Communauté d’agglomération du Sicoval
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est une communauté d’agglomération de la Haute-Garonne au SE de Toulouse, acronyme pour Syndicat Intercommunal pour l’aménagement et le développement des COteaux et de la VALlée de l’Hers. Elle a été créée en 1975 par six communes dont Labège et Castanet, en partie par opposition politique à la ville de Toulouse, et s’est augmentée de 28 communes en 1990, devenant communauté de communes en 1992, puis d’agglomération en 2001. Elle a 36 communes, 75 400 hab., 24 800 ha. Labège (siège), Auzeville-Tolosane, Ayguesvives, Baziège, Castanet-Tolosan, Escalquens, Lacroix-Falgarde, Montgiscard, Péchabou, Pompertuzat, Ramonville-Saint-Agne ont plus de 2 000 hab.
Un premier ensemble de petites communes se tient sur les collines du Terrefort toulousain entre les plaines de l’Ariège et de l’Hers Mort.
Vieille-Toulouse (1 200 Vieille-Toulousains, 553 ha), 8 km au sud de Toulouse dont elle jouxte le territoire, disperse son habitat sur les collines qui dominent la Garonne; elle n’avait que 200 hab. en 1954 et 560 en 1975 et s’est encore accrue de 280 hab. (+30%) depuis 1999, son finage étant à peu près entièrement occupé par des pavillons; un golf au nord au Mont Belou. Il est probable que le nom vient d’une Villa Tolosa, nom qui évoque une hauteur (radical ancien toul, tollo), ce dont Toulouse même aurait donc indûment hérité en tant que ville de plaine, à son pied.
Pechbusque (880 Pechbusquois, 314 ha), 9 km au sud de Toulouse, est limitrophe de la commune de Toulouse, à l’est de Vieille-Toulouse, sur une ligne de collines du Terrefort au sud. Peu étendue, elle n’avait que 170 hab. en 1954, 240 en 1975 et a gagné 160 hab. depuis 1999.
Vigoulet-Auzil (930 Vigouletains, 346 ha), 11 km au sud de Toulouse, 4 km à l’ouest de Castanet, a un établissement du groupe Pierre Fabre (cosmétiques, 110 sal.), informatique Oktal (30 sal.). La commune n’avait encore que 150 hab. en 1975, elle aurait pourtant perdu 80 hab. depuis 1999. Vigoulet est à l’est, avec la mairie; Auzil à l’ouest. Elles ont fusionné en 1842.
Mervilla (270 Mervillageois, 276 ha), 13 km au sud de Toulouse, jouxte Castanet à l’ouest dans les collines, où se disperse son habitat. Elle a 90 hab. de plus qu’en 1999 (+50%).
Rebigue (510 Rebigois, 516 ha),15 km SSE de Toulouse, est aussi dans les collines du Terrefort entre Mervilla et Corronsac; +60 hab. depuis 1999.
Aureville (890 Aurevillois, 680 ha), 16 km au sud de Toulouse, également dans les collines, est traversée par la vallée du Cassignol, affluent direct de l’Ariège, qui conflue à Lacroix-Falgarde. Le village est perché sur son versant gauche. La population a augmenté de 340 hab. depuis 1999 (+62%).
Goyrans (880 Goyranais, 575 ha), 19 km au sud de Toulouse, aligne ses maisons sur un chemin de crête des collines du Terrefort, qui dominent directement l’Ariège; celle-ci limite le finage à l’ouest, dans un secteur de réserve protégée. La commune n’avait que 140 hab. en 1968; elle a ajouté 50 hab. depuis 1999.
Clermont-le-Fort (540 Clermontois, 1 004 ha), 22 km au sud de Toulouse sur une colline au-dessus de l’Ariège, occupe un site de petite citadelle, dont subsiste une porte fortifiée; transports Maurel (25 sal.). Le finage déborde l’Ariège sur la rive droite, jusqu’à la N20 (D820), avec un étang de gravière et quelques maisons, dans un secteur protégé. La commune est encore peu touchée par la périurbanisation (+70 hab. depuis 1999).
Corronsac (820 Corronsacois, 634 ha), 18 km SSE de Toulouse, 8 km NO de Montgiscard, au milieu des collines, a gagné 360 hab. (+78%) depuis 1999.
Espanès (330 Espanésiens, 353 ha), 22 km SSE de Toulouse au sud de Corronsac, n’a encore que peu de pavillons; château des 16e-17e s. avec parc. La population a augmenté de 90 hab. (+38%) depuis 1999.
Issus (600 Issusiens, 711 ha), 26 km SSE de Toulouse, 9 km SO de Montgiscard, a un village en hauteur sur les collines, mais son finage dépasse au sud la vallée de la Hise. Il contient à l’ouest du village le centre de réception de satellites du CNES (Centre national d’études spatiales) dit d’Issus-Aussaguel, à vastes paraboles; programmes de télévision Marlink (55 sal.). La commune a 300 hab. de plus qu’en 1999 (+100%).
Noueilles (410 Noueillois, 551 ha), 28 km SSE de Toulouse, dont le nom signifie la Nouvelle, se tient sur le versant droit de la Hise et étend en partie son finage dans la vallée, montant même sur le versant gauche dans le bois de Borde Blanche; château des Grèzes au nord; +170 hab. (+71%) depuis 1999.
Pouze (90 Pouzains, 382 ha), 27 km SSE de Toulouse, au nord de Noueilles et dont le nom a pour sens la colline, a un habitat tout dispersé.
Belbèze-de-Lauragais (120 Belbézois, 371 ha), 26 km SSE de Toulouse, dont le nom équivaut à Bellevue, est presque aussi dispersée; elle est voisine de Montgiscard au sud.
Montbrun-Lauragais (610 Montbrunois, 1 092 ha), 21 km de Toulouse, 6 km à l’ouest de Montgiscard, a gagné 110 hab. depuis 1999; châteaux Latomy et Lanes, ancien moulin à vent (17e s., inscrit); un lac collinaire.
L’autre partie du Sicoval se situe aux abords ou au nord de la vallée de l’Hers Mort, plus près des axes de circulation, avec des communes plus peuplées.
Donneville (1 090 Donnevillois, 267 ha), 19 km SE de Toulouse, 2 km au NO de Montgiscard, a une belle église gothique avec un clocher-mur à deux pignons, et une maison familiale rurale. L’habitat se tient principalement sur un coteau dominant la plaine de l’Hers. Le finage atteint au nord l’ancien cours de l’Hers, la plaine est traversée par le nouveau cours canalisé, le canal du Midi, la D813 et l’A61. Sa population a gagné 250 hab. depuis 1999 (+30%).
Deyme (1 140 Deymois, 705 ha), 17 km SE de Toulouse plus au nord et donc plus proche de Toulouse, se perche sur les collines dominant la plaine de l’Hers; elle n’avait que 160 hab. dans les années 1960, et en a gagné 300 depuis 1999 (+36%). Elle a reçu dans la plaine un atelier de fabrication de produits chimiques (AB7, 85 sal.) et une aire de service d’autoroute dite Toulouse-Sud, avec station-service Leclerc (25 sal.); un camping (100 places).
Montlaur (1 480 Montlauriens, 961 ha), 18 km SE de Toulouse, est de l’autre côté de la vallée de l’Hers au sud de Belbéraud. Le village, à Saint-Lautier au NO sur la D16, s’est entouré de lotissements; le château de Montlaur se perche, un peu au SE, sur le coteau droit de l’Hers. Au SE aux Pradals, musée agricole de la Ferme d’autrefois. La commune avait 360 hab. en 1962 et s’est encore accrue de 580 hab. (+64%) depuis 1999; ingénierie Ansile (20 sal.).
Belbéraud (1 570 Belberautins, 747 ha), 16 km SE de Toulouse dans les basses collines au nord de l’Hers, n’avait que 230 hab. en 1968; elle a ajouté 430 hab. depuis 1999 (+38%); vieille église classée du 12e s., refaite au 16e et au 19e, avec peintures murales; maison de retraite (Treize Vents, 45 sal.), supermarché U (65 sal.), fabrique de plastiques pour piscines Zodiac (80 sal.). Le finage se partage entre plaine de l’Hers et basses collines au NE, où est l’essentiel de l’habitat.
Lauzerville (1 620 Lauzervillois, 346 ha),14 km ESE de Toulouse, étale tout un ensemble de lotissements pavillonnaires sur le versant droit de la Marcaissonne, en soulane. Le finage atteint la Saune au nord. La croissance a été spectaculaire: la commune n’avait pas 100 hab. en 1954. Elle a encore augmenté de 730 hab. depuis 1999 (+82%).
Auzielle (1 490 Auziellois, 459 ha), 16 km ESE de Toulouse, au sud de Lauzerville, est tout aussi chargée de pavillons qu’elle, mais au pied du versant gauche de la Marcaissonne. L’ancien très petit village est sur la colline, la commune n’avait que 150 hab. dans les années 1950 et a dépassé le millier en 1982; mais elle aurait diminué de 90 hab. depuis 1999.
Odars (890 Odarsois, 665 ha), 17 km SE de Toulouse, se tient sur le relief qui domine la vallée de la Marcaissonne, et que traverse la D2 Toulouse-Revel. Elle n’avait que 180 hab. en 1962 et a encore gagné 300 hab. (+51%) depuis 1999.
Fourquevaux (770 Fourquevalois 1 003 ha), 20 km SE de Toulouse et 8 km NNE de Montgiscard au-dessus de la vallée de la Marcaissonne et près de la route de Toulouse à Revel, est en croissance modérée (+50 hab. depuis 1999); château du 17e s.; fabrique de matériel de dialyse Soludia (35 sal., groupe Medtronic).
Labastide-Beauvoir (1 300 Labastidois, 1 020 ha), 24 km SE de Toulouse sur la même route, accueille une maison de santé avec hospitalisation privée, notamment pour l’alcoolisme (Mailhol, 100 lits, 120 sal.). Le finage atteint au nord le cours de la Marcaissonne. La commune a gagné 630 hab. (+94%) depuis 1999.
Varennes (270 Varennais, 461 ha), à 27 km SE de Toulouse, est la commune la plus orientale du Sicoval; elle a 70 hab. de plus qu’en 1999 (+35%); le petit village au sommet d’une colline est un peu à l’écart de la D2 Toulouse-Revel.
(4 410 Auzevillois, 666 ha) est une commune de la Haute-Garonne à11 km SSE de Toulouse, membre du Sicoval, juste au nord de Castanet-Tolosan. Elle était passée de 450 hab. en 1962 à 1 600 en 1975; elle a gagné 1 770 hab. (+68%) depuis 1999. Le finage se partage entre la plaine de l’Hers Mort au NE et les collines du Terrefort au SO. L’A61 et le canal du Midi traversent le territoire au NE. Une grande partie de la plaine de l’Hers est occupée par l’ensemble dit Agrobiopôle, entre N113 et A61, qui associe l’École nationale supérieure agronomique, des laboratoires de l’INRA, un lycée agricole avec centres d’apprentissage et de formation d’adultes, et des champs d’expériences, aux portes même de Toulouse; ainsi que les locaux de la Safer (45 sal.), maison de la Forêt, institut de l’Élevage et maison de la Coopération agricole; école technique de photographie (ETPA, 50 sal.); supermarché Casino (20 sal.), maison de retraite le Parc d’Oly (50 sal.). Le reste de l’habitat s’est diffusé en pavillons sur les collines proches de la vallée de l’Hers, autour de l’ancien village; manoir du 17e s. La mention Tolosane date de 1944.
(2 690 Ayguesvivois, 1 311 ha) est une commune de la Haute-Garonne dans le Sicoval, 12 km SE de Labège et 4 km SE de Montgiscard, membre du Sicoval. L’habitat est au débouché de la vallée de l’Amadou dans celle de l’Hers Mort. Au nord, la D813 (ex-N113) croise sans échangeur l’A61, qui a une aire de repos près du canal du Midi. La commune a attiré les constructions aéronautiques Airstar (40 sal.) et une usine Zodiac Nautic de bateaux et radeaux (55 sal.) dans la zone d’activités Labal-Prioul entre D813 et canal. Elle a reçu un collège public. Elle n’avait pas 500 hab. en 1954 et a encore augmenté de 860 hab. (+47%) depuis 1999. Son finage s’étend assez loin vers le sud en pointe dans les collines du Terrefort le long du vallon de l’Amadou.
(3 400 Baziégeois, 1 972 ha) est une commune de la Haute-Garonne dans le Sicoval, 23 km SE de Toulouse, 4 km à l’est de Montgiscard. C’est une ancienne bastide de la vallée de l’Hers Mort, ornée d’un grand clocher-mur de brique; château de Lastour (16e s.) à douves en carré; maison de retraite Korian (90 sal.), base logistique des magasins Lidl (225 sal.), nettoyage Urban (20 sal.). Elle a reçu de nouvelles zones d’activité et dispose d’une gare sur la voie ferrée Toulouse.-Narbonne. Le finage occupe une partie de la plaine de l’Hers, traversée par la D813 et la voie ferrée, et s’étend au nord-est sur les collines du Terrefort. Elle avait moins de 1 200 hab. dans les années 1960, 1 600 en 1982. Elle a augmenté d’un peu plus de 1 280 hab. depuis 1999, soit de +58%.
(13 190 Castanéens, 822 ha) est un ancien chef-lieu de canton de la Haute-Garonne à 10 km au SE de Toulouse sur le côté gauche de la vallée de l’Hers Mort. La commune avait 1 500 hab. en 1962, 3 000 en 1975, et a connu une croissance spectaculaire avec le développement de l’ensemble technologique du sud-est de Toulouse, dont les communes voisines de Labège et Auzeville-Tolosane sont d’autres éléments forts; elle a augmenté de 2 790 hab. depuis 1999 (+27%). Le finage est traversé au NE par le Canal du Midi et l’A61, qui encadrent au SE la zone industrielle de Vic les Graves. À l’ouest, il monte sur les collines, couvertes de pavillons, et envoie une queue vers le sud qui contourne Péchabou.
Castanet (Tolosan depuis 1921) a un collège public, une grande zone d’activités tertiaires autour du château de Rabaudy (16e s., avec jardins) au sud de la commune. Un ancien hôpital du 13e s. a été réaménagé en maison des jeunes et de la culture. Castanet accueille une partie du centre de recherche de l’INRA d’Auzeville. Une usine d’embouteillage de Coca-Cola s’est installée par achat d’une entreprise locale de boissons (110 sal.); fabriques d’instruments pour satellites Soterem (50 sal.), de machines Polymem (35 sal.), de matériels électroniques Xplorer (30 sal.) et d’instruments de pesage Midi-Pyrénées (20 sal.); imprimerie Delort (30 sal.). Dans les services et le bâtiment, secrétariat Eurecia (25 sal.); travaux publics EJL (Jean Lefebvre, 75 sal.), peinture Noguera (25 sal.), lignes électriques C2F (25 sal.); services domestiques Mieux Vivre chez vous (30 sal.), remise en forme Firma (Movida, 20 sal.); espaces verts Idverde (95 sal.); deux Intermarché (95 et 65 sal.); transports Chabas (30 sal.).
Castanet est membre de la communauté d’agglomération Sicoval. Le nouveau canton de Castanet-Tolosan a 10 communes, 49 400 hab.
(6 710 Escalquinois, 842 ha) est une commune de la Haute-Garonne dans la communauté Sicoval, 7 km au NNO de Montgiscard sur les basses collines à l’est de la vallée de l’Hers, et dans le périurbain toulousain juste au SE de l’Innopole de Labège. Commune surtout résidentielle, elle n’avait pas 500 hab. en 1962, à peine plus de 2 000 en 1975; elle a gagné 1 160 hab. depuis 1999. Des zones d’activités flanquent la voie ferrée dans la plaine de l’Hers. Quelques ateliers: menuiserie métallique et fermetures FTFM (la Toulousaine, 260 sal.), mécanique Tofer (65 sal.), construction de voies ferrées Colas-Rail (40 sal.), plastiques (Occitanie, 30 sal.), imprimerie de presse CIMP (30 sal.), laboratoire Innoset (20 sal.); ingénierie Nano-Technologies (25 sal.); négoces de produits chimiques (Gaches, 70 sal.) et de jeux (DG Diffusion, 65 sal.); aide à domicile Promaid (55 sal.); autocars des Transports en Lauragais (25 sal.); magasin Decathlon (75 sal.).
Le nouveau canton d’Escalquens a 35 communes, 38 700 hab.
(4 270 Labégeois, 765 ha) est une commune de la Haute-Garonne à 13 km au SE de Toulouse, face à Castanet dans la plaine de l’Hers Mort. Le finage est presque entièrement dans la plaine, sauf au SE où il monte un peu sur les collines couvertes de pavillons et divisées par la petite vallée du Tricou, qui rejoint l’Hers au sud du finage. Si la croissance de la population est relativement modérée (600 hab. en 1962, 1 500 en 1975), c’est que Labège a consacré une part substantielle de son territoire aux infrastructures de transport (A61 avec gare de péage, D916, voie ferrée) et surtout au grand parc d’activités de Labège-Innopôle qui occupe la moitié NO du territoire. Labège a ainsi une quarantaine d’entreprises de plus de 50 emplois qui en font une pièce maîtresse de l’agglomération toulousaine dans les technologies avancées. La population s’est tout de même accrue de 950 hab. depuis 1999 (+29%). Labège est aussi le siège de la communauté d’agglomération Sicoval, qui rassemble 36 communes du sud-est de Toulouse (75 400 hab.).
Dans le secteur de la santé se signalent les instituts de recherche du groupe Pierre Fabre (190 sal.), les fabriques d’implants oculaires Chauvin Opsia (Bausch et Lomb, 85 sal.), de matériel chirurgical Cutting Edge (60 sal.), et d’appareils d’hémodialyse (Sagal Hemodia, 75 et 55 sal.); maison de santé Bastide Medicis (60 sal.). Dans l’aéronautique, équipements électroniques Latélec (310 sal., groupe Latécoère) et Delair (80 sal.); constructions Sopreco (55 sal.), installations électriques Chubb (105 sal.), Fournié Grospaud (75 sal.), génie thermique Idex (65 sal.) et Equilab (40 sal.); production de chaleur Cofeley (Engie, 220 sal.).
L’informatique est bien représentée par Thales (650 sal.), Berger-Levrault (400 sal.), Cegedim Activ (230 et 50 sal.), Econocom Osiatis (230 sal.), Lyra (85 sal.), Pros (80 sal.), APX (75 sal.), Missler (70 sal.), Eurogiciel (65 sal.), Labsoft (55 sal.), Artal (65 sal.), Neo Soft (65 sal.), Entreprise Services (55 sal.), Sierra Wireless (50 sal.), Edisys (40 sal.). Un Village du Numérique est aménagé par le Sicoval sur l’ancien site des laboratoires Sanofi, ouvert en 1984 et fermé en 2010.
S’y ajoutent les ingénieries et conseil Alten (1 400 sal.), MI-GSO (260 sal.), Anotech (190 sal.), Arcadis (80 sal.), Sigfox (65 sal.), Sopelec (60 sal.), Noveltis (45 sal.); comptabilités KPMG (90 sal.) et Mazars (50 sa.), banques Edel (120 sal.), Société Générale (50 sal.); crédit-bail Tofinso (110 sal.).
Dans les commerces, hypermarché Carrefour (450 sal.), magasin Fnac (65 sal.), Intersport (50 sal.); négoces de matériel de bureau Ricoh (85 sal.), Hewlett Packard (85 sal.), Canon (40 sal.), de matériel électrique Somfy (55 sal.) et Ingeteam (50 sal.). Dans les services, gardiennage Main Securité (310 sal.), Securitas (270 sal.), Events (65 sal.); nettoyages PLD (240 sal.), JCB (170 sal.), SPH (50 sal.), Praxis (65 sal.); traitement des eaux Saur (65 sal.); La Poste (50 sal.), multiplexe de cinéma Gaumont (30 sal.), formation d’adultes ESGCV (70 sal.), ATC (50 sal.).
(2 100 Cruci-Falgardiens, 609 ha) est une commune de la Haute-Garonne dans l’agglomération Sicoval, 12 km au sud de Toulouse, sur la rive droite de l’Ariège au pied des collines du Terrefort. Face à Pinsaguel, elle fut un lieu de promenades dominicales des Toulousains et restait encore un village de 600 hab. en 1975, doté d’un château renaissance. Elle est depuis en croissance sensible et a gagné 590 hab. (+39%) depuis 1999. Son finage est partagé entre la plaine de rive droite de l’Ariège, en partie protégée comme Réserve naturelle de la confluence Garonne-Ariège, un peu en amont de celle-ci, et les collines du Terrefort, où s’éparpillent des lotissements, notamment à Caulet tout à l’est.
(2 400 Montgiscardais, 1 316 ha) est un ancien chef-lieu de canton de la Haute-Garonne, 20 km au SE de Toulouse, dans le Sicoval. Le bourg, juché dans les collines au-dessus de la plaine de l’Hers Mort, est un village qui fut fortifié comme centre d’une châtellenie et qui arbore un puissant clocher-mur à 6 arcades; grand château de brique de Roqueville (surtout du 18e s.); magasins Intermarché (45 sal.) et Carrefour (25 sal.); La Poste (35 sal.). Le finage traverse la plaine de l’Hers et atteint les premières collines de rive droite. Un échangeur relie l’A62, qui passe entre l’Hers et le Canal du Midi, à la D813 au sud, au pied du relief, et à la D16 sur le flanc nord de la plaine. La croissance démographique est sensible depuis 1970; la commune n’avait que 630 hab. en 1936, 870 en 1968; elle s’est accrue de 410 hab. après 1999 (+21%).
(2 210 Péchaboliens, 357 ha) est une commune de la Haute-Garonne dans le Sicoval, juste au sud de Castanet. Elle n’avait que 160 hab. en 1954; elle a passé les 1 000 en 1990 et a encore gagné 900 hab. depuis 1999 (+69%). Le finage atteint au NE l’A61 au-delà du Canal du Midi. L’habitat pavillonnaire s’est diffusé dans la plaine de l’Hers et sur les collines de son versant gauche, de part et d’autre de la D813 qui longe le coteau.
(2 290 Pompertuziens, 544 ha) est une commune de la Haute-Garonne dans le Sicoval, 5 km au NO de Montgiscard, sur le coteau gauche de la vallée de l’Hers Mort. Le finage atteint l’Hers; il est traversé dans la plaine par le Canal du Midi et l’A61. Toutefois, l’habitat est surtout sur les collines du Terrefort au sud-ouest. La commune n’avait que 270 hab. dans les années 1960; elle est passée à 700 en 1982, 1 220 en 1999 et s’est accrue de 1 070 habitants depuis (+88%). Dans la plaine, au-delà du canal du Midi, station de recherche agronomique de l’INRA à Langlade; plomberie Maxplom (35 sal.).
(14 520 Ramonvillois, 646 ha) est une commune de la Haute-Garonne, en bordure SE de la commune de Toulouse dans le couloir en direction de la Méditerranée, mais membre du Sicoval. Le nom de Ramonville viendrait d’un château comtal de Raymond IV; Saint-Agne est un lieu-dit des collines au nord. Le finage se partage entre la plaine de l’Hers Mort à l’est, traversée par le Canal du Midi qui y offre le Port Sud de Toulouse, et les collines du Terrefort toulousain à l’ouest. C’est une grosse commune résidentielle proche du pôle d’activités technologiques et médicales du sud-est de Toulouse, notamment de l’université Paul-Sabatier de Rangueil; un collège public; institut médico-éducatif, hôpital privé.
La commune concentre des activités de technologie avancée: filiale du Centre national d’études spatiales pour la collecte de données de satellites CLS (290 sal.), télécommunications spatiales Novacom (40 sal.), ingénierie Hirex (45 sal.), informatique Magellium (110 sal.); services aéroportuaires GIMAS (120 sal.), services aux entreprises C2I (75 sal.), conseil de gestion RGIS (60 sal.) et 3S (50 sal.); assurances Cunningham (30 sal.).
En outre, installations électriques Socorem (40 sal.), maçonnerie Giraud (70 sal.), Coop’Action (65 sal.); vente sur catalogue Chronodrive (35 sal.); formation d’adultes La Maison de l’Initiative (40 sal.), aides à domicile Adhaf (65 sal.), Vitame (25 sal.), O Services (35 sal.); nettoyage Isor (680 sal.).
La commune accueille aussi au Parc Saint-Agne un ensemble avec collège, lycée général et lycée professionnel spécialement consacré aux enfants handicapés; parc et château du domaine Latécoère, base de loisirs de la ferme de Cinquante dans la plaine au sud-est; un Intermarché (100 sal.). Ramonville n’avait pas 600 hab. avant 1940 puis est passée à 1 200 en 1962, 8 700 en 1975; elle a ensuite ralenti sa croissance mais s’est accrue de 2 490 hab. depuis 1999.