nom donné par des géographes au pays agenais pris au sens large, entre les mouvances bordelaise et toulousaine, entre Gascogne et Périgord. Il évoque les images rurales des cultures délicates de fruits, de primeurs et de tomates, des séchoirs de tabac et de maïs, ainsi que les nombreuses bastides juchées sur les collines et les serres, et les maisons anciennes, souvent à «balet». Le nom a été également associé au repeuplement d’une région exsangue, dans la première moitié du 20e siècle, par des migrants ruraux venus d’Espagne, plus encore d’Italie, ainsi que de Bretagne et de Vendée. De nos jours, ses maisons sont recherchées par nombre d’étrangers, mais surtout d’Europe du Nord-Ouest. |