Communauté de communes Anjou Bleu Communauté' est une intercommunalité au nord-ouest du Maine-et-Loire, dont le siège est à Segré-en-Anjou-Bleu; 11 communes, 34 800 hab., 64 800 ha. Le nom est censé évoquer les anciennes ardoisières. Segré-en-Anjou Bleu. Outre Segré, Ombrée-d’Anjou et Candé ont plus de 2 000 hab. Deux communes restent isolées entre les communes nouvelles d’Ombrée et de Segré. Bouillé-Ménard (760 Bouilléens, 1 579 ha) est à 12 km au NO de Segré, sur l’Araize; hameau de la Chapelle aux Pies au SO, château de Bouillé (16e-18e s.) au SE du village, manoir de la Renazaie (15e et 17e) au nord, où la commune atteint la limite de la Sarthe, sur la forte crête ONO-ESE qui sépare les vallées de l’Araize et de la Queille; +100 hab. depuis 1999. Bourg-l’Évêque (260 Épiscopaliens, 529 ha dont 184 de bois) est un petit village-rue juste à l’ouest de Bouillé-Ménard, 15 km à l’est de Pouancé. Au sud, le finage a une part de la forêt d’Ombrée, sur le talus du plateau des grès armoricains qui hausse le relief de 50 m au-dessus de la rive gauche de l’Araize. Carbay (260 Carbaisiens, 763 ha) est à 4 km OSO de Pouancé en limite de département. Armaillé (320 Armailléens, 1 678 ha), 5 km SE de Pouancé, sur la rive droite de la Verzée, a des maisons anciennes et des lavoirs, un manoir du 17e s., des étangs le long de la Verzée. Au nord passe la D775 sur la crête, avec un accès à la limite d’Ombrée (Vergonne). Elle cache au SO, à l’orée de la forêt de Juigné et à la limite de la Loire-Atlantique, l’ancien prieuré de la Primaudière (13e s.). C’est d’ailleurs le seul point par où la commune nouvelle d’Ombrée, à laquelle Armaillé n’a pas souhaité adhérer, cesse d’entourer Armaillé. Aux environs, dans le Bois Geslin, se découvre le menhir de Pierre Frite. Le dépeuplement a été accusé: Armaillé avait avoisiné 800 hab. en 1851. Challain-la-Potherie (830 Challainois, 4 787 ha) est 9 km au nord de Candé; un grand château de style troubadour de 1854, commandé par la famille La Rochefoucauld, qui se flatte du nom de «Petit Chambord», acquis un temps par la secte Moon, a été transformé en hôtellerie de luxe; jardin botanique, base de loisirs avec étang et camping au village; moulin à vent du Rat au SO, rénové et en activité; château de la Cour des Aunayes (16e s.) à l’ouest; sources de l’Argos et bois de la Source à l’ouest. Loiré (890 Loiréens, 3 373 ha), à 7 km NNE de Candé, sur l’Argos, a gagné 110 hab. depuis 1999. Au SO, château de Vallière (18e s., à douves); au nord-est, le domaine de la Roche d’Iré, orné d’un château de la fin du 19e s., a été organisé en exploitation agricole modèle à partir de 1850, avec un système de drainage et 14 métairies; 200 ha de vergers. Chazé-sur-Argos (1 090 Chazéens, 3 082 ha), 15 km NE de Candé, s’orne au nord du luxueux château de Raguin, du 17e s.; charpentes Trillot (40 sal.), couvertures Lesurtel (30 sal.). La commune a gagné 240 hab. depuis 1999. L’Argos traverse le finage et coule vers le NE en direction de Segré où il rejoint l’Oudon. Angrie (960 Angriens, 4 097 ha), dont le bourg est à 4 km ENE de Candé, est longée par l’Erdre; on y fait traditionnellement une grande fête des moissons; château du 19e s., moulin du 19e s. rénové, ancien four à chaux le Four Saint-Pierre à l’angle NE. La limite sud du finage suit l’Erdre; installations électriques Baudouin (100 sal.), maçonnerie Chevallier (30 sal.), chocolaterie Guisabel (30 sal.); elle a 270 hab. de plus qu’en 1999 (+40%). En 2018, la commune de Freigné à été transférée en Loire-Atlantique et dans la nouvelle commune de Vallons-de-l’Erdre. (2 910 Candéens, 491 ha) est un ancien chef-lieu de canton du Maine-et-Loire dans l’arrondissement de Segré, 20 km au SO de Segré et en Anjou Bleu, au bord de l’Erdre à un triple confluent, d’où le nom. C’est un bourg bien établi, au centre d’une étoile de routes mais juste à la limite du département et dans un petit finage; il a des maisons anciennes, dont un grenier à sel, un hôpital du 19e s.; la mairie occupe un manoir du 19e s. au milieu d’un parc paysager; château de Beaulieu (l7e s.) et parc au sud, château (15e, 17e, 19e) et moulin cavier (18e s.) de la Saulaie à l’ouest, châteaux de la Rivière et de Villegontier (17e-18e) à l’est. Sa population a relativement peu fluctué: 2 200 hab. en 1891, 1 700 en 1931, 2 700 à son maximum de 1975-1982, une légère baisse suivie d’un gain de 270 hab. après 1999. Candé accueille un collège privé et un hôpital local (8 lits), une fabrique de sièges Leleu (80 sal.) et l’imprimerie Lefrancq (75 sal.); mécanique Manitou ex-CIMM (25 sal.) et Ch. Croix (machines pour agro-alimentaire, 35 sal.); négoce de quincaillerie industrielle (Ciba-Ouary, 30 sal.); magasin Super-U (45 sal.), La Poste (20 sal.). (9 260 hab., 20 216 ha dont 1 917 de bois) est une commune nouvelle au nord-ouest du Maine-et-Loire, créée en 2017 par la la fusion des communes La Chapelle-Hullin, Chazé-Henry, Combrée, Grugé-l’Hôpital, Noëllet, Pouancé, La Prévière, Saint-Michel-et-Chanveaux, Le Tremblay et Vergonnes. Elle est membre de la communauté Anjou Bleu. Marqué dans son paysage par les reliefs parallèles du Massif Armoricain, le territoire est drainé vers l’est par l’Araize et la Verzée en direction de l’Oudon, sauf à sa pointe SO, où sont les sources du Don. Pouancé (3 400 Pouancéens, 4 897 ha dont 222 de bois) est un ancien chef-lieu de canton dans l’arrondissement de Segré, 24 km ONO de Segré. Le bourg domine le cours de la Verzée et s’environne de deux étangs de barrage, Tressé en aval et Saint-Aubin en amont, et à l’ouest d’un aérodrome (code LPTQ, piste en herbe de 720 m, aéroclub) qu’elle partage avec Châteaubriant, laquelle est à 16 km à l’ouest. Pouancé fut une forteresse des marches entre Bretagne, Maine et Anjou, et le centre d’un pays de forges. Le bourg conserve de belles maisons anciennes et les ruines imposantes de l’ancien château fort des 13e-14e s., site inscrit et lieu d’un chantier archéologique, plus une porte du 13e s.; elle est«station verte de vacances». Le finage est limitrophe de trois départements, Mayenne, Ille-et-Vilaine et Loire-Atlantique et atteint au NO l’orée de la forêt d’Araize; l’Araize traverse le finage au nord. Tout près du village mayennais de Senonnes, il contient le grand hippodrome des Senonettes; château de Dangé (15e et 19e s.) au NE. Le manoir de Tressé, de 1848, abrite un centre médical. La ville a un collège public, une maison familiale rurale, un hôpital local (17 lits). La population communale est assez stable: 2 500 hab. vers 1900, un creux à 2 800 dans les années 1920-1935, une lente remontée ensuite. Une ancienne usine de plastiques (Manducher puis Peguform) employa jusqu’à 800 personnes mais a disparu après une série de vicissitudes. Reste une fabrique de films plastiques Trioplast (110 sal.). Les autres établissements sont l’ingénierie Siera (35 sal.), une maçonnerie (Haut-Anjou, 70 sal.), un supermarché U (50 sal.). La D775 à quatre voies contourne l’agglomération par l’est et propose une aire de repos au NO. La Prévière (250 Éperviers, 724 ha), 3 km au sud de Pouancé, inclut l’étang du Fourneau, qui barre un petit affluent de la Verzée, et son finage mord un peu sur la forêt de Juigné au sud (bois de Cornillé), où est la pépinière remarquable du domaine des Rochettes. Le finage est limitrophe de la Loire-Atlantique; 50 hab. de moins qu’en 1999. Chazé-Henry (810 Chazéens, 1 987 ha) est à 6 km ENE de Pouancé, un peu au sud de la N171 qui mène à Craon; le finage est limitrophe de la Mayenne. Au bord de la route sont deux noms significatifs des anciens relais, à mi-chemin de Châteaubriant et de Craon: Virebouton et Tourne-Bride. La commune réunit une entreprise de bâtiment et bétons Jousselin (160 sal.), une carrière Bretagne-Loire Granulats (30 sal.), des ateliers de plastiques (INPA, 45 sal.) et de menuiserie (Dupré, 30 sal.). La population de Chazé-Henry a diminué de 130 habitants après 1999. La Chapelle-Hullin (140 Castel Hullinois, 979 ha) est 8 km à l’est de Pouancé, également limitrophe de la Mayenne et traversée par l’Araize. Grugé-l’Hôpital (280 Grugéens, 1 571 ha dont 408 de bois) est 11 km à l’est de Pouancé. La commune est limitrophe de la Mayenne au nord, et contient une partie de la forêt d’Ombrée au sud; l’Araize traverse le finage, qui s’élève au nord sur le plateau de grès armoricains; château de Champiré (15e au 18e s.) au NE. Combrée (2 870 Combréens, 2 416 ha dont 370 de bois) est à 13 km ESE de Pouancé. La commune, dont le territoire est limité au sud par la vallée de la Verzée, inclut au nord une bonne part de la forêt d’Ombrée, bordée au sud par la D775. La commune est un centre de services local; collège privé, lycée général et professionnel public dans l’ancien séminaire, base de loisirs et golf au sud du bourg; fabriques de plastiques pour bâtiment (Carea, 85 sal.) et maroquinerie de la firme du luxe Longchamp (120 sal.); transports de voyageurs par cars CAA (50 sal.), La Poste (25 sal.). Au nord, près de l’ancienne gare à l’orée des bois, s’est développée une active firme d’électronique, Eolane, qui emploie 370 personnes sur place et 3 200 en tout. Au nord-est, le gros hameau de Bel-Air a grandi sur le tracé de la D775, qui à présent le contourne par le sud; c’est le site de l’usine Longchamp; d’anciennes ardoisières se voient juste au nord, à l’extrémité orientale de la forêt de l’Ombrée. Le château du Plessis au Maire (16e s., à douves) est à l’est du bourg. Combrée est passée de 1 500 hab. en 1840 à 2 000 en 1900, puis a culminé à trois reprises à 3 500 hab. en 1906, 1931 et 1954, avant de se dépeupler; puis elle a repris 280 hab. après 1999. Vergonnes (310 Vergonnais, 1 038 ha), 7 km à l’est de Pouancé sur la route de Segré, a une piste hippique et mord au NE sur la forêt d’Ombrée; +40 hab. depuis 1999. Le Tremblay (370 Tremblaysiens, 2 297 ha) est à 17 km ESE de Pouancé au sud de Combrée; le village est au NE de son finage, dont la Verzée fixe la limite nord. Noëllet (430 Noëlletains, 1 540 ha) est 10 km au SE de Pouancé; le finage est traversé par la Verzée; à la pointe nord, échangeur de la D775; château du Bois Bernier au sud (16e et 19e s.). Saint-Michel-et-Chanveaux (410 Michelois, 2 767 ha dont 493 de bois), 9 km SSE de Pouancé, est issue d’une réunion de communes des années 1790 et son finage est limitrophe de la Loire-Atlantique; ancien château des 15e-16e s., étang de Maubusson au SO sur le Don, petits étangs en bordure de la forêt de Juigné au NO. Chanveaux est un hameau au SO, à l’orée de sa forêt; bois de la Minière au sud-est. (18 450 hab., 23 200 ha dont 987 de bois) est une commune nouvelle du Maine-et-Loire, formée en 2017 et regroupant les communes de Segré, Aviré, Le Bourg-d’Iré, La Chapelle-sur-Oudon, Châtelais, La Ferrière-de-Flée, L’Hôtellerie-de-Flée, Louvaines, Marans, Montguillon, Noyant-la-Gravoyère, Nyoiseau, Sainte-Gemmes-d’Andigné, Saint-Martin-du-Bois et Saint-Sauveur-de-Flée. Elle est membre de l’Anjou Bleu. Segré (7 250 Segréens, 1 588 ha), sous-préfecture du Maine-et-Loire, 38 km au NO d’Angers au bord de l’Oudon qui y reçoit à droite la Verzée. Le centre est juste au confluent. L’éperon qui portait le château n’a plus de trace de la forteresse; mais la ville conserve un vieux pont sur la rivière, quelques maisons anciennes. L’habitat s’est diffusé de tous côtés sur le plateau encaissant, débordant largement au sud sur le territoire de Sainte-Gemmes. La D775 contourne la ville par le nord; une grande zone d’activité (Étriché) a pris place au-delà, au NE. Segré a un centre hospitalier de 60 lits, un collège, un lycée général et un lycée professionnel publics, et autant pour le privé; maison de retraite (30 sal.). Trois gros établissements marquent l’emploi: joints de caoutchouc pour l’industrie automobile Paulstra (groupe Hutchinson appartenant à Total, 780 emplois), plats cuisinés et «produits traiteur» de la Toque angevine (groupe LDC de Sablé, 610 sal.), maroquinerie de luxe de la firme Longchamp (350 sal., famille Cassegrain). Segré leur ajoute les produits vétérinaires Schering Plough (95 sal.) et Qalian (ex-Franvet, 100 sal.); imprimerie et fournitures de bureau Manuclass (45 sal.), mécanique Simeto (35 sal.) et SMP (20 sal.), outillages AMU (20 sal.), lampes électriques Aric (25 sal.), senteurs et bougies Cecilia (30 sal.), une autre maroquinerie (Sophan, 30 sal.), menuiserie Sigma (25 sal.). Elle accueille également l’entreprise de génie climatique et électrique SPIE (70 sal.) et les travaux publics Pigeon (25 sal.), l’ingénierie Clinky (20 sal.), un supermarché U (65 sal.), un négoce de pièces détachées d’automobiles (Leroy, 30 sal.); nettoyage urbain Sita (Suez RV, 60 sal.); aide à domicile Hisia (25 sal.); La Poste (90 sal.). Segré n’avait pas 1 000 habitants au début du 19e siècle mais était montée à 3 900 en 1900 et a continué de croître jusqu’en 1982 surtout; elle a 100 hab. de plus qu’en 1999. Sainte-Gemmes-d’Andigné (1 520 Gemmois, 2 534 ha) complète l’agglomération de Segré, juste au SO de la ville au bord de la Verzée, notamment par un centre commercial Leclerc (130 sal.) et un Intermarché (35 sal.); autocars de l’Anjou (CAA, 30 sal.), métallerie Inoxouest (20 sal.); maison de retraite; mais sa population n’augmente que lentement: 1 000 hab. en 1954, +170 depuis 1999. Le finage conserve plusieurs menhirs, et des châteaux: la Chetardière (18e-19e s.), la Blanchaie (18e s.), Dieusie (19e s. sur base du 15e, avec parc, site classé). Un nouveau canton porte le nom de Segré (11 communes, 34 700 hab.). Le Bourg-d’Iré (920 Bourg-d’Iréens, 2 303 ha), 4 km au sud de Noyant sur la Verzée, a un clocher roman, châteaux et parcs (19e s.) de la Douve à l’ouest, de Bellevue au SE. La commune a 170 hab. de plus qu’en 1999. Noyant-la-Gravoyère (1 920 Noyantais, 1 191 ha), 7 km de Segré sur la route de Châteaubriant (D775 à quatre voies avec contournement par le nord) domine la petite vallée du Misengrain où l’on exploita activement l’ardoise et où deux longs étangs de barrage sont propices aux loisirs (parc Saint-Blaise). Au nord de la rivière où s’ouvrent les anciennes ardoisières de Misengrain, l’ancien complexe de la Mine Bleue a été aménagé en musée ardoisier avec spectacles son et lumière. Un centre d’enseignement est hébergé au château de la Roche (18e-19e s.) à la bordure ouest du village. À l’est au sud des lacs, parc de loisirs avec camping, et la Cité du Bois, qui logea les ouvriers d’une mine de fer. L’entreprise Occamat-Occamiante de travaux publics et traitement de l’amiante et désamiantage (180 sal.) est installée dans les ardoisières; traitement d’ordures 2B Recyclage (20 sal.), composants électroniques Emka (35 sal.). À l’ouest, la commune touche à la grande cité Bel-Air de Combrée; au sud-ouest, château de la Ménardière (19e). La commune était passée de 500 hab. en 1851 à près de 2 000 (sdc) entre 1962 et 1982, mais a perdu des habitants ensuite, avant d’en regagner 90 depuis 1999. Nyoiseau (1 460 Nyoisiens, 1 555 ha) domine un beau méandre de l’Oudon à 6 km au NO de Segré, au pied d’un promontoire de confluence contourné au sud par le Misengrain; ancienne abbaye bénédictine de femmes au village, incendiée par les Chouans en 1792, en cours de restauration partielle; mécanique de précision Tolectro (35 sal.), collège et lycée privés au confluent à la Tremblaie. Le sud du finage est traversé par la voie rapide D775; on y voit sur une butte la Cité du Bois Deux (la Cité I est à Noyant), ancien habitat ouvrier d’une mine de fer (deux puits sur le site) et au bord du Misengrain la Cité de Bèges. Sur la gauche de l’Oudon au nord-est, un camping; tout au NE, une extension du finage contient le hameau de Charmont. L’Oudon traverse une série de barres de relief du socle armoricain de Châtealais à Segré, par un cours sinueux et encaissé multipliant les sites pittoresques. Les cinq anciennes communes suivantes sont limitrophes de la Mayenne. Châtelais (680 Châtelaisiens, 2 368 ha), qui a gagné 80 hab. dans le même temps, domine le cours de l’Oudon à 12 km NO de Segré, au confluent de la Queille, sur un promontoire où l’on a trouvé des restes gallo-romains. Il reste une porte de la ville, dite Porte Guerchoise; musée archéologique. Au nord à la limite départementale, hameau et enceinte du Rouge Écu au bord de l’Oudon, site classé de 8 ha et, dominant l’Oudon juste en aval, oppidum et château de Saint-Julien. Au sud au-delà d’un étranglement du finage, s’élargit une quasi-enclave contournée à l’est par l’Oudon, qui y reçoit à droite l’Araize; site et domaine de la Couère, avec parc d’attraction et animalier de la Petite Couère, un musée du tracteur et une place de village 1900 reconstituée. L’Hôtellerie-de-Flée (520 Hostello-Flavéens, 1 477 ha dont 131 de bois) est à 8 km NNO de Segré sur la D863 des deux côtés du ruisseau de la Richardais. Le finage contient la moitié du Bois de la Ferrière et de son champ de tir au sud-est, le château de la Faucille (17e) sur la rive droite de l’Oudon au SO (site classé sur 33 ha). La Ferrière-de-Flée (360 Ferfléens, 1 312 ha), 6 km au nord de Segré, a 90 hab. de plus qu’en 1999 (+33%). Le finage additionne un bois avec terrain militaire, un château médiéval remanié au 19e s., un musée Lilliput de poupées et meubles assortis, une tombe mégalithique dite du château de Ferrière dans le bois à l’ouest et le dolmen de la Putifaie à la limite du département au nord; recyclage des Palettes Segréennes (25 sal.). Saint-Sauveur-de-Flée (330 Flaviens, 1 287 ha) est à 11 km NNE de Segré sur la D923; châteaux du Houssay (19e) au sud, dominant la Sauzée, du Tilleul (17e-18e) au SO; +70 hab. depuis 1999. Montguillon (250 Montguillonnais, 1 191 ha), 12 km au NE de Segré, s’orne au NO du château de Bouillé-Théval (15e et 18e s.), doté d’une belle tour d’escalier et de jardins médiévaux, et qui abrite un musée du costume; un peu à l’est, cromlech des Forges. La commune a 80 hab. de plus qu’en 1999. Le finage est limitrophe de la Mayenne. Saint-Martin-du-Bois (1 010 Boscoviens, 2 173 ha), 12 km ENE de Segré, abrite le château du Percher, du début du 16e s., à l’extrémité orientale de la commune près de la route de Laval à Angers (N162); plus ceux de Dannes (19e) au SO et de la Lizière (18e) au NE; elle a gagné 310 hab. (+44%) depuis 1999. Aviré (510 hab., 1 436 ha) est 7 km ENE de Segré sur la Sazée; châteaux de la Montchevaleraie (18e s., avec parc) à l’ouest, du Rossignol au SE, menhir de la Pierre Debout à la limite nord; 80 hab. de plus qu’en 1999. Louvaines (520 Louvenois, 1 507 ha), 6 km à l’est de Segré, a gagné 70 hab. dans le même temps; elle domine le vallon de la Sazée, affluent de l’Oudon, et offre des maisons anciennes (15e-18e s.) et les restes d’un prieuré du 13e s., au SE de la commune au bord de l’Oudon; château du Hardas (16e) à l’ouest du village. La Chapelle-sur-Oudon (600 Chapellois, 1 273 ha) est à l’est de Segré à 4 km, sur le coteau droit de l’Oudon, qui limite le finage au nord, et aux abords de la route d’Angers (D775). Au NO, le château de la Lorie (17e s.) et son hippodrome sont aux portes de Segré; la commune a 110 hab. de plus qu’en 1999. Marans (600 Marantais, 959 ha) est 5 km au sud de Segré; maison de retraite; l’Argos borde le finage à l’ouest; la commune a gagné 150 hab. depuis 1999. Segré-en-Anjou-Bleu est le siège de la communauté de communes Anjou Bleu (11 communes, 34 800 hab., 64 800 ha). L’unité urbaine comprend Sainte-Gemmes, l’aire urbaine est estimée par l’Insee égale à la commune nouvelle. L’arrondissement a 28 communes, 70 800 hab., 136 000 ha. |