Communauté de communes Pays de Fontenay-Vendée' est une intercommunalité du sud-est de la Vendée dont le siège est à Fontenay-le-Comte, qui est seule à dépasser 2 000 hab. Elle s’étend dans la Plaine et, au sud, dans le Marais. Elle a 26 communes et 33 400 hab. sur 46 500 ha. Saint-Martin-de-Fraigneau (870 Tessonnais, 1 356 ha), 6 km au SE de Fontenay-le-Comte dans la Plaine, est au bord de la D148 et de l’ancienne voie ferrée; gros hameau du Puy Sec au SO. L’A83 traverse tout le sud du finage. Elle a une maison familiale rurale; constructions Logis du Marais Poitevin (35 sal.), négoce de produits phytosanitaires Leduc Lubot (30 sal.). La commune n’avait que 460 hab. en 1970 et croît depuis, mais lentement (+30 hab. depuis 1999). Le gentilé fait référence à l’ancien nom de la commune, qui fut Villa Tasso, Taxon, Taissonium et Tesson, noms liés soit à l’if soit au blaireau; le nom actuel de la commune ne date que de 1814. Doix-les-Fontaines (1 750 hab., 2 387 ha) est une nouvelle commune de Vendée, résultant en 2016 de la fusion de Doix et Fontaines. Fontaines (790 Fontenois, 1 056 ha dont 110 de bois) est 5 km au sud de Fontenay. Un bras du Marais Poitevin remonte jusqu’au village, qui a une église classée du 12e s. Au nord, échangeur de l’A83 avec péage. Le sud-est du finage est dans le marais, que borde tout à l’est le hameau de Sauveré le Mouillé. Au SO du village, le hameau-rue de Bourgneuf est partagé avec Montreuil. Fontaines a 110 hab. de moins qu’en 1999. Doix (970 Doixerains, 1 331 ha), 9 km au sud de Fontenay, est au bord du marais d’Écoué, relayé par le hameau de Doux à l’ouest;à l’inverse de Fontaines, elle a gagné 160 hab. depuis 1999. Au NE, le bras de marais qui atteint Fontaines est bordé par un alignement d’habitations (hameaux du Paradis et de la Billaude). Montreuil (820 Montreuillais, 1 203 ha) plus à l’est, 8 km SSO de Fontenay, a enregistré une augmentation sensible de sa population après 1999 (+160 hab.). Le village est au nord, à l’écart du marais, que bordent les maisons de plusieurs hameaux: Fraigneau au SE, Écoué et le Port d’Écoué, l’Atterrée et Baude au SO; tout au nord, hameau de Bourgneuf partagé avec Fontaines. Auchay-sur-Vendée (1 160 hab., 2 116 ha) est une commune nouvelle, née d’une fuasion de 2017 entre Auzay et Chaix et dont le nom artificiel a pris une syllabe à chacune. Auzay (680 Auzaciens, 1 379 ha) est à 7 km OSO de Fontenay. Le village domine le versant droit de la Vendée à un confluent de vallon, de l’autre côté duquel il a pour annexe le hameau du Prieuré (14e-15e s.). L’A83 passe juste au nord, avec deux aires de repos et un échangeur à péage (n°7.1). L’ancienne commune a gagné 170 hab. depuis 1999 (+36%). Chaix (480 Chaisiens, 737 ha) est à 7 km SO de Fontenay et se prononce comme chai; l’habitat du village se prolonge par les hameaux de la Darlaise et de Brillac, le long du versant dominant un grand méandre de la Vendée, qui limite le finage à l’ouest; ancien prieuré des 14e-15e s., domaine isolé de la Forêt Nesdeau à l’est (16e et 18e s.); +50 hab. depuis 1999. Les Velluire-en-Vendée (1 390 hab., 2 649 ha) est une commune nouvelle, créée en 2019 par la réunion de Velluire et Le Poiré-sur-Velluire. Velluire (720 Velluirois, 954 ha), 12 km SO de Fontenay, a son village au bord du marais et de la Vendée, rive gauche; bois et vergers, hameau de Nizeau à l’est, gare; Pépinières de l’Atlantique (25 sal.); +200 hab. depuis 1999. Le Poiré-sur-Velluire (670 Pérotins, 1 695 ha), 13 km SO de Fontenay, est près de Velluire mais sur le côté droit de la large vallée de la Vendée, et bordé par le canal du Grand Port. Le village est doublé au NO par le gros hameau de l’Anglée et s’orne du château du Châtellier (15e au 17e s.). Le nord du finage est sur les basses collines de la Plaine, le sud et l’ouest dans le marais. Le Marais Communal est longé par deux grands canaux, que suit une file d’habitations dites Huttes. Le Langon (1 080 Langonnais, 2 374 ha), 11 km OSO de Fontenay, étire des files de maisons en bordure du marais. Le finage atteint au sud le Canal des Hollandais, camping à la Source au sud du village, hameau des Pelées au nord. Le Langon a 40 hab. de plus qu’en 1999 et a reçu au NE du finage le parc éolien des Champs de la Seppe-Plisson, fort de 7 machines Enercon (5,7 MW) de la Régie Vendéenne d’Électricité alignées sur 2 km. Petosse (710 Pétossais, 1 590 ha), 8 km ONO de Fontenay, conserve une église classée en partie du 12e s. avec souterrain-refuge et accueille les installations électriques Comelec (35 sal.). Le village, dans la Plaine, est encadré par la D 148 au nord, l’A83 au sud. La commune a 250 hab. de plus qu’en 1999 (+54%). Longèves (1 370 Longévois, 1 172 ha), 5 km à l’ouest de Fontenay, a une fabrique de bâches et stores Sofareb (30 sal.); transports TVM (40 sal.); la commune a gagné 430 hab. (+45%) depuis 1999. Le finage est traversé par les D148 et D949, qui se croisent en un carrefour complexe dit de la Lune. L’habitat se divise en plusieurs unités: le village au nord-ouest, prolongé au nord par le hameau de la Garenne; l’urbanisation du Martray à l’est, à la limite de Fontenay; celle de Bel-Air-Tête Noire au centre, avec une zone d’activités sur la D949; péage de sortie de l’A83 au SO. La commune est traversée par la Longèves, qui atteint le val de Vendée tout au SE. Sérigné (1 000 Sérignotais, 1 869 ha) est à 5 km NO de Fontenay-le-Comte. Le village a une église inscrite du 12e s.; au nord, château de la Girardie (fin du 16e s.), à douves. Le finage est creusé par la vallée de la Longèves et des vallons affluents. L’habitat comprend les hameaux de la Chauvière, Monrepas et Coutigny sur les versants de la Longèves, du Beugnon au NE. La commune a gagné 40 hab. depuis 1999. Pissotte (1 160 Pissottois, 1 196 ha dont 300 de bois), à 3 km au nord de Fontenay sur la D938; elle a une part de la forêt au NE et quelques ateliers; un cépage de vigne local des Fiefs de Vendée (vdqs) pour 20 ha, et des caves; châteaux du Poiron (18e-19e s.) au village, des Saulzes au NO. La Vendée limite son finage à l’est, où elle dessine l’étroit méandre de Sauvaget. Bourneau (760 Bournaisiens, 1 636 ha dont 505 de bois), est 9 km au nord de Fontenay. Le petit village est à l’écart de la D938, qui traverse la forêt à l’est; chapelle à chapiteaux dans l’église classée du 16e s., château néorenaissance de 1869 à douves en carré, vieux chêne dit de Saint-Reymond; transports Fontan (50 sal.). L’habitat est complété au NO par le gros hameau de Boursegain, au SE sur la D938 par le quartier de Fouchaud avec zone d’activité, en bordure de la forêt de Mervent, au nord par le hameau de la Chabossière. Le finage atteint à l’est le lac de barrage de Pierre Brune dans la vallée de la Mère et de son affluent le Petit Fougerais, qui limite au nord le finage; la population a augmenté de 120 hab. depuis 1999. Vouvant (910 Vouvantais, 2 020 ha dont 500 de bois) est à 15 km au nord de Fontenay-le-Comte. Le village est perché sur un éperon rocheux qui domine la Mère, célèbre pour son site que rehaussent des remparts et la tour Mélusine, ancien donjon de la forteresse des Lusignan (13e s.), à laquelle s’attache la légende de Mélusine; belle église romane poitevine (11e-12e s.) avec un portail décoré au transept, vieux pont. L’ensemble figure comme «petite cité de caractère», «village de charme» et «plus beau village de France»; une maison familiale rurale. Le cours de la Mère, affluent de la Vendée, est élargi par le barrage de Pierre Brune (65 ha, 3 Mm3). Le finage est boisé au sud et à l’est par la forêt domaniale de Mervent-Vouvant. Au sud, règne la forêt domaniale de Mervent. À l’ouest passent la D938 et l’ancienne voie ferrée, qui a laissé un viaduc sur la vallée encaissée du Petit Fougeray, et un quartier de la Gare au NO. Vouvant a eu plus de 1 500 hab. en 1886 et s’est dépeuplée jusqu’en 1982 (780 hab.); après une légère remontée, elle s’est stabilisée. Mervent (1 070 Merventais, 2 223 ha dont 1 000 de bois) est à 16 km NNE de Fontenay-le-Comte. Elle tire sa renommée de son site, qui associe la forêt domaniale de Mervent-Vouvant aux gorges de la Vendée. Celles-ci sont rehaussées par un barrage mis en eau en 1958, de 128 ha de plan d’eau et 8,3 Mm3 de capacité, ce qui en fait le plus volumineux du département, ainsi que par l’apport de son affluent la Mère, qui vient de Vouvant. Un parc a pris la place de l’ancien château fort rasé, et donne un large panorama où se voit le vieux pont des Ouillères (15e s.), qui enjambe le lac; deux campings à l’ouest du village. Celui-ci est situé à un étranglement du finage. Vers l’ouest, s’étend la forêt domaniale de Mervent, entre les vallées de la Mère et de la Vendée. Le barrage de Mervent est à l’angle SO, tandis qu’à l’angle NO se tient celui de Pierre Brune, au pied duquel sont un parc de loisirs et la grotte du Père de Montford. Vers l’est, le finage est bien plus étendu et agricole; le long de la D65, l’habitat s’est densifié en plusieurs hameaux des Ouillères à la Jamonnière, avec une zone d’activités, des étangs et un camping, écomusée des Amis de la Forêt, château de la Citardière (17e s.). Au SE, quelques lotissements dont les Bouronnières, et un parc zoologique. Au NE, hameau du Nay et prolongements de la forêt domaniale. La forêt de Mervent s’étend sur 5 000 ha dans 6 communes et a été déclarée site d’intérêt national en 1985; la Scierie de Mervent a 25 salariés. La population communale a légèrement augmenté de 1975 (840 hab.) à 1990 et reste stable depuis. Foussais-Payré (1 140 Foussaisiens, 3 442 ha dont 425 de bois), 13 km NE de Fontenay, est issue d’une fusion de 1968, mais dont la population décline. Le village principal est celui de Foussay, aussi «petite cité de caractère», grâce aux nombreuses maisons anciennes restaurées, surtout du 16e s. (renaissance), aux halles de même époque, au prieuré devenu hôtel de ville, également du 16e s., à l’église romane du 12e s. (classée); voyages Soulard (autocars, 35 sal.). Payré, plus petit, est un peu au sud et conserve d’anciens fours à chaux. À l’ouest, château de Sérigny, hameau de Vue. Au SO, au-delà du grand bois de la Baugisière, le barrage d’Albert sur la Vendée retient un lac de 110 ha qui remonte sur 7 km et a une capacité de 3 Mm3; en amont, le château de la Saucelière domine le cours de la Vendée. Celle-ci fixe la limite orientale de la commune; -80 hab. depuis 1999. Saint-Michel-le-Cloucq (1 330 Michelais, 1 769 ha dont 233 de bois) est à 5 km NE de Fontenay et en a reçu des aspects de banlieue et plusieurs lotissements; le quartier de la Meilleraie, au SE du village, est aussi peuplé que celui-ci. Il donne sur le lac de barrage d’Albert; château de la Beaugisière (18e s.) à l’est, châteaux de Beaulieu et du Mazeau à l’ouest. Au SO, le hameau de la Maison Brûlée touche à Charzais. La Vendée traverse le finage en aval du barrage d’Albert, dans une vallée à méandres resserrés et encaissés, où remontent les eaux du barrage de Mervent. Au NE, hameau et étang du Braud, carrières, parc ornithologique de Pagnolle et lac. La population a augmenté de 70 hab. après 1999; elle était autour de 950 hab. de 1930 à 1980. L’Orbrie (820 Orbriens, 963 ha dont 505 de bois) est à 3 km NE de Fontenay. On y découvrit une précieuse statue équestre de la déesse romaine Epona, dont un moulage est conservé au musée de Fontenay; château du Puy Chabot (16e-17e s., remanié à la fin du 19e); boulangerie Guitton la Lutine (20 sal.). Plus de la moitié de la commune au nord est dans la foret domaniale de Mervent, et bordée sur trois côtés par la Vendée encaissée et par le lac de barrage de Mervent. L’Hermenault (930 Hermenaultais, 1 142 ha dont 381 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de la Vendée dans l’arrondissement de Fontenay-le-Comte, 12 km au NO de Fontenay au bord de la Longèves, affluent de la Vendée; château épiscopal du 18e s., château des Moulières (16e-17e s.) au NE, hameaux de la Rouette (serres) et de Rousseau au SE en bord de Longèves. La population a relativement peu varié depuis 50 ans, puis a gagné 70 hab. après 1999. Mouzeuil-Saint-Martin (1 260 Mouzeuillais, 2 385 ha), 15 km à l’ouest de Fontenay sur la D949, est dans la Plaine de Fontenay au bord de la Corde. La partie méridionale du finage est dans le Marais, à partir du petit hameau-port de Linaud et jusqu’au canal des Hollandais; on y trouve quelques huttes et un petit hameau (le Bois de l’Homme). Le village éparpille ses maisons autour de la D949; tri de déchets d’emballages ménagers Trait d’Union (20 sal.), transports Sudre (120 sal.). La commune résulte d’une fusion de 1964 entre Mouzeuil et Saint-Martin-sous-Mouzeuil, juste au sud, dont les maisons n’étaient guère séparées. Elle a gagné 140 hab. depuis 1999. Elle a reçu au nord-est un parc éolien de la Régie d’Électricité de Vendée, dit le Barillon-les Masures, avec 10 mâts Enercon (8 MW) alignés sur près de 4 km. Pouillé (630 Pouilleuzais, 1 748 ha) est à 13 km ONO de Fontenay, sur la D 148 ex-N 148; le village, qui concentre tout l’habitat de la commune, a une église en partie du 12e s. et a gagné 110 hab. depuis 1999. Saint-Valérien (540 Valérienois, 1 430 ha), 16 km ONO de Fontenay, appartient pour l’essentiel à la Plaine et s’est accru de 80 hab. depuis 1999. Le village est prolongé vers l’ouest par les hameaux de Ligné et Plogé; dans la vallée de la Simagne à l’ouest, l’étang de Rulières a une base de loisirs avec camping; bois du Chatenay au nord. Les communes du nord sont sur le bas plateau du Bocage. Saint-Martin-des-Fontaines (180 hab., 564 ha), 15 km au NO de Fontenay, accueille une briqueterie (Bouyer-Leroux, 105 sal.). Marsais-Sainte-Radegonde (520 hab., 1 477 ha dont 151 de bois), 12 km NO de Fontenay, résulte d’une fusion de 1828; Marsais, au NO, est au bord de la Foussaire, l’une des têtes de la Longèves; Sainte-Radegonde est à la source d’un petit affluent de la Longèves; hameau du Coudray et château de l’Évaudière au nord. Saint-Cyr-des-Gâts (550 Saint-Cyriens, 2 108 ha dont 185 de bois), 17 km NO de Fontenay, a un habitat plus dispersé et des étangs; châteaux de la Gibonnière au SE, de la Caillebaudière à l’est, ancien moulin à vent près du village, +70 hab. depuis 1999. Saint-Laurent-de-la-Salle (370 Saint-Laurentais, 1 922 ha dont 248 de bois) est à 20 km NO de Fontenay; châteaux du Plessis le Franc (16e-17e s.) à l’ouest du village, de la Loge au nord, hameau de la Morinière au sud. Le finage s’étend vers le nord, où il porte des vergers et inclut le hameau des Houillères; la Simagne fixe sa limite méridionale. (14 130 Fontenaisiens, 3 405 ha), sous-préfecture de la Vendée, 60 km au SE de la préfecture. La ville est dans la Plaine, au passage de la Vendée, entre marais et bocage. Cette position lui valut de grandes foires, une active industrie du drap et du cuir, et une étoile de routes. L’A83 la frôle au sud. Fontenay fut aussi un actif centre de la renaissance et de l’humanisme au 16e siècle, «fontaine et source jaillissantes de beaux esprits» selon François Ier; elle fut du côté des Bleus sous la Révolution, et du côté des laïques dans les querelles religieuses: c’est une tout autre Vendée que celle du nord du département. Les Révolutionnaires lui avaient attribué la préfecture, c’est Napoléon qui l’en déposséda dès 1804. Ce n’est donc que tard dans le 19e siècle qu’elle reprit des forces, et plus encore après 1950, bénéficiant d’un actif urbanisme dans les années 1960 et 1970. De son passé de «ville d’art et d’histoire», il lui reste un beau centre avec de nombreux hôtels particuliers autour de la place Viète. Au château fort rasé s’est substitué le grand parc Baron, orné par la fontaine des Quatre Tias. Une ville haute hors les murs entoure au SO le grand château de Terre-Neuve, du 17e s., avec un musée. Au SE, l’usine Mathieu, de 1973, est un curieux ensemble en étoile réalisé par le peintre Georges Mathieu à la demande de l’industriel Guy Biraud, fabricant de transformateurs et qui a également créé le musée de la Communication au château de Pignerolle (Saint-Barthélemy-d’Anjou); on visite aussi la tour Rivalland, une maison Henri IV. L’ensemble lui vaut aussi le label «Plus beau détour de France». La ville a un assez riche musée de la Vendée, un centre hospitalier et médico-éducatif (300 sal., 160 lits) et une clinique (75 lits, 150 sal.), un centre de l’Adapei Papillons Blancs (60 sal); centre d’aide par le travail, deux collèges publics et un privé, un lycée public et un privé; lycée agricole public de Bel-Air, proche du centre-ville; centre militaire de formation professionnelle à la caserne du Chaffault, depuis 1958, pour la reconversion des militaires (600 stagiaires par an); maison de retraite (Medica, 40 sal.). Le secteur industriel était dominé par l’usine de roulements SKF, qui a eu plus de 700 emplois mais a fini par fermer en 2010. La fabrique de remorques Samro demeure sous le nom de Trouillet, mais avec 160 sal. (550 en 2005); s’y ajoutent les transformateurs BCV (l’ancienne usine Biraud, maintenant au groupe Schneider, 140 sal.); métallerie Guyonnet (40 sal.), mécanique Hermès (Ledoux, 30 sal.), menuiserie métallique Fillonneau (55 sal., vérandas), équipements de contrôle HSO (45 sal.) et Horanet (25 sal.); meubles Self (Fontenaisienne d’ameublement, 65 sal.), matériels d’exposition Culture d’Objet (40 sal.), constructions navales Océa (55 sal.), pontons et passerelles Atlantic Marine (25 sal.); impression sur plastiques et films d’emballage SAC (Articles de Conditionnement, 55 sal.); confection féminine Marie Pirsch (35 sal.) et casquettes Dandurand (30 sal.); biscuits Cantreau (125 sal.) et biscottes Pasquier (100 sal.). Fontenay accueille aussi les logiciels de gestion de temps Horo-Quartz (140 sal.); comptabilité Sofar (30 sal.) et Groupe Y (20 sal.), installations électriques Sdel Océane (Garczynski, 25 sal.), et Electric Moteur (25 sal.), thermiques Bonnaud (25 sal.) et Carré (20 sal.); travaux publics Colas (75 sal.), constructions Venant (25 sal.); collecte de déchets Ortec (25 sal.). Le commerce est principalement représenté par les hypermarchés Leclerc (220 sal.) et Hyper-U (185 sal.), des magasins MrBricolage (25 sal.) et But (25 sal.), une jardinerie Gardem (20 sal.), une plate-forme de distribution de Système U (XPO Supply (200 sal.), des négoces dont les bois et panneaux et matériaux Dispano Roux (55 sal.), matériel de bureau Boutin (20 sal.); la vente à domicile des Magasins Bleus (35 sal.); entreposage, transports Grimaud (140sal.) et Fontan (50 sal.), autocars Sovetours (70 sal.); auto-école ActiRoute (45 sal.); travail temporaire Manpower (75 sal.), Randstad (75 sal.), Vendée Intérim (70 sal.), Start People (50 sal.), Synergie (45 sal.), Port Ability (25 sal.); centre d’appels Webhelp (55 sal.); La Poste (130 sal.). La commune de Fontenay-le-Comte s’est agrandie en 1966 par la fusion avec Charzais à l’est (730 hab.) et en 1972 en intégrant Saint-Médard-des-Prés (740 hab.). L’autoroute A83 et la D148 contournent la ville par le sud; échangeur et péage autoroutier sont partagés avec Fontaines. Le finage est étendu vers l’est et SE, où sont des zones d’activités, les quartier des Moulins et de Charzais, le hameau de Grange. Saint-Médard et le quartier nouveau de Boisse sont au SO, le centre hospitalier à l’ouest. Au sud s’étend l’aérodrome (LFFK) doté d’une piste bitumée de 970 m, une en herbe de 960 m, avec aéroclub. Fontenay avait 7 700 hab. au milieu du 19e siècle, 10 000 à la fin, et 9 500 en 1954; la population a ensuite augmenté jusqu’en 1980, en partie grâce aux fusions, puis a un peu diminué, perdant encore 1 300 hab. depuis 1999. La communauté de communes du Pays Fontenay-Vendée associe 26 communes et 33 400 hab. L’Insee n’attribue à Fontenay qu’une unité urbaine de 17 300 hab. (4 communes), une aire urbaine de 27 500 hab. pour 16 communes. L’arrondissement a 141 6000 hab., 112 communes. Le nouveau canton de Fontenay-le-Comte a 30 communes, 43 300 hab. |