Auberive Vingeanne et Montsaugeonnais ' communauté de communes de la Haute-Marne, associant 51 communes et 8 440 hab. sur 76 040 ha. Le Montsaugeonnais en est le siège; aucune commune n’atteint 2 000 hab. Le Montsaugeonnais (1 250 hab., 3 333 ha dont 951 de bois) est une commune nouvelle de2016, associant trois communes anciennes par fusion. Prauthoy (420 Prauthoyens, 1 230 ha dont 472 de bois) en a la mairie; c’est un ancien chef-lieu de canton, 22 km au sud de Langres, au pied du coteau bordier du plateau de Langres, sur la N74 et la voie ferrée de Dijon; un collège public, atelier de mécanique de précision (PMS, 25 sal.). L’habitat s’est étendu sur le relief dans les bois de Montanson. Vaux-sous-Aubigny (740 Vauxois, 1 471 ha dont 433 de bois), 3 km au sud de Prauthoy, est au pied du plateau de Langres au bord du Badin, affluent de la Vingeanne, sur la N74 et la voie ferrée de Dijon, et réputée pour sa maroquinerie P.J. Guène (110 sal.), qui travaille pour l’industrie parisienne du luxe; fromagerie Germain (70 sal.); atelier de mécanique MGS (20 sal.); on y apprécie un petit effort de renouveau du vignoble local (12 ha, vins de pays), avec caveau pour visiteurs; église classée du 12e s. L’habitat inclut au NO sur le relief l’ancienne commune d’Aubigny-sur-Badin, absorbée en 1959, et au sud l’ancien village de Couzon-sur-Coulange, au débouché de la Coulange dans la plaine, issu d’une commune absorbée en 1965. Montsaugeon (90 Montsaugeonnais, 632 ha dont 46 de bois), 2 km au SE du chef-lieu, est un ancien village fortifié sur le flanc occidental d’une butte-témoin ronde, classé et en rénovation, avec une belle halle et un étang; l’ancien fief se nomme encore Montsaugeonnais. Au total, la population a baissé de 70 hab. depuis 1999, tous à Prauthoy. Rivière-les-Fosses (200 hab., 1 794 ha dont 913 de bois), 7 km SO du Montsaugeonnais, est dans la vallée de la Coulange, encaissée dans le plateau de Langres; maison forte, au NO, hameau de Pressant au sud. Le finage est limitrophe de la Côte-d’Or. Occey (160 hab., 1 687 ha dont 276 de bois), 9 km au sud du Montsaugeonnais, est la commune la plus méridionale du département, limitrophe de la Côte-d’Or et proche de Selongey (8 km). Son finage de plaine est traversé par la voie ferrée de Dijon, et borné à l’ouest par D974 (ex-N74) rectiligne; constructions métalliques Auer (35 sal.). Isômes (150 Isômois, 1 063 ha), 5 km SSE du Montsaugeonnais, en plaine, est au confluent du Badin et de la Coulange. Cusey (290 Catotiers, 2 322 ha dont 361 de bois), 8 km SE du Montsaugeonnais, a son village au bord de la Vingeanne, des deux côtés, avec un château; le canal Entre Champagne et Bourgogne passe juste à l’ouest, traversant tout le finage. Au sud, la commune englobe le village de Percey sous Montormentier (120 hab.), d’une commune absorbée en 1972, sur la rive gauche de la Vingeanne et tout près du canal. Le finage s’étend vers le NE dans le bois de Cusey. Il est à la limite de la Haute-Saône et de la Côte-d’Or à la fois. La commune a gagné 50 hab. depuis 1999. Choilley-Dardenay (170 hab., 1 756 ha dont 446 de bois), 4 km ESE du Montsaugeonnais, associe depuis 1973 deux villages qui sont au bord de la Vingeanne et du canal Entre Champagne et Bourgogne, à un kilomètre de distance, Choilley (80 hab., mairie) en amont de Dardenay (90 hab.). Le finage est limitrophe de la Haute-Saône. Dommarien (170 hab., 1 775 ha dont 476 de bois), 4 km ENE du Montsaugeonnais, a son village au bord de la Vingeanne, rive droite, et du canal Entre Champagne et Bourgogne; camping. Le finage s’étend vers l’est dans le bois de Côte Aubert et la forêt domaniale de Chassigny. Coublanc (120 hab., 1 919 ha dont 983 de bois), 15 km ENE du Montsaugeonnais, est au confluent du Salon et de la Resaigne et limitrophe de la Haute-Saône. La D67 traverse le finage à l’ouest. La commune se signale par une grotte avec résurgence et abondance de chauves-souris, qui l’ont fait classer en site Natura 2000. Le finage s’étire vers le nord dans les bois à l’est de Grandchamp. Coublanc a repris en 1990 une autonomie qu’elle avait perdue en 1972 en fusionnant avec Dommarien et Chassigny dans une commune alors dénommée Chassigny-Aisey. Maâtz (76 Maatzois, 1 084 ha dont 536 de bois), 15 km ENE du Montsaugeonnais, est juste au nord de Coublanc au bord de la Resaigne; son finage est doté au nord d’une queue qui longe celui de Grandchamp à l’est, et s’étend à l’ouest dans les bois de la Grande Enceinte. Grandchamp (80 hab., 478 ha), 17 km ENE du Montsaugeonnais, est au bord de la Resaigne. La commune avait fusionné en 1974 avec Chassigny-Aisey et a repris son autonomie en 1990. Chassigny (260 Chassigniens, 1 589 ha dont 334 de bois), 9 km NE du Montsaugeonnais, est sur la D67 et a pour annexe au NO le hameau du Mont; caverne du Trou des Fées au NO. Elle avait fusionné en 1972 avec Dommarien et Coublanc, l’ensemble prenant le nom de Chassigny-Aisey, rejoint par Grandchamp en 1974; cette fusion a été dissoute en 1990. Villegusien-le-Lac (1 010 hab., 4 003 ha dont 495 de bois), 7 km NNE du Montsaugeonnais, est sur la Vingeanne et le canal Entre Champagne et Bourgogne. Le village est longé par la voie ferrée, qui le sépare du grand réservoir de Vingeanne, établi en 1906 pour les besoins du canal et qui occupe 199 ha, dont une petite moitié dans la commune, avec base nautique et camping à l’ouest. Villegusien, qui avait 260 hab. en 1968 contre 500 un siècle avant, a absorbé en 1972 les communes de Piépape (château des l6e et 18e s.) au sud, Prangey (château du 18e) à l’ouest et Saint-Michel au sud-ouest, et en a profité pour ajouter«le Lac» à son nom. Piépape est sur la rive droite de la Vingeanne, les deux autres villages sont au bas du coteau du plateau de Langres, ainsi que le hameau de Vesvres-sous-Prangey, au nord de Prangey. La D974 traverse tout le finage à l’ouest du lac. Enfin Villegusion a absorbé en 2016 au NE la commune d’Heuilley-Cotton (300 hab., 1 009 ha) dont le village est à 6 km au NE de Villegusien, également sur la Vingeanne et le canal au pied du plateau, précédé par la butte-témoin de Grigot (407 m). Le nouveau canton de Villegusien-le-Lac a 54 communes et 8 800 hab. Cohons (230 Cohonssois, 1 255 ha dont 349 de bois), 14 km NNE du Montsaugeonnais, a son village à la tête d’un vallon encaissé dans le plateau de Langres; château en amont, site d’escalade à l’est, dolmen dans le bois de la Vergentière sur le plateau à l’ouest, où se voit aussi l’Escargot de Cohons, tumulus de pierres sèches aménagé en jardin anglais au 19e siècle. Longeau-Percey (750 Aqualonguiens, 748 ha), 12 km au nord du Montsaugeonnais, est un ancien chef-lieu de canton, 12 km au sud de Langres, dans une large échancrure au pied du plateau de Langres, sur la D974. La commune inclut au sud la moitié septentrionale du réservoir de Villegusien; transports de la Vingeanne (180 sal.) et Boudet (45 sal.) et maison de retraite privée; château de Percey (18e s.). La commune est issue d’une fusion de 1972 entre Longeau (320 hab.) sur la D674 et Percey-le-Pautel (90 hab. alors, 210 en 2021) au sud-est près du lac sur la D67. La population croît depuis, la commune a 60 hab. de plus qu’en 1999. Verseilles-le-Bas (110 hab., 158 ha), 12 km NNO du Montsaugeonnais est au pied de la côte méridionale du plateau de Langres. Verseilles-le-Haut (53 hab., 283 ha), 13 km au nord du Montsaugeonnais, juste au nord de Verseilles-le-Bas, est juchée sur un replat de la côte. Au nord sur le plateau à 430 m, sont deux des six éoliennes Senvion du parc du Plateau de Langres (12,3 MW) au canadien Boralex, partagé avec Orcevaux et Brennes. Orcevaux (100 Orcivalliens, 422 ha), 14 km NNO du Montsaugeonnais, a son village sous la corniche du plateau de Langres, sur le versant oriental du profond vallon de Flagey; services à domicile Fary Daphnée (30 sal.). Sur le plateau tout à l’est du finage, trois des six éoliennes Senvion du parc Boralex du Plateau de Langres. Brennes (130 hab., 988 ha dont 156 de bois) est à 16 km au nord du Montsaugeonnais, à la tête d’un profond vallon qui entame le rebord du plateau de Langres; au SO, deux des éoliennes du parc du Plateau de Langres (Boralex). Flagey (85 hab., 832 ha), 15 km NNO du Montsaugeonnais, a son village encaissé à la tête du large vallon qui entame le rebord méridional du Plateau de Langres. La commune s’étend largement sur le plateau au NO, incluant l’échangeur à péage n°6 de l’A31 au croisement de la D428. Perrogney-les-Fontaines (110 hab., 1 479 ha dont 360 de bois), 21 km NNO du Montsaugeonnais, est sur le plateau de Langres, 14 km au SO de Langre; le Haut du Sec (basse butte avec pylônes de télécommunications) marque le point culminant du département (516 m) près du hameau de Pierrefontaines (28 hab.) sur la D428, ancienne commune absorbée en 1972 avec 47 hab.; station de carburants MJK (55 sal.). Aprey (190 Apreyens, 1 572 ha dont 783 de bois), 5 km NO du Montsaugeonnais, est à la tête de la vallée de la Vingeanne dans le plateau de Langres, et contient sa source et sa gorge initiale, que contourne l’A31. Juste à l’est dans un autre creux de vallon, hameau de Ville Haut. Villiers-lès-Aprey (45 Villiersois, 739 ha), 14 km NO du Montsaugeonnais, est au sud d’Aprey dans un vallon affluent de la Vingeanne. Baissey (190 Baisseyens, 997 ha), 11 km NNO du Montsaugeonnais, est dans la haute vallée encaissée de la Vingeanne à un confluent. Au sud sur le plateau, deux des éoliennes du parc de Langres-Sud, partagé avec Leuchey et Saint-Broingt. Aujeurres (80 Aujeurrois, 1 294 ha dont 512 de bois), 16 km NO du Montsaugeonnais, est sur le plateau à la tête d’un vallon descendant vers Baissey et que traverse l’A31; fontaine de Peûte Bête (vilaine bête) au village. Au sud, à la limite de Vaillant, sont deux des 26 éoliennes du parc de Langres Sud, sur un alignement de six partagé avec Vaillant et Vesvres. Leuchey (84 hab., 548 ha), 13 km NO du Montsaugeonnais, a son village sur le bord du plateau de Langres au-dessus d’une tête du Badin, sur la D26. Le finage est borné à l’ouest par l’A31 et contient à l’est, sur la Montagne de Bagneux, trois des 26 éoliennes du parc Langres Sud. Saint-Broingt-les-Fosses (240 hab., 1 237 ha dont 178 de bois), 5 km NNO du Montsaugeonnais, a son village en deux parties: l’ancienne sur le rebord du plateau de Langres à 379 m, avec mairie et église; l’autre juste au pied, au bord de la Foreuse, nommé Bas Saint-Broingt; hameau et chapelle de Sully à l’angle SE sur la D974 et la voie ferrée. Quatre éoliennes Senvion sont sur le fragment de plateau de la Montagne de Beauvoir et de la Montagne de Bagneux, qui en porte onze, les autres étant à Baissey, Leuchey et Le Val-d’Esnoms. Ce parc Langres-Sud compte au total 26 éoliennes Senvion (53,3 MW), au britannique RES. Le Val-d’Esnoms (410 Esnonais, 3 248 ha dont 993 de bois), 7 km à l’ouest du Montsaugeonnais, est limitrophe de la Côte-d’Or et longée à l’ouest par l’A31 dite de Lorraine-Bourgogne. Elle a été formée en 1972 par trois communes. Esnons-au-Val (170 hab. en 2021, mairie) est dans le haut vallon du Vezin, affluent du Badin, au pied du plateau de Langres. Courcelles-Val-d’Esnoms (120 hab.) est à 2 km au NE dans le haut vallon encaissé du Badin. Chatoillenot (120 hab.) est au SE, à l’aval de la confluence des deux ruisseaux, sur un relief de faille à l’entrée de la traversée en gorge d’un élément avancé du Plateau, avec un beau château du 18e s. Le finage de Courcelles se complète de deux petits hameaux, la Dhuis en tête de vallon près des sources du Badin, Roche Fontaine sur le rebord du plateau au-dessus. Deux avancées du plateau au-dessus d’Esnoms-au-Val portent six et trois éoliennes Sanvion du groupe britannique RES (parc Langres Sud de 26 turbines, 2,05MW chacune). La population s’est accrue de 90 hab. depuis 1999. À l’ouest Chalancey (110 Chalancéens, 1 349 ha dont 363 de bois), 13 km à l’ouest du Montsaugeonnais, est limitrophe de la Côte-d’Or. Le village est sur le rebord du plateau de Langres, au-dessus d’un amphithéâtre traversé par la Venelle, dont le cours limite le finage à l’est, puis s’encaisse au SE dans le plateau, en une gorge suivie par la limite départementale; la fromagerie Germain (40 sal.) a fermé en 2018. Vesvres-sous-Chalancey (46 Vesvrois, 722 ha), 12 km à l’ouest du Montsaugeonnais, a son village 3 km au NE de Chalencey au fond d’une reculée du plateau de Langres donnant sur la Venelle, qui borne le finage à l’ouest. Sur le plateau à l’est, double aire de repos de l’A31 et, plus au nord, trois des éoliennes du Parc Langres-Sud. Vaillant (43 Vaillantais, 750 ha dont 174 de bois), 13 km ONO du Montsaugeonnais, a son village sur le plateau à la source de la Venelle; quatre des éoliennes du Parc Langres-Sud sont à la limite NE du finage. Praslay (77 Praslaysiens, 1 128 ha dont 721 de bois), 19 km ONO du Montsaugeonnais, est un petit village dans un vallon du plateau de Langres au milieu des bois et des sources de l’Aube. Vivey (54 Viviens, 1 305 ha dont 839 de bois), 24 km ONO du Montsaugeonnais, a son village au fond d’un des vallons de tête de l’Aube, 9 km au sud d’Auberive. Mouilleron (34 Mouilleronnais, 519 ha dont 133 de bois), 17 km à l’ouest du Montsaugeonnais, est traversée par la branche supérieure orientale de la Tille.Vals-des-Tilles (170 hab., 3 689 ha dont 1 380 de bois), 21 km à l’ouest du Montsaugeonnais, limitrophe de la Côte-d’Or, a été créée par la fusion de cinq communes en 1972-1973. Chalmessin (alors 65 hab., 34 en 2021) et Villemervry (33 hab. alors, 27 en 2021), toutes deux dans la branche supérieure occidentale de la Tille, se sont réunies en 1972. Puis sont venues Lamargelle-aux-Bois (48 hab. alors, 19 en 2021) dans un vallon à l’ouest de Chalmessin, Musseau (40 hab. puis 47) à l’est de Chalmessin, Villemoron (66 hab. puis 47) au SE dans l’autre vallon supérieur de la Tille. La réserve naturelle de Chalmessin (124 ha) a été délimitée en 1993 au nord, où le relief monte à 478 m. Poinsenot (55 hab., 726 ha dont 383 de bois), 28 km à l’ouest du Montsaugeonnais, limitrophe de la Côte-d’Or, est dans l’un des vallons de tête de l’Ource. Poinson-lès-Grancey (50 Poinsonnais, 1 168 ha dont 399 de bois), 30 km à l’ouest du Montsaugeonnais, aussi limitrophe de la Côte-d’Or, juche son petit village et son château sur un promontoire de la haute vallée de l’Ource, 2 km à l’ouest de Poinsenot, sur la D118 et au-dessus de l’ancienne voie ferrée désaffectée d’Is-sur-Tille à Châtillon-sur-Seine et Troyes, qui conserve les traces d’une gare tout au SO du finage à la limite du département, à 423 m. Grancey est au SE, en Côte-d’Or. Villars-Santenoge (81 hab., 1 995 ha dont 995 de bois), 31 km ONO du Montsaugeonnais, limitrophe de la Côte-d’Or, résulte d’une fusion de 1972 entre Villars-Montoyer (alors 78 hab.) et Santenoge (55 hab.). Les deux petits villages sont dans la vallée de l’Ource, de part et d’autre de l’étang de la Juchère; camping à Villars. Colmier-le-Bas (90 hab., 595 ha), 36 km ONO du Montsaugeonnais, est sur le versant droit de la haute vallée de l’Ource, formant une avancée en Côte-d’Or. Colmier-le-Haut (110 Colmierois, 1 935 ha dont 1 000 de bois), 37 km ONO du Montsaugeonnais, aussi limitrophe de la Côte-d’Or, est sur le plateau au NE de Colmier-le-Bas et 9 km à l’ouest d’Auberive. Auberive (190 hab., 7 064 ha dont 5 385 de bois), 28 km NO du Montsaugeonnais, est un ancien chef-lieu de canton de la Haute-Marne, 27 km au SO de Langres dans la haute vallée de l’Aube, qui est à peine encaissée dans le plateau de Langres. La commune a une ancienne abbaye cistercienne du 12e siècle avec palais abbatial, vieilles rues, promenade, et une forêt domaniale de 5 416 ha. Son territoire inclut à l’est les sources de l’Aube et monte jusqu’à 503 m. Sa population n’a cessé de diminuer; elle avait dépassé 1 000 hab. en 1876 et en avait encore 400 en 1950. Germaines (46 Germains, 869 ha dont 444 de bois), 32 km NO du Montsaugeonnais, est à 4 km ONO d’Auberive sur le Plateau. Rouelles (25 Rouellois, 662 ha dont 474 de bois), 33 km NO du Montsaugeonnais, est à 4 km NE d’Auberive à une tête de vallon. Vitry-en-Montagne (22 Vitrimontains, 953 ha dont 508 de bois), 34 km NO du Montsaugeonnais, est à 6 km NNE d’Auberive dans un vallon. Bay-sur-Aube (55 Bayalbins, 975 ha dont 399 de bois), 32 km ONO du Montsaugeonnais, est à 4 km au nord d’Auberive sur la rive gauche de l’Aube. La mention sur-Aube a été ajoutée en 1925. Aulnoy-sur-Aube (53 Aulnoyens, 931 ha dont 417 de bois), 36 km NO du Montsaugeonnais, est sur le versant gauche de la haute vallée de l’Aube, 8 km NNO d’Auberive. La mention sur-Aube a été ajoutée en 1924. Arbot (71 Arbeisiens, 1 315 ha dont 830 de bois), 39 km NO du Montsaugeonnais, a son petit village sur la rive gauche de l’Aube juste à l’amont de Rouvres, à laquelle la commune a été associée en 1972 avant de reprendre son indépendance en 1984. Son finage atteint la limite départementale au sud-ouest. Rouvres-sur-Aube (90 Rouvrois, 2 018 ha dont 1 385 de bois), 40 km NO du Montsaugeonnais, est limitrophe de la Côte-d’Or. Le village est sur la rive droite de l’Aube; à la limite NO du finage se cache l’escalier de la cascade pétrifiante d’Étufs, l’un des sites renommés du département, partagé avec Aubepierre. Rouvres et Arbot ont été réunies de 1972 à 1984 sous le nom de Rouvres-Arbot. Saint-Loup-sur-Aujon (140 Barochais, 1 933 ha dont 1 046 de bois), 36 km NNO du Montsaugeonnais, est sur la rive gauche de l’Aujon, assortie des hameaux d’Ériseul et de Courcelles-sur-Aujon, anciennes communes intégrées en 1972. La mention sur-Aube avait été ajoutée en 1924. Ternat (63 Ternassiens, 791 ha dont 422 de bois), 40 km NNO du Montsaugeonnais, est à la tête d’un vallon qui débouche sur l’Aujon à Saint-Loup. Vauxbons (58 hab., 1 248 ha dont 544 de bois), 34 km ONO du Montsaugeonnais, est 6 km à l’est de Saint-Loup en tête de vallon. Rochetaillée (170 hab., 2 795 ha dont 1 200 de bois), 33 km NNO du Montsaugeonnais, est dans la vallée de l’Aujon en amont de Saint-Loup; hameau de Chameroy sur l’Aujon en amont, ancienne commune absorbée en 1972. Le nom fut Rochetaillée-sur-Aujon de 1924 à 1972. |