Communauté de communes Altitude 800' communauté de communes du Doubs, associant 11 communes et 6 300 hab. sur 20 450 ha. Le siège est à Levier, seule à dépasser 2 000 hab. Gevresin (120 Gevreniers, 691 ha dont 413 de bois), 6 km ONO de Levier, a son village sur le plateau à 675 m, le relief ne culminant qu’à 780 m au NO. Plus de la moitié du finage à l’est et au sud est dans la forêt domaniale de Levier, avec maison forestière, sentier de découverte et site des épicéas du Roi de Rome. Au nord du village, grotte de Gevresin. Villeneuve-d’Amont (270 Vermacelés, 1 427 ha dont 792 de bois), à 8 km OSO de Levier, étire son village sur une basse échine à 688 m, au voisinage de la D72. La commune abrite un institut médico-éducatif et une partie de la forêt domaniale de Levier. Au sud-ouest à 648 m s’étend le Marais, avec des pertes de ruisseaux; le «Paysage d’Hyoche», site forestier avec point de vue sur un vallon, est signalé à l’est sur la Route des Sapins. La commune a 50 hab. de moins qu’en 1999. Arc-sous-Montenot (200 Ratatas, 1 072 ha dont 516 de bois), 13 km OSO de Levier, est limitrophe du Jura et a une part de la forêt domaniale de Levier à l’est, avec un arboretum. Le village est à 650 m à l’orée des bois; à l’ouest, deux petites buttes dont celle de Montenot, étang d’Arc. Villers-sous-Chalamont (300 Moissas, 2 218 ha dont 1 627 de bois), 10 km au SO de Levier à 710 m, est limitrophe du Jura et très boisée, avec son village en clairière. Le relief atteint 893 m sur le crêt qui fixe la limite orientale du finage; panorama et table d’orientation au SE, sapin Président tout au NE. Le col de Chalamont, à l’est, est franchi à 867 m par la D49 vers Boujailles; +40 hab. depuis 1999. Chapelle-d’Huin (520 Chapelins, 2 371 ha dont 701 de bois), est à 5 km SE de Levier à 777 m; au NE, hameau du Souillot près de la D72; au SO, le Creux du Vieillon est une dépression fermée circulaire d’origine karstique. La population a augmenté de 160 hab. depuis 1999 (+44%). Au nord-est de Levier, trois villages proches et de population quasi égale forment comme une agglomération du Val d’Usiers au pied d’un talus de faille SO-NE qui monte à 921 m au Mont Séverin. Le Val d’Usiers se suit topographiquement jusqu’aux sources de la Loue au nord-est, et encore un peu au-delà. Sombacour (650 Sombacourtois, 1 930 ha dont 821 de bois), 12 km à l’est de Levier à 750 m, dominée par le mont Calcaire et son calvaire, édifié de 1895 à 1956; le finage est très boisé à l’ouest; +110 hab. depuis 1999 (+20%). Bians-les-Usiers (700 Biannais, 1 401 ha dont 241 de bois) est à 13 km à l’est de Levier, à 745 m; fromagerie Napiot (30 sal.) et la minoterie Dornier (aliments du bétail, 30 sal.); à l’est sur le haut plateau, hameau de Pissenavache à 861 m. Le Mont Séverin (921 m) est dans une extension du finage au NE, dans la seule partie boisée de la commune. La commune a 150 hab. de plus qu’en 1999 (+27%). Goux-les-Usiers (740 Romés, 1 763 ha dont 459 de bois) est à 15 km ENE de Levier à 740 m; discothèque Monte-Cristo III (25 sal.). Les bois sont à l’est sur le relief qui prolonge le Mont Séverin. Le finage s’étend vers le NE où il est traversé par la N57 au petit hameau de la Vrine; +180 hab. depuis 1999 (+32%). Évillers (370 hab. 1 302 ha dont 426 de bois), 11 km NE de Levier, a son village à 734 m sur la D41; travaux publics du groupe Sacer (Lacoste, 40 sal.). Le relief monte à 937 m au NO dans le Bois du Désert. Le finage a une queue vers le SE au Cul de l’Épine, entre Sombacour et Septfontaines; +70 hab. depuis 1999 (+23%). Septfontaines (380 hab., 1 837 h dont 455 de bois) occupe une large part du plateau de Levier. Le village est à 7 km au NE de Levier à 760 m sur la D41, et le finage contient au nord la Baume de Septfontaines (grotte); circuit de karting au SE. La commune s’est accrue de 120 hab. après 1999 (+46%). (2 410 Lévitiens 3 760 ha dont 2 022 de bois) est un ancien chef-lieu de canton du Doubs dans l’arrondissement de Pontarlier, 21 km à l’ouest de celle-ci sur le second plateau du Jura vers 720 m, sur la D9 au croisement de la D72. Cet ancien village-rue sur la route de Dole à Pontarlier est un petit centre local, avec hôtel de ville et halles de 1860; espaces verts France Clôture Environnement (45 sal.), petite fromagerie et industrie du bois; collège privé et école d’agriculture. La commune contient une forêt domaniale de 1 400 ha, dont on a jadis tiré des mâts de marine, et où s’offre à la visite le parc animalier de Rondé; musée du cheval de trait. La forêt domaniale de Levier s’étend au NO et au SE; site du Rocher de Ravonnet au SO. Au NE, au-delà des Granges Maillot (château du 19e), le finage ajoute une queue contournée à travers plusieurs plis du relief. Levier avait 1 400 hab. en 1900, un peu moins en 1954; elle a absorbé le très petit village de Granges-Maillot, au NNE, en 1974 et sa population a crû jusqu’en 1990, puis a augmenté encore de 380 hab. après 1999. Levier est le siège de la communauté de communes Altitude 800, qui réunit 11 communes et 6 300 hab. |