Communauté de communes des Terres du Val de Loire' communauté de communes du Loiret, associant 25 communes (dont 4 en Loir-et-Cher), 48 300 hab. et 65 920 ha. Meung-sur-Loire (siège), Baule, Beaugency, Chaingy, Cléry-Saint-André, Lailly-en-Val, Saint-Ay et Beauce la Romaine (41) ont plus de 2 000 hab. Mareau-aux-Prés (1 370 Mareprésiens, 1 334 ha), 5 km au NE de Cléry, est déjà dans les banlieues d’Orléans et cultive aussi la vigne (55 ha), mais la croissance de sa population reste modérée: elle avait 930 hab. en 1968 et a gagné 220 hab. depuis 1999. Une cave coopérative installée en 1931 y groupe 40 producteurs totalisant 124 ha de vignes, dont 93 de la nouvelle aoc orléans, qui avait été précédée d’une appellation vdqs. On y voit des vestiges du château médiéval du Trépoix (12e s.); son finage occupe toute la plaine et le bord de Loire devant Cléry et atteint au nord le confluent du Loiret et de la Loire. Mézières-lez-Cléry (850 Macériens, 2 701 ha dont 1 417 de bois) est à 3 km ESE de Cléry, à l’orée des bois de Sologne; tumulus préhistorique de la butte des Élus, un château du 19e s. dans le style du 17e s., 63 ha de vignes; elle a gagné 230 hab. depuis 1999 (+37%) Dry (1 420 Dryssois, 2 264 ha dont 560 de bois) est sur la terrasse à 4 km au SO du chef-lieu, face à Meung-sur-Loire, dont le territoire déborde sur la rive gauche du fleuve. Le pied du talus est longé par l’Ardoux, qui coule parallèlement à la Loire et ne la rejoint que bien plus loin, derrière la centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux; châteaux de Villecante et du Bouchet (19e s.), maison de retraite départementale; Dry a gagné 210 hab. depuis 1999. Tavers (1 380 hab., 2 262 ha) a trois dolmens dont celui de la Pierre tournante et, à l’extrême sud, la ferme du Ver, classée (15e et 16e s.). La commune accueille un hypermarché Leclerc (180 sal.) et un Bricomarché (20 sal.), quelques ateliers. La population de Tavers, qui avait atteint 1 200 hab. en 1881, était descendue à 780 en 1962; elle augmente depuis et a gagné 140 habitants entre 1999 et 2006. Villorceau (1 150 Villorcéens, 950 ha) est à 4 km au NO de Beaugency, au-delà de l’autoroute, et accueille une maçonnerie (Camus, 25 sal.); hameaux de Villemarceau au SO, le Mée au NE; sa population s’est accrue de 230 hab. depuis 1999 (+25%). Messas (940 Messassiens, 521 ha), 3 km au nord de Beaugency, est un village-rue perpendiculaire au Val; l’autoroute Aquitaine (A10) traverse le finage au nord et y a une double aire de services; sa population, qui était de 520 hab. en 1962, n’augmente plus depuis 1990. Le Bardon (1 050 Bardonniers, 1 223 ha), 4 km au NO de Meung, a une fabrique d’enrobés (Enroplus, 35 sal.) et a gagné 220 habitants depuis 1999. L’habitat s’étire sur trois rues orthogonales qui atteignent au SE l’échangeur de l’A10. Cravant (990 Cravantais, 3 391 ha) est à 8 km NO de Beaugency et déjà en pleine Beauce, limitrophe du Loir-et-Cher; le finage a plusieurs petits hameaux épars, le principal étant Beaumont au SE. Elle a gagné 150 hab. depuis 1999. Charsonville (630 hab., 2 455 ha) est à 18 km NO de Meung; hameaux de Vilaine au SO, Villorceau au SE; +40 hab. depuis 1999. Épieds-en-Beauce (1 460 Spicaciens, 4 022 ha) est un village-rue à 20 km NNO de Meung, qui a un négoce de céréales et aliments du bétail (Le Plâtre, 35 sal.). La commune se nommait Épieds jusqu’en 1919; son nom vient du spicarium, qui désignait en latin une grange et se trouve dans le gentilé. Le gros hameau de Saintry est un peu au sud du village, sur la N157; quatre autres hameaux sont au nord (Favelles, Pressailles, Poiseaux, Villemars); dolmen des Pierres Fenats à l’est. Épieds a eu 1 300 hab. au milieu du 19e s., et un minimum à 860 hab. en 1968 et 1975; elle a gagné 400 hab. depuis 1999 (+38%). Un parc de 5 éoliennes Nordex (11,5 MW) s’est installé à Épieds (Bornes de Cerqueux). Coulmiers (550 Colmériens, 1 428 ha), 16 km au nord de Meung, s’orne du château de Luz (19e s.) au sud-ouest du village. Rozières-en-Beauce (200 Roziérois, 917 ha dont 221 de bois) est à 17 km NNE de Meung; l’est du finage est dans le bois de Bucy; +40 hab. depuis 1999. Huisseau-sur-Mauves (1 690 Uxellois, 3 716 ha dont 845 de bois), 10 km NE de Meung, a un château (12e, 15e et 18e s.) et un moulin sur la Mauve (19e s.), une maison de retraite (le Parc des Mauves, 55 sal.). Un grand bois y forme l’extrémité occidentale de la forêt d’Orléans. Au nord, lotissement arboré du Parc de Montpipeau.Le finage contient les gros hameaux de Préau et la Challerie au SO, le long de la Mauve Betourbe qui y conflue avec la Mauve de Fontaine. Le nom (Oscellensis, Ussellum jadis, d’où le gentilé) vient du gaulois uxellos, qui désigne un peuplement en hauteur. La commune avait 1 500 hab. au milieu du 19e s. puis sa population s’était abaissée à 830 hab. en 1968; mais la croissance s’est arrêtée depuis 2000. Baccon (720 hab., 3 302 ha dont 274 de bois), 11 km NNO de Meung, a un château (la Touanne, 17e, 18e et 19e s.), un dolmen (la Mouise) et un tumulus (Thorigny); carrière de granulats calcaires, hameau annexe de la Renardière à l’est aux abords de la Mauve Betourbe; la commune a gagné 80 hab. depuis 1999. Les trois communes du Loir-et-Cher inscrites dans les Terres du Val de Loire sont Villermain (420 hab., 2 875 ha), Saint-Laurent-des-Bois (300 hab., 1 832 ha) et Binas (700 hab., 2 638 ha). ' intercommunalité du Loiret, qui comprend quatre communes du Loir-et-Cher. La plus peuplée est Beauce la Romaine. Binas (700 hab., 2 638 ha), 5 km à l’ouest d’Ouzouer sur la route du Mans (N157), accueille un parc éolien de 5 Nordex (11,5 MW, à l’italien ERG) sur le site de la Bruyère (Viertiville-) et partage avec Ouzouer un autre parc de 5 Enercon (Bois d’Anchet, 10 MW, au canadien Innergex); hameaux d’Ablainville et Ménainville au NE, Chantôme au SE la commune, qui a gagné 100 hab. depuis 1999; elle en a eu 1 300 autour de 1870. Saint-Laurent-des-Bois (300 Laurençaux, 1 832 ha dont 816 de bois), 10 km au SO d’Ouzouer, s’enfonce en clairière dans la forêt de Marchenoir. La commune avait approché de 700 hab. vers 1860 et n’en avait plus que 210 en 1990; elle vient d’en gagner 70 depuis 1999. Villermain (410 hab., 2 875 ha dont 161 de bois) est à 6 km au sud d’Ouzouer. Son finage, limitrophe du Loiret à l’est, mord un peu sur la forêt de Marchenoir au SO. Un gros élevage avicole est à Villedieu, tout au nord; hameaux-rues de Poisioux à l’est, de Poisly au sud-ouest, et quelques petits hameaux épars. La commune a 120 hab. de plus qu’en 1999 (+41%); elle en a eu 780 en 1881. (2 120 hab.,1 211 ha) est une commune du Loiret dans les Terres du Val de Loire, sur la rive droite de la Loire juste en aval de Meung. Ses maisons rejoignent celles de Meung-sur-Loire au NE et sont complétées au nord par le faubourg-rue de la Bruère, à l’ouest par le hameau de Villeneuve. La commune est traversée par la D2152 rectiligne et la voie ferrée qui la flanque. Elle possède un lobe de plaine alluviale de la Loire, la Mauve longeant le talus de terrasse (18-20 m) sur laquelle se tient l’habitat, en partie étiré le long du talus. Baule participe à la zone d’activités Synergie Val de Loire et héberge des ateliers: câblage électrique et téléphonie Sitco (40 sal.); mécanique Spring (30 sal.); plus un magasin Hyper U (140 sal.), un négoce de matériel électrique et informatique Rexel (100 sal.), une base des transports XPO (35 sal.); une jardinerie (20 sal.); distribution pharmaceutique OCP (80 sal.). Baule a également un institut médico-éducatif (85 places). La commune avait enregistré plus de 2 000 hab. dans la première moitié du 19e s. et s’était abaissée à moins de 900 hab. entre 1930 et 1950; sa population augmente depuis; elle a gagné 390 hab. depuis 1999 (+23%). (3 550 hab., 13 651 ha dont 803 de bois) est une nouvelle commune du Loir-et-Cher, limitrophe du Loiret et de l’Eure-et-Loir, créée en 2016 par sept communes autour d’Ouzouer-le-Marché. Elle est membre de la CC Terres du Val de Loire (Loiret). Ouzouer-le-Marché (2 080 Oratoriens, 2 810 ha) est un ancien chef-lieu de canton dans l’arrondissement de Blois, 44 km au NNE de la préfecture. La commune a un collège public, une maison de retraite; Intermarché (30 sal.), négoce agricole Pissier (25 sal.), transports Maufrey (65 sal.), transports par autocars Simplon (190 sal.); elle gagné 400 hab. depuis 1999 (un quart). Son finage est limitrophe du Loiret et comprend à l’est le hameau de Chandry, partagé avec Bacon (Loiret); gros hameau de Bizy au sud. Le village de La Colombe (210 Colombellois, 1 836 ha dont 564 de bois) est à14 km OSO d’Ouzouer, relayé au nord vers la D557 par le hameau-rue de la Gahandière. La forêt de Marchenoir couvre le sud du finage, incluant la petite clairière habitée de Citeaux, qui donne son nom à une forêt domaniale. Membrolles (270 hab., 1 895 ha) est à 13 km NO d’Ouzouer; dolmen de la Mouise Martin au SE, château de Corbet à l’ouest, avec parc. Prénouvellon (260 hab., 1 977 ha), 7 km au nord d’Ouzouer, contient le dolmen de la Rousselière, quelques fermes éparses, le hameau de Séronville au sud. Semerville (100 hab., 967 ha) n’est qu’un petit hameau, 13 km à l’ouest d’Ouzouer, complété par les habitats de Villecellier au SE et Montreveau au SO. Tripleville (180 Triplevillois, 1 307 ha), 6 km au NO d’Ouzouer, est à la source de l’Aigre; plusieurs dolmens, menhirs et polissoirs de la Nivardière et du Val d’Avril, dont un Palet à Gargantua. Verdes (450 Verdois, 2 859 ha), 11 km au NO d’Ouzouer sur l’Aigre, est un petit carrefour, sur l’ancienne voie romaine dite de Jules César, qui traverse aussi Semerville et La Colombe; hameau et château de Lierville au SO, hameau de Mézières à l’ouest. L’ensemble a augmenté de 640 hab. depuis 1999. (7 480 Balgentiens, 1 645 ha) est un ancien chef-lieu de canton du Loiret dans l’arrondissement d’Orléans, à 27 km SO de la préfecture sur la rive droite de la Loire. Elle est membre de la CC Terres du Val de Loire. Cette vieille ville de pont est un lieu touristique qui se signale par son donjon carré du 11e s., la forteresse du château Dunois, son hôtel de ville renaissance, la place du Martroi, une abbatiale romane du 12e s. et plusieurs tours et portes anciennes. Elle est fleurie (trois fleurs); on y trouve un musée régional de l’Orléanais et une galerie d’art, un collège public et un collège privé, un lycée public et un lycée professionnel privé, un hôpital local (15 lits) et un centre de réadaptation, maison de retraite. C’est aussi un bourg industriel: bouteilles plastiques pour parfums Pochet du Courval (65 sal.), articles métalliques Goupil (40 sal.), articles de carnaval Festa 2000 First (25 sal.), maçonnerie (Cesaro, 25 sal.); négoce de meubles Mobival (Mr.Meuble, 45 sal.); travail temporaire Planette (120 sal.), transports TRB (25 sal.). Le centre-ville est sur le talus qui domine la Loire. La D2152 et la voie ferrée Paris-Bordeaux sont juste en arrière, accompagnées d’entreprises. Au-delà s’étendent les quartiers d’habitation de Garambaut et Les Chaussées, et plus au nord, le long de la D925, celui de Vernon, qui a une auberge de jeunesse. L’A10 borde le finage au nord, mais sans accès. Au pied du talus de Loire coule la Mauve, qui y rejoint la Loire. Le finage s’étend assez largement (700 ha) au sud de la Loire dans la plaine agricole, jusqu’au cours de l’Ardoux; camping. Beaugency avait plus de 5 000 hab. au milieu du 19e s., puis sa population était descendue à 3 200 dans les années 1920; elle a augmenté ensuite, surtout entre 1960 et 1980; elle a gagné 130 hab. après 1999. Le nouveau canton de Beaugency a 13 communes et 25 900 hab. (3 790 Cambiens, 2 169 ha dont 392 ha de bois) est une commune du Loiret dans la communauté des Terres du Val de Loire, 10 km à l’ouest d’Orléans sur le bas plateau de Beauce. Son finage est boisé au nord et contient au sud-est une section de la rive droite de la Loire, face au confluent du Loiret, où le hameau de Fourneaux se tient sur le coteau; il est traversé par la N152, l’autoroute A10 (aire de repos Bellevue), la voie ferrée Orléans-Tours et un faisceau de lignes électriques (sous-station). Le nom ancien de la commune était Cambiacus, d’origine discutée, un bossu ou une bosse (patronyme ou oronyme), d’où le gentilé. La commune a eu 2 000 hab. au début du 19e siècle et a été viticole; sa population était tombée à 1 000 hab. environ dans les années 1930 et 1940, puis a sensiblement augmenté en raison de la proximité d’Orléans. Elle a encore gagné 840 hab. depuis 1999 (+28%). La commune a une aire d’activités des Pierrelets au sud-est, à la limite de La Chapelle-Saint-Mesmin. Elle accueille une maison familiale rurale et un institut rural (Ireo), le Centre national pédagogique de l’Anfra (Association Nationale pour la Formation et la Recherche pour l’Alternance), une clinique (Belle Allée, 70 sal.). La commune a aussi quelques ateliers d’emballages plastiques Soparco (35 sal.), clôtures (Le Brun, 30 sal.). Le groupe Veolia Propreté de nettoyage urbain y a son centre orléanais (Orléanaise de Combusibles, 280 sal.) avec nettoyage urbain Setrad (150 sal.) et vidanges et engrais de l’Orléanaise d’assainissement (Soa-Onyx, 40 sal.); maçonneries Batimaya (50 sal.) et Fedrigo (35 sal.), travaux publics Soloc (30 sal.). (3 510 Cléricois, 1 813 ha dont 355 de bois) est un ancien chef-lieu de canton du Loiret dans l’arrondissement d’Orléans, 14 km au SO de la préfecture, sur le bord méridional du val de Loire à l’orée de la Sologne, dans la communauté des Terres du Val de Loire. Le bourg a quelques maisons anciennes; l’église, ancienne basilique et collégiale des 14e et 15e s., abrite le tombeau de Louis XI; châteaux de l’Émerillon (17e s.) dans les bois, du Mardereau (17e, 18e et 19e s.) au bord de l’Ardoux; carrosserie d’automobiles Daudin (25 sal.), ravalements Da Silva (20 sal.), nettoyages Ligérienne (35 sal.), un Intermarché (20 sal.); un collège public. Le finage se cantonne à la terrasse: la plaine alluviale relève de celui de Mareau-aux-Prés. Le nom de la commune a été successivement Notre-Dame-de-Cléry, Cléry tout court, puis a pris sa forme actuelle en 1918; mais la paroisse de Saint-André avait été intégrée avant 1801. Il existe depuis 2006 une aoc viticole orléans-cléry, en chardonnay pour les blancs et pinot meunier pour les rouges, mais la commune ne déclarait que 11 ha en 2000. La population communale n’avait pas beaucoup varié, entre un maximum de 3 000 hab. en 1881 et un minimum à 1 700 en 1936; mais elle a gagné 720 hab. depuis1999 (+26%). (3 160 Laillylois, 4 561 ha dont 2 098 de bois) est une commune du Loiret dans la vallée de la Loire, rive gauche, à la limite du Loir-et-Cher face à Beaugency (Terres du Val de Loire). La commune, qui s’étend sur 12 km du NO au SE, n’a qu’une petite part de la rive gauche de la Loire, le reste relevant de Beaugency. L’habitat se tient sur le rebord de la terrasse, au pied de laquelle coule l’Ardoux; galerie et salon des arts, maison de retraite. Tout le reste est en Sologne, riche en bois et en étangs; le château de Pully (18e s.) s’y distingue, notamment par sa grille d’entrée. Lailly a une fabrique de matériel de travaux publics (ACB, 30 sal.) et une d’emballages plastiques (EMA Pharmaceuticals, 25 sal.); génie climatique et plomberie Mollière (25 sal.), blanchisserie Initial BTB (50 sal.). La commune se nommait simplement Lailly jusqu’en 1918; elle a eu 2 200 hab. au milieu du 19e s., 1 100 en 1936; sa population augmente depuis; elle a gagné 860 hab. depuis 1999 (+37%). (6 530 Magdunois, 2 035 ha) est un ancien chef-lieu de canton du Loiret, 18 km OSO de la préfecture sur la rive droite de la Loire, au confluent de la Mauve. Ce fut Magdunum, un marché protégé, le même nom que Mehun; le nom des habitants le rappelle. La ville a un château des évêques d’Orléans (13e et 16e au 18e s.), une église collégiale classée du 13e s., un musée archéologique et historique avec atelier de luthiers; jardins de roses de Roquelin, arboretum des Prés des Culands avec un conservatoire national d’ilex. Elle accueille un collège public, un centre pour handicapés, deux maisons de retraite (Korian la Lilardière, 75 sal.) Sogesco, 60 sal.; château du Mariau, (50 sal.). Elle mise sur l’activité culturelle et artisanale, surtout par la musique et le théâtre; elle aide les facteurs d’instruments de musique, une académie de musique et des concerts d’orgue; théâtre, compagnie théâtrale, festival Falstaff (masques et bouffons). Cependant, Meung a aussi un échangeur de l’A10 avec péage, le plus grand parc d’activités du département et des usines dont la principale est MSL Circuits (électronique, 400 sal.), passée de Valéo à une firme de Floride qui vise à en faire son centre d’excellence européen pour l’équipement des automobiles; s’y ajoutent les bougies d’allumage pour automobiles NGK Spark Plug (100 sal., japonais). La logistique est bien représentée par le dépôt et vente de fournitures de bureau par correspondance Office Dépôt NCL (140 sal.), ID Logistics (50 sal.); gardiennage Seris (310 sal.) , négoce de matériel de manutention Jungheinrich (50 sal.); La Poste (60 sal.) La commune de Meung avait 3 000 hab. au début du 20e s., contre 5 000 en 1820; puis sa population a commencé à remonter au milieu du 20e siècle, passant à 4 000 hab. en 1967 et 5 000 en 1985; elle a gagné 190 hab. après 1999. Meung est le siège de la communauté de communes des Terres du Val de Loire (25 communes, 48 300 hab.). (3 520 Agyliens, 1 007 ha) est une commune du Loiret, 5 km au NE de Meung-sur-Loire, 13 km OSO d’Orléans au bord de la Loire, rive droite, où débouche la courte Mauve de Saint-Ay, petite rivière qui vient du bois de Bucy (14 km de long); une fontaine est dite de Rabelais, qui séjourna dans l’ancien ermitage d’Agilus, dont le nom a donné Ay; château de Voisins (19e s.) avec parc à l’anglaise et herboretum sur 9 ha, église du 12e s.; électronique Ciretec (75 sal.) et Bice (20 sal.). L’A10 longe la limite nord du finage. La commune avait 900 hab. en 1954 et a connu une forte croissance jusqu’en 1982, un palier puis une reprise (+510 hab. depuis 1999, soit +17%). Elle est membre de la communauté des Terres du Val de Loire. |