Communauté de communes de Mirecourt Dompaire' communauté de communes des Vosges, associant 76 communes et 19 300 hab. sur 47 370 ha. Seule Mirecourt (siège) dépasse 2 000 hab. Le territoire contient une grande quantité de très petites communes. À l’ouest Mattaincourt (840 Mattaincurtiens, 595 ha dont 176 de bois), juste au sud de Mirecourt, sur la rive gauche du Madon après les confluents de la Gitte (à droite) et de la Saule (à gauche), soutient les emplois du chef-lieu par la seule usine notable de l’agglomération, la grosse fabrique de meubles Industrie Nouvelle (Ekipa, 220 sal.), qui appartient au groupe Parisot. Mattaincourt a des sources minérales (Heuchloup) qui ne sont pas exploitées, une basilique de 1853 liée à un pèlerinage et un musée consacrés au curé Pierre Fourier (1565-1640), fondateur d’une congrégation; un hôpital local-maison de retraite. La population a perdu 100 hab. depuis 1999. Ramecourt (190 Ramecurtiens, 326 ha), 4 km au sud de Mirecourt, est au pied du plateau de grès sur la D166 au bord du Val d’Arol. Domvallier (110 Domvallois, 324 ha), 5 km à l’ouest de Mirecourt, est au pied du plateau de grès sur la D166 au bord du Val d’Arol au confluent du Cochon, juste à l’ouest de Ramecourt et participe à la zone d’activités dite Aéropole près de l’aérodrome d’Épinal-Mirecourt, avec les ateliers de découpe de viande Elivia (Soparviat, 160 sal.). Thiraucourt (100 Thiraucurtiens, 302 ha), 6 km OSO de Mirecourt, est dans le Val d’Arol, rive droite. Remicourt (65 hab., 422 ha dont 143 de bois), 8 km OSO de Mirecourt, est sur la rive gauche du Val d’Arol. Baudricourt (320 Baudéricurtiens, 348 ha), 8 km à l’ouest de Mirecourt, est au pied du plateau de grès sur la D166; juste au pied de l’aérodrome et de son Aéropole, au bord du Cochon. La Somatec fabrique du matériel de manutention (40 sal.). Rouvres-en-Xaintois (290 Roburiens, 1 119 ha dont 299 de bois), 10 km à l’ouest de Mirecourt, est dans une échancrure du talus du plateau de grès où passent le Cochon et la D166. Dombasle-en-Xaintois (120 Dombaslois, 472 ha), 13 km à l’ouest de Mirecourt, est sur le plateau de grès au passage de la D166 qui va vers Neufchâteau; bois dessous Haye au sud, au pied du plateau; transports Delpierre (20 sal.). Totainville (120 Totainvillois, 500 ha), 15 km ONO de Mirecourt, est un village du plateau de grès. Biécourt (110 Biécurtiens, 594 ha), 17 km ONO de Mirecourt, est sur le plateau de grès. Saint-Prancher (80 hab., 441 ha), 16 km ONO de Mirecourt, est dans un haut vallon de la Vraine, le Bicère. Le finage est limitrophe de la Meurthe-et-Moselle. Repel (82 hab., 346 ha), 14 km ONO de Mirecourt, est sur le plateau au bord du Bicère juste à l’est de Saint-Prancher, limitrophe de la Meurthe-et-Moselle. Oëlleville (310 Oëllevillois, 1 008 ha dont 132 de bois), 12 km ONO de Mirecourt, est au cœur du Xaintois dans un vallon affluent du Madon; quelques vergers sur un talus au nord. Chef-Haut (48 hab., 318 ha), 15 km NO de Mirecourt, est à 400 m sur un ressaut du plateau du Xaintois et limitrophe de la Meurthe-et-Moselle. Blémerey (31 hab., 248 ha), 12 km NO de Mirecourt, est limitrophe de la Meurthe-et-Moselle. Juvaincourt (190 Juvaincurtiens, 882 ha), 9 km ONO de Mirecourt sur le plateau de grès, contient un ancien aérodrome de l’OTAN, dit d’Épinal-Mirecourt, puis Vosges Aéroport, qui a été rééquipé en vue de devenir un Aéropole Sud-Lorraine. L’aérodrome (codes EPL et LFSG) couvre 270 ha et bénéficie d’une piste de 2 950 m; il est utilisé par l’aéroclub du Xaintois (3 700 mouvements sur 5 800 en 2019), a un petit trafic de voyageurs et d’affaires et sert de base («pélicandrome») pour les avions bombardiers d’eau contre les feux du Grand Est et des pays voisins. Une plate-forme de 160 ha attend des entreprises; elle a reçu quelques ateliers et bureaux, et un karting; nettoyage Pro Impac (90 sal.). Frenelle-la-Petite (45 Fresnelliens, 349 ha), 10 km NO de Mirecourt, est juste au nord de Juvaincourt. Frenelle-la-Grande (110 hab., 550 ha), 8 km NO de Mirecourt, est limitrophe de la Meurthe-et-Moselle. Boulaincourt (74 Bolaincuria, 251 ha), 10 km NO de Mirecourt, a un finage qui avance vers le nord dans la Meurthe-et-Moselle et que traverse la voie ferrée de Mirecourt à Nancy. Puzieux (150 Putéoliens, 542 ha) est à 6 km NO de Mirecourt, son village proche de l’aérodrome. Poussay (710 Porsuavitains, 869 ha), 3 km au nord de Mirecourt au-dessus du Madon, eut une abbaye bénédictine et conserve une jolie fontaine couverte du 12e s., et des foires d’octobre de longue tradition; quelques commerces. La population communale a augmenté nettement de 1965 (460 hab.) à 1990; elle a diminué de 40 hab. après 1999. À l’Est Mazirot (230 Mazuriens, 655 ha dont 205 de bois) est à 3 km NNE de Mirecourt, contournée par le Madon. Chauffecourt (43 Chauffecourtiens, 189 ha), 5 km NNE de Mirecourt, a un très petit finage au bord du Madon, rive droite. Ambacourt (300 Ambacurtiens, 676 ha dont 149 de bois), 6 km NNE de Mirecourt, est sur la rive gauche du Madon et limitrophe de la Meurthe-et-Moselle. Bettoncourt (100 Bettoncourtiens, 318 ha), 8 km NNE de Mirecourt, est sur la rive droite du Madon qui y reçoit le Xouillion, et sur la D55. Vomécourt-sur-Madon (73 hab., 353 ha), 10 km NNE de Mirecourt, est sur la rive droite du Madon; église romane du 12e s. La mention sur-Madon est de 1961. Pont-sur-Madon (180 hab., 342 ha), 12 km NNE de Mirecourt, est aussi sur la rive droite du Madon et limitrophe de la Meurthe-et-Moselle. La mention sur-Madon est ancienne, présente en 1801. Marainville-sur-Madon (96 hab., 488 ha), 14 km NNE de Mirecourt, est sur la rive gauche du Madon et limitrophe de la Meurthe-et-Moselle à l’ouest comme au nord et au nord-est. La mention sur-Madon est de 1922. Battexey (34 hab., 272 ha), 13 km NNE de Mirecourt, limitrophe de la Meurthe-et-Moselle, est bornée à l’ouest par le Madon, au sud par le Colon qui y confluent. Xaronval (120 Xaronvaux, 525 ha), 14 km NE de Mirecourt, propose un musée de village 1900. Avrainville (120 Avrainvillois, 457 ha), 15 km NE de Mirecourt, a un finage qui fait saillie dans la communauté d’agglomération d’Épinal. Le Colon borne le finage au sud. Gircourt-lès-Viéville (190 hab., 844 ha dont 190 de bois), 10 km NE de Mirecourt, est dans la vallée du Xouillon, accompagnée au nord par le hameau de Viéville, incorporé dès les années 1790. Bouxurulles (170 Bouxurullois, 670 ha dont 169 de bois), 16 km NE de Mirecourt, se tient dans un petit vallon du versant gauche du Rulle, affluent du Colon. Rapey (23 hab., 303 ha), 13 km à l’est de Mirecourt, est à la source du Rulle. Jorxey (83 hab., 540 ha dont 177 de bois), 11 km à l’est de Mirecourt, est à la source du Xouillon. Avillers (54 hab., 692 ha dont 127 de bois), 8 km ENE de Mirecourt, est dans la vallée du Xouillon. Villers (210 Villerois, 497 ha dont 124 de bois), est 4 km à l’est de Mirecourt, avec au nord une trace de voie romaine vers la Moselle. Vroville (130 Vrovillois, 683 ha dont 153 de bois), est 4 km au SE de Mirecourt. Ahéville (71 Ahévillois, 584 ha dont 159 de bois) est à 7 km ESE de Mirecourt. Vaubexy (130 hab., 652 ha dont 285 de bois), 11 km ESE de Mirecourt, est dans le vallon du Robert, affluent de la Gitte. Gugney-aux-Aulx (170 hab., 867 ha dont 300 de bois), 13 km à l’est de Mirecourt, est sur le versant gauche du Colon, avec quelques vergers. Varmonzey (26 Varmonzeyeilles, 257 ha), 17 km ENE de Mirecourt, est sur la rive gauche du Colon. Évaux-et-Ménil (360 Valménilois, 500 ha), 19 km ENE de Mirecourt, 3 km au sud-ouest de Vincey, est issue d’une fusion des années 1790, entre Évaux au nord et le Ménil au sud, où sont quelques vergers; rénovations Adonis (30 sal.). La commune a gagné 100 hab. depuis 1999 (+39%). Bettegney-Saint-Brice (160 hab., 532 ha dont 181 de bois) est 19 km à l’est de Mirecourt sur le versant droit du Colon. Madegney (130 hab., 305 ha), 16 km ESE de Mirecourt, est sur le versant gauche du Colon. Regney (94 hab., 390 ha dont 176 de bois), 17 km à l’est de Mirecourt, est sur le versant gauche du Colon juste à l’est de Madegney. Saint-Vallier (100 hab., 444 ha), 18 km ESE de Mirecourt, est à la source du Colon; l’altitude y monte à 441 m. Bouxières-aux-Bois (140 Bouxiérois, 768 ha dont 319 de bois), 21 km ESE de Mirecourt, est à 380 m, à l’est d’une crête qui atteint 443 m tout au sud dans une queue du finage au Haut de Vergy. Circourt (89 Circourtiens, 593 ha dont 150 de bois), 16 km ESE de Mirecourt, est dans la vallée du Robert. La Côte de Virine y monte à 465 m. Derbamont (120 Derbamontais, 683 ha dont 231 de bois), 14 km ESE de Mirecourt, étire son village au creux de la vallée du Robert. Au Sud Bouzemont (53 Bouzemontois, 497 ha dont 206 de bois), 13 km SE de Mirecourt, perche son petit village sur un promontoire du talus méridional du plateau de grès, au-dessus de la vallée de la Guitte. Bazegney (120 Basognaciens, 581 ha dont 215 de bois), 10 km SE de Mirecourt, est dans la vallée du Robert, rive gauche. Racécourt (180 Racécurtiens, 723 ha dont 187 de bois), 9 km SE de Mirecourt, est sur la rive droite de la Gitte juste à l’aval du confluent du Robert. Velotte-et-Tatignécourt (160 hab., 536 ha), 7 km SSE de Mirecourt, associe deux habitats très proches, réunis dans les années 1790; Velotte est au pied du versant droit de la Gitte, Tatignécourt juste à l’aval sur la rive gauche. Le Madon sinueux borde le finage à l’ouest et y reçoit la Guitte, que traverse la D166 au confluent. Hymont (490 Hymontais, 417 ha), 6 km au sud de Mirecourt, est juste au sud et au bord de la Saule qui y rejoint le Madon. Le village, contourné par la voie ferrée, prolonge au sud l’habitat de Mattaincourt; il a perdu 80 hab. après 1999. Maroncourt (7 hab., 224 ha), 8 km SSE de Mirecourt, est la commune la moins peuplée du département, sur la rive droite du Madon. Valleroy-aux-Saules (270 hab., 503 ha), 8 km au sud de Mirecourt, est au bas du versant gauche du Madon sur la D4. Le relief s’appuie sur une butte du rebord du plateau de grès, détachée par le cours de la Saule et partagée avec Madecourt. Madecourt (52 hab., 449 ha dont 135 de bois), 10 km SSO de Mirecourt, est au pied d’une avant-butte du plateau de grès, détachée par la vallée de la Saule. Hagécourt (130 Hagécurtiens, 760 ha dont 205 de bois), 10 km SSE de Mirecourt, est sur la rive droite du Madon; bois à l’est. Rancourt (81 hab., 557 ha dont 168 de bois), 13 km SSO de Mirecourt, est au pied du plateau de grès dans un petit vallon. Bainville-aux-Saules (140 hab., 561 ha), 13 km au sud de Mirecourt, est dans un vallon affluent de gauche du Madon, au bas du coteau du plateau de grès et sur la D165. Begnécourt (160 Bégnécurtiens, 457 ha), 14 km SSE de Mirecourt, est sur la rive droite du Madon et sur la D165. Gelvécourt-et-Adompt (110 hab., 394 ha), 15 km SSE de Mirecourt, associe Adompt, sur la rive gauche du Madon (mairie) et Gelvécourt un peu plus en amont sur la rive droite; traces d’une voie romaine sur la crête du plateau au-dessus d’Adompt. Les deux villages ont été réunis dès les années 1790 mais la commune s’est seulement nommée Gelvécourt jusqu’en 1961. Les Ableuvenettes (60 hab., 449 ha), 16 km SSE de Mirecourt, a son village en deux hameaux de part et d’autre du Madon. Légéville-et-Bonfays (58 Legevillois, 521 ha dont 131 de bois), 16 km au sud de Mirecourt, a son village sur la rive droite du Madon au confluent du Cendrier. Bonfays n’est plus qu’un minuscule hameau en aval, associé à Légéville depuis les années 1790. Le relief est traversé à l’est par une voie romaine. Pierrefitte (120 hab., 678 ha dont 392 de bois), 19 km SSE de Mirecourt, est sur une colline dominant la vallée du cendrier, affluent de droite du Madon, et sur le trajet de la voie romaine; grands bois au sud. Ville-sur-Illon (560 Vilains, 1 789 ha dont 663 de bois), 18 km SSE de Mirecourt, est dans la vallée de l’Illon, où elle associe trois habitats: Ville sur la rive droite, Dommartin lès Ville juste au NO au bas du versant, avec château et musée; un faubourg au sud rive gauche, le Champ de Mars. Dommartin avait été absorbée dès les années 1790. Le musée vosgien de la brasserie est associé au château Lobstein, du 19e s., construit pour le brasseur alsacien de ce nom, replié après 1870, créateur de la Grande Brasserie et Malterie vosgienne, peu à peu réduite puis fermée entre 1956 et 1975. Le finage s’étend largement au sud dans les bois, où est l’étang de Jeanmol. La commune a gagné 90 hab. après 1999. Harol (680 Harolais dont 65 à part, 2 734 ha dont 425 de bois), 23 km SSE de Mirecourt, 17 km OSO d’Épinal, est sur la ligne de partage des eaux entre Meuse et Saône et y a plusieurs habitats. Harol même se tient sur un étroit promontoire du plateau de grès. Au sud dans la plaine se succèdent les hameaux de Longeroye et du Ménil. Au NO au bord de l’Illon est le gros hameau de la Rue. Tout au SE sont les petits hameaux de Puttegney et de Saucenot; lycée agricole catholique (horticulture et paysage), entreprise de mécanique Saint-Jean (55 sal.), négoce de matériel agricole Pagot Caput (25 sal.). Harol a eu près de 1 300 hab. vers 1950. Elle a gagné 70 hab. depuis 1999. Dommartin-aux-Bois (400 hab., 1 570 ha dont 214 de bois), 26 km SE de Mirecourt, 17 km OSO d’Épinal, est à la source de la Gitte et aussi sur la ligne de partage des eaux; hameau d’Adoncourt au nord sur la Gitte. +90 hab. depuis 1999. Gorhey (180 hab., 631 ha), 21 km SE de Mirecourt, est dans la vallée de la Gitte. Hennecourt (370 Hennécurtiens, 717 ha) est à 20 km SE de Mirecourt; au nord, hameau des Maisons Rouges avec échangeur de la D166. Bocquegney (140 Bocquenois, 457 ha), 21 km SE de Mirecourt, est sur le Rupt Julot, affluent de la Guitte; la D166 traverse le finage au sud. Damas-et-Bettegney (370 Damacènes, 1 507 ha dont 295 de bois), 19 km SE de Mirecourt, se compose du village-rue de Damas dans la vallée de la Guitte et du hameau de Bettegney au nord dans un vallon affluent, au-delà de la D166. Bettegney-devant-Dompaire a été réunie à Damas dès les années 1790. Madonne-et-Lamerey (420 Lamadoniens, 702 ha dont 190 de bois), 17 km SE de Mirecourt, est juste à l’est de Dompaire; Lannerey est sur la rive droite de la Gitte, avec un faubourg de rive gauche lié à Dompaire, où sont école et mairie; Madonne est un hameau peu étoffé sur la rive gauche en amont; la D166 passe entre les deux. Lannerey, jadis Tannerey, a été réunie à Madonne dans les années 1790. Dompaire (1 160 Dompairois, 1 663 ha dont 555 de bois) est un ancien chef-lieu de canton à 21 km ONO de la préfecture et15 km SE de Mirecourt, au bord de la Gitte, à la bifurcation des routes vers Vittel et vers Mirecourt. Le village est prolongé au NO par celui de Laviéville suivi du hameau de Naglaincourt, restes de la commune de Laviéville-Naglaincourt absorbée en 1836. Il a un collège public. La population communale avait dépassé 1 600 hab. vers 1850 puis était tombée à 920 vers 1930; elle s’est à peu près maintenue à ce niveau ensuite, puis a gagné 230 hab. après 1999. (5 580 Mirecurtiens, 1 212 ha dont 208 de bois) est un ancien chef-lieu de canton des Vosges dans l’arrondissement de Neufchâteau, 38 km à l’est de celle-ci et 30 km au NO d’Épinal. La ville, qui fut Mercuri Curtis et donc dédiée au dieu du commerce, se perche sur le plateau dans lequel s’encaissent les méandres du Madon, et qui fait comme une marche entre deux talus des grès triasiques. Elle a de belles halles de 1617 et son musée de la lutherie rappelle qu’elle fut un haut lieu de fabrication d’instruments de musique au 18e siècle, sans que l’on sache exactement pourquoi, mais avec la protection du duché de Lorraine. La lutherie Aubert emploie 20 personnes et il existe quelques artisans luthiers, une École nationale de lutherie au lycée, et une école (privée) de lutherie et archerie d’art (Pagès), ainsi qu’un Groupement des luthiers et archetiers d’art français (GLAF); s’y ajoutent une maison de la Musique mécanique et une maison de la Dentelle. La ville est surtout un centre de commerces et de services avec le centre hospitalier spécialisé du château de Ravenel à l’ouest de la ville, un hôpital rural (12 lits), un institut de rééducation, un centre d’aide par le travail; lycée et collège publics, un lycée agricole et forestier avec formation d’adultes et d’apprentis; Intermarché (75 sal.) et Carrefour (25 sal.), La Poste (50 sal.). La population communale s’est tenue entre 5 000 et 6 000 hab. de 1800 à 1940, puis a augmenté après la guerre, atteignant un maximum de 8 800 hab. en 1975; elle diminue depuis, et a encore perdu 1 400 hab. depuis 1999 (-20%). Mirecourt est le siège de la communauté de communes de Mirecourt-Dompaire qui associe 76 communes (19 300 hab.). Le nouveau canton de Mirecourte a 56 communes et 17 300 hab. |