Communauté de communes Thiers Dore et Montagne

Thiers Dore et Montagne

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communauté de communes du Puy-de-Dôme associant 30 communes et 37 200 hab. sur 62 440 ha. Thiers (siège) Courpière et Puy-Guillaume ont plus de 2 000 hab.

Escoutoux (1 390 Escoutois, 2 740 ha dont 926 de bois) est à 6 km SSE de Thiers, au pied du talus de faille; le finage atteint à l’ouest le cours de la Dore et l’habitat se disperse dans la plaine comme sur les collines orientales. La population a augmenté de 200 hab. depuis 1999.

Néronde-sur-Dore (520 Nérondais, 893 ha) a son village sur la rive gauche de la Dore à 10 km SSO de Thiers, au passage de la D906 (ex-N6) et de la voie ferrée; la mention sur-Dore est de 1936; le nom s’écrivait jadis Neyronde. La commune a 40 hab. de plus qu’en 1999.

Sermentizon (590 Sermentizonais, 1 841 ha dont 538 de bois), 4 km à l’ouest de Courpière à 440 m, contient au nord le château d’Aulteribe, médiéval mais restauré au 19e s., avec parc; +90 hab. depuis 1999.

Saint-Flour-l’Étang (280 Sanflorains, 945 ha) a un petit village à 530 m sur le plateau, 8 km SSO de Courpière; la mention l’Étang a été ajoutée en 2020 mais l’étang en question n’a guère que 3 ha, sans aménagement. Le nom révolutionnaire fut Île-de-Dore; la Dore en gorge borne le finage au nord-est et y reçoit le Miodet sous Sauviat, avec un étang de barrage et une centrale hydroélectrique juste au confluent. Le Miodet borne le finage au sud. La commune a 60 hab. de plus qu’en 1999.

Sauviat (570 Sauviatois, 1 562 ha) est à 19 km SSO de Thiers, au sud de Courpière. Le village, sur un promontoire à 434 m, domine la gorge de la Dore, dont le chemin de fer touristique Livradois-Forez emprunte la vallée en contrebas. La Dore borne le finage au sud et à l’ouest, la N6 (D906) à 4 voies au nord-est et à l’est; +110 hab. depuis 1999.

Augerolles (900 Augerollais, 3 301 ha dont 1 416 de bois), 21 km SSE de Thiers, a son village à 541 m sur le plateau. Le finage atteint à son angle sud-ouest le cours encaissé de la Dore, au confluent de la Faye, qui borne le sud du finage (pisciculture). Le Couzon le borne au nord; il alimente un grand étang de barrage (28 ha) derrière une digue de 250 m de long, partagé avec Aubusson-d’Auvergne; jardin du Ventalon au SE du village. Le finage s’étend assez loin dans les bois au NE, atteignant 984 m au Rocher Saint-Marcel au-dessus du hameau de la Loubière.

Aubusson-d’Auvergne (230 Aubussonnais, 679 ha) est à 17 km SSE de Thiers, son village au pied du talus de faille à 430 m à la sortie de la petite gorge du Couzon, où se cache une centrale électrique; juste au SO, le lac dit d’Aubusson, partagé avec Augerolles, offre une base nautique. Plus à l’ouest, chapelle d’Espinasse et hameau de la Sauvetat, avec un camping.

Olmet (160 Olmetois, 1 555 ha dont 1 071 de bois) a un petit village à 620 m, 25 km SSE de Thiers; la Gérize encaissée borne le finage au sud; ruines du château de la Faye au nord au-dessus de la gorge de la Faye et forêt de hêtres.

La Renaudie (130 Renaudiens, 1 802 ha), limitrophe du département de la Loire, est à 28 km SE de Thiers, à 940 m en relief accidenté et boisé.

Vollore-Ville (730 Vollorois, 3 041 ha dont 1 385 de bois), 15 km SE de Thiers, est dotée des restes d’un gros château médiéval remanié au 18e s., avec une grosse tour et de beaux jardins; borne milliaire à l’est près de l’actuelle D7. Un peu au nord, hameau de Chossière avec deux campings et petit étang. Au NE, le Grun de Chignore atteint 1 061 m (table d’orientation, sentier de découverte). La contrée a été un lieu de particularismes, où s’isolaient de fortes communautés familiales, les parsonniers.

Vollore-Montagne (350 Vollorois, 2 122 ha dont 1 278 de bois), est limitrophe du département de la Loire, à 20 km au SE de Thiers à 850 m, son village perché au-dessus du talus de faille. Les gorges du Couzon, affluent de la Dore, ont dégagé un chaos de boules de granite dit vallée des Darots, lieu d’antiques légendes.

Sainte-Agathe (170 Sainte-Agathois, 1 831 ha) est à 11 km SE de Thiers à 619 m.

Viscomtat (520 Viscomtois, 2 544 ha dont 697 de bois), limitrophe du département de la Loire, a son village à 16 km ESE de Thiers à 700 m, accompagné juste au sud par le hameau de Mondière, et qui accueille la coutellerie Dubost (60 sal.). La Semaine traverse le finage un peu plus à l’est. Le relief monte à 1 018 m à la Pierre Beille. La commune a été détachée de Celles en 1833; elle avait 1 500 hab. en 1876, 1 000 en 1968 et a encore perdu 170 habitants depuis 1999.

Chabreloche (1 200 Chabrelochois, 961 ha dont 400 de bois), limitrophe du département de la Loire, est à 14 km ENE de Thiers, son village à 620 m au bord de la Semaine, suivie sur l’autre rive par l’A89. Il est au carrefour de la D1089 et de la D324 et sert de petit centre local mais a subi des fermetures; club d’escalade, quelques petits ateliers, La population diminue depuis 1968 (1 500 hab.), baissant encore de 140 hab. après 1999.

Arconsat (600 Arconsatois, 2 263 ha), limitrophe du département de la Loire, est à 16 km ENE de Thiers à 794 m; le relief monte à 1 195 m au Montlune au NE; -130 hab. près 1999.

Celles-sur-Durolle (1 680 Cellois, 3 890 ha dont 1 625 de bois) est à 10 km à l’est de Thiers à 570 m. Si le bourg est sur le plateau au sud de la Durolle, la commune s’étend au NE jusqu’au puy de Montoncel dans les Bois Noirs, touchant en pointe à la limite départementale, et à l’est jusqu’à la porte de Chabreloche. Elle inclut donc une part de la vallée de la Durolle et de son couloir de circulation, suivi par une file de maisons et de petites fabriques de coutellerie comme Tarrerias-Bonjean (30 sal.) et des ateliers de plastiques dont le principal est Precis Plastic (30 sal.). La commune de Viscomtat a été détachée de Celles en 1833; puis la population a diminué de 1876 (3 100 hab.) à 1954 (2 000), est restée stable ensuite jusqu’en 1990, avant de rechuter, perdant encore 270 hab. après 1999. Le nom de la commune était Celles jusqu’en 1929.

La Monnerie-le-Montel (1 700 Monnerinois, 465 ha dont 185 de bois) est à 6 km ENE de Thiers dans la vallée de la Durolle à 540 m. La commune a été créée en 1932 seulement, par détachement de Saint-Rémy, qui de ce fait n’est plus vraiment «sur Durolle»; elle a reçu un collège public. Elle conserve un bel ensemble d’ateliers, mais dont l’éventail et les emplois se réduisent: outillage à main Marquardt (L’Outil Parfait, 130 sal.), métallerie FDP (Générale de Découpage, 45 sal.), estampage Setforge-Gauvin (90 sal.), mécanique Maubert (40 sal.), coutelleries Tarrerias-Bonjean (35 sal.), Sauzedde-Biguet (20 sal.), Jodas (25 sal.); en outre; maçonnerie Fernandes (25 sal.); supermarché Carrefour (30 sal.). La population communale avait crû de 1932 (2 000) à 1975 (2 900) mais perd des habitants depuis, dont -600 hab. après 1999 (plus du quart).

Saint-Rémy-sur-Durolle (1 770 Saint-Rémois ou Sanrémois, 1 811 ha dont 715 de bois) est un ancien chef-lieu de canton à 8 km au NE de Thiers, à 630 m. C’est un village de plateau campé à 630 m, et nullement sur la Durolle (la mention est de 1893), que la limite communale n’atteint même plus depuis la perte du territoire de La Monnerie-le-Montel en 1932; mais il participe activement au bassin industriel de Thiers; coutellerie Au Nain (20 sal.) et quelques petits ateliers; plasturgie CEP (40 sal.). Un plan d’eau équipé de 12 ha, un village de vacances et une base de loisirs sont sur le plateau à Prades. La population de la commune a peu varié depuis qu’en 1908 Palladuc, qui avait alors 1 000 hab., en a été détachée, suivie en 1932 par La Monnerie-le-Montel (2 000 hab.); mais elle a perdu 190 hab. après 1999.

Palladuc (540 Palladucois, 1 335 ha dont 700 de bois), perché à 749 m dans les collines juste au NE de Saint-Rémy, 13 km au NE de Thiers, a aussi de petits ateliers dont Adiamas (coutellerie, 70 sal.), Gepman (plastiques, 70 sal.), Dozorme (coutellerie 25 sal.); mais elle a perdu la moitié de sa population depuis sa création en 1908 à partir de Saint-Rémy. Le territoire communal s’étire au NE jusqu’au puy de Montoncel et, au sud, contient l’échangeur autoroutier n°30 de l’A89, et son péage. Le finage s’étire vers le NE, où il est limitrophe du département de l’Allier.

Saint-Victor-Montvianeix (260 Saint-Victoriens, 4 518 ha) est limitrophe du département de l’Allier; son très petit village, 20 km NNE de Thiers, est perché à 705 m, au-dessus de la gorge de la Credogne et de son Pont de l’Enfer; alentour, Rocher Aiguille et Rocher d’Hubert, cascade du Creux Saillant; hameaux du Mas à l’ouest, de Pitelet à l’est, lac de barrage de la Muratte, partagé avec Palladuc, au SE sur la Credogne.

Lachaux (280 Chaulards, 2 227 ha dont 1 257 de bois), limitrophe du département de l’Allier à 25 km NNE de Thiers, est bordée à l’est par la vallée encaissée du Theux, affluent de gauche du Sichon; le village est à 660 m; centre de vacances au NO. Au nord-ouest de la commune à Roffin, une mine d’uranium a été exploitée dans les années 1950 et a fermé en 1955. Le finage culmine à 943 m au sud au Reix de Sol (parfois écrit à tort Rez de Sol).

Ris (750 Risais, 1 576 ha dont 960 de bois), limitrophe du département de l’Allier, conserve des restes d’un ancien prieuré. Le village est à 20 km au nord de Thiers à 324 m. La D906 et la voie ferrée passent un peu à l’ouest; au-delà, la Dore sinueuse limite le finage; étang des Vaures tout au nord dans la vallée. La commune a 50 hab. de plus qu’en 1999.

Châteldon (790 Châteldonnais, 2 843 ha dont 1 566 de bois) est un ancien chef-lieu de canton, 17 km au nord de Thiers au pied des reliefs qui marquent le passage du Forez à la Montagne bourbonnaise. Bourgade hors des grandes voies, elle succède à un ancien castrum Odonis, longtemps appelé Chastel-Oudon, qui a quelques restes de château et fortifications. Une source minérale, qui fut propriété de Pierre Laval, natif de Châteldon, est utilisée pour l’embouteillage des eaux sur le site des anciens thermes, après déferruginisation; le groupe Castel a fait de son eau gazeuse et bicarbonatée un produit de luxe pour restaurants de prix et épiceries fines, puis a cédé en 2008 les eaux de Châteldon avec toutes ses eaux de table au groupe Roxane qui était déjà son partenaire et qui s’est associé au japonais Otsuka. Le village a des maisons à colombages, un atelier Electro-Calorique (chariots de repas, 35 sal.). La commune a beaucoup perdu depuis les 2 100 hab. des années 1890, mais a 40 hab. de plus qu’en 1999: c’est à Puy-Guillaume dans la plaine que se sont reportés emplois et habitants.

Charnat (210 Charnatois, 542 ha), 21 km NNO de Thiers, près de Puy-Guillaume, a son village sur la rive droite de l’Allier, un jardin architectural des monuments du monde présentant 18 maquettes de grands monuments réalisées au 1/25 dans un paysage fleuri.

Paslières (1 520 Paslièrois, 2 777 ha) est à 11 km NNO de Thiers sur la D906. La Dore borne son finage à l’ouest. La population a augmenté de 130 hab. après 1999.

Noalhat (240 Noalhatois, 513 ha), 11 km NNO de Thiers, est sur la rive droite de la Dore; +80 hab. depuis 1999 (+50%).

Dorat (740 Dorachons, 1 726 ha dont 700 de bois) est à 8 km NO de Thiers au nord-ouest au bord de la Dore, accompagnée d’étangs; +150 hab. après 1999 (un quart).


Courpière

(4 150 hab., 3 182 ha dont 787 de bois) est un ancien chef-lieu de canton du Puy-de-Dôme dans la CC Thiers, Dore et Montagne., 16 km au sud de Thiers sur la Dore, au débouché de la vallée encaissée de la Dore dans la Limagne des varennes. Bourgade active, dotée d’un collège public et d’un collège-lycée privé, elle participe au bassin de Thiers mais avec ses ateliers propres dont le principal est la fabrique de carton ondulé Celta (270 sal., groupe Rossmann). La ville a un Intermarché (45 sal.), les installations électriques SCIE (110 sal.), quelques ateliers de moins de 25 sal. Elle conserve le château de la Barge, à hautes tours rondes, galerie, parc et jardin renaissance. Sa population a assez peu varié en dépit d’un recul vers 3 500 hab. au milieu des années 1950; elle baisse un peu depuis 1982 et a encore perdu 620 hab. après 1999.

Courpière est le bureau du nouveau canton des Monts du Livradois (38 communes, 17 600 hab.).


Puy-Guillaume

(2 780 Puyguillaumois, 2 502 ha dont 653 de bois,) est une commune du Puy-de-Dôme dans la CC Thiers Dore et Montagne, 16 km NNO de Thiers au bord de la Dore avant son confluent avec l’Allier. C’est le site de la verrerie Verdôme (contraction de Verrerie du Puy-de-Dôme), jadis à la Fermière de Vichy, qui produit 2 M de bouteilles par jour (250 000 t/an); passée du groupe Danone à BSN Glasspack puis à O-I (Owens-Illinois), elle emploie 310 salariés, et se complète d’une usine de recyclage du verre (IPAQ, au même groupe); plastiques SELP (25 sal.), services personnels Aquadom (25 sal.). On y trouvait aussi l’originale imprimerie Oberthur Gaming Technologies, spécialiste des tickets et billets de loterie, mais elle a fermé en 2014; maison-musée du verre, collège public. À l’extrémité sud-est de la commune au bord de la Credogne est l’ancienne abbaye cistercienne de Montpeyroux, longtemps colonie de vacances. La population de la commune augmente lentement depuis le 19e siècle, avec toutefois un pic en 1931 et un creux en 1954; elle n’a augmenté que de 90 hab. après 1999.


Thiers

(11 840 Thiernois, 4 449 ha dont 1 186 de bois) est une sous-préfecture du Puy-de-Dôme à 40 km ENE de Clermont-Ferrand, à 403 m. Ancienne Tigernum celte, la ville est en bordure de la Limagne mais a bénéficié des rapides de la Durolle. Elle s’étire au fond de sa vallée dont les eaux ont été à l’origine de la coutellerie, déjà une spécialité locale au 14e s. et qui n’a jamais cessé de fonder la réputation de la ville; celle-ci comptait encore 500 fabricants vers 1930, avec 12 000 salariés. La coutellerie, longtemps accompagnée d’autres spécialités (papeterie, cartes à jouer, tannerie) avait fini par l’emporter grâce à l’organisation et à l’activité des marchands, et au choix d’une production de qualité convenable mais au moindre prix et à une extrême division du travail.

Le bassin de Thiers assure encore une majorité de la coutellerie française, avec 2 000 salariés, et conserve environ 200 petites entreprises artisanales tout en ayant connu de nettes concentrations, et il s’est diversifié. La vieille maison Rousselon (35 sal.) vise le haut de gamme; quelques fabricants ont encore de 20 à 40 salariés (Déglon, Fischer-Bargoin ont 40 sal.), d’autres sont descendus au-dessous de 20. La ville organise un Salon professionnel Coutellia et un festival du Couteau.

L’industrie a trouvé des relais dans la fonderie, avec Préciforge (125 sal.), Wichard (90 sal.), spécialiste d’accastillage et de couteaux de marine, Forginal (Roux et Lallement, 70 sal.), MSJ (40 sal.), Coste (laminage, 35 sal.); la tôlerie fine et le traitement de surfaces comme Serinox (fournitures de matériel ferroviaire en inox, 80 sal.), Sapec (30 sal.); les plastiques pour manches de couteaux CEP (85 sal.); voire l’emballage en bois (Parembal, 30 sal.). La société Brüggen (150 sal., d’origine allemande) est dans un tout autre domaine, la production de barres et flocons de céréales.

La plupart des ateliers sont maintenant dans les zones industrielles de la plaine, au pied de l’escarpement de faille qui limite le massif du Forez et fixe le site de la ville. Celui-ci, qui est classé, est étroit, mais il offre des terrasses et des points de vue, et a été enrichi en 1985 de grandes sculptures métalliques. Il était divisé entre la ville basse autour du Moûtier, le monastère des débuts, et la ville haute des barons, avec le château; nombreuses maisons anciennes, maison et musée des couteliers rue de la Coutellerie en ville, musée de l’Orangerie avec jardins, ensemble de jardins du château de la Chassaigne (15e-18e s.), où se voit aussi un cabinet de curiosités. En amont, une trentaine de «rouets» (anciens ateliers des rémouleurs, affineurs de lames) sont entretenus et signalés et forment la vallée des Rouets; en aval, centre d’art contemporain (dans une ancienne usine au Creux de l’Enfer); espace de loisirs Iloa des Rives de Thiers dans la plaine, le long de la Dore en aval du confluent de la Durolle, avec étangs.

Thiers est aussi un centre tertiaire avec hôpital (124 lits), plusieurs lycées et collèges; un supermarché Carrefour (150 sal.), un centre Leclerc (60 sal.), un Intermarché (30 sal.); services à la personne Actypoles (80 sal.), nettoyage Services Compris (50 sal.); transports STT Léonard (70 sal.) et Combronde (235 sal.); La Poste (75 sal.)

La N89 suit la vallée, l’A72 l’accompagne sur le plateau. Thiers avait près de 18 000 hab. vers 1900, et sa population diminue depuis, le mouvement s’étant accéléré après 1982; la commune a perdu 2 110 hab. après 1999. L’arrondissement a 56 000 hab. et 44 communes. La communauté de communes Thiers Dore et Montagne associe 30 communes (37 200 hab.).

Le nouveau canton de Thiers a 13 communes, 22 100 hab.