et le hameau de Sajueix. Au SE, à la sortie des gorges de la Vézère, a été construit en 1930 le barrage-poids curviligne de Saillant, haut de 28 m et long de 96 m, avec une usine électrique au pied; il ne retient qu’un petit lac de 7 ha et 0,5 Mm3. En aval, subsistent un pont médiéval, et le gros château de Lasteyrie du Saillant, du 15e s., où se tient en été un festival de la Vézère; chapelle moderne avec vitraux de Chagall, camping proche. Le village a une église fortifiée et passe pour un centre de pêche; base de loisirs un peu au SO. Le site du Vertougit, au-dessus du barrage, offre une large vue. La population de la commune a un peu augmenté depuis 1990, mais elle déclinait depuis un siècle (2 700 hab. sdc en 1891). Estivaux (430 hab., 1 658 ha dont 605 de bois), 9 km au nord d’Allassac, est un petit village du plateau; les gorges de la Vézère limitent le finage à l’ouest; un autre barrage avec centrale électrique a été édifié au SO et porte le nom de Biard, lieu-dit de Voutezat. La voie ferrée suit les gorges, à grand renfort de tunnels; +100 hab. depuis 1999. Saint-Bonnet-l’Enfantier (400 Saint-Bonnetois, 1 178 ha), 10 km NNE d’Allassac sur le plateau, accueille le négoce de matériel agricole Marsaleix (30 sal.), et s’est accrue de 130 hab. depuis 1999 (+474%). La D9E3 sépare les finages de Saint-Bonnet et d’Estivaux. Saint-Pardoux-l’Ortigier (490 Saint-Pardousiens, 1 298 ha) 11 km NNE de Donzenac, 24 km NNE de Brive, également sur le plateau ancien, accueille le gros échangeur autoroutier A20-A89; église inscrite du 12e s., château et petit étang avec base de loisirs; +80 hab. depuis 1999. Sadroc (940 Sadrocois, 1 926 ha dont 294 de bois) est à 8 km NNE de Donzenac sur le plateau ancien, 18 km au nord de Brive. Le finage a des vergers et l’A20 le traverse; +300 hab. depuis 1999 (+45%). Sainte-Féréole (1 940 Flégeolois, 3 558 ha dont 1 033 de bois) est une grande commune du plateau ancien, voisine de Donzenac et de Malemont, à 13 km NE de Brive. La population, passée de 2 800 hab. en 1861 à 1 300 un siècle après, progresse depuis, du moins au village, qui est vers 400 m et s’est étoffé de lotissements; +300 hab. depuis 1999. Saint-Viance (1 860 hab., 1 623 ha dont 207 de bois) est un village de plaine, à 11 km NO de Brive sur la rive gauche de la Vézère, qui coule du nord au sud, dans une campagne où abondent les vergers. Sa population est en nette augmentation depuis 1968 (alors 780 hab.) et a désormais dépassé son plus haut niveau du 19e siècle; elle s’est accrue de 260 hab. depuis 1999. Le village a un pont ancien, une église romane à trésor et châsse monumentale. Une zone industrielle est apparue au sud, desservie par la D901. Silab fabrique depuis 1984 des produits d’origine animale et végétale pour les cosmétiques (260 sal.); fabriques de cierges Brousse (25 sal.), d’appareils de dépollution à ultraviolets UV Germi (30 sal.), conserves de fruits Fruinov (85 sal.), de champignons Francep Garnier (50 sal.). Sabcor (groupes Bevicor et Arcadie) a installé en 2007 à Saint-Viance un nouvel abattoir de 10 000 t/an sur la zone d’activités de la Nau, en remplacement du vieil abattoir de Brive (Viandes de Corrèze, 30 sal.); Centre d’affinage des viandes de restaurant (Caviar, 45 sal.); distribution pharmaceutique Alliance-Santé (45 sal.), négoce de matériel médical Locapharm (20 sal.); transports Verlhac (25 sal.). (4 000 Allassacois, 3 901 ha dont 779 de bois) est une commune de la Corrèze, 8 km au NO de Donzenac à la limite du bassin de Brive et du plateau corrézien. Elle est membre de l’agglomération du Bassin de Brive. Le village est au pied du relief et la Vézère traverse son finage. Équipée d’un collège public et d’une maison de retraite, elle conserve une tour dite de César, du 11e s., reste de l’enceinte médiévale; église classée des 12e et 14e s.; anciennes carrières d’ardoise, gare sur la voie de Brive à Saint-Yrieix, quelques ateliers et un petit Intermarché. La Vézère se traverse au hameau de Garavet, qui est sur la rive droite, avec un camping rive gauche. Le finage, étendu, englobe au sud-ouest le hameau de Saint-Laurent. La population communale dépassait 4 500 hab. en 1906 et subissait depuis une lente érosion; celle-ci a été arrêtée entre 1990 et 1999, et le mouvement se renverse: la commune a gagné 520 hab. depuis 1999. Le nouveau canton d’Allassac a 15 000 hab., 12 communes. (48 300 Brivistes, 4 859 ha) est une sous-préfecture de la Corrèze, au bord de la Corrèze un peu avant son confluent avec la Vézère. Elle n’est «la Gaillarde» que depuis 1919, un attribut qu’elle doit à l’ambiance de l’époque et que l’on dit fondé sur la puissance de ses défenses médiévales du 14e siècle. Brive est simplement dérivé du mot briva, qui désignait un pont en gaulois. Elle ne fut longtemps qu’une petite ville close, comme le montre l’étroitesse de son centre entouré, à la place de l’enceinte, d’un anneau de boulevards en trapèze arrondi, au milieu duquel trônent l’église à crypte, héritée d’une abbaye, et l’hôtel de ville, qui occupe un ancien collège chrétien du 17e s. Mais l’étoile ferroviaire dont elle a été dotée lui a beaucoup servi, et au cours du 19e siècle elle a dépassé Tulle, croissant abondamment le long de la Corrèze, sur les deux rives, tant vers l’est que vers l’ouest jusqu’au confluent. Brive avait 12 000 hab. en 1876, 21 000 en 1911, 36 000 en 1954; elle a atteint son maximum en 1975 avec 51 800 hab. mais a perdu des habitants ensuite, dont 3 200 depuis 1999. Le territoire communal a presque fait le plein au nord, mais non au sud où il s’allonge sur 4 km dans les collines du bassin, incluant les grottes de Saint-Antoine et, tout au bout, de Lamouroux. Près du confluent de la Corrèze et de la Vézère, où se faufile l’autoroute Occitane affectée de deux échangeurs, de la place avait été dégagée pour l’aéroport de Brive-Laroche (LFBV), qui a été remplacé en 2010 par celui de Brive-Souillac à Nespouls sur le causse au sud-ouest de Brive; le site, désaffecté, est en cours de réaménagement pour la circulation et les entreprises. La ville a deux musées, l’un d’art et d’histoire en plein centre, l’autre de la Résistance (Édouard-Michelet) au sud-ouest; halle moderne et jardin public au nord du centre, entre celui-ci et la rive gauche de la Corrèze. Brive a un centre hospitalier (500 lits) et trois cliniques (260 lits, 360 sal.) dont les Cèdres (280 sal.), Saint-Germain (130 sal.), des maisons de retraite dont Korian (70 sal.), Orpea (50 sal.); un IUT (Institut universitaire de technologie) à deux départements (gestion des entreprises et des administrations, génie électrique et informatique industrielle), six lycées publics dont deux professionnels, et deux privés, cinq collèges publics et trois privés. Depuis 1982 s’y tient avec succès une foire du Livre; et Brive est depuis longtemps l’une des places éminentes du rugby en France, avec quelques vicissitudes. L’emploi industriel est considérable, mais l’intrusion des firmes de spéculation le fragilise. D’une ancienne usine Philips installée en 1938 à la demande de l’armée et censée être ici «à l’abri» loin des frontières, sont sorties deux unités: Photonis (500 sal.) pour les composants optroniques, notamment pour la vision nocturne, en expansion mais passée au fonds de pension états-unien Astorg Partners, puis à Axa Private Equity en septembre 2011; le matériel électrique Anova (360 sal.). Thalès (ex-Thomson CSF, 260 sal.) travaille aussi dans les télécommunications. La fonderie d’aluminium Valfond est passée au groupe lyonnais Rencast puis à Eurocast (groupe stéphanois GMD) et descendue à 110 sal.; usines de mécanique Deshors ADI (Aerodéfense, groupe AD, 220 sal.) et Mecalim (mécanique, groupe AD, 90 sal.); Mécabrive (110 sal., issu de Thomson, à Figeac Aéro depuis 2004) fait de la mécanique et du traitement de surfaces; Mecanat Précision (50 sal.). Par la taille, le deuxième établissement briviste est dans un tout autre domaine: c’est l’usine d’aliments pour enfants Blédina du groupe Danone (440 sal.). Dans l’agro-alimentaire, s’ajoutent les viandes et surgelés Krill (65 sal.), les conserves de viandes Euralis Gastronomie (80 sal., ex-Rougié-Bizac). Brive a encore la cartonnerie Allard (125 sal.), les cosmétiques Sothys (60 sal., états-unien), le matériel pour soins dentaires Gourdy (50 sal.), les appareils médico-chirurgicaux Mayzaud (40 sal.); les emballages plastiques Beaudet et René-Jean (BRJ, 65 sal.); il existe aussi des fabriques de matériel électrique Claux (35 sal.) et ABEL (55 sal.), de matériel agricole Sommier (35 sal.). D’autres sont dans la commune voisine de Malemort. Par sa position, Brive est également un centre de transport et de services: transports de voyageurs CFTA Canitrot (110 sal.) et Transdev (55 sal.), de fret Chaussade-Duboé (80 sal.), Froidefond (60 sal.), Verlhac (45 sal.), Schenker (40 sal.); ambulances Bugeat (40 sal.), auxquels s’ajoutent ceux de la voisine Ussac. Outre la Sncf (700 sal.), le secteur tertiaire est illustré par deux hypermarchés (Carrefour 250 sal. et Leclerc 130 sal.), trois Intermarché (55, 30 et 25 sal.); magasins Decathlon (40 sal.), Brico-Dépôt (60 sal.), MrBricolage (50 sal.), Metro (50 sal.), Babou (50 sal.), Simply (45 sal.), Conforama (40 sal.), Cultura (35 sal.); vente sur catalogue Chronodrive (50 sal.); et des banques dont BNP Paribas (55 sal.), la Société Générale (50 sal.); comptabilité Combrive (45 sal.); négoces de plomberie Tereva (110 sal.), de bois CBB (Comptoir des Bois de Brive, 80 sal.), de matériels électriques TTI (100 sal.), distribution d’électricité Enedis (150 sal.); travail temporaire Ecap (45 sal.); nettoyage Onet (250 sal.) et déchets NCI (50 sal.), La Poste (110 sal.). Dans le bâtiment, installations électriques SPIE (40 sal.) et construction de réseaux Miane-Vinatier (110 sal.), constructions SEBTP (45 sal.), Parcouteau (30 sal.) et Socoba (30 sal.), travaux publics Eurovia (95 et 60 sal.), traitement des eaux de la Saur (130 sal.). Le Club Athlétique Briviste, qui est au plus haut niveau national en rugby (quoique évincé du Top 14 en 2018), vainqueur de la Coupe d’Europe en 1997 et de la Coupe de France en 1996, emploie 90 sal. La communauté d’agglomération du Bassin de Brive groupe 48 communes et 109 700 hab. et siège à Brive. L’unité urbaine Insee est donnée pour 76 300 hab., l’aire urbaine pour 101 100. L’arrondissement a 129 100 hab. (121 200 en 1999), 97 communes, 152 636 ha. Brive a quatre nouveaux cantons; les deux premiers (12 500 et 12 700 hab.) et le quatrième (13 500 hab.) ne comportent qu’une partie de Brive. Le troisième (11 500 hab.) associe La Chapelle-aux-Brocs et Cosnac à une autre fraction de Brive. (3 060 Cosnacois, 1 998 ha dont 720 de bois) est une commune de la Corrèze en banlieue SE de Brive, dans les terrains sédimentaires du Bassin de Brive. Elle est surtout résidentielle, et assez boisée; le château de Cosnac (16e et 18e s., inscrit) héberge une résidence de retraite (Jardins de Cybèle, 45 sal.); travaux publics Colas (65 sal.), deux terrains militaires dans la vallée de la Loyre à l’est, lotissements de pavillons aux portes de Brive (Aux Jarriges, Graulière). Elle avait 820 hab. en 1975, moins de 2 000 en 1990. Elle s’est encore accrue de 650 hab. (+36%) depuis 1999. La commune est membre de l’agglomération du Bassin de Brive. (2 710 Donzenacois, 2 424 ha dont 614 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de la Corrèze, 10 km au nord de Brive au-dessus de la vallée encaissée du Maumont, à sa sortie du massif ancien. La ville, «petite cité de caractère», se tient sur une butte ronde en trois rues concentriques successives; elle conserve une halle, des maisons anciennes, des restes de remparts et une porte. L’A20 offre un accès juste l’ouest. La commune a une zone d’activités et quelques ateliers dont la tôlerie-mécanique Acimétal (25 sal.); négoce interentreprises Temaco (45 sal.), transports STEF (110 sal.), travaux publics Eiffage (20 sal.), nettoyage A2 (190 sal.); une maison de retraite; aide par le travail Sasem (50 sal.). De l’ardoise était extraite au hameau de Travassac, à l’est du bourg, ce que rappelle un petit musée souterrain. Au nord, l’échangeur de l’A20 et de l’ancienne N20 (D920) a suscité la zone d’activités dite Regardadour; hameau de la Rochelle au nord, voie ferrée à l’ouest. La population communale remonte depuis 1975 (1 800 hab.) et a encore gagné 430 hab. depuis 1999; mais elle avait dépassé 3 300 hab. en 1891. Donzenac, qui se veut «station verte de vacances» (un petit hôtel, deux campings totalisant 90 places), et qui est surtout à présent une banlieue résidentielle de Brive, membre de la communauté d’agglomération du Bassin de Brive, a été le siège d’une communauté de communes au nom curieux de 3A, inspiré par les autoroutes (A20-A89-Avenir)… (8 240 Malemortois, 1 964 ha dont 354 de bois) est une commune nouvelle de Corrèze, formée en 2016 par la fusion de Malemort-sur-Corrèze et de Venarsal, dans la communauté d’agglomération du Bassin de Brive. L’anciene Malemort-sur-Corrèze (7 700 hab., 1 651 ha dont 354 de bois) était un chef-lieu de canton, en banlieue nord-est de Brive. La ville est sur la rive droite de la Corrèze, juste en amont du centre de Brive. Son finage s’étend des deux côtés de la Corrèze; ancien prieuré de Saint-Xantin, château de Bréniges au SO, château de Puymaret à l’est (tous du 13e s.). Elle abrite tout un ensemble d’industries, notamment dans l’alimentaire malgré la disparition des pâtisseries surgelées Lachaise en 2008; restent les confitures Delvert (95 sal.), la viennoiserie Gilles (45 sal.), les Plaisirs Pâtissiers (25 sal.). Dans d’autres secteurs se signalent les ventilateurs électriques LMB (60 sal., groupe Honeywell), les ateliers de mécanique MGB 3000 (50 sal.), PMB (Précision Mécanique de Brive, 65 sal.), la Reliure du Limousin (50 sal.), le découpage Hycamep (25 sal.), la brosserie Marquardt (Chalimont, 35 sal.), la menuiserie Dubois (30 sal.) et les bétons CRP (65 sal.); logiciels Odyssée (20 sal.); ingénierie Prana (25 sal.), installations électriques Citeos (Sidel, 35 sal.), constructions Coudert (45 sal.), plantations Espaces Verts de la Corrèze (20 sal.), travaux publics Decutis (25 sal.); assainissement Marcheix (20 sal.). Dans les services et commerces, nettoyages Cools (100 sal.) et Clairenet (60 sal.), blanchisserie-teinturerie Salammbo (25 sal.), publicité Adrexo (80 sal.); hypermarché Géant Casino (160 sal.) et magasins Leroy-Merlin (100 sal.), But (30 sal.), DPM (Barnard, habillement, 35 sal.); services personnels Latitude (50 sal.); un centre d’aide par le travail avec institut médico-éducatif. La commune avait 1 200 hab. en 1900, comme en 1950; la croissance a été forte ensuite, jusqu’en 1982 (6 000 hab.) puis elle s’est ralentie (50 hab. de 1990 à 1999) mais vient de reprendre: la commune originelle a 960 hab. de plus qu’en 1999, atteignant 7 690 hab. Venarsal (540 hab., 314 ha) est à l’est de Malemort, 10 km ENE de Brive; pour sa part, elle gagné 160 hab. depuis 1999 (+42%); barrage de la Couze et lac de 9 ha; foire annuelle aux plants de fleurs. Le nouveau canton de Malemort-sur-Corrèze conserve l’ancien nom; il associe 5 communes, 15 000 hab. (3 750 Objatois, 957 ha) est une commune de la Corrèze dans la communauté du Bassin de Brive, 18 km au NO de Brive dans la vallée de la Loyre, au sein du bassin permien. La petite ville a une gare sur la voie vers Saint-Yrieix, un lycée horticole et un collège public; jardins au parc du Saillant; gare, étang avec piscine et base de loisirs. La population n’a guère cessé de croître depuis 1900, où elle était de 1 700 hab., par la conjonction de l’agriculture intensive des environs, des facilités de communication et de la proximité de Brive; elle a augmenté de 300 hab. depuis 1999. La menuiserie Corrèze-Fermetures, qui a un autre établissement à Ayen, emploie 110 personnes; conserverie de fruits Ponthier (60 sal.), mécanique MPRO (20 sal.), ingénierie cosmétique Silab (120 sal.); transports Lasternas (125 sal.), par autocars CFTA (25 sal.); magasins Intermarché (35 sal.) et Carrefour (50 sal.), négoce de textiles FDG (70 sal.), installations électriques Bergeval (35 sal.), thermiques Iso Inter (20 sal.) et Delcambre (25 sal.). L’ancienne tradition du travail de l’osier a disparu en 2008 avec la dernière entreprise, les meubles pour enfants Éguizier. (4 880 Saint-Pantaléonnais, 2 347 ha dont 626 de bois) est une commune de la Corrèze au bord de la Vézère à 7 km OSO du centre de Brive, et membre de l’agglomération du Bassin de Brive, dont elle est devenue une commune résidentielle et d’activités; mobilier de magasins et présentoirs Sud-Ouest Étalages (Lindra, 105 sal.), tonnellerie Saury (45 sal.), chaudronnerie Sanz (25 sal.); négoces de quincaillerie LBA (20 sal.), d’aciers (Crossroads, 25 sal.), de fournitures de freinage (ACF, 25 sal.); travaux publics SEBTP (55 sal.); nettoyage urbain Cnim (20 sal.). La commune a deux zones industrielles, une gare sur la voie vers Périgueux, une partie de l’ancien aérodrome de Brive; aire de service d’autoroute (Pays de Brive) et restaurant d’autoroute (20 sal.), étangs de gravières à l’est du village; arrêt sur la voie ferrée de Brive à Périgueux. Le centre villageois, peu étoffé, est sur la rive droite de la Vézère, que traverse la voie ferrée. L’essentiel de l’urbanisation est sur la rive gauche, à l’est près de Brivet, dans la plaine de confluence de la Vézère et de la Corrèze, à Lestrade, Laumeuil et Granges. Le reste du finage se déploie sur les collines au nord, jusqu’à l’autoroute. La commune s’orne du château de Cramier (17e s.) à l’angle sud-ouest, devant Larche, et d’une église inscrite du 12e s. Elle avait 1 400 hab. en 1906 et sa population s’était ensuite abaissée à 1 200 en 1954; elle augmente fermement depuis et s’est accrue de 1 010 hab. depuis 1999. Le nouveau canton de Saint-Pantaléon-de-Larche a 13 communes, 14 900 hab. (4 290 Ussacois, 2 463 ha dont 475 de bois) est une commune de la Corrèze, 5 km au NNO de Brive, membre de l’agglomération du Bassin de Brive. Le vieux village est sur une colline, avec des maisons anciennes de grès rouge, une église inscrite, en partie du 12e s. Son territoire atteint au sud-ouest les confluents du Maumont et de la Corrèze, puis de la Corrèze et de la Vézère; étang du Griffolet (7 ha) au SO. Au nord, il contient un ensemble de collines avec le hameau de Chaumont; à l’est, il inclut les collines des quartiers de Saint-Antoine-les-Plantades et de Sirogne. Il est traversé par l’A20, qui a au NE un échangeur avec la N89 (D1089), un autre au centre avec l’A89, et un double complexe d’échangeurs au sud entre A20, A89 et D901. C’est pourquoi Ussac abrite les installations des Autoroutes du Sud de la France (110 sal.) et de plusieurs entreposeurs et transporteurs: Madrias (340 sal.), Bernis (90 sal.), XPO (110 sal.), Veyres-Périé (70 sal.), TPL (20 sal.). Parmi les autres activités, découpage Sud-Ouest Emboutissage (Rouger, 35 sal.), composants électroniques Le Câblage Moderne (25 sal.); travaux publics Siorat (180 sal.) et Guintoli (30 sal.), couverture Foussat (30 sal.), étanchéité Smac (35 sal.); négoces de fruits et légumes Gautier (45 sal.), de cosmétiques Sothys Simah (50 sal. avec la logistique); publicité Mediapost (35 sal.). Deux zones d’activités se sont équipées dans la commune, qui n’a pas moins de 5 hôtels (270 chambres). La population communale était passée de 2 000 hab. au début du 19e siècle à 1 200 en 1954; elle augmente sensiblement depuis et s’est accrue de 920 hab. depuis 1999 (+27%). (2 450 Varetziens, 2 038 ha dont 348 de bois) est une commune de la Corrèze, 10 km ONO de Brive sur la route d’Objat et Pompadour (D901), dans la communauté du Bassin de Brive, parmi les légumes et les vergers de la petite plaine de la Loyre, qui conflue avec la Vézère près du village. Celui-ci est largement dépassé par l’urbanisation de la plaine; vers l’ouest, les collines sont plus agrestes; plâtrerie Blondel (25 sal.). Le château de Castel Novel au SE du village, jadis à Henry de Jouvenel et où Colette habita, est devenu hôtellerie (25 sal.), avec un parc floral de 5 ha évidemment dénommé les Jardins de Colette; l’espace multimédia de la ville est également dédié à Colette; entreprise de spectacles Nuit d’Orage (25 sal.). La population croît depuis le creux de 1950 où elle était descendue à 1 100 hab.; elle a augmenté de 470 hab. depuis 1999. |