(2 710 Donzenacois, 2 424 ha dont 614 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de la Corrèze, 10 km au nord de Brive au-dessus de la vallée encaissée du Maumont, à sa sortie du massif ancien. La ville, «petite cité de caractère», se tient sur une butte ronde en trois rues concentriques successives; elle conserve une halle, des maisons anciennes, des restes de remparts et une porte. L’A20 offre un accès juste l’ouest. La commune a une zone d’activités et quelques ateliers dont la tôlerie-mécanique Acimétal (25 sal.); négoce interentreprises Temaco (45 sal.), transports STEF (110 sal.), travaux publics Eiffage (20 sal.), nettoyage A2 (190 sal.); une maison de retraite; aide par le travail Sasem (50 sal.). De l’ardoise était extraite au hameau de Travassac, à l’est du bourg, ce que rappelle un petit musée souterrain. Au nord, l’échangeur de l’A20 et de l’ancienne N20 (D920) a suscité la zone d’activités dite Regardadour; hameau de la Rochelle au nord, voie ferrée à l’ouest. La population communale remonte depuis 1975 (1 800 hab.) et a encore gagné 430 hab. depuis 1999; mais elle avait dépassé 3 300 hab. en 1891. Donzenac, qui se veut «station verte de vacances» (un petit hôtel, deux campings totalisant 90 places), et qui est surtout à présent une banlieue résidentielle de Brive, membre de la communauté d’agglomération du Bassin de Brive, a été le siège d’une communauté de communes au nom curieux de 3A, inspiré par les autoroutes (A20-A89-Avenir)… |