Communauté de communes du Volvestre

Volvestre

'

Highslide JS

communauté de communes de la Haute-Garonne, associant 32 communes, 29 600 hab. sur 40 800 ha. Les unes sont dans le Volvestre proprement dit, d’autres dans la plaine de la Garonne. Carbonne (siège), Saint-Sulpice-sur-Lèze, Longages, Montesquieu-Volvestre, Noé et Rieux-Volvestre dépassent 2 000 hab.

Le Volvestre est une ontrée au pied des Pyrénées, juste à l’est de la vallée de la Garonne. Son nom vient du Volp, affluent de la Garonne. Elle s’étend sur la partie orientale des Petites Pyrénées autour de Sainte-Croix-Volvestre, dans un relief assez accidenté et boisé drainé par le Volp, et dans les collines molassiques qui forment le piémont des Pyrénées entre Garonne et Lèze; le Terrefort du Volvestre, traversé par la limite entre les départements de l’Ariège et de la Haute-Garonne, y est animé par les bourgades de Montesquieu-Volvestre et Rieux, toutes deux dans la basse vallée de l’Arize.

Salles-sur-Garonne (580 Sallois, 568 ha) est à 5 km SO de Carbonne sur la rive gauche de la Garonne, qui borde son finage le long de celui de Rieux-Volvestre. Sur Garonne a été ajouté en 1929. La petite commune est traversée par la voie ferrée et a des étangs de gravières au nord. Elle a gagné 270 hab. depuis 1999 (+87%).

Lafitte-Vigordane (1 190 Lafittois, 1 138 ha), 5 km à l’ouest de Carbonne, 16 km NE de Cazères, voisine de Carbonne, est au pied du talus de la basse terrasse, qui s’est peuplé de pavillons; grand château avec vaste jardin sur la terrasse, qui fut à la famille de Rémusat. La Louge limite le finage au NO; au SE, grands étangs de gravières et A64, avec un accès (n°26) à la limite NE de la commune. La population a augmenté de 520 hab. depuis 1999 (+78%). Lafitte vient d’une borne limite (pierre fitte), Vigordane de Bigourdan, le comte de Comminges Bernard IV s’estimant jadis également comte de Bigorre par mariage.

Peyssies (580 Peyssissois, 637 ha), 5 km au NO de Carbonne, est sur la terrasse; base de loisirs avec lac sur la Louge, qui limite le finage à l’ouest, étangs de gravières dans la plaine à l’est. La commune a 210 hab. de plus qu’en 1999 (+57%).

Bois-de-la-Pierre (430 Boscois, 742 ha), 10 km NO de Carbonne, a son petit village au pied du talus de la moyenne terrasse garonnaise, au bord du canal de Saint-Martory. Le finage est plus étendu sur la basse terrasse, où il va jusqu’à la Louge, que sur la moyenne; lac de Peyssiès (16 ha) à l’angle SE, avec base de loisirs; +120 hab. depuis 1999 (+39%).

Marquefave (1 050 Marquefavais, 1 892 ha dont 400 de bois) est à 5 km NE de Carbonne. Son village est sur la rive droite de la Garonne, avec un vieux pont sur le fleuve et les ruines d’un château féodal; un institut médico-éducatif. Une partie du finage est dans la plaine de rive gauche, avec la mairie au bout du pont; elle est traversée à l’ouest par la voie ferrée et l’A64, étang de gravière au nord partagé avec Capens. Le finage est toutefois bien plus étendu sur les collines du Terrefort à l’est, où il atteint le vallon de l’Aunat. L’Eaudonne traverse le finage et atteint la Garonne juste en aval du village. La population croît légèrement depuis 1975 (530 hab.) et a augmenté de 120 hab. depuis 1999.

Capens (680 Capenois, 677 ha), 7 km NNE de Carbonne, est sur la rive droite de la Garonne, avec un pont. Le finage monte à l’est sur les collines, limité par l’Aunat, qui rejoint la Garonne à la limite NE de Capens. À l’ouest, il occupe une part de la plaine de rive gauche de la Garonne, trouée d’étangs de gravières et traversée par la voie ferrée et par l’A64, qui propose les aires de service de Garonne et du Volvestre, et l’échangeur n°28, assorti d’une zone d’activités partagée avec Noé; emballages en bois STPM (35 sal.), station-service autoroutière Shell (25 sal.), services domestiques Du Côté de chez soi (25 sal.). La population a augmenté de 390 hab. (+134%!) depuis 1999.

Mauzac (1 290 Mauzacais, 927 ha), 14 km NNE de Carbonne, est dans une configuration comparable à celle de Capens: village sur la rive droite avec un pont, finage de collines de Terrefort à l’est, part de la basse plaine garonnaise à l’ouest rive gauche. La commune est traversée par l’A64 et abonde en étangs de gravières. Midi-Pyrénées Granulats (25 sal.) en exploite une partie. La différence tient à ce que dans la plaine, au Fouga, près des restes de l’ancien camp de Noé, s’est établi depuis 1974, sur le site d’une ancienne poudrerie, un nouveau centre de recherches de l’Onera (75 personnes), doté d’une soufflerie. La population augmente depuis les 320 hab. de 1968; elle s’est accrue de 600 hab. (+87%) après 1999.

Montaut (520 Montaudais, 1 788 ha), 12 km NE de Carbonne, est un village du Terrefort, dont l’habitat se disperse dans les collines et dont la limite occidentale n’atteint que partiellement la Garonne au pied de coteaux inhabités. Le finage dépasse à l’est la vallée de la Lèze au nord de Saint-Sulpice, atteignant la limite d’Auribail; +70 hab. depuis 1999.

Les huit communes suivantes sont dans le Terrefort du Volvestre, toutes à la limite du département de l’Ariège.

Montgazin (200 Montgazinois, 689 ha), 11 km ENE de Carbonne, est au SE de Montaut et au SO de Saint-Sulpice, avec un très petit village sur un sommet de colline. L’Aunat limite son finage à l’ouest. La commune a gagné 50 hab. depuis 1999 (un tiers).

Lacaugne (210 Laucagnais, 606 ha), 7 km ESE de Carbonne, est dans les collines entre l’Eaudonne et l’Aunat.

Latrape (380 Trapéens, 1 908 ha dont 159 de bois), 10 km ESE de Carbonne, a un village de crête avec château. Le finage atteint au sud la vallée du Camedon, qui rejoint la Garonne à Rieux-Volvestre. L’Aunat le limite à l’est, sauf tout au nord où le château de Tousquet, sur le versant droit, appartient à Latrape. La population a augmenté de 80 hab. depuis 1999; elle avait dépassé 1 000 hab. entre 1850 et 1872, n’était que de 210 hab. en 1990.

Castagnac (300 Castagnacois, 1 077 ha), 18 km ESE de Carbonne au sud de Lézat-sur-Lèze, va de l’Aunat à la Lèze. Le petit village est sur une crête au sud du finage, avec un château du 15e s., signalé aussi pour ses jardins. Tout à l’est, la D919 longe la Lèze et a fixé le hameau de Payroulé au pied du village. La commune a gagné 90 hab. depuis 1999 (+44%).

Massabrac (90 Massabracois, 400 ha), 19 km ESE de Carbonne, a sa mairie et quelques maisons dans la vallée de la Lèze, où passe la D816. Le finage s’étend au SO dans les collines.

Canens (57 Canenois, 484 ha), 16 km SE de Carbonne, est sur une colline longée à l’ouest par l’Aunat.

Lapeyrère (70 Peyrérois, 630 ha), 17 km SE de Carbonne, est dans les collines entre Aunat et Canedon.

Latour (80 Latourois, 624 ha), 21 km SE de Carbonne, est bordée à l’est par la vallée du Canedon.

Bax (90 Baxois, 599 ha), 14 km SE de Carbonne, allonge son finage dans la vallée du Canedon.

Mailholas (35 Mailholasois, 294 ha), 8 km SE de Carbonne, a également pour axe la vallée du Canedon, à la limite du finage de Rieux-Volvestre.

Montbrun-Bocage (490 Montbrunais, 3 061 ha dont 1 300 de bois), 25 km SSE de Carbonne, dessine une avancée dans le département de l’Ariège, entre Sainte-Croix-Volvestre et Daumazan. Son village est à 13 km SSE de Montesquieu, juste au pied de l’extrémité du Plantaurel; ruines du château féodal, église toulousaine du 15e s. à peintures murales. Montbrun a ajouté Bocage à son nom en 1921; elle avait plus de 1 600 hab. en 1851 et s’est fort dépeuplée; mais elle vient de gagner 110 hab. depuis 1999.

Lahitère (57 Lahitérois, 390 ha), 24 km au sud de Carbonne, est en limite de département, entre les finages de Montesquieu-Volvestre et Sainte-Croix-Volvestre.

Gouzens (90 Gouzenais, 570 ha dont 300 de bois), 19 km au sud de Carbonne, est à 4 km SO de Montesquieu dans la petite vallée de l’Azou.

Goutevernisse (180 Goutevernissois, 469 ha), 11 km SSO de Carbonne, est bordée à l’est par l’Azou, à partir de la confluence de la Baraque. Elle n’avait que 80 hab. en 1999 et a donc plus que doublé depuis.

Les communes au sud-ouest de Carbonne sont associées plus directement à la Garonne.

Saint-Christaud (250 Saint-Christophins, 1 087 ha dont 250 de bois), 18 km SSO de Carbonne, est tout près de Cazères. Le village est dans les collines qui dominent la confluence du Volp et de la Garonne. Le finage occupe à l’ouest la basse vallée du Volp, qui atteint la Garonne juste après le Pont du Diable (une arche, 14e s.); il s’étend à l’est dans les collines jusqu’à la petite vallée de la Baraque, sous-affluent de l’Arize par l’Azou.

Gensac-sur-Garonne (420 Gensacois, 1 014 ha), 14 km SSO de Carbonne, est sur la rive droite de la Garonne, sans pont. Le finage dispose d’environ 250 ha de plaine alluviale, avec une petite urbanisation récente à la pointe SO près de Cazères et du Pont du Diable. Le reste est dans les collines du Terrefort, au-delà du coteau rectiligne de la Garonne. La population a augmenté de 150 hab. depuis 1999 (+56%). Sur Garonne est de 1929.

Saint-Julien-sur-Garonne (550 Saint-Julienois, 815 ha), 9 km SO de Carbonne, est sur la rive gauche du fleuve, qui borde le finage à l’est; un pont la relie à Rieux-Volvestre. Sur Garonne n’a été rajouté qu’en 2005. La commune a gagné 200 hab. depuis 1999 (+57%)

Lavelanet-de-Comminges (650 Lavelanétiens, 1 354 ha), 13 km SO de Carbonne, s’étend dans la plaine de la Garonne, traversée par la voie ferrée et l’autoroute. Le village est au pied de la première terrasse de rive gauche de la Garonne. La population croît doucement; elle a augmenté de 160 hab. depuis 1999 (+33%). La mention «de Comminges» est de 1929.


Carbonne

(5 730 Carbonnais, 2 659 ha dont 160 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de la Haute-Garonne, 25 km au SSO de Muret sur la rive gauche de la Garonne, au confluent de l’Arize. C’est une bastide de 1256, fondée dans un méandre de la Garonne par l’abbaye de Bonnefont près d’une bourgade antérieure ravagée par les guerres; clocher toulousain, hôtel de ville du 18e s., belle halle à arcades de 1882, pont de pierre de 1780 sur la Garonne, colombiers, musée en partie en plein air des sculptures d’André Abbal (1876-1953). Au sud, la retenue de Mancies sur la Garonne offre un large plan d’eau, avec base de loisirs. Le finage est troué d’étangs de gravières et traversé en droite ligne par l’A64, qui offre deux échangeurs (n°26 et 27); la voie ferrée passe plus près du bourg; château et petit bois de Moureau au nord. Au SE, il envoie une queue de plus de 4 km dans les collines du Terrefort du Volvestre.

La ville a un collège public, une gare et un échangeur de l’autoroute A64; ses commerces et services ont un rayon étendu. Elle accueille une fabrique d’engrais azotés Agronutrition (85 sal.), une imprimerie DSI (60 sal., entreprise adaptée), et quelques ateliers dont Palacios (meubles, 30 sal.), Innopsys (matériels électriques, 30 sal.); bétons PBM 31 (50 sal.); supermarchés Auchan (45 sal.) et Leader Price (25 sal.); gardiennage Securitas (55 sal.), transports Pédussaut (45 sal.), récupération de déchets Corido (40 sal.). La population a varié entre 2 200 et 2 500 hab. de 1830 à 1950, puis un peu augmenté, passant les 3 000 en 1966; elle a gagné 1 940 hab. (+51%) depuis 1999. Carbonne est le siège de la communauté de communes du Volvestre, forte de 32 communes (dont Rieux et Montesquieu-Volvestre) et 29 600 hab.


Longages

(3 080 Longagiens, 2 142 ha dont 216 de bois) est une commune de la Haute-Garonne dans la communauté du Volvestre, 7 km au nord de Carbonne, sur la basse terrasse entre Garonne et Louge. La bourgade a une gare, deux accès à l’A64, de nombreuses petites entreprises, surtout de bâtiment, et une cave coopérative; installations thermiques Aliber (45 sal.), menuiserie Couleur Brique (30 sal.). Elle s’orne d’intéressantes halles de 1907 de style art nouveau, et de plusieurs châteaux dispersés: de Sainte-Marie (18e s.), du Prieuré, ancien mais refait au 19e s, la Linde (1790) et la Tourette (1818) dans le style bourgeois toulousain; complexe sportif avec plan d’eau dans une ancienne gravière et arboretum; gare à l’est. La commune avait 850 hab. dans les années 1935-1955 et croît depuis; elle a augmenté de 1 150 hab. depuis 1999 (+60%).


Montesquieu-Volvestre

(3 100 Montesquiviens, 5 982 ha dont 2 831 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de la Haute-Garonne, 40 km au SSO de Muret dans la communauté du Volvestre, 15 km au sud de Carbonne sur la rive droite de l’Arize. C’est une bastide de 1246, riche d’une belle place à couverts et halle du 16e siècle, d’une église en brique du gothique méridional des 14e-15e s. pourvue d’un beau mobilier, et de maisons anciennes à colombage; collège public, institut médico-éducatif, supermarché Carrefour (20 sal.). Le finage est en trois parties: la vallée de l’Arize au centre, les collines du Terrefort au nord, et au sud un long appendice de 8 km sur 2, dans les collines qui bordent les Petites Pyrénées, dont la D627 suit une crête. Cet appendice atteint la limite de l’Ariège et les premiers plis du Plantaurel au SE de Sainte-Croix-Volvestre. Les restes d’un cône de déjection marquent à cette extrémité le débouché d’un ancien Salat du Pliocène, avec un lambeau de plateau à 524 m. La population communale a culminé à 4 100 hab. en 1861 et s’est abaissée au-dessous de 2 000 hab. entre 1950 et 1975, puis a entamé une nouvelle croissance; elle a gagné 730 hab. depuis 1999 (31%).


Noé

(2 950 Noémiens, 965 ha) est une commune de la Haute-Garonne dans la communauté du Volvestre, 9 km NNE de Carbonne, sur la rive gauche de la Garonne à 15 km SSO de Muret, avec un pont. Elle s’était illustrée par l’établissement d’un camp de prisonniers en 1941, pouvant accueillir 1 600 personnes âgées et malades sur 15 ha, mais dont les conditions de vie se sont vite dégradées; il reçut notamment des Tsiganes et de nombreux Juifs, et servit finalement de transit vers Drancy et Auschwitz. Dans un tout autre registre, Noé avait contribué à la réussite du pittoresque homme d’affaires Jean-Baptiste Doumeng (1919-1987), surnommé le «milliardaire rouge» qui, à partir d’une base coopérative locale, avait monté l’empire Interagra, bénéficiant de monopoles et de faveurs dans le commerce agricole avec le bloc de l’Est; l’ensemble a disparu peu de temps après la mort de Doumeng.

Noé est à présent atteinte par la croissance du Grand Toulouse; elle avait 750 hab. en 1954, 1 500 en 1982; elle a encore gagné 850 hab. depuis 1999 (+40%). La commune est traversée par l’A64 et la D617 et frôlée à l’ouest par la voie ferrée (la gare est à Longages en limite de la commune). Elle accueille la menuiserie de Longages (20 sal.), magasin et services Irrijardin (75 sal.), les travaux publics EJL (groupe Jean Lefebvre, 40 sal.), les transports et travaux publics Chetcuti (TDV, 35 sal.) et MTR (40 sal.), finitions de bâtiment Sol Façade (80 sal.); négoce d’articles religieux et funéraires Arche Diffusion (45 sal.), supermarché Casino (65 sal.); La Poste (50 sal.). Le finage déborde légèrement sur le coteau droit de la Garonne. Au SO sont un collège public, des serres et une zone d’activités attirée par l’échangeur 28 de l’A64 qui est à Capens en limite de Noé.


Rieux-Volvestre

(2 630 Rivois., 3 238 ha dont 251 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de la Haute-Garonne dans l’arrondissement de Muret, en Volvestre, 28 km au SSO de Muret au bord de l’Arize, à son débouché dans la plaine de la Garonne, 5 km avant son confluent à Carbonne. Le nom était officiellement Rieux avant 2009, date à laquelle a été officiellement entérinée une pratique très ancienne en ajoutant Volvestre. Un évêché y avait été créé en 1317 par Jean XXII, originaire de Cahors et qui soigna la région. Il en reste une cathédrale de brique des 14e et 17e s., au riche trésor et à clocher octogonal sans flèche.

Le bourg a des maisons anciennes à colombage, et des ponts vénérables; clinique et maison de santé pour sclérosés de la Nafsep (50 lits); musée d’histoire locale, observatoire astronomique. Le finage est à moitié dans les collines du Volvestre à l’est, traversées par la vallée du Camedon, qui rejoint l’Arize au nord du bourg; base de loisirs sur la Garonne (retenue du Mancies), qui présente 8 km de rive droite dans la commune. La population communale croît depuis le creux de 1968 (1 200 hab.) et a augmenté de 710 hab. depuis 1999 (+37%); elle avait néanmoins déjà dépassé 2 500 hab. en 1866.


Saint-Sulpice-sur-Lèze

(2 410 Saint-Sulpiciens, 1 397 ha) est une commune de la Haute-Garonne dans le Volvestre, 13 km au NE de Carbonne sur la rive gauche de la Lèze. La bourgade dessert les collines du Terrefort et a des relations directes avec Toulouse, à 32 km. Elle est issue d’une bastide de 1257 établie par les hospitaliers dans la large plaine de la Lèze, rive gauche; on reconnaît encore son plan en damier; très belle place à couverts, église du 15e s. à clocher-porche octogonal, maisons à colombage. Le finage s’étend à l’ouest, et davantage vers l’est. Il est limitrophe de l’Ariège.

Les principaux employeurs sont les menuiseries 3SP (35 sal.) et Rouzès (45 sal.); constructions et piscines PAC (30 sal.), plâtrerie Rouzès (35 sal.); maison de retraite Medica Korian (50 sal.). La commune se nomma Saint-Sulpice tout court, puis Saint-Sulpice-de-Lézat; le nom actuel est de 1904. La population est passée au-dessous de 900 hab. entre 1931 et 1965, contre près de 1 500 au milieu du 19e s., mais croît depuis; elle a gagné 750 hab. (+44%) après 1999.