Communauté de communes Cœur de Loire' communauté de communes de la Nièvre, associant 30 communes et 25 760 hab. sur 71 630 ha. Le siège est à Cosne-Cours-sur-Loire, seule commune de plus de 2 000 hab. Au nord, quelques communes sont directement liées à la Loire et à l’axe de circulation de Paris à Nevers. Myennes (540 Myennois, 740 ha), 4 km au nord de Cosne, au bord de la Loire, marque le début de la côte crétacée de Puisaye, ici de direction SSO-NNE. Le finage est traversé par par la voie ferrée, l’A77 et la D958, qui convergent vers le sud et ont un échangeur. Le finage s’étire en pointe vers le NE. La commune héberge un atelier de bois et parquets (Compagnie française du parquet, 80 sal.) et Fog Automotive (50 sal.) qui fabrique des appareils de levage pour garagistes; la population de Myennes ne progresse pas depuis les années 1950. La Celle-sur-Loire (840 Cellois, 2 117 ha dont 376 de bois), 7 km au nord de Cosne, a son village un peu en retrait de la Loire au pied des collines du versant droit, sur la D907 ex-N7 et la vie ferrée; l’A77 passe plus à l’est sur les collines. L’habitat se disperse sur le versant au nord, où se distinguent le hameau du Carroué et plus loin le hameau de Cadoux, qui abrite un écomusée paysan de la Bourgogne Nivernaise; atelier de moulures et encadrements (Billebault). Le finage s’étend assez largement vers l’ouest sur le relief; il est garni d’étangs de sablières en bord de Loire. Neuvy-sur-Loire (1 470 Neuvycois, 2 131 ha dont 214 de bois), 14 km NNO de Cosne, ancienne bourgade de port et de pont face à la centrale nucléaire de Belleville et au confluent de la Vrille et de la Loire, est un village-centre bien équipé et conserve des ruines gallo-romaines de Noviodunum. La Loire coule ici au pied du versant droit; la N7 et la voie ferrée s’y faufilent et le Port forme un hameau étiré, mais l’essentiel de l’habitat est sur le plateau; hameau des Pelus au sud, et étang protégé de Marvy. L’A77 passe à l’est, offrant au SE une double aire de repos (le Caule et le Séquoia). La D957, qui vient d’Avallon et Clamecy, aboutit à Neuvy. Le finage est à la fois limitrophe du Cher et du Loiret. La population de la commune remonte légèrement depuis 1982 (1 100 hab.); elle a gagné 80 hab. depuis 1999; mais elle avait dépassé 1 700 hab. en 1876. Annay (340 Annaysiens, 2 627 ha dont 730 de bois), 15 km au nord de Cosne, est juste à l’est de Neuvy et limitrophe du Loiret. Le petit village est au bord de la Vrille et sur la D957, au sein d’un habitat très dispersé; +60 hab. après 1999. Un groupe de communes est à l’est de Cosne, dans les collines du Nivernais. Saint-Père (1 120 hab., 1 709 ha), 3 km à l’est de Cosne, a renforcé son habitat dans les hameaux proches de Cosne, Pommerat, le Gué Botron et Moulin l’Évêque. Celui de la mairie, un peu à l’est, est très petit mais s’est aussi doublé d’un lotissement. Trois autres hameaux se dispersent à l’est, Villemoison où sont les restes d’une commanderie, les Lopières et Ménetereau plus au sud. Le Nohain borne le finage à l’ouest, l’autoroute A77 au NO. La population compte 70 hab. de plus qu’en 1999. Pougny (420 hab., 1 919 ha), 7 km ESE de Cosne, a son village au SO de son finage sur la route de Donzy, mais relayé par plusieurs hameaux, dont Chambre au nord, Villaines et Meung à l’extrême NE, Brétignelles à l’est. Saint-Loup (480 hab., 1 728 ha dont 271 de bois), 7 km NE de Cosne, a un petit village doublé au nord par le hameau de Villefargeau; musée de la machine agricole et de la ruralité; négoce de machines agricoles Malecot Poirier Agri (25 sal.); jardins des Merlettes au nord. Alligny-Cosne (900 Eliniacois, 3 441 ha dont 423 de bois), a son village au pied de la côte de Puisaye à 13 km ENE de Cosne; église flamboyante du 16e s.; hameaux de la Brosse aux Bruns, Parigny et le Chalumeau au sud-ouest, des Barbezans et de Terre Noire à l’est; traces d’une voie antique de Cosne à Entrains sur Nohain. La commune a eu plus de 2 000 hab. au 19e siècle, mais sa population remonte depuis le minimum de 1975 (680 hab.), gagnant encore 50 hab. après 1999. Ciez (380 Ciezois, 2 834 ha dont 618 de bois), 20 km ENE de Cosne, est au pied de la côte de Puisaye et son territoire mord un peu sur celle-ci et son revers; la voie antique vers Entrains passe un peu au nord du village, rejointe ensuite au NE par la D168; hameau et carrière de Jussy au NE. La commune a eu 1 300 hab. en 1876, la population est stable depuis 1999. Menestreau (110 hab., 1 949 ha dont 838 de bois), 31 km à l’est de Cosne, 7 km au sud d’Entrains, a son petit village au bord d’un petit affluent du Nohain; hameaux de Nérondes au NO près du Nohain, de Villiers au sud. Couloutre (200 Couloutrois, 2 103 ha dont 1 098 de bois), 27 km à l’est de Cosne, est sur le bas versant gauche du Nohain, assorti des petits hameaux de Pilles et les Moutiots en face sur le versant droit. Le finage est très boisé au sud; forêt domaniale d’Arcy au SO. Perroy (160 hab., 2 168 ha dont 381 de bois), 5 km NE de Donzy, a un petit village sur le versant gauche du Nohain et un habitat dispersé; hameaux des Ormeaux et des Rabions au NO, château classé de la Motte-Josserand au SO, à grosses tours (14e au 17e). Donzy (1 610 Donziais, 6 318 ha dont 1 596 de bois), est un ancien chef-lieu de canton à 17 km ESE de Cosne, au confluent de la Talvanne. «Station verte de vacances», «petite cité de caractère» et «village de charme» au bord du Nohain, la bourgade a un collège public, des maisons anciennes et un écomusée de la meunerie dans un ancien moulin, un camping; juste en amont, restes d’une abbaye à l’Épeau à l’est dans la vallée de la Talvanne; en aval, ancien prieuré clunisien et fouilles gallo-romaines à Donzy-le-Pré. Le finage contient plusieurs châteaux, dont Champromain à l’est, avec parc; hameaux de la Brosse au NO. Donzy avait absorbé un peu avant 1800 Bagneaux juste au nord, qui n’a pas laissé de trace, et Saint-Martin-du-Pré au SO, qui subsiste sous la forme du faubourg de Donzy le Pré, avec un prieuré. Un atelier de plastiques Soyez (65 sal.) est spécialiste de cure-dents, pailles et chalumeaux; un Intermarché (30 sal.). Donzy est souvent prise comme commune de référence par les instituts de sondage, dans la mesure où l’on a cru observer que ses habitants semblent régulièrement voter «comme la moyenne des Français». Il n’en est évidemment pas ainsi pour la démographie, la commune ayant constamment perdu des habitants depuis le milieu du 19e siècle, où elle dépassait les 4 000 hab. Le reste de l’intercommunalité est au sud. Cessy-les-Bois (100 Cessycois, 1 749 ha dont 916 de bois), 9 km ESE de Donzy) est aux sources de la Talvanne. Au petit village s’ajoutent les hameaux de Bondieuse en amont, et de Paray à l’est dans un vallon affluent. Le relief monte à 350 m. Colméry (330 hab., 2 417 ha dont 776 de bois), 11 km ESE de Donzy, a un finage à cheval sur les collines du plateau jurassique au NO et la dépression liasique au SE. Le village est dans un petit bassin de confluence de vallons à l’intérieur du plateau, où il est accompagné par le hameau de Malicorne. D’autres hameaux se dispersent au nord et tout à l’ouest. Le front de côte est découpé en buttes comme le Mont de Grès (357 m). Au pied dans la dépression, hameau des Duprés. Une avancée de la commune de Saint-Malo isole le petit finage quasi enclavé de Dreigny, également en pied de côte, qui n’est relié au reste de la commune que par un étranglement d’à peine 50 m, où s’insinue toutefois la D127. La population a augmenté de 80 hab. depuis 1999. Saint-Malo-en-Donziois (130 hab., 1 481 ha dont 500 de bois), 16 km ESE de Donzy, est dans la dépression, aux têtes du Pélerin, petit affluent de la Nièvre, qui borne le finage à l’est et passe au hameau de Bourras l’Abbaye, qui conserve quelques éléments de son ancienne abbaye cistercienne. La N151 rectiligne traverse la commune au SE. Le territoire lance deux extensions vers le front de côte au NO (hameau du Beauchot) et vers l’ouest (hameau des Carrés) qui encadrent la quasi-enclave de Colméry. Le centre est moins peuplé que ces hameaux. La mention en-Donziois a été ajoutée au nom en 1937. Châteauneuf-Val-de-Bargis (540 hab., 4 756 ha dont 2 436 de bois), 16 km SE de Donzy, a son village au pied de la côte sur la N151, environné de buttes résiduelles de toutes tailles et entouré d’une demi-douzaine de hameaux, dont Chamery au SE, les Taules au NO. La Nièvre borne le finage à l’est, où s’isole le hameau de Chaume, séparé du reste de la commune par la forêt des Rouesses. Le finage monte à l’ouest sur le plateau, où s’étale la forêt domaniale de Bellary; château et chartreuse de Bellary dans les bois tout à l’ouest, restes d’un monastère du 13e siècle. Le nom de la commune était Châteauneuf tout court avant 1961; Bargis était son nom originel, attesté en 578, encore présent à côté de Castelneuf au 13e siècle, retrouvé sous la forme Val-Bargis en 1790 puis oublié. La population diminue depuis les 2 200 hab. du milieu du 19e siècle. Sainte-Colombe-des-Bois (130 Colombois, 2 959 ha dont 1 908 de bois), 7 km SSE de Donzy, est une commune du plateau jurassique qui a pour axe le vallon de l’Acotin, petit affluent du Nohain. Elle est sans village et a plusieurs étangs dans les bois. Vielmanay (190 Vielmanois, 2 133 ha dont 792 de bois), 15 km au sud de Donzy, 10 km à l’est de Pouilly-sur-Loire, est dans le vallon qui descend de Bellary vers le Mazou, que le finage atteint au SE. Elle se distingue par un petit village fleuri où une entreprise agricole emploie une soixantaine de personnes à des bouquets de fleurs séchées (Les Compositions nivernaises). Le musée de la Louise, nommé en l’honneur d’une ancienne habitante populaire, rassemble divers éléments de la vie d’antan; quelques restes de l’ancienne abbaye cistercienne de Coche au nord. Garchy (440 hab., 2 118 ha dont 154 de bois), 10 km à l’est de Pouilly-sur-Loire, a son village dans le vallon d’Asvins, affluent du Mazou. Plusieurs hameaux se dispersent, dont Maizières au NO. Au nord, un ancien site de recherche géophysique du CNRS a reçu une plate-forme logistique de pyrotechnie de la société Ardi, dans 11 bâtiments épars sur 160 ha et aux normes «Seveso II seuil haut». Suilly-la-Tour (610 Suillyzois, 3 691 ha dont 156 de bois), 15 km SE de Cosne, a son village sur un étroit promontoire de confluence entre le Nohain et l’Acotin; église romane classée du 12e s. L’habitat s’est étendu vers l’ouest le long du Nohain, englobant le hameau de Presle; château des Granges (15e et 17e s., classé) sur la rive droite du Nohain. Un peu au SE, le hameau de Suillyzeau est au bord de l’Acotin. La commune comprend aussi au nord le hameau de Seigne, à l’est celui de Champcelée au bord du Nohain; une carrière est exploitée non loin au NE. Tout au sud, colonie de vacances au Champ Fleury. Saint-Quentin-sur-Nohain (100 Quintinois, 1 598 ha), 13 km SE de Cosne, a son village tout au nord du finage; hameaux de Chevroux un peu au sud, de Chaume tout au sud. La mention sur-Nohain a été ajoutée en 1937. Saint-Laurent-l’Abbaye (220 hab., 141 ha), 10 km SE de Cosne, sur la D4, a un minuscule finage et peu de restes de l’abbaye fondée au 6e siècle; quelques vignes sont partagées avec Saint-Martin-de-Nohain; l’Abbaye a été ajouté au nom en 2001. Saint-Martin-sur-Nohain (390 Martiniens, 2 403 ha dont 210 de bois), 8 km SSE de Cosne, a un petit village sur la rive droite du Nohain, complété en amont par le hameau de Villiers, en aval par celui de Paillot. Au sud s’isole le hameau de Moussard; quelques vignes sont sur le versant droit du Nohain aux environs de Villiers, et au SE à la limite de Saint-Laurent-l’Abbaye. La mention du Nohain dans le nom est de 1903; auparavant, le nom a parfois été Saint-Martin-du-Tronsec. Saint-Andelain (520 Saint-Andelainois, 2 031 ha dont 430 de vignes et 213 de bois), 15 km SSE de Cosne, est à 3 km au nord de Pouilly dans les collines, de l’autre côté de l’A77 et participe à l’aoc pouilly; hameaux de Soumard au nord, Chambeau au NE, Congy au SE, des Berthiers à l’ouest avec une queue au nord de Pouilly, au-delà de l’autoroute. Tracy-sur-Loire (980 Tracéens, 2 307 ha dont 378 de bois et 270 de vignes), 14 km SSO de Cosne, est à un coude de la Loire face à Sancerre. Le village originel, sur une hauteur dominant la Loire, a un château classé des 15e-16e s. mais seulement quelques maisons. La voie ferrée Paris-Nevers passe au pied en suivant la rive droite de la Loire. L’habitat principal est Boisgibault, au SE. À la limite NO du finage, le hameau de la Roche a la gare et le pont qui desservent Sancerre. Au NE, le hameau de Maltaverne est associé à un échangeur de l’A77 avec la D4, pourvue de l’aire de service des Vignobles (25 sal.) et proche du hameau de Fontenille. Au centre de la commune, un vallon est occupé par une enfilade de trois étangs dont celui des Hâtes (13 ha). Le vignoble d’aoc pouilly, traversé par l’A77, s’étend au sud et à l’est du finage. Pouilly-sur-Loire (1 660 Pouillysois, 2 028 ha dont 520 de vignes, 332 de bois) est un ancien chef-lieu de canton, 18 km au sud de Cosne et 34 km au NNO de Nevers. La bourgade, sur la rive droite de la Loire et le couloir de circulation de Paris à Nevers, est surtout connue pour son vignoble, dont les débuts furent favorisés par l’abbaye de La Charité; l’AOC (de 1937) porte sur environ 1 000 ha, surtout en pouilly-fumé (sauvignon, 60 000 hl) complété par du pouilly-sur-loire (chasselas, 3 000 hl); cave coopérative à Pouilly; Saget La Perrière viticulture (55 sal.), un négociant en vins et spiritueux Ladoucette (20 sal.); un collège public, pont sur la Loire. L’A77 traverse tout le finage, offrant un accès (n°25) au nord, un autre (n°26) au sud près du hameau de Charenton, et une aire de repos tout près du village pour partie, à l’extrême sud de la commune pour l’autre partie. La Loire a plusieurs îles et atterrissements vers le nord, dont l’île de Malaga; aviron, camping, Pavilllon du Milieu de Loire. Tout au nord-ouest s’est établi le hameau des Loges dans un vallon en bord de Loire, entouré de vignes. Le hameau du Bouchot complète l’habitat au NE du bourg. Le finage a une large extension à l’est, en partie boisée. La commune n’est dite «sur Loire» que depuis 1961; peuplée de plus de 3 000 hab. dans la seconde moitié du 19e siècle, elle a perdu des habitants jusqu’en 1962 puis son niveau s’est stabilisé; mais elle a encore baissé de 110 hab. après 1999. Le nouveau canton de Pouilly-sur-Loire a 29 communes et 16 300 hab Mesves-sur-Loire (720 Mesverois, 1 864 ha dont 617 de bois), 25 km SSE de Cosne, est au bord de la Loire au sud de Pouilly, mais sans vigne. Le Mazou arrive au village, mais les alluvionnements de la Loire ont reporté plus au nord son confluent, dans le territoire de Pouilly. La voie ferrée et la N7 traversent le finage, celle-ci contournant le village; hameau de Mouron au SO en bord de Loire. La commune jouxte La Charité au sud; elle a un institut médico-éducatif et une entreprise de travaux publics (Merlot, 75 sal.). La population a gagné 140 hab. (un quart) depuis 1999. La mention sur-Loire a été ajoutée au nom en 1882.. Bulcy (130 Bulcycois, 843 ha), 28 km SE de Cosne, a un petit village sur la rive gauche du Mazou, doublé en face par le hameau de Neuville. (10 130 Cosnois, 5 330 ha dont 864 de bois) est une sous-préfecture de la Nièvre, 52 km au NNO de Nevers, sur la rive droite de la Loire au confluent du Nohain, et sur le couloir de circulation de Paris à Nevers. Le nom vient d’un ancien Condate (confluent) au débouché du Nohain dans la Loire. Assez tôt carrefour avec pont sur la Loire, Cosne fut ville épiscopale, puis industrielle, connue au 17e s. pour ses forges et ses faïenceries. Le site des forges, plusieurs fois reconverties, a fini par être abandonné en 1987 et doit être réaménagé par la municipalité; le quartier Saint-Laurent est classé en «zone urbaine sensible». La ville est fleurie (trois fleurs); c’est un foyer de services actif, avec centre hospitalier (58 lits), clinique (170 sal., 130 lits), centre de rééducation (Pasori, 210 sal.); deux collèges et deux lycées publics avec BTS, un collège et lycée privés, un lycée agricole public avec centre d’apprentissage, un EHPAD (Résidence Edme La Varenne) et deux centres commerciaux Auchan (130 sal.) et Carrefour Market (85); travail temporaire (Planett Centre Est 115 sal.). Cosne a néanmoins quelques industries: l’imprimerie Parangon transaction (200 sal.) spécialiste d’imprimés administratifs, tickets et liasses; Geficca (80 sal., élastomères). La ville a aussi perdu des emplois: Henkel a fermé en 2008 sa fabrique d’adhésifs et joints qui eut 240 emplois, la fabrique de tubes de forage Altifort SMFI (ex-Vallourec) a été reprise en 2020 par l’états-unien Command Tubular qui ne garde que 30 emplois au lieu de 150, et la confection a disparu. La ville propose deux musées, d’archéologie et de la Loire moyenne; au sud, le domaine agricole de Pont-Aubry reçoit 33 000 visiteurs par an. Un aérodrome (code LFGH) avec piste revêtue de 800 m et aéroclub se tient au sud de la ville à 6 km. Le nom de la ville était simplement Cosne jadis. Il s’est compliqué en 1952 en devenant Cosne-sur-Loire, et a encore changé en 1972 par suite de la fusion avec Cours-sur-Loire, ce qui avait fait passer sa population de 9 600 hab. en 1968 à 12 100 en 1975; le nombre d’habitants a un peu augmenté ensuite (12 500 en 1982), puis a diminué, perdant 1 700 hab. depuis 1999. Cours a au contraire gagné des habitants et compte pour 1 710 hab. (1 540 en 1999). L’arrondissement de Cosne a 43 400 hab., 63 communes. L’aire urbaine Insee est donnée pour 13 500 hab. pour six communes; l’unité urbaine réunit Cosne et Saint-Père (11 200 hab.). Cosne est le siège de la communauté de communes Loire, Vignobles et Nohain (30 communes, 25 800 hab., 71 630ha). Le nouveau canton de Cosne-Cours-sur-Loire a 7communes et 14 100 hab. |