Communauté de communes Caux - Austreberthe' communauté de communes de la Seine-Maritime, formée par 9 communes, 25 400 hab. sur 8 900 ha. Le siège est à Pavilly, seule avec Barentin à dépasser 2 000 hab. Goupillières (430 hab.,413 ha) est à 4 km NE de Pavilly sur le plateau bordé à l’ouest par l’Austreberthe; +60 hab. depuis 1999. Sainte-Austreberthe (620 Austreberthais, 613 ha) est dans la vallée à 5 km au nord de Pavilly. Le finage s’étend de part et d’autre de la vallée, plus largement à l’ouest où il englobe le hameau des Barcènes; au sud-est, hameau de Pivard; +60 hab. depuis 1999. Émanville (720 hab., 643 ha), est à 7 km au nord de Pavilly avec un habitat assez diffus sur le plateau. La haute vallée de l’Austreberthe borde le finage à l’est; hameaux de Calleville au nord, de Grand et Petit Joinville au sud-est. La commune a 200 hab. de plus qu’en 1999 (+39%). Limésy (1 560 Limésiens, 1 501 ha dont 199 de bois), 6 km NNO de Pavilly, abrite un institut médico-pédagogique et une petite métallerie (Acierinox, 35 sal.), ainsi que le château d’Étennemare (17e-18e s.). Sa population s’est accrue de 170 hab. depuis 1999. Le commune a un village, mais son occupation est dispersée: hameaux de Beaudouville au nord et de Neufmesnil à l’ouest, les deux hameaux-rues de Becquigny (1 700 m) et Petit Brunville (800 m) au sud. La vallée encaissée de Saffimbec limite le finage au sud. Villers-Écalles (1 800 Villers-Écaillois, 741 ha dont 130 de bois), 5 km SSO de Pavilly, a un village ancien sur la rive droite de l’Austreberthe, associé à des usines et complété au sud par le lotissement de la Ferme de Villers, à l’ouest dans un vallon par un ensemble de pavillons. Le finage s’étend à l’ouest sur le plateau, où l’habitat s’est développé autour de l’ancien village d’Écalles et où est la mairie. Ce plateau est traversé au nord par l’A150, où est la moitié de la gare de péage et aire de repos de Bouville. Dans la commune, une fabrique de chocolats et pâtes chocolatées appartenant au groupe italien Ferrero (530 sal.) est installée depuis 1959 dans une ancienne filature, elle fabrique notamment les pâtes Nutella et les chocolats Kinder Bueno. La population est stable depuis 1999. Les deux anciennes communes de Villers-Écalles sur le plateau et Villers-Chambellan dans la vallée ont fusionné en 1823. Bouville (990 hab., 1 248 ha), 5 km OSO de Pavilly, disperse ses habitats sur le plateau que traverse l’A150; gare de péage et aire de repos au SE, partagées avec Villers-Écalles. La D6015 (ex-N15) longe la limite nord de la commune et y traverse le Hameau de la Route. À l’ouest, le hameau des Ifs est au-delà d’un vallon. Au sud, hameau de la Rue d’Yourville. La population reste stable. Blacqueville (700 Blacquevillais, 1 002 ha dont 130 de bois), 7 km OSO de Pavilly, a un finage très long (8,5 km) et arqué, qui descend au SO dans le haut vallon de Fontenelle. La population a augmenté de 160 hab. depuis 1999 (+30%). (12 300 Barentinois, 1 274 ha) est une commune de Seine-Maritime dans la vallée de l’Austreberthe, à 18 km NO de Rouen, au passage de la N15 et sur la voie ferrée qui mène au Havre. Elle est la commune la plus peuplée de la communauté Caux-Austreberthe. La ville a un centre hospitalier (20 lits), deux collèges et trois lycées publics, dont deux professionnels. Un «Musée dans la rue», formé de nombreux objets d’art épars, y a été lancé par André Marie (1897-1974), ancien ministre et maire de 1945 à sa mort; Barentin a aussi un théâtre depuis 1960, plus un théâtre de verdure. Le principal groupe d’emplois relève de la construction électrique, principalement sur le pôle industriel du Hoquet au NO de la ville: Tecumseh (200 sal., moteurs d’appareils ménagers, états-unien), Société d’appareillage électrique Gardy (disjoncteurs, groupe Schneider), passée de 500 sal. à 60 après 2005; maçonnerie Maintenance (60 sal.). Carrefour a un hypermarché de 380 emplois, dans un complexe commercial de 1 000 emplois au total, à la sortie de Barentin vers Rouen, au sein d’un parc commercial de 12 ha au ras de la N15 et de l’A150 (le Mesnil-Roux-la Carbonnière); magasins Castorama (140 sal.), Décathlon (55 sal.); négoces de meubles Alinéa (75 sal.); nettoyage Elior (280 sal.), garages. L’unité urbaine Insee serait de 20 100 hab. (3 communes), et elle est censée faire partie de l’aire urbaine de Rouen. La commune avait 1 500 hab. au début du 19e s., 5 600 à la fin, 6 400 en 1954; sa population a dépassé 10 000 hab. en 1970, a ralenti ensuite un peu sa croissance; elle a perdu 830 hab. après 1999. Le nouveau canton de Barentin a 21 communes, 40 900 hab. (6 420 Pavillais, 1 419 ha dont 280 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de Seine-Maritime, dans la vallée de l’Austreberthe au confluent du Saffimbec, 21 km au NO de Rouen; gare, collège public; couverture et plomberie BV Gautier (70 sal.), serrurerie NFI (35 sal.) menuiserie MCP (30 sal.); surgelés Gastronomie Service (110 sal.); supermarché Carrefour (45 sal.). La ville prolonge l’urbanisation de Barentin, qui l’a supplantée au 19e s.; elle avait 3 000 hab. en 1900, 4 400 en 1954 et croît depuis, mais n’a guère gagné que 240 habitants depuis 1999. Pavilly est le siège de la communauté de Caux-Austreberthe (9 communes, 25 200 hab.). |