Communauté de communes Val de Gray' communauté de communes de Haute-Saône, associant 48 communes et 20 500 hab. sur 19 820 ha. Gray (siège) et Arc-lès-Gray ont plus de 2 000 hab. Rigny (610 Rignolais, 1 272 ha dont 259 de bois), 5 km NE de Gray est un village de bord de Saône, étiré sur près de 3 km le long de la rive droite juste en amont de Gray. Le finage déborde sur la rive gauche au SE; bref canal de dérivation sur la rive gauche, avec halte nautique. Au nord, la commune est traversée par la D70 — la voie ferrée vers Vesoul est fermée. Chargey-lès-Gray (760 Chargeois, 1 656 ha dont 575 de bois), est à 5 km au nord de Gray sur la route de Langres, au bord du ruisseau des Écoulottes qui atteint la Saône face à Gray; maison familiale rurale. La population a été à son minimum de 1930 à 1960 vers 480 hab., a augmenté un peu jusque vers 1980 et reste stable depuis. Oyrières (390 Oriens, 1 403 ha dont 613 de bois), 11 km NNO de Gray, a son village-rue étiré au bord des Écoulottes et de la D67; fontaines-lavoirs, dont l’une est classée; meubles Art Prog (20 sal.), négoce de produits agricoles (Giroux, 35 sal.), maison de retraite. La population a baissé de70 hab. après 1999.` Écuelle (72 hab., 556 ha dont 191 de bois), 13 km NNO de Gray, est aussi au bord du ruisseau des Écoulottes, la D67 rectiligne passant un peu à l’est du petit village. Vars (210 Varsois, 1 016 ha dont 629 de bois), 14 km NNO de Gray, limitrophe de la Côte-d’Or, a un finage boisé à l’est et à l’ouest; au NO, restes de l’ancienne abbaye de Thieulay auprès de son étroit étang (8 ha). Fahy-lès-Autrey (120 hab., 620 ha), 14 km NO de Gray, est limitrophe de la Côte-d’Or. La commune, alors Les Fahys, avait réunie à Autrey-lès-Gray entre 1790 et 1821. Auvet-et-la-Chapelotte (250 hab., 1 443 ha dont 443 de bois), 11 km NO de Gray, a un finage étiré du NO au SE. Le nom vient d’une fusion de 1805. Auvet est un village au centre, la Chapelote un hameau près de la limite SE; entre les deux sinue le vallon des Écoulottes de Vars, où se voient l’étang, la ferme et l’ancienne forge de Bley. Bouhans-et-Feurg (250 Bouhannais, 975 ha dont 322 de bois), 10 km ONO de Gray, a son village sur la rive gauche de la Soufroide, affluent de la Saône, et la D2; au sud passe le vélorail de la Vingeanne. Feurg est un hameau à l’aval de Bouhans; leur réunion date de 1806. Autrey-lès-Grey (380 Atturans, 3 240 ha dont 1 511 de bois), 11 km ONO de Gray, est un ancien chef-lieu de cantone. Le village est dans la petite vallée de la Soufroide. La commune avait près de 1 400 hab. en 1851et se dépeuple depuis, perdant encore 130 hab. (un quart) après 1999; son église est classée. Le finage touche en deux points à la limite de la Côte-d’Or; il est traversé par le vélorail de la Vingeanne. Il est pourvu d’une longue extension au SO, englobant la forêt d’Autrey et, en queue, l’étang d’Échalonge, long de 1 500 m et qui servait aux forges d’Essertenne. Il. Trois communes forment à l’ouest d’Autrey une avancée du territoire de la Haute-Saône dans celui de la Côte-d’Or. Broye-les-Loups-et-Verfontaine (130 hab. 700 ha), 16 km ONO de Gray, a un finage étroit le long de celui d’Autrey et touche la limite départementale au nord comme au sud. Le très petit village est au sud sur un affuent de la Vingeanne et frôlé par le vélorail; Verfontaine est un hameau au nord. Leur réunion est de 1806. La commune se prolonge au sud par une très étroite enclave de 4,5 km entre la forêt d’Autrey et la limite de la Côte-d’Or, touchant au sud la commune d’Essertenne-et-Cecey et contenant les deux fermes du Petit et du Grand Colonge; elle mesure environ 140 ha et porte la longueur totale du finage de Broye à 10 km (pour 1,4 de large tout au plus). Attricourt (44 Altériens, 608 ha dont 325 de bois), 22 km ONO de Gray, a son petit village à l’angle SO du finage, au bord de la Vingeanne qui limite la commune à l’ouest, ainsi que le département. Le territoire est très boisé à l’est. Lœuilley (110hab., 567 ha dont 189 de bois), 19 km ONO de Gray, est la commune du département la plus avancée en direction de l’ouest, bornée par la Vingeanne. Le village est au pied du versant concave d’un ancien méandre. Le finage d’étend vers le NE où il est boisé. Poyans (150 Poyannais, 1 217 ha dont 407 de bois), 12 km à l’ouest de Gray, occupe à l’est de la forêt d’Autrey une large clairière, traversée par la petite vallée d’Échalonge qui descend vers la Saône et que longe la D36; église classée du 15e s., Bois de Poyans au SE. Essertenne-et-Cecey (420 hab., 1 130 ha dont 339 de bois),14 km SO de Gray, est issue d’une fusion de communes de 1807. Les deux villages se touchent et se partagent deux longues rues, que contourne par le nord la D70. La Saône borde le finage à l’est, la Côte-d’Or à l’ouest et au sud. La voie ferrée vers Gray longe la rive droite de la Saône. La commune conserve des restes classés des anciennes forges d’Échalonge, qui ont fonctionné de 1544 à 1877 et conservent habitats de maître et d’ouvriers. La population a augmenté de 70 hab. depuis 1999. Le ruisseau d’Échalonge fixe la limite SE de la commune jusqu’à son confluent avec la Saône. Mantoche (470 Mantochois, 1 658 ha dont 653 de bois) a son village sur le relief de rive droite de la Saône à 7 km au SO de Gray, avec un petit port fluvial, et abrite une métallerie (Brisard, 45 sal.). Le finage est traversé par la D70 et la voie ferrée, et largement occupé à l’ouest par le Bois de Mantoche, qui prolonge celui de Poyans. Nantilly (490 Nantillais, 1 000 ha dont 417 de bois), 7 km ONO de Gray, est sur la rive droite de la Soufroide entre la voie ferrée devenue vélorail de la Vingeanne et la D2 qui passe sur l’autre rive; grand Bois Guyot à l’est. Gray-la-Ville (990 Gray-la-Villois, 397 ha) est juste à l’ouest de Gray; son finage est bordé par la rive gauche de la Saône au nord et à l’ouest. Le village, au centre, est mois peuplé que la partie orientale du finage où a débordé l’urbanisation de de Gray. Néanmoins, la commune a perdu 130 hab. depuis 1999. Velet (410 Velettois, 605 ha dont 156 de bois), 3 km SO de Gray, juste au sud de Gray-la-Ville, a perdu 40 hab. depuis 1999. Son finage est bordé à l’ouest par la Saône; le Bois de Vaivre y est troué de sablières, en cours d’exploitation. La D475 vers Dole traverse l’extrémité orientale du finage. Esmoulins (140 Esmoulinois, 448 ha dont 180 de bois), 7 km SSO de Gray, partage avec Velet le Bois de la Vaivre et ses étangs de sablières; la Saône borde son finage à l’ouest. Le petit village est à l’angle SE, en bordure de la queue du finage de Champvans. sud Apremont (470 Apremontai, 1 440 ha dont 298 de bois), 9 km SSO de Gray, a son village sur le bas-relief de rive gauche de la Saône. Celle-ci travers le finage au nord et le borde à l’ouest, où la commune touche à la limite de la Côte-d’Or. Apremont possède la partie méridionale du méandre de Mantoche, jusqu’au canal de dérivation qui le recoupe sur 3 300 m et aboutit au hameau de rive droite; halte nautique sur le canal. Apremont a 100 hab. de plus qu’en 1999. Germigney (170 hab., 1 510 ha dont 730 de bois), 11 km SSO de Gray, atteint à l’ouest la rive gauche de la Saône, au terme d’un finage largement boisé, et se trouve ainsi limitrophe de la Côte-d’Or. À l’ouest, hameau de la Loge et étang d’ancienne sablière. Broye-Aubigney-Montseugny (490 hab., 2 536 ha dont 1 000 de bois) est une commune formée par fusion en 1972, à la limite de la Côte-d’Or, et qui tient le confluent de la Saône et de l’Ognon. Elle se nomma même Broye-lès-Pesmes-Aubigney-Montseugny entre 1972 et 1974. Broye-lès-Pesmes (300 hab.) est sur la rive droite de l’Ognon à 18 km SSO de Gray. Aubigney (90 hab.) est à 3 km au NE de Broye, Montseugny (100 hab.) à 6 km au NNE. L’Ognon fixe la limite au sud, la Saône à l’ouest. La commune a reçu en 1959 en son centre un grand aérodrome de l’Otan (LFYH) avec piste de 3 km, demeuré terrain militaire et qui abrite un centre de détection des satellites. Pesmes (1 110 Pesmois, 1 864 ha dont 565 de bois) est un ancien chef-lieu de canton, 22 km au sud de Grey sur la rive droite de l’Ognon, à la limite départementale. «Petite cité comtoise de caractère», Pesmes fait aussi partie des «plus beaux villages de France» et conserve les restes d’une citadelle du 12e s., avec portes et ruelles en pente; église à portail roman (13e-14e s.) à retables, anciennes maisons décorées (dont la «maison Royale»); musée de l’horlogerie et musée des forges, sur le site de la forge établie en 1660 et active jusqu’en 1993; un collège public, base nautique, jardins du château. Le finage est traversé par la D465; il a une extension au NE dans le Gros Bois. La population est stable. Sauvigney-lès-Pesmes (150 hab., 635 ha dont 274 de bois), 3 km au nord de Pesmes sur la D475, a un finage à moitié enclavé dans celui de Pesmes et contient une partie du Gros Bois. La Résie-Saint-Martin (160 Résillés, 327 ha), 18 km au sud de Gray, 5 km NE de Psmes, est une petite commune en partie boisée. Chevigney (36 hab., 517 ha dont 151 de bois), 15 km au sud de Gray, a quelques bois au sud, où passe la D475. La Grande-Résie (87 hab., 476 ha dont 158 de bois), 14 km au sud de Gray, a son petit village sur la D475. Vadans (140 hab., 1 295 ha dont 827 de bois), 13 km au sud de Gray, a son village au sud d’un finage largement boisé au nord. Valay (700 Valésiens, 1 740 ha dont 588 de bois), 14 km SSE de Gray, est un village-centre avec quelques commerces et ateliers, un jardin botanique. Le finage est boisé à sa périphérie. La population a augmenté de 180 hab. (+29%) depuis son minimum de 1999. Venère (220 hab., 796 ha dont 191 de bois), 12 km SE de Gray, a son village sur la D67 et quelques bois. Elle a gagné 70 hab. depuis 1999 (+47%). Onay (64 Onnayés, 668 ha dont 280 de bois), 11 km SE de Gray, a un finage contourné parmi les bois, et traversé au sud par la Tenise. Champtonnay (100 hab., 524 ha dont 153 de bois), 10 km SE de Gray, a son finage traversé par la D67 rectiligne, au bord de laquelle sont les restes d’une ancienne tuilerie; le village est au nord-est, proche d’un étang. Arsans (50 hab., 248 ha), 10 km SSE de Gray, a son petit village à l’orée d’un grand massif boisé. Lieucourt (78 Lieucourtois, 480 ha dont 291 de bois), 12 km SSE de Gray, a un finage très boisé au nord. Noiron (60 Noironnais, 558 ha dont 400 de bois), 8 km SSE de Gray, a son village dans une clairière au bord de la Tenise. Le Tremblois (190 hab., 549 ha dont 256 de bois), 7 km au sud de Gray, est au bord de la Tenise et sur la D475, juste au sud de Champvans et en continuité; atelier de systèmes photovoltaïques Soleo Suneo (25 sal.). Champvans (180 Champvannais, 715 ha dont 219 de bois), 6 km au sud de Gray sur la route de Dole (D 475), et au bord de la Tenise, héberge la menuiserie Druet (30 sal.); château du 17e s. avec beau parc de 1870. Le finage s’étend à l’est, où il est en partie boisé. Au nord-ouest, la commune possède une très étroite queue de 1 250 m de long, le long de la Tenise, entre les communes d’Esmoulins et Apremont. est Cresancey (190 hab., 960 ha dont 577 de bois), 7 km SE de Gra, a son village au bord de la Tenise et sur la D67 rectiligne; la moitié nord du finage est dans les bois, avec deux étangs. Battrans (240 hab., 532 ha dont 170 de bois), 4 km SE de Gray, a son finage traversé par la Dhuys au centre, la D474 à l’est; arboretum au bord de la Dhuys. Ancier (510 Anciérois, 442 ha) est juste à l’est de Gray, à la convergence de la D474 et de la D13 et au débouché de la vallée de la Dhuys dans la plaine de la Saône. Elle avait 200 hab. en 1954 et a encore gagné 70 hab. après 1999, les pavillons s’y étant multipliés en banlieue de Gray. Saint-Broing (120 hab., 1 017 ha dont 372 de bois), 10 km à l’est de Gray, a un petit village au bord de la Morthe, qui fixe la limite méridionale de la commune, et des restes (18e s.) de l’ancienne abbaye de Corneux à l’ouest, réaménagée en hostellerie; le hameau de Corneux a été transféré d’Ancier à Igny en 1841. Velesmes-Échevanne (500 Velesmois, 2 211 ha dont 801 de bois) résulte d’une fusion de 1973. Velesmes a un village étoffé à 11 km ESE de Gray sur la route de Vesoul (D474), qui le conttourne. Échevanne est un hameau à l’ouest, en clairière dans le Bois de Bellecombe, et n’avait que 25 hab. au moment de la fusion, Velesmes en ayant 370; scierie (Marsolat, 30 sal.). La commune a gagné 50 hab. depuis 1999. Son finage est borné au nord par le cours de la Morthe, au SO par celui de la Dhuys, accompagnée d’étangs. Saint-Loup-Nantouard (130 Lupéens, 764 ha dont 220 de bois), 12 km ESE de Gray, fruit d’une fusion de 1972, est bornée au nord par la Morthe. Le village de Saint-Loup-lès-Gray est au sud, accompagné au NO du hameau de Nantouard. Le château de Saint-Loup (17e et 19e) est à la limite NE du finage au bord de la Morthe; réceptions. Sauvigney-lès-Gray (110 Sauvignois, 1 044 ha dont 540 de bois), 13 km à l’est de Gray, est bornée au SE par la Morthe et possède au nord de vastes bois dont le Bois Blondel. Le nom de la commune a été Sauvigny-lès-Angirey jusqu’en 1914 (Angirey est la commune voisine à l’est). Igny (190 Ignysois, 1 003 ha dont 482 de bois), 18 km ENE de Gray, a une église du 18e s. à retable et une grande fontaine néo-renaissance édifiée vers 1850. Le village est au bord du Cubri, affluent de la Morthe. Sainte-Reine (32 Routhenains, 618 ha dont 354 de bois), 21 km ENE de Gray est juste au-delà d’Igny à l’amont du Cubri; la limite nord du finage suit le tracé d’une voie romaine. (2 570 Arcois, 1 210 ha dont 256 de bois) est une commune du Haute-Saône, dans la communauté de communes Val de Gray, sur la rive droite de la Saône juste face à Gray, dont elle est une banlieue, surtout industrielle. Elle est membre de l’intercommunalité de Gray. Les principaux établissements sont l’usine de machines agricoles John Deere (430 sal.); les moteurs électriques pour volets roulants Simu (245 sal.), société née à Gray en 1952; les carrosseries de la Société Métallurgique de Gray (180 sal., citernes); travaux publics TPRE (35 sal.); supermarché Casino (40 sal.), centre d’aide par le travail de l’Adapei (90 places); transports Bergelin (35 sal.), Rhin-Rhône logistique (25 sal.); expertise comptable In extenso (25 sal.). Un temps réunie à Gray (1806-1827), la commune a vite repris son indépendance sous le nom d’Arc, qu’elle n’a finalement complété qu’en 1962. Son finage est tout entier au nord de la Saône, qu’il longe sur plus de 6 km, dont cependant il laisse à Gray 1 800 m de la rive droite. La principale zone d’activité est du côté amont, au SE. L’habitat s’est densifié et étiré vers le nord le long de la D67. Sa population avait déjà atteint 2 800 hab. en 1875 et a assez peu évolué depuis, passant par un maximum de 3 200 hab. en 1982; elle a perdu 390 hab. depuis 1999. (5 920 Graylois, 2 026 ha dont 945 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de Haute-Saône dans l’arrondissement de Vesoul, 52 km OSO de la préfecture et 50 km NO de Besançon, sur la rive gauche de la Saône. Au croisement de six routes, elle forme une petite conurbation avec Gray-la-Ville, juste en aval, et Arc-lès-Gray, sur l’autre rive. Gray a un château avec tour carrée et restes de fortifications, un très bel hôtel de ville renaissance à tuiles vernissées (1570), un théâtre à superbe plafond des années 1850, des foires, un musée d’Histoire naturelle et un musée de l’Espéranto; port de plaisance, gare Sncf. Un aérodrome (code LFEV), dit de Gray-Saint-Adrien, est au SE de la ville, avec aéroclub et piste de 800 m en dur, et peut servir à l’aviation d’affaires; il est issu d’un aérodrome militaire de 1912 à 1936, rouvert avec restrictions en 1947 et sans restriction en 1994. Le finage déborde sur la rive droite de la Saône juste devant la ville. Il s’étend assez loin vers le NE dans la plaine de rive gauche de la Saône, et se trouve pourvu au sud d’une extension forestière d’envuron 900 ha contenant la forêt domaniale des Hauts Bois, traversée par trois routes convergeant vers la ville. Gray est un véritable centre local, rayonnant sur toute la partie occidentale du département, et même un peu au-delà; lycée polyvalent public, un lycée professionnel public et un privé, deux collèges publics et un privé; centre hospitalier de 130 lits. L’ensemble d’HLM des Capucins, un peu à part au sud de la ville, est considéré comme «zone urbaine sensible». Outre ses commerces et services, Gray même compte d’assez nombreux petits ateliers, et quelques entreprises diversifiées, mais souvent en nette réduction d’emploi: plastiques Plastigray (110 sal.), portes et fenêtres Aluroy (30 sal.), maçonnerie Baranzelli (25 sal.); centre d’appels Webhelp (115 sal.), Étude notariale Godart & co (20 sal.); entreposage CL Stocks (40 sal.), travaux publics Velet (35 sal.); nettoyage EURL Azalée (25 sal.); La Poste (55 sal.); ambulances Vannet Delacroix (30 sal.) et Grayloise (30 sal.); supermarché Carrefour (50 sal.), Intermarché (65 sal.), Lidl (25 sal.). Arc-lès-Gray y ajoute plusieurs usines, surtout en métallurgie et mécanique. Mais l’usine de composants pour téléviseurs Thomson a fermé fin 2005. Gray a eu plus de 7 000 hab. entre 1841 et 1881, puis sa population a un peu diminué, et atteint son minimum à 5 800 hab. en 1931. Elle a pu ensuite monter jusqu’à 8 800 en 1975 mais a fortement décliné depuis, perdant plus de 2 000 hab. jusqu’en 1999, et 1 420 depuis 1999 (-19%). Une communauté de communes du Val de Gray (48 communes, 28 500 hab.) s’est constituée autour de la ville, qui en est le siège. L’unité urbaine Insee est donnée pour 9 500 hab. (4 communes), l’aire urbaine pour 17 200 (32 communes, toutes en Haute-Saône). Le nouveau canton de Gray a 24 communes et 14 200 hab. La plaine de Gray s’étend, entre les plateaux plus accidentés de la haute Saône et ceux de l’Ognon, sur des terrasses sableuses et des fonds un peu humides, à sols relativement médiocres, portant bois, landes et friches; d’assez nombreuses fonderies y ont fonctionné du 17e au 19e s. Elle est devenue un pays d’élevage laitier, avec quelques ateliers dispersés. |