Communauté de communes du Pays de l’Arbresle (CCPA)' communauté de communes du Rhône, associant 17 communes et 38 400 hab. sur18 390 ha. L’Arbresle (siège), Bessenay, Bully, Dommartin, Fleurieux-sur-l’Arbresle, Lentilly, Sain-Bel, Saint-Germain-Nuelles, Saint-Pierre-la-Palud, Savigny, Sourcieux-les-Mines ont plus de 2 000 hab. Éveux (1 200 Éveusiens, 332 ha), juste au SE de L’Arbresle, abrite le couvent de la Tourette, œuvre de Le Corbusier achevée en 1959 pour les dominicains; la commune, qui n’avait que 250 hab. en 1954, se peuple et a gagné encore 390 hab. depuis 1999 (+48%). Chevinay (600 Chevinois, 882 ha) est dans un vallon 12 km au sud de L’Arbresle; hameau du Micollet au nord; +120 hab. après 1999 (un quart). Courzieu (1 190 Courzerois, 2 704 ha dont 1 052 de bois), 12 km SSO de L’Arbresle à 430 m, est bornée au NO par la vallée de la Brévenne; parc animalier dans les bois au NE du village, GR7. Courzieu a eu 1 700 hab. en 1851 puis sa population a décliné jusqu’à 840 hab. en 1975; elle augmente depuis mais n’a gagné que 50 hab. après 1999. Bibost (560 Bibolands, 523 ha) est à 8 km SO de L’Arbresle, sur les collines entre le Penon au nord et le Conant au sud; +160 hab. après 1999 (+40%). Saint-Julien-sur-Bibost (580 Saint-Juliennois, 1 328 ha) est 3 km à l’ouest de Bibost, 11 km SO de L’Arbresle à 541 m. Le relief monte à 815 m à l’ouest. La commune a augmenté de 70 hab. après 1999. Sarcey (1 030 Sarceyrois, 999 ha) est à 9 km au NO de L’Arbresle; l’A89 traverse le sud de la commune; zone d’activités de la Noyeraie à l’ouest, avec accès à la N7; cartonnages de la Turdine (40 sal.), charpentes Tarare (20 sal.), transports Transdev (45 sal.); +230 hab. depuis 1999 (+29%). (6 590 Arbreslois, 336 ha) est un ancien chef-lieu de canton du département du Rhône dans l’arrondissement de Lyon, 24 km ONO de Lyon, au confluent de la Brévenne et de la Turdine et au carrefour de la N7 et de la N89 qui suit le sillon de la Brévenne. La ville conserve un château abbatial du 15e s. à deux tours et un donjon, des maisons anciennes. Barthélemy Thimonnier, l’inventeur de la machine à coudre, y est né en 1793. La commune a un collège et un lycée professionnel publics, un collège privé et une maison familiale rurale, une clinique Monrepos (30 sal.) de 34 lits. Elle a été le foyer du groupe et de la revue Économie et humanisme, fondé par le dominicain L.-J. Lebret en 1941 et disparue en 2007. Une fabrique de matériel de dialyse du groupe allemand Fresenius (220 sal.) y est établie, mais à la limite de Savigny, où elle est parfois comptée; L’Arbresle a aussi une fabrique de ressorts Scherdel (allemand, 50 sal.) mais l’usine de pièces d’échappement pour automobiles (Comela, groupe Piroux, 90 sal.) a fermé en 2023; supermarché Carrefour (30 sal.), super U (Algi, 110 sal.); aide A2micile (35 sal.); transports Fichet (50 sal.) Seguin (50 sal.) et Vacher (50 sal.); interim Adecco (250 sal.) et Manpower (75 sal.), distribution d’électricité Enedis (60 sal.). La population a culminé à 3 600 hab. en 1886, est descendue à 2 700 en 1921 puis a repris une croissance assez lente mais continue. Elle a gagné 610 hab. après 1999. La communauté de communes du Pays de l’Arbresle groupe 17 communes et 38 400 hab. Le nouveau canton de L’Arbresle a 26 communes, 38 100 hab. (2 420 Bessenois, 1 401 ha) est une commune du département du Rhône dans la CC du Pays de l’Arbresle, 10 km au SO de l’Arbresle. Située dans les collines du versant gauche de la Brévenne, la commune s’est fait une réputation dans les vergers de cerisiers (130 ha sur 870 ha agricoles); maison forte du château du Mas; maison de retraite (45 sal.), négoce de fruits et légumes Chambe (30 sal.). Bessenay a eu plus de 2 000 hab. dans toute la seconde moitié du 19e s., et jusqu’à 2 300 hab.; sa population était descendue à 1 300 hab. de 1946 à 1975; elle augmente depuis et a gagné 510 hab. après 1999 (+27%). (2 040 hab., 1 259 ha) est une commune du département du Rhône dans la CC du Pays de l’Arbresle, sur la N7, 6 km au nord-ouest de L’Arbresle dans la vallée de la Turdine; menuiserie métallique ACT (25 sal.), transports TNE (25 sal.). Le nombre d’habitants a augmenté de 220 depuis 1999. La commune avait eu plus de 1 800 hab. dans les années 1860, mais sa population était descendue à 950 hab. en 1931, avant de se stabiliser entre 1 000 et 1 100 hab. entre 1936 et 1975. Ses vignerons cultivent 289 ha de vignes; grosse cave coopérative; château du 15e s. à éléments renaissance, restauré; belles maisons de pierres blondes; «jardin de cocagne» avec production de légumes par un centre d’insertion. (2 650 Dommartinois, 722 ha) est une commune du département du Rhône dans la CC du Pays de l’Arbresle, 11 km à l’est de L’Arbresle. La N6 passe à la bordure orientale de la commune, qui héberge un centre d’aide par le travail et un centre pour infirmes moteurs cérébraux (260 sal.). Dommartin n’avait que 400 hab. en 1950 et a crû à partir de 1970 surtout; elle a 240 hab. de plus qu’en 1999. (2 340 Fleurinois, 951 ha) est une commune du département du Rhône dans la CC du Pays de l’Arbresle, 4 km à l’est de L’Arbresle sur la N7; gare, carrière de «pierres dorées». Commune résidentielle, elle n’avait que 600 hab. en 1954 et a crû surtout dans le dernier quart du 20e s.; sa population n’a augmenté que de 300 hab. depuis 1999. (6 670 Lentillois, 1 839 ha) est une commune du département du Rhône dans la CC du Pays de l’Arbresle, 5 km ESE de L’Arbresle. Elle est desservie par une gare et par la N7, et a un collège public, une maison de retraite médicale (55 sal.); fabriques de médicaments vétérinaires Boehringer Ingelheim (150 sal.), de cosmétiques Strand (160 sal.), de bijoux Ch. Perroud (160 sal., groupe Dalloz); finitions Champagne Façades (50 sal.), canalisations Albertazzi (140 sal.); génétique Bovec (65 sal.); blanchisserie Morellon (50 sal.). La commune avait 1 100 hab. de 1920 à 1950, puis sa population a augmenté, atteignant 2 500 hab. en 1982. Elle a gagné 1 900 hab. depuis 1999, soit +40%. (2 470 Sain-Belois, 368 ha) est une commune du département du Rhône dans la CC du Pays de l’Arbresle, 3 km au SSO de L’Arbresle au bord de la Brévenne. Saint-Bel fut un village fortifié, et le siège des exploitations minières des environs. Le village conserve un château féodal et une église du 11e s., une gare du chemin de fer touristique de la Brévenne, et abrite une coopérative vinicole des coteaux-du-lyonnais; autocars Maisonneuve (65 sal.). La population de la commune est passée de 600 hab. en 1851 à plus de 1 800 en 1896, puis descendue à 1 400 de 1930 à 1954, avant de reprendre peu à peu; elle a gagné 480 hab. après 1999 (+24%). (2 310 Saint-Germinois, 864 ha) est une commune nouvelle du département du Rhône dans la CC du Pays de l’Arbresle, juste au nord de L’Arbresle. Elle a fusionné en 2013 Saint-Germain-sur-l’Arbresle (1 600 hab., 652 ha) et Nuelles (710 hab., 210 ha). Elle prolonge le vignoble du Beaujolais avec 200 ha de vignes. Elle accueille l’élevage d’animaux de laboratoire Charles River (410 sal., états-unien). Nuelles, juste au nord de L’Arbresle, accueille les Ateliers mécaniques de Nuelles (50 sal.); la commune n’avait pas 200 hab. dans les années 1930. (2 640 Saint-Pierrois, 753 ha dont 400 de bois) est une commune du département du Rhône dans la CC du Pays de l’Arbresle, 6 km au sud de L’Arbresle dans les collines du versant droit de la vallée de la Brévenne. Des mines de pyrites de fer y furent exploitées; la commune a ouvert en 1982 un musée de la Mine. L’échine boisée du bloc de terrains anciens s’y franchit à 714 m au col de la Luère et monte à 741 m au crêt Bertet. Sa population a crû lentement du milieu du 19e s. (560 hab. en 1856) à 1954 (1 600 hab.), faibli ensuite (1 200 hab. en 1975) et augmente à nouveau; elle a gagné 630 hab. depuis 1999 (+31%). (2 040 Savignois, 2 142 ha dont 272 de bois) est une commune du département du Rhône dans la CC du Pays de l’Arbresle, 4 km au SO du chef-lieu. Elle est née d’une abbaye bénédictine carolingienne dont subsistent une tour de l’Horloge du 14e s. et quelques bâtiments des 15e et 16e s., et que rappelle un musée lapidaire. La commune héberge une maison familiale rurale; son finage atteint à l’ouest la butte du mont Arjoux (815 m). SIAP fait du traitement de surfaces (50 sal.). La commune n’avait plus que 960 hab. en 1962, contre 1 700 autour de 1850; sa population croît depuis, et a gagné 170 hab. après 1999. (2 130 hab., 996 ha dont 300 de bois) est une commune du département du Rhône dans la CC du Pays de l’Arbresle, 3 km SSE de L’Arbresle. On y exploita des pyrites de fer, ce qui justifia le passage de son nom de Sourcieux-sur-l’Arbresle à Sourcieux-les-Mines en 1930. Le village est perché sur une colline dominant le vallon encaissé du ruisseau de Contres; hameau du Sarrazin au sud dans le vallon; les anciennes mines sont à l’aval, proches de la cité de Sant-Pierre-la-Palud qu’elles ont suscitée. Sourcieux a gagné 350 hab. depuis 1999 (+20%). |