Communauté de communes d’Entre Bièvre et Rhône' communauté de communes de l’Isère, associant 37 communes et 68 000 hab. sur 40 990 ha. Saint-Maurice-l’Exil (siège), Beaurepaire, Chanas, Le Péage-de-Roussillon, Les Roches-de-Condrieu, Roussillon, Sablons, Saint-Clair-du-Rhône, Salaise-sur-Sanne ont plus de 2 000 hab. Saint-Alban-du-Rhône (890 Saint-Albanais, 356 ha), 4 km NNO de Saint-Maurice-l’Exil, est au confluent de la Varèze et du Rhône et limitrophe du département de la Loire. La centrale nucléaire proche, au sud, est parfois dite de Saint-Alban, mais se trouve en fait principalement à Saint-Maurice-l’Exil. La commune avait 350 hab. autour de 1970; elle n’a que 40 hab. de plus qu’en 1999. Saint-Prim (1 440 Saint-Primois, 730 ha) est juste à l’est de Saint-Clair-du-Rhône en continuité d’habitat, 10 km NNO de Roussillon, en progrès depuis les 380 hab. de 1962; elle accueille une maison de convalescence et a 530 hab. de plus qu’en 1999 (+58%). Clonas-sur-Varèze (1 530 Clonarins, 683 ha) est juste au NE de Saint-Maurice-l’Exil; musée archéologique dit La Ville de Licinus, avec une mosaïque découverte en 1996; +230 hab. après 1999. La mention sur-Varèze est de 1924. Auberives-sur-Varèze (1 500 Auberivois, 705 ha) est à 6 km au NE de Saint-Maurice-l’Exil sur la N7, flanquée à l’est par l’A7 qui y a une double aire de repos. La mention sur-Varèze est de 1938. La commune a 330 hab. de plus qu’en 1999. Cheyssieu (1 050 Cheyssinois, 855 ha), 8 km NE de Saint-Maurice-l’Exil, est à l’est d’Auberives sur la Varèze; elle avait 350 hab. en 1962 et a gagné 300 hab. après 1999 (+40%). Vernioz (1 460 Vergnos, 1 132 ha) est à 12 km ENE de Saint-Maurice-l’Exil, son finage borné au sud par la Varèze; jardin du Bois Marquis; hameau de Saint-Alban-de-Varèze dans la vallée au SE. La population a augmenté de 560 hab. depuis 1999 (+62%). Assieu (1 680 Assieutois, 1 234 ha dont 344 de bois), 8 km à l’est de Saint-Maurice-l’Exil, offre un musée animalier et a gagné 780 hab. après 1999 (+876%). La Chapelle-de-Surieu (780 Chapelains, 1 120 ha) est à 10 km ENE de Roussillon au bord de la Sanne; +300 hab. après 1999 (+63%). Saint-Romain-de-Surieu (410 Saintromaintais, 471 ha), 8 km ENE de Roussillon, au bord de la Sanne, conserve deux belles église romanes et a gagné 160 habitants depuis 1999 (+64%). Ville-sous-Anjou (1 200 Terrebassiens, 1 825 ha dont 350 de bois), 4 km à l’est de Roussillon, a un clocher-tour roman et un musée animalier, et s’orne du château de Terre Basse qui continue à fournir aux habitants leur gentilé; sa population était de 590 hab. en 1962 et a augmenté de 160 hab. après 1999. Anjou (1 050 Anjoulois, 503 ha) est un village au bord de la grande plaine de Valloire, 7 km au SE de Roussillon. Elle a un vieux village perché, les deux châteaux d’Anjou et de Fondru et la vieille tour d’Anjou (12e s.); horticulture dans la plaine. Le nom n’a rien à voir avec la province d’Anjou; il a pu venir d’un temple dédié à Jupiter (Ad Jovem). La population a augmenté de 180 hab. après 1999 (+20%). Agnin (1 190 Agnitaires, 796 ha) est à 5 km SE de Roussillon, avec un habitat épars et des serres. Elle a 390 hab. de plus qu’en 1999 (649%). Bougé-Chambalud (1 410 Bougérards, 1 585 ha), limitrophe de la Drôme au bord de la Bège, affluent du Dolon, 8 km à l’est de Chanas, accueille une entreprise de viandes Elivia (125 sal.), une chocolaterie et confiserie Kerry (Ravifruit, 140 sal.); un camping de 25 sal. La commune, dont la population n’augmente que depuis 1982 (670 hab.), a gagné 480 hab. depuis 1999 (+52%); ancienne commanderie Lachal au sud, à la limite du département; Chambalud est un hameau au SO, intégré dès les années 1790. Jarcieu (1 110 Jarcieurois, 631 ha), limitrophe de la Drôme, est à 10 km à l’ouest de Beaurepaire au bord du Dolon; espaces verts Idverde (60 sal.), transports Duarig (45 sal.), maçonnerie (Marchand, 20 sal.), pépinières Guillot-Bourne (40 sal.). La population de Jarcieu, inférieure à 600 hab. dans la première moitié du 20e s., augmente aussi, depuis 1975 (+310 hab. après 1999, +39%). Sonnay (1 300 Sonnayards, 1 417 ha) est à 9 km ESE de Roussillon à l’est d’Anjou, en Valloire; +330 hab. après 1999 (+34%). Pact (880 Pactois, 974 ha), limitrophe de la Drôme, est 17 km ESE de Roussillon au bord du Dolon dans la plaine de Valloire, traversée par la LGV Rhône-Alpes; +230 hab. après 1999 (+36%). Bellegarde-Poussieu (1 010 Poussieurois, 1 679 ha), 14 km à l’est de Roussillon, vient d’une fusion des années 1790; les deux sont sur le bas versant nord de la Valloire, Poussieu au SO et plus étoffée, avec la mairie et l’école; +150 hab. après 1999. Moissieu-sur-Dolon (750 Moissieurois, 1 438 ha) est 16 km à l’est de Roussillon sur le versant nord de la Valloire; camping. La mention sur Dolon est de 1924. La commune a 240 hab. de plus qu’en 1999 (+47%). Montseveroux (1 020 Montseverois, 1 648 ha dont 363 de bois) est à 16 km ENE de Roussillon sur les collines entre Valloire et Varèze; ce fut une création monastique sur le plateau de Bonnevaux, dont le nom était à l’origine Mont Supérieur, sous la forme d’un village fort dominant la Varèze, qui a conservé de belles maisons médiévales, une église du 12e s. et un château. Sa population croît depuis le minimum de 1962 (moins de 400 hab.); elle a augmenté de 230 hab. après 1999 (+29%). Monsteroux-Milieu (520 Monsteroudaires, 817 ha dont 200 de bois) est un petit village perché à l’entrée d’un vallon débouchant sur la Varèze, mais la mairie et l’habitat principal sont au Gontard, un peu au NO sur la rive droite de la Varèze, en plaine, 14 km ENE de Roussillon. Son église, des 11e et 13e s., se signale par ses peintures murales; Milieu est un ancien village sur la colline d’en face, au nord, réuni en 1790. La population communale augmente depuis le minimum de 220 hab. en 1975; elle a crû de 220 hab. après 1999 (+73%). Chalon (180 Châlonnais, 520 ha), 15 km NE de Roussillon, est dans les collines au nord de la Varèze, en habitat dispersé sans village, mairie isolée. Cour-et-Buis (950 Courtois, 1 373 ha dont 525 de bois), 19 km NE de Roussillon, dans la vallée de la Varèze, unit deux villages depuis les années 1790: Cour est le principal; Buis est un hameau 3 km en amont, la LGV traverse entre les deux; atelier de plastiques (Portelli, 70 sal.); la commune n’avait guère que 400 hab. en 1975 et croît depuis; elle a gagné 220 hab. après 1999 (+30%). Primarette (730 Primarettois, 2 176 ha dont 752 de bois), 21 km ENE de Roussillon, 8 km au nord de Beaurepaire, est dans les collines de Bonnevaux. Elle a un atelier de plasturgie Tencate fabriquant notamment des gilets pare-balles (130 sal., groupe néerlandais). La LGV suit sa limite occidentale. Elle a cédé en 1844 le territoire de Saint-Julien-de-l’Herms. Sa population augmente depuis les 360 hab. de 1975. Saint-Julien-de-l’Herms (160 Juliénois, 917 ha dont 459 de bois) est à 28 km ENE de Roussillon à l’orée de la forêt de Bonnevaux; elle a été créée en 1844 à partir de Primarette, avec 300 hab.; elle a atteint 340 hab. en 1886, et un minimum de 98 en 1982; elle a 100 hab. de plus qu’en 1999. Pommier-de-Beaurepaire (740 Pommiérois, 1 916 ha dont 447 de bois), 28 km ENE de Roussillon, 10 km NNE de Beaurepaire à 468 m, où commence la forêt de Bonnevaux, contient plusieurs étangs; +150 hab. depuis 1999 (un quart). Pisieu (530 Pisillards, 1 876 ha), 7 km au NNE de Beaurepaire espace ses maisons sur le versant nord de la Valloire; le finage s’étire du sud au nord, en partie sur la forêt de Bonnevaux; +60 hab. après 1999. Revel-Tourdan (1 080 Revellois, 1 162 ha), 7 km au nord du chef-lieu au bord du Dolon, associe depuis les années 1790 deux villages proches de la D538, Revel au nord sur le promontoire de confluence Dolon-Valloire avec la mairie, Tourdan dans la plaine de Valloire accueille un Intermarché (40 sal.). La commune a 220 hab. de plus qu’en 1999 (un quart). Saint-Barthélemy (980 Barthéloméens, 798 ha) est 2 km à l’est de Beaurepaire dans la même vallée de l’Oron; elle accueille une maison familiale rurale, un supermarché Lidl (20 sal.) et un Casino (40 sal.); elle a gagné 160 hab. (+21%) depuis 1999. (5 090 Beaurepairois, 1 846 ha) est un ancien chef-lieu de canton du département de l’Isère dans l’arrondissement de Vienne, 30 km au SE de Vienne dans la vallée de l’Oron, en Valloire. La commune est membre de la CC Entre Bièvre et Rhône. Elle est dotée de collèges public et privé, d’un hôpital local (20 lits médicaux, 120 en tout) et accueille la Maison de pays du territoire de Bièvre-Valloire. L’usine Trivium Aluminium ex-Boxal (210 sal., groupe Ardagh) fabrique des emballages légers en aluminium, notamment pour aérosols; elle a été cédée par Alcan à sa filiale Lawson Mardon (Exal) à la suite de l’intégration de Pechiney; Alcan conserve un autre atelier similaire, Copal, de 80 sal. Akvel ex-MGI Coutier (90 sal., plastiques) est un équipementier d’automobiles. La carrosserie Sarrazin fabrique des cabines d’engins (25 sal.); menuiserie Proponnet (25 sal.); coopérative de triage et séchage du tabac Agritabac (60 sal.); transports TRAS (50 sal.); supermarché Carrefour (25 sal.); aide à domicile MMA (30 sal.). Beaurepaire avait déjà 2 500 hab. en 1850; sa population augmente lentement depuis 1920. Elle a crû de 1 140 hab. après 1999 (+29%). (2 730 Chanasiens, 1 169 ha) est une commune du département de l’Isère dans la CC Entre Bièvre et Rhône, 7 km au sud de Roussillon, dans la vallée du Dolon au passage du couloir de circulation Lyon-Méditerranée. Elle a reçu un échangeur autoroutier et, au bord du Rhône, une partie de la bifurcation ferroviaire de Saint-Rambert-d’Albon. Sa position dans le système routier lui a permis d’attirer une série d’entreprises: base de la société autoroutière ASF (30 sal.), découpage Carmetal (40 sal.) et carrosserie associée Carmax (30 sal.), chaudronnerie PCVS (35 sal.), plastiques pour automobiles CIV (40 sal.), équipements de contrôle DM Regulation (40 sal.), petits véhicules Mega (30 sal.); Intermarché (45 sal.) et bricolage Dybel (35 sal.). Sa population n’a pourtant pas beaucoup évolué: 1 350 hab. vers 1850, 1 200 vers 1900, 1 300 vers 1950; elle croît lentement depuis les années 1950. Elle a augmenté de 760 hab. depuis 1999 mais la limite avec Salaise-sur-Sanne a été modifiée. (6 500 Péageois, 741 ha) est une commune du département de l’Isère dans la CC Entre Bièvre et Rhône, dans la plaine alluviale de la rive gauche du Rhône juste à l’ouest de Roussillon, avec lequel elle forme une seule agglomération au sein du couloir de circulation Lyon-Méditerranée; elle a un collège et deux lycées privés, un institut pour enfants infirmes mentaux (100 sal.). Elle est traversée par la N7 et dispose d’une gare sur la voie de Paris à Marseille; elle accueille quelques ateliers dont la mécanique Amep (25 sal.), un Intermarché (120 sal.). La commune, bordant le Rhône, est limitrophe à la fois des départements de la Loire et de l’Ardèche. L’aménagement hydraulique dit de Péage-de Roussillon a été mené par la Compagnie nationale du Rhône et comprend le barrage de Saint-Pierre-de-Bœuf (Loire), le canal de dérivation de 11 km de long et l’usine électrique de Sablons. La commune a eu 1 500 hab. au début du 20e s., 3 000 en 1936, 5 400 en 1962 et sa population a fluctué autour de 6 000 hab. de 1970 aux années 1990; elle augmente modérément depuis 1990 et n’a ajouté que 70 hab. après 1999. (2 010 Rochelois, 103 ha) est une commune du département de l’Isère, limitrophe de la Loire et du Rhône à la pointe NO de la CC Entre Bièvre et Rhône. La commune est sur la rive gauche d’un grand coude du Rhône face à Condrieu, à laquelle la relie un pont sur le fleuve. La voie ferrée de Lyon à la Méditerranée longe la bourgade, qui a des entreprises d’installations électriques (Cote, 240 sal.), de commandes électriques REMI (90 sal.), de menuiserie Guillon (30 sal.). La population communale a augmenté durant tout le 20e siècle (810 hab. en 1911), mais elle avait déjà dépassé 1 400 hab. dans les années 1830-1840. Elle a gagné 170 hab. après 1999. (8 580 Roussillonnais, 1 162 ha) est un ancien chef-lieu de canton du département de l’Isère dans l’arrondissement de Vienne, 20 km SSO de Vienne à 3 km du Rhône, sur l’axe de circulation de Lyon à la Méditerranée; membre de la CC Entre Bièvre et Rhône. L’hôtel de ville est dans un château du 16e s.; clinique Saint-Charles (85 sal., 88 lits), collège et lycée publics. La ville n’avait que 1 200 hab. vers 1900 et s’est surtout développée entre 1920 et 1965 (4 600 hab. en 1954, 7 300 en 1968). Elle a peu gagné ensuite, mais a augmenté de 1 000 hab. après 1999. Roussillon fait partie du pôle chimique rhodanien: la société Rhodia y a une usine chimique Rhodia Opérations (200 sal., agents antimousse), une fabrique de silicones (140 sal.) et un centre de services Osiris (280 sal.); médicaments Novacyl (80 sal.); additifs pour aliments du bétail Adisseo (100 sal., groupe belge Drakkar); isolations Tchoulfian (110 sal.). Le nouveau canton de Roussillon a 27 communes, 47 300 hab. (2 320 Sablonnais, 1 023 ha) est une commune du département de l’Isère dans la CC Entre Bièvre et Rhône, 10 km SSO de Roussillon face à Serrières (Ardèche), dans l’île entre le Rhône à l’ouest et sa dérivation à l’est, qui aboutit à la centrale électrique. Celle-ci, mise en service en 1977, a une puissance de 160 MW et produit annuellement 850 GWh. Le pont sur le Rhône est celui de la N82 vers Annonay. Au nord de la commune, a été délimitée la réserve naturelle de l’île de la Platière; charpentes Tommasini (30 sal.). La population communale a progressé lentement durant tout le 20e siècle (630 hab. en 1911) et a encore gagné 730 hab. après 1999 (+46%). (3 770 Saint-Clairois, 716 ha) est une commune du département de l’Isère dans la CC Entre Bièvre et Rhône, limitrophe de la Loire, 9 km NNO de Roussillon, sur l’axe de circulation Lyon-Méditerranée. C’était un centre d’industrie chimique, mais dont les deux anciennes usines de base, Rhône-Poulenc et Francolor, ont disparu. Adisseo (210 sal.) fabrique des additifs pour aliments du bétail (groupe belge Drakkar) et a une autre usine à Roussillon; Prayon (120 sal.), également belge, travaille les phosphates alimentaires et techniques. Saint-Clair abrite en outre la Chaudronnerie de Montplaisir (50 sal.), les constructions NBTP (30 sal.); installations électriques Beaux (35 sal.); supermarché E.Leclerc (160 sal.). La population communale, qui n’était que de 500 hab. en 1900, a constamment augmenté depuis, passant par 2 000 hab. en 1960 et 3 000 en 1982. Elle ne s’est accrue que de 120 hab. entre 1999 et 2004. (6 510 Samauritains, 1 282 ha) est une commune du département de l’Isère dans la CC Entre Bièvre et Rhône, dont elle est le siège, 7 km au NO de Roussillon. C’est le site de la centrale nucléaire dite de Saint-Alban, équipée de deux réacteurs de 1 335 MW chacun, mis en service en 1985 et 1986; EDF y emploie 780 personnes. La ville a un collège public et un institut pour handicapés moteurs cérébraux (120 sal.), et plusieurs ateliers: traitements de surface Altrad (Prezioso, 410 sal). et entreposage associé (200 sal.), métallerie SOCAM (45 sal.), tuyauterie PDVS (30 sal.); levage MLTM (40 sal.); ingénierie Onet (95 sal.); La Poste (80 sal.). La commune a eu 820 hab. en 1911, 1 400 en 1954; sa population n’a pas cessé de croître durant le 20e s. et a ajouté 840 hab. après 1999. (4 580 Salaisiens, 1 611 ha) est une commune du département de l’Isère dans la CC Entre Bièvre et Rhône, juste au sud de Roussillon, formant une seule agglomération avec celle-ci et Le Péage-de-Roussillon; elle a un collège public. La mention «sur Sanne» date de 1920. Salaise est un lieu d’industrie, juxtaposant la verrerie Eurofloat du groupe Saint-Gobain (220 sal., verre plat), la fabrique d’isolants thermiques Ouvaroff (120 sal.), le traitement de déchets industriels Tredi (190 sal.) du groupe Séché; médicaments Linde (allemand, 75 sal.); recyclage Purfer (85 sal.). La ville a un hypermarché Carrefour (230 sal.) ainsi qu’une coopérative fruitière (Chanabel, 65 sal.); négoce de matériaux Tridome (80 sal.), maçonnerie et travaux publics Ribière (85 sal.) et Eiffage (55 sal.), transports RCS (50 sal.); traitement de déchets Suez RV (60 sal.). La plupart de ces lieux d’emploi s’alignent le long du canal du Rhône dans la zone industrielle qui le flanque. La commune avait 900 hab. au début du 20e siècle et a crû fortement dans les années 1920 (2 300 hab. en 1931), puis a poursuivi une croissance lente mais régulière, passant les 3 000 hab. en 1975. Elle a augmenté de 850 hab. après 1999 (+23%). |