Communauté d’agglomération Valence Romans Agglo' communauté d’agglomération de la Drôme, associant 54 communes et 223 300 hab. sur 94 050 ha. Valence (siège), Alixan, Beaumont-lès-Valence, Bourg-de-Péage, Bourg-lès-Valence, Chabeuil, Clérieux, Châteauneuf-sur-Isère, Chatuzange-le-Goubet, Étoile-sur-Rhône, Génissieux, Malissard, Montélier, Montmeyran, Mours-Saint-Eusèbe, Peyrins, Portes-lès-Valence, Romans-sur-Isère, Saint-Marcel-lès-Valence ont plus de 2 000 hab. Beauvallon (1 620 Beauvallonnais, 312 ha), 3 km au SE de Valence au bord de la Vèbre, à l’est de Portes-lès-Valence sur la D111, est surtout résidentielle; elle avait 200 hab. au début du 20e s., 480 en 1968, a fortement crû ensuite jusqu’en 1982, et s’est encore accrue de 600 hab. (plus de moitié) depuis 1999. Montéléger (1 880 Montélégeois, 945 ha), 11 km SSE de Valence, au bord du Pétochin, affluent de gauche de la Vèbre, jouxte au sud Beaumont-lès-Valence. Elle a deux établissements (instituts médico-éducatifs) pour jeunes handicapés ou en difficulté, dont un de l’Adapei (80 sal.), un centre hospitalier spécialisé (le Valmont, dans un parc de 40 ha, 350 lits, 580 employés) et des entreprises de transports dont DL (40 sal.) et les transports d’handicapés Mobi-France (95 sal.); conseil NWL (30 sal.); négoce de produits chimiques agricoles Agrodia (65 sal.). La commune a eu 450 hab. en 1962, 1 400 en 1982; elle a encore gagné 270 hab. depuis 1999. Upie (1 560 Upiens, 1 953 ha dont 496 de bois) est à 18 km SSE de Valence; bois de Beauplanel et parc d’attraction du Jardin aux Oiseaux. Upie a gagné 450 hab. (+41%) depuis 1999, la population croît depuis le minimum de 720 hab. en 1968 mais avait approché des 1 500 hab. en 1851. Ourches (280 Ourchois, 923 ha) est à 22 km SE de Valence au pied des reliefs; +60 hab. depuis 1999. La Baume-Cornillane (460 Balmois, 1 442 ha) est à 20 km SE de Valence, au pied de reliefs montant à 961 m à la Roye; +60 hab. après 1999. Montvendre (1 260 Montvendrois, 1 724 ha dont 205 de bois), 14 km ESE de Valence, est une commune de plaine, traversée à l’ouest du village par la D528 et la LGV. Elle a gagné 390 hab. depuis 1999 (+45%). Barcelonne (360 Barcelonnais, 828 ha) est à 17 km ESE de Valence au pied des reliefs. Sa population stagne depuis 1999. Combovin (480 Combovinois, 3 586 ha) a une commune étendue dans les reliefs, jusqu’à 1 000 m au SE; le village est tout au NO du finage dans un site de confluence de la Véore; +110 hab. depuis 1999 (+30%). Châteaudouble (600 Châteaudoublois, 1 737 ha dont 706 de bois), a son village 18 km ESE de Valence au pied des reliefs et un finage qui atteint 1 086 m au col routier des Limouches; beau château carré du 16e-17e s. La population augmente un peu depuis le minimum de 280 hab. en 1968 (+120 hab. après 1999). Peyrus (590 Peyrusiens, 1 048 ha dont 615 de bois), 19 km à l’est de Valence, est au pied du Vercors au débouché de la Lierne, affluent de droite de la Vèbre; le finage monte à 1 099 m dans le champ de tir de Peyrus. La commune a eu plus de 1 000 habitants avant 1840, 210 seulement en 1962; elle croît à nouveau depuis (+90 hab. après 1999). Charpey (1 550 Charpenois, 1 548 ha), 17 km à l’est de Valence, est une commune de plaine, du moins depuis 1954. Elle a eu plus de 1 800 hab. en 1851; mais elle a perdu successivement en 1873 le territoire de Bésayes (930 Bésayens, 953 ha) au nord, en 1954 celui de Saint-Vincent (260 hab.), nommé à cette occasion Saint-Vincent-la-Commanderie (400 Commandériens, 1 334 ha dont 716 de bois) au sud-est, dont le finage monte à plus de 1 100 m. L’actuelle Charpey accueille le golf de Valence au hameau de Saint-Didier. Elle a gagné 630 hab. depuis 1999 (+68%). Bésayes (1 290 Bésayens, 953 ha) a un finage allongé d’ouest en est dans la plaine 17 km à l’ENE de Valence. Elle a été créée en 1873 à partir de Charpey avec 760 hab.; descendue à 500 dans les années 1950, la commune croît lentement depuis; elle héberge une maison de retraite (35 sal.). Saint-Vincent-la-Commanderie (580 Commandériens, 1 334 ha dont 716 de bois). Elle a été créée en 1954 à partir de de Charpey avec 260 hab. en complétant son nom à cette occasion. Son finage monte à 1 113 m sur la corniche urgonienne du Vercors. Barbières (1 150 Barbiérois, 1 440 ha dont 613 de bois), 22 km ENE de Valence, a son village à 432 au pied du Vercors mais son finage atteint 1 308 m à la Pierre Chauve et 1 322 au Rocher du Roi Gros Nez, que sépare le col de Tourniol (1 145 m) par où passe une route d’accès au Vercors par Léoncel, aux nombreux lacets; ruines du château de Pélafol au-dessus du village. La population a crû depuis le creux des années 1930 (350 hab.), gagnant encore 490 hab. après 1999 (+74%). Rochefort-Samson (1 040 Samsonnais, 2 459 ha dont 856 de bois), 2 km au NNE de Barblères, est également au pied du Vercors et son ban atteint 1 330 m aux rochers des Deux Sœurs; site de vol libre à la Combe d’Oyans. Au nord, le gros hameau de Saint-Mamans est au-dessus du ruisseau de la Combe d’Oyans, qui atteint l’Isère à la limite de Beaureard-Barret et de Chatuzange-le-Goubet. La commune était tombée à 430 hab. en 1975. Elle a augmenté de 260 hab. après 1999 (un tiers). Marches (890 Marchois, 1 109 ha) est à 20 km NNE de Valence en plaine. Le finage monte à l’est sur la butte du Château Gaillard, qui n’atteint que 412 m. La commune a 230 hab. de plus qu’en 1999 (+35%). Beauregard-Baret (910 Beauregardois, 2 344 ha dont 1 168 de bois), 26 km NE de Valence à 12 km ESE de Bourg-de-Péage, à 457 m, est au pied du Vercors. Son territoire, allongé du NO au SE, atteint au nord la rive gauche de l’Isère, longée par l’A49 et la D532; à l’est la montagne de Musan (1 292 m). La population a dépassé 1 700 hab. en 1861 puis a décliné jusqu’en 1975 (320 hab.); son nom était seulement Beauregard avant 1920. Beauregard est un hameau au SE juste au pied du relief, la mairie a été transférée au NO au gros hameau de Meymans. Plus tard, la commune a perdu le territoire de Jaillans (610 Jaillanais, 904 ha), 5 km au nord et entièrement en plaine, émancipée en 1950 avec 400 hab. Jaillans (920 Jaillanais, 904 ha), 29 km NE de Valence, est une commune de plaine au sud de l’Isère mais dont le finage ne touche pas à la rivière; elle s’est émancipée de Beauregard-Barret en 1950 avec 400 hab. et a gagné 310 hab. après 1999 (+51%). Hostun (1 030 Hostunois, 1 824 ha dont 678 de bois), 31 km NE de Valence, disperse ses maisons au nord de Beauregard et monte sur l’escarpement urgonien du Vercors par une limite orientale rectiligne qui atteint au SE 1 079 m sur la Serre de Crève-Cœur. Le village principal est Saint-Maurice, au nord sur la D125-325. Le finage atteint au nord la D532 et l’A49, mais non l’Isère, dont celui d’Eymeux le sépare; sables et granulats Sifraco (30 sal.). Hostun a gagné 260 hab. depuis 1999 (+34%). La Baume-d’Hostun (600 Baumois, 846 ha dont 309 de bois), 34 km NE de Valence, limitrophe du département de l’Isère, a son village juste au pied du relief très près de la rive gauche de l’Isère, qui borne le finage au nord; la D532 et l’A49 le traversent, celle-ci y ayant une double aire de service (60 sal.) et un échangeur à péage; ateliers de plasturgie (Factorty Fast, 25 sal.) et de mécanique (Marcel, 25 sal.); maison de santé (convalescence), viaduc autoroutier et usine électrique sur l’Isère. La commune a 230 hab. de plus qu’en 1999 (+63%). Eymeux (1 070 Eymeusiens, 988 ha), 37 km NE de Valence, limitrophe du département de l’Isère, étale son village sur la rive gauche de la rivière; l’A49 passe au sud de son finage, qui s’étire vers l’aval jusqu’à englober le hameau de l’Écancière. La commune a 490 hab. de plus qu’en 1999 (+84%). Saint-Paul-lès-Romans (1 890 Saint-Paulois, 1 577 ha) est à 6 km ENE de Romans sur la rive droite de l’Isère, limitrophe du département de l’Isère et au bord de la Joyeuse, qui rejoint l’Isère au SO, à la limite des communes de Saint-Paul et de Romans-sur-Isère. La commune a eu 1 200 hab. en 1851 avant de descendre jusqu’à moins de 800 hab. en 1936; mais elle a connu une forte croissance récente, dont 360 hab. après 1999 (+24%). Le finage de Saint-Paul est limité au sud par l’Isère; un centre commercial Leclerc (340 sal.) y a pris place, plus des magasins comme Bricomarché (35 sal.) et But (30 sal.). Juste à côté a été aménagé l’aérodrome de Romans-Saint-Paul (LFHE) avec trois pistes en herbe de 500 à 930 m, des aéroclubs. Granges-les-Beaumont (900 Grangeois, 751 ha) est juste à l’ouest de Romans sur la D532 et atteint au sud la rive droite de l’Isère, à l’ouest l’Herbasse et leur confluent. La LGV traverse non loin. La commune a été créée en 1946 à partir de Beaumont-Monteux, avec 250 hab.; sa population a crû après 1980 mais a 60 hab. de moins qu’en 1999. La Maroquinerie du Dauphiné emploie 340 personnes et appartient au groupe Charles Jourdan (passé au groupe Royer); emballages plastiques Polypap (25 sal.). Saint-Bardoux (610 Bardousiens, 1 063 ha dont 200 de bois) est à 10 km NO de Romans juste au NE de Clérieux dont elle a été détachée en 1886. Elle avait alors 500 hab. et les a retrouvés après un creux à 320 hab. en 1968; elle a gagné 60 hab. après 1999. Triors (630 Triorais, 565 ha) est à 8 km NE de Romans. Un beau château du 18e s., appartenant à des bénédictins, y abrite un institut médico-éducatif. La commune a 160 hab. de plus qu’en 1999 (+33%). Châtillon-Saint-Jean (1 340 Châtillonnais, 882 ha dont 240 de bois), 9 km au NE de Romans au bord de la Joyeuse, limitrophe du département de l’Isère, a un centre d’aide par le travail et 450 hab. de plus qu’en 1999 (+51%). Parnans (730 Parnanais, 1 124 ha), 12 km NE de Romans, est limitrophe de l’Isère et a 250 hab. de plus qu’en 1999 (+52%). Geyssans (730 Geyssanais, 1 090 ha dont 338 de bois), 11 km NNE de Romans, a un institut médico-éducatif et 240 hab. de plus qu’en 1999 (+49%). Le Chalon (210 Chalonnais, 838 ha) est à 15 km au nord de Romans dans la vallée du Chalon, petit affluent de l’Isère; +50 hab. depuis 1999. Saint-Michel-sur-Savasse (570 Saint-Michellois, 1 111 ha) est à 14 km NNE de Romans dans la vallée de la Savasse qui descend vers Romans, avec 160 hab. de plus qu’en 1999 (+39%). Montmiral (700 Montmiralois, 2 669 ha dont 1 018 de bois), 16 km au NNE de Romans, limitrophe du département de l’Isère, englobe une bonne part de la forêt de Thivolet. Elle possède depuis longtemps un collège et un lycée protestants; un établissement pour handicapés (itep) s’y est ajouté. La tour médiévale de Montmiral est au SO du village, longé par la Savasse, affluent de l’Isère aboutissant à Romans. La commune a 250 hab. de plus qu’en 1999 (+56%) et a reçu un parc de 8 éoliennes Vestas (16 MW, Engie). Saint-Laurent-d’Onay (160 Onays, 628 ha) est à 19 km NNE de Romans dans la vallée de l’Herbasse et a gagné 50 hab. depuis 1999. Crépol (550 Crépolois, 1 142 ha dont 279 de bois), 16 km au nord de Romans, sur l’Herbasse, a un élevage-abattage de Drôme Lapins (20 sal.), un secrétariat d’entreprises (Sectant, 20 sal.) et les transports Jullien (40 sal.); +70 hab. après 1999. Saint-Christophe-et-le-Laris (430 Saint-Christophois, 1 135 ha), 20 km au nord de Romans, est sur la Limone, affluent de droite de l’Herbasse. Le Laris est le village principal au sud, ajouté en 1801 au nom de Saint-Christophe qui conserve quelques maisons au nord en amont; +140 hab. après 1999 (+48%). Valherbasse (1 040 hab., 4 357 ha), 23 km NNE de Romans, est la commune la plus septentrionale de la CA Valence Romans Agglo et limitrophe de l’Isère. Elle a été créée en 2016 par fusion à trois. Montrigaud (500 Rigaudmontains, 2 873 ha dont 1 350 de bois) en est le centre, et contient les sources de l’Herbasse; la commune a eu plus de 1 600 hab. dans les années 1830, 340 seulement en 1982, 460 en 1999. Miribel (300 hab.), est 3 km à l’aval sur le versant droit de l’Herbasse. Saint-Bonnet-de-Valclérieux (14 hab.) est à 8 km au SE dans le vallon du Valéré, qui rejoint l’Herbasse rive gauche sous Miribel. L’ensemble a 170 hab.de plus qu’en 1999 (+20%) et a reçu deux parc éoliens totalisant douze hélices Senvion (24MW, groupe Engie). (2 650 Alixanais, 2 828 ha) est une commune de la Drôme dans la CA Valence Romans Agglo, 7 km SSO de Romans sur la route de Chabeuil (D536). Le village est formé de trois anneaux circulaires autour d’un modeste piton de molasse, selon un modèle défensif bien connu. C’est dans la commune, mais à 4 km à l’ouest du village, qu’a été établie la gare du TGV de Valence, près de la voie rapide N532 qui y a une aire de service, et du croisement avec la voie ferrée de Valence à Romans et Grenoble; il en est résulté un nouveau centre d’activités et d’habitation dans le prolongement de Saint-Marcel-lès-Valence; fabrique d’équipements de contrôle Solystic (270 sal.), laboratoire de recherche Ingenico (290 sal.) et ingénierie du groupe (190 sal.); Crédit Lyonnais (70 sal.), BNP (40 sal.) et tenue de comptes Amundi (150 sal.), assurances Allianz (40 sal.). Alixan a eu 2 000 hab. autour de 1860, seulement 1 100 en 1975 puis sa population s’est mise à croître; elle a augmenté de 540 hab. (+26%) depuis 1999. (4 240 Beaumontois, 1 761 ha) est une commune du département de la Drôme dans la CA Valence Romans Agglo, 10 km SSE de Valence. On y apprécie la tour de l’horloge, ancienne porte de ville du 14e s., et l’église-temple sous un même toit; maçonnerie Bernaud (50 sal.), ennoblissement textile IBE (35 sal.), métallerie SITI (35 sal.), mécanique Pansu (35 sal.), transports TEC (30 sal.), magasin Super-U (45 sal.), un collège. La Véore et son affluent l’Écoutay traversent la commune, qui associe plusieurs lotissements le long de la D538. Au nord, un centre de munitions de l’armée est installé à Billard. Beaumont n’avait que 1 000 hab. dans les années 1930 (contre près de 1 500 en 1861) mais sa population augmente sensiblement depuis; elle a dépassé les 2 000 hab. en 1978 et gagné 560 hab. de 1990 à 1999, 460 hab. après 1999. (9 980 Péageois, 1 371 ha) est un ancien chef-lieu de canton de la Drôme dans l’arrondissement de Valence, 19 km au NE de la préfecture, dans la CA Valence Romans Agglo. La ville est sur la rive gauche de l’Isère, face à Romans-sur-Isère. Sa croissance a été nettement plus lente que celle de Romans (6 500 hab. dans les années 1930, 8 000 vers 1965) et a ralenti ensuite, avant de reprendre après 1985, un peu en relais de Romans; mais elle plafonne et a 100 hab. de moins qu’en 1999. L’autoroute A49 frôle la ville au sud, avec deux échangeurs au SO et une large zone d’activités associée. Ses activités complètent celles de Romans; s’y signalent une fabrique de brioches Podis (Maître Fournil, 160 sal.), les cosmétiques Nature Cos (80 sal.), l’ingénierie Cégélec (Actemium, 200 sal.); centre commercial Casino (85 sal.); travaux publics Cheval (130 sal.), carrières Scopic (65 sal.); nettoyage ADN (100 sal.). La ville est équipée d’un lycée et de deux collèges publics, un collège privé, une maison familiale rurale, une clinique de 109 lits (La Parisière, 160 sal.). Le nouveau canton de Bourg-de-Péage a 3 communes, 29 200 hab. Les deux autres unités sont Alixan et une fraction de Romans (16 600 hab.). (20 330 Bourcains, 2 030 ha) est un ancien chef-lieu de canton du département de la Drôme dans l’arrondissement de Valence, dans la CA Valence Romans Agglo, en banlieue nord de la préfecture, au-delà de la petite vallée de la Barberolle. Son urbanisation se confond avec celle de Valence et elle est traversée par la rocade de l’agglomération, connectée au faisceau de circulation rhodanien (N7, A7, voie ferrée) qui traverse la commune le long du fleuve. Une centrale électrique (186 MW) a été installée côté amont sur une dérivation du Rhône et a été flanquée ensuite d’une centrale photovoltaïque. Bourg héberge un lycée agricole public, une maison de retraite (60 sal.) et une bonne part des industries de l’agglomération valentinoise: machines de marquage et imprimantes à jet d’encre Markem Imaje (520 sal., groupe états-unien ITW); pompes et systèmes de vide industriel Leybold Vacuum (140 sal.) au groupe suisse Unaxis; munitions la Cheddite (120 sal.) au spécialiste de chasse Sofisport. La commune accueille aussi un gros centre commercial avec le magasin Leclerc de Valence (360 sal.), un Intermarché et une jardinerie, divers magasins, le négoce Fiter (75 sal.) de fruits et légumes. Elle a une base des Autoroutes du Sud de la France (210 sal.); travaux publics Bouygues (85 sal.) et Grammatteo (70 sal.); nettoyages Derichebourg (260 sal.) et DANE (100 sal.). La Compagnie Nationale du Rhône (CNR) y a 80 salariés La population communale était de 3 000 hab. dans les années 1840, 4 500 au début du 20e s. et 6 800 en 1936; elle n’a cessé de croître et a encore augmenté de 1 420 hab. après 1999. (7 020 Chabeuillois, 4 107 ha dont 225 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de la Drôme dans la CA de Valence Romans Agglo, 11 km ESE de Valence au bord de la Vèbre. Le bourg a un collège public et un privé, des restes de l’enceinte (tours et portes), une mairie néogothique de 1881 avec un campanile à l’italienne de 1903; un château du 18e s. se voit au SO du bourg. Les principales entreprises sont la mécanique de précision Vignal Artru (70 sal.), le traitement de surfaces Zinq Valence (55 sal.); supermarché Casino (30 sal.). L’aérodrome de Valence-Chabeuil (codes VAF et LFLU), doté de trois pistes dont une de 2 100 m, et d’une aérogare, occupe une large place dans la partie occidentale de la commune, de l’autre côté de la ligne de TGV qui la traverse. Son trafic reste limité (autour de 2 000 passagers par an, certains en vol international), mais avec 30 000 mouvements par an, environ 400 commerciaux, un tiers en voyages privés et deux tiers en aéroclub. La population communale augmente depuis le creux des années 1930 (2 600 hab.), gagnant 1 050 hab. après 1999. (4 140 Châteauneuvois, 4 557 ha dont 220 de bois) est une commune du département de la Drôme dans la CA Valence Romans Agglo, sur la rive gauche de l’Isère, à 11 km NNE de Valence et 11 km OSO de Bourg-de-Péage; grottes, deux barrages sur l’Isère, base de loisirs du lac d’Aiguille à l’ouest. Tout à l’est au bord de l’Isère et près de Romans, sont quelques restes (18e s.) de l’abbaye cistercienne de Vernaison. Des vergers de pêchers, abricotiers et cerisiers, favorisés par le canal d’irrigation issu de la Bourne, permettent à la ville de se dire «capitale de la pêche», à la tête d’un ensemble de 1 500 ha produisant 40 000 t/an; conserves de fruits Boiron (180 sal.), éléments en béton Fehr (100 sal.), construction aéronautique SKF Aerospace (55 sal.), composants électroniques Cari (55 sal.), maroquinerie L’Atelier (55 sal.); informatique Dedaus (80 sal.), négoce de fournitures Markem Imaje (140 sal.); musée de la monnaie, maison familiale rurale. Le nom fut Châteauneuf-d’Isère jusqu’en 1961; la commune a eu 2 300 hab. dans les années 1840, est descendue jusqu’à 1 600 dans les années 1930 puis sa population a augmenté, surtout après 1975; elle s’est accrue de 680 hab. après 1999 (+20%). (6 270 Goubétins, 2 824 ha dont 267 de bois) est une commune du département de la Drôme dans la CA Valence Romans Agglo à l’est de Bourg-de-Péage. C’est une banlieue de la conurbation Romans-sur-Isère-Bourg-de-Péage, agricole et surtout résidentielle, dont le finage s’étend au sud de l’Isère dans la plaine de Valence. L’autoroute A49 passe au nord de la commune et y a l’échangeur n°7 et un péage; le finage atteint l’Isère au NE et comprend une partie de l’espace urbanisé de l’agglomération, où se voit le château de Pizançon (19e s.); pont de la rocade de Romans, usine électrique, abattage de volailles Bernard Royal Dauphiné (110 sal.), magasin Super U (25 sal.). La mention «le Goubet» date de 1892; Chatuzange est l’ancien chef-lieu, au sud de la commune; le Goubet est le quartier du bord d’Isère où a été transférée la mairie à la même date. La commune avait déjà presque 2 000 hab. dans les années 1840; descendue à moins de 1 300 hab. dans les années 1920, la population a augmenté ensuite, surtout après 1975 et a crû de 2 210 hab. depuis 1999, soit de plus de moitié. Chatuzange-le-Goubet est le bureau du nouveau canton dit Vercors-Monts du Matin (30 communes, 26 500 hab.). (2 090 Clérieugeois, 1 353 ha dont 202 de bois) est une commune de la Drôme dans la CA de Valence Romans Agglo. Son village, à 9 km ONO de Romans au bord de l’Herbasse, et frôlé par la LGV; fabrique de munitions de la Cheddite (50 sal., groupe de chasse Sofisport). La population de Clérieux, d’environ 1 000 hab. dans les années 1930, progresse depuis (+230 hab. après 1999). En 1886, Clérieux a perdu le territoire de Saint-Bardoux, à l’est. (5 670 Étoiliens, 4 279 ha dont 800 de bois) est une commune du département de la Drôme dans la CA Valence Romans Agglo, 11 km au sud de Valence. Le faisceau de circulation passe à 2,5 km à l’ouest du village, qui a reçu de nombreuses activités: usines de la Brioche Pasquier (240 et 120 sal.), centre logistique de la firme allemande Mercedes (150 sal.), carrosseries Vincent (camions et bus, 180 sal.); menuiserie métallique Cibox (65 sal.); Intermarché (30 sal.); transports Geodis (85 sal.). La Véore traverse la commune et atteint le Rhône dans son angle SO; au NO est le barrage de Charmes. Étoile a aussi un site éolien à Blacheronde. La mention «sur Rhône» est de 1920. La commune a eu 3 000 hab. dès les années 1830, un peu moins de 2 000 en 1936 et sa population a crû surtout après 1970, gagnant encore 1 550 hab. depuis 1999 (+38%). (2 470 Génissois, 893 ha) est une commune de la Drôme dans la CA Valence Romans Agglo, 5 km au NE de Romans, qui a progressé comme banlieue résidentielle depuis les 600 hab. de 1965. La commune a été créée en 1873 à partir de Peyrins, avec 700 hab.; elle a un musée de la Bastide des poupées, un foyer de l’Adapei; un Intermarché (25 sal.), une maison de retraite (65 sal.) et 610 hab. de plus qu’en 1999 (+33%). (3 330 Malissardois, 1 017 ha) est une commune du département de la Drôme dans la CA Valence Romans Agglo, 5 km ESE de Valence, juste au sud de l’aéroport; pizzas Sole Mio (95 sal.), gardiennage Securitas (140 sal.), nettoyage Melko (85 sal.). La commune a été créée en 1867 à partir de Chabeuil; elle avait alors 780 hab., est descendue à moins de 600 entre 1920 et 1950, et a grandi depuis, dépassant les 2 000 hab. en 1982. Elle a gagné 410 hab. après 1999. (4 400 Montéliens, 2 476 ha) est une commune du département de la Drôme dans la CA Valence Romans Agglo, 7 km à l’est de Valence, au nord de Chabeuil sur la D538. Fleuri (trois fleurs), le village se veut «botanique»; jardin d’attraction Sémaphore, palais-musée des arts et traditions de Madagascar; château de Monteynard, de la fin du 15e s. mais très remanié; maison de retraite et maison pour handicapés (Adapei) la Pimpie (40 sal.). La commune accueille un Intermarché (65 sal.) et plusieurs ateliers dont les pompes Coval (75 sal.), la métallerie Solustil (70 sal.); informatique @GP (50 sal.), restauration collective Plein Sud (75 sal.), alimentation animale UCAB (200 sal.). Montélier n’avait que 900 hab. en 1936, contre 1 500 en 1851, et croît depuis 1970; les 2 000 hab. ont été atteints en 1980, les 3 000 en 1998; la commune a gagné 1 250 hab. après 1999 (+40%). (3 060 Montmeyranais, 2 410 ha dont 241 de bois) est une commune de la Drôme dans la CA Valence Romans Agglo, 13 km au SE de Valence sur la D538 au long d’une butte, surtout résidentielle, avec plusieurs lotissements épars; golf du Bourget à l’est, où passe la LGV. La population augmente régulièrement depuis 1950 où elle était de 1 300 hab. environ; elle a gagné 360 hab. après 1999. (3 310 Moursois, 527 ha) est une commune de la Drôme dans la CA Valence Romans Agglo, juste au nord de Romans au pied des collines qui bordent la plaine de l’Isère; imprimerie sur plastiques Isra (85 sal.), comptabilité Robin (60 sal.), négoce de bois et meubles Cica (55 sal.); musée d’art sacré. La commune a été créée en 1880 à partir de Peyrins, avec 570 hab., sous le nom de Mours, qui a été complété en 1921; elle avait 550 hab. dans les années 1930, 630 en 1954 et a crû sensiblement depuis, augmentant de 1 060 hab. (+52%) après 1999. (2 720 Peyrinois, 2 516 ha dont 1 500 de bois,) est une commune de la Drôme dans la CA Valence Romans Agglo, 5 km au nord de Romans, au bord de la Savasse. Elle est surtout résidentielle; foyer pour handicapés; parcours d’aventure avec tyrolienne; négoce Romans Viandes (35 sal.). Peyrins a eu 3 200 hab. en 1851, mais elle a perdu en 1873 le territoire de la nouvelle commune de Génissieux (700 hab.), en 1880 celui de Mours (570 hab., plus tard Mours-Saint-Eusèbe); elle a décliné ensuite jusqu’à 1 200 hab. en 1926, 1 290 hab. en 1962, puis sa population a augmenté; elle a gagné 370 hab. après 1999. (10 690 Portois, 1 443 ha) est un ancien chef-lieu de canton du département de la Drôme dans l’arrondissement de Valence, 7 km au sud de la préfecture et membre de la CA Valence Romans Agglo. La commune se nommait jadis Flancey et n’a pris son nom actuel qu’en 1908. Elle n’avait guère que 500 hab. au 19e s., puis est passée à 1 400 en 1911, 3 400 en 1954, 6 100 dès 1968; sa population croît encore: elle a gagné 2 470 hab. (+30%) après 1999. La ville est très marquée par le passage du flot de circulation unissant A7 (échangeur), N7, voie ferrée (gare de triage) et cours du Rhône (port de Valence); elle fut longtemps une ville de cheminots. La ville accueille un collège public et les bureaux de la direction régionale de Valence de la Compagnie nationale du Rhône (100 sal.). Elle réunit d’assez nombreuses entreprises: semences Clause du groupe Limagrain (170 sal.), transformation de fruits Andros (240 sal.); maisons mobiles Trigano (120 sal.), fours de boulangerie Pavailler SEBP (85 sal., groupe britannique Aga Food), meubles de bureau et de magasin Mobidecor (60 sal.); installations thermiques Hervé (55 sal.) et électriques Constructel (410 sal.); ingénierie Propolys (75 sal.). Son rôle logistique est illustré par des entreprises de transport de voyageurs (Keolis, 200 sal.) et de fret (Martin 160 sal., Gondrand 80 sal., Schenker 65 sal., MVD 50 sal.) et de distribution comme les négoces de matériaux Descours et Cabaud (100 sal.); jardinerie Vilmorin (90 sal.); travaux publics Entreprise 26 (65 sal.). (33 490 Romanais, 3 308 ha) est un ancien chef-lieu de canton du département de la Drôme dans l’arrondissement de Valence, 20 km au NE de la préfecture sur la rive droite de l’Isère et dans la CA Valence Romans Agglo. La ville est sur la rive droite de l’Isère et doublée en face par Bourg-de-Péage avec qui elle forme une agglomération soudée. Elle est traversée par la N92 et la voie ferrée de Valence à Grenoble, et dispose de deux accès à l’autoroute A49 qui frôle Bourg-de-Péage. Le nom était Romans tout court jusqu’en 1920. La population, qui était de 10 000 hab. en 1851 et de 17 000 hab. dans la première moitié du 20e siècle, a nettement augmenté dans les années 1960, dépassant 33 000 hab. en 1975, mais a légèrement fléchi après 1982. Elle était de 33 670 hab. en 1999 et aurait donc très légèrement baissé depuis. La ville est issue d’une abbaye du 9e s. sur un gué de l’Isère, et conserve les traces de ses deux enceintes successives, étirées le long de l’Isère. La première (13e s.) se lit aux promenades de part et d’autre du Jacquemart, lequel illustre depuis le 15e s. la tour de l’Horloge, ancienne porte de ville. La collégiale Saint-Bernard (12e-13e s.), au bord de la rivière, trône au centre de la vieille ville qui a conservé quelques rues étroites. La seconde enceinte est marquée par les boulevards et places plus éloignées. Entre les deux, se tiennent vers l’est, bordés de parcs, le grand hôtel de ville et le musée de la Chaussure, assorti d’un musée de la Résistance et de la déportation. Le grand ensemble de la Monnaie, à l’est de la ville le long de la route de Grenoble, est classé en «quartier prioritaire». Actif centre de services, Romans a quatre collèges et trois lycées publics, un collège et deux lycées privés, plus un lycée agricole public; elle a le second centre hospitalier du département (288 lits médicaux et un total de plus de 1 000 lits), un centre d’aide par le travail. Romans était devenue une capitale de la chaussure entre 1850 et 1970; elle en a conservé quelques traces mais cette spécialité ne domine plus la ville comme elle le fit quand elle employait 6 000 personnes. Depuis la liquidation de Stéphane Kilian en 2005, et celle de Charles Jourdan en 2007, la dernière mettant 200 salariés au chômage, il ne reste guère qu’une entreprise notable, la Romanaise (Clergerie, 110 sal.); en amont, s’y ajoutent les tanneries Roux (110 sal.). D’autres entreprises fabriquent des instruments de mesure de fluides Krohne (250 sal., allemand), des fournitures pour l’automobile Akwel (MGI Coutier, pompes et lave-vitres, 140 sal.), des pièces en plastique (Covestro, 130 sal., Existo 110 sal.), des poinçons et appareils de découpe (Veyret, 70 sal.), des articles de voyage (Epidaure, 110 sal.); travaux publics Eurovia (65 sal.). L’industrie alimentaire est bien représentée, par les ravioles Saint-Jean (290 sal., groupe Sabeton), une spécialité de Romans, ainsi que par les boulangeries BG (500 sal.) et Delivrances (330 sal.), Les Douceurs de Jacquemart (80 sal., biscottes).Dans les commerces et services se signalent les assurances SFAM (80 sal.), les magasins Hyper-U (130 sal.) et Super-U (60 sal.), Intermarché (40 sal.), La Boîte à Outils (70 sal.), le négoce de fruits et légumes du groupe Blachère (500 sal.); transports par autocars Bertolami (60 sal.); club de sports Valence Romans Agglo (50 sal). Le nouveau canton de Romans-sur-Isère a 9 communes, 30 740 hab. (6 440 Saint-Marcellois, 1 505 ha) est une commune du département de la Drôme dans la CA Valence Romans Agglo, 7 km au NE de Valence sur le faisceau de circulation vers Romans (voie ferrée, N532 et A49). Active banlieue, elle a reçu des magasins et quelques ateliers: détergents DACD (65 sal.), produits à base de céréales Markal (70 sal.); travaux publics Oboussier (60 sal.); institut médico-éducatif et centre d’aide par le travail (domaine de Plovier), centre de recherche phytosanitaire de l’INRAE au domaine de Gotheron au NO; maison de retraite (Le Clos Rousset, 60 sal.). La commune a été créée en 1850; elle avait alors déjà 1 350 hab.; descendue à 900 hab. en 1931, sa population a augmenté ensuite, surtout après 1970. Elle s’est accrue de 2 250 hab. depuis 1999 (+54%). (65 710 Valentinois, 3 669 ha) est la préfecture de la Drôme, au bord du Rhône et le siège de la CA Valence Romans Agglo. Elle est issue d’une fondation romaine (Valentia), à égale distance d’Orange et de Lyon (environ 100 km). La vieille ville est entourée par un carré de boulevards de 600 m de côté, à l’intérieur duquel le dessin des rues conserve le souvenir du plan quadrillé de la cité romaine; mais il ne reste rien des monuments antiques. L’hôtel de ville trône au milieu de ce carré, sur la place de l’Université, dont le nom rappelle que le dauphin, futur roi Louis XI, y fit créer une université en 1453, abandonnée au 18e s. Côté sud, la grande cathédrale d’origine romane a été très remaniée au 17e s., époque de forte concentration d’abbayes et couvents dans la ville. Dans les vieilles rues, sont conservées des maisons anciennes, dont la réputée maison des Têtes; la préfecture est au nord des boulevards, tandis qu’au sud le Champ de Mars et le grand jardin du parc Jouvet aèrent la ville. Celle-ci a été brutalement séparée du Rhône par l’insertion de l’autoroute du Soleil, et flanquée à l’est, sur la terrasse, de grands ensembles massifs qui ont mal vieilli, comme l’attestent les zones franches de Valence-le-Haut (Fontbarlette et le Plan). Une rocade en demi-cercle de 4 km de rayon entoure la ville. De vastes zones industrielles ont été aménagées au sud, où elles se connectent à l’autoroute; le port de plaisance de l’Épervière sur le Rhône, au sud de la ville, offre 480 places. Un pont emprunté par la N532 traverse le fleuve; la ligne du TGV a apporté à Valence une gare particulière, mais en rase campagne à 10 km du centre dans la commune d’Alixan. Le quartier d’immeubles collectifs établi à l’emplacement de l’ancien Polygone militaire, au nord-est du centre au-delà de la rocade, est classé en «quartier prioritaire», ainsi que, plus à l’est sur les collines, le quartier de Valence le Haut (Fontbarlette et le Plan). La ville a un gros centre hospitalier de 518 lits médicaux (720 en tout) et un hôpital privé (110 sal.), 8 lycées et 6 collèges publics, 4 lycées et 4 collèges privés; centre d’aide par le travail, maisons de retraite Massenet (65 sal., groupe Korian) et les Cèdres (60 sal.); grand musée des beaux-arts, nombreux équipements culturels. Il s’y tient une dizaine de festivals dans l’année et la ville est bien fleurie (quatre fleurs). L’enseignement supérieur est représenté par l’IUT (830 étudiants) et le centre Drôme-Ardèche de l’université Joseph-Fourier de Grenoble, et compte au total un peu plus de 3 000 étudiants et 6 résidences. La ville accueille aussi le 1er régiment de spahis (arme blindée). Valence est devenue une ville d’industries de haut niveau. L’industrie récente a été un temps marquée par l’apparition de la société Crouzet, spécialiste de technologies avancées notamment dans l’aéronautique, créée dans les années 1940 par des ingénieurs de Lip repliés et par des bijoutiers locaux; elle subsiste en deux unités (350 sal.) mais elle est intégrée au groupe Schneider. Les autres entreprises marquantes sont Thales Avionics (équipements d’aide à la navigation aérienne, 560 sal.), les visseries SFS Intec (270 sal., suisse) et SPIT (80 sal.), les implants chirurgicaux Amplitude (Ortho, 200 sal.) et Biomet (160 sal., groupe Merck), les composants électroniques Eolane (160 sal.); adhésifs Scapa (Bamier, 65 sal., britannique), produits chimiques Polytecnyl (120 sal.). Agrana (100 sal.) prépare des fruits pour l’industrie laitière, la CEC (Européenne de cartonnages, 130 sal.) fabrique des boîtes en carton, Aventech (100 sal.) des commandes électroniques, LPG (210 sal.) des appareils de massage, Faure des automatismes (70 sal.); torréfaction UCC Coffee (130 sal.); semences et plantes Clause (65 sal.); bétons Perrenot (160 sal.). Dans d’autres domaines se signalent les installations électriques SNEF (110 sal.) et SPIE (90 sal.), les analyse Apave (80 sal.), l’ingénierie Faceo (100 sal.); informatique Koesio Aura (140 sal.) et Thales (60 sal.); traitement des eaux Veolia (65 sal.); travaux publics Colas (100 sal.). Le secteur tertiaire est représenté au-delà de 50 emplois par les sociétés de nettoyage Onet (640 sal.) et City (110 sal.), le traitement d’ordures Onyx (160 sal.), le gardiennage 2MS (90 sal.), le travail temporaire Work 2000 (50 sal.), le Crédit Lyonnais (50 sal.); transports STEF (135 sal.) et DPD (55 sal.), autocars Transdev (260 et 50 sal.); services personnels Adheo (95 sal.), A ma maison (Kangourou Kids, 80 sal.), O2 (70 sal.); gestion immobilière Foncia (50 sal.); hôtellerie Pic (110 sal.) et brasserie le Victor Hugo (75 sal.); organisation de loisirs et villages de vacances Vacanciel (50 sal.) et Mileade du même groupe (65 sal.), publicité Milee (140 sal.) et Mediapost (110 sal.). Dans les magasins, Géant Casino (100 sal.), Centre Leclerc (140 sal.), un Carrefour (140 sal.) un Intermarché (50 sal.), magasins Leroy-Merlin (180 sal.), Boulanger (électroménager, 60 sal.), Decathlon (60 sal.); négoces d’équipements industriels Koesio Aira (270 et 90 sal.); vente par automates BDA (75 sal.). La commune a eu 10 000 hab. dans les années 1830, 20 000 autour de 1870, le double en 1946 et sa population a atteint 68 600 hab. en 1975; elle a diminué ensuite (63 500 en 1990) et a encore baissé de 860 hab. après 1999. L’arrondissement, réduit en 2015, a 101 communes et 297 800 hab. Valence est le bureau de quatre nouveaux cantons sur 10 communes (123 000 hab.). |