(24 760 Cenonais, 552 ha) est un ancien chef-lieu de canton de la Gironde dans l’arrondissement de Bordeaux, en banlieue à l’est de la Garonne, dont elle n’atteint pas la rive. La commune est membre de la Métropole de Bordeaux (Bordeaux Métropole). Elle est bordée au nord par la pénétrante qui associe la N89 venant de Libourne et l’ancienne N10, à l’est par la rocade bordelaise (N230); l’essentiel est sur le relief, mais le finage inclut une fraction de la plaine alluviale à l’ouest, où passe la LGV Paris-Bordeaux et qui, sous le nom de Bas Cenon, est incluse dans une zone de rénovation urbaine (ZRU). Au nord-ouest, le quartier de Cailly en bas, les environs du château Palmer en haut, sont inscrits dans la ZRU des Hauts de Garonne-Bastide, mais non le grand ensemble voisin. La ville a un lycée professionnel et deux collèges, une polyclinique (110 sal., 65 lits) et deux maisons de repos Serience (Korian, 95 et 85 sal.). Dans les entreprises, robinetterie KSB (50 sal.); ingéniérie de Radioprotection (45 sal.), analyses Itec (50 sal.); informatique Mirane (35 sal.); comptabilité Fiduciaire (60 sal.); assurances Saretec (40 sal.); aide à domicile Domicil+ (45 sal.); négoce de cosmétiques Beauty Success (60 sal.); transports TLA (60 sal.) et TAF (30 sal.), transports de personnes les Fiacres Girondins (85 sal.); gardiennage ASP (160 sal.); travail temporaire Medicop (115 sal.), Apole (45 sal.); centre d’appels IFIIM (70 sal.), La Poste (45 sal.); nettoyage Steni (200 sal.), traitement de déchets Rive Droite Environnement (35 sal.). La commune a eu 2 000 hab. en 1888, 4 000 en 1908 et s’est peuplée ensuite: 10 000 en 1935, 17 000 en 1968, 25 000 en 1975. La population a diminué ensuite, mais a repris 3 230 hab. depuis 1999. Le nouveau canton de Cenon a 3 communes (avec Bouliac et Floirac), 41 600 hab. |