'
 |
communauté de communes de la Haute-Marne, associant 59 communes mais seulement 11 100 hab. sur 84 860 ha. Le siège est à Illoud, aucune commune n’atteint 2 000 hab. et les très petites communes sont nombreuses, dans un territoire dont la moyenne est à moins de 200 hab. et la densité à 13 hab./km2.
Illoud (220 Illoudiens, 1 385 ha dont 685 de bois), 42 km ENE de Chaumont, 23 km SSO de Neufchâteau, dans un vallon affluent de la Meuse, est connue pour une réussite industrielle: issue d’une fromagerie familiale, qui a connu la notoriété en lançant en 1956 le Caprice des Dieux, se trouve la grosse laiterie-fromagerie Bongrain, qui occupe 430 salariés; s’y ajoute la firme d’intérim Ranstad (90 sal.); mais la commune a perdu 100 hab. depuis 1999, presque un tiers.
Saint-Thiébault (240 Théobaldiens, 61 ha) est sur la rive gauche de la Meuse et la D74, dans un minuscule finage à 2 km ESE d’Illoud.
Bourmont-entre-Meuse-et-Mouzon (830 hab., 2 378 ha dont 1 439 de bois) est une commune nouvelle, issue d’une fusion de 2016. Bourmont (350 Bourmontais, 1 607 ha dont 656 de bois) est un ancien chef-lieu de canton, 45 km ENE de la préfecture et 22 km SO de Neufchâteau, 4 km au SE d’Illoud. Le village est en oppidum au bout du long promontoire de la Montagne du Conat (454 m, site d’escalade et calvaire) et domine la vallée de la Meuse; il est accompagné au NE d’un village-rue descendant vers la gare et jusqu’à Saint-Thiébault. À l’est sur les reliefs s’allonge une grande forêt giboyeuse. C’est un ancien chef-lieu de seigneurie et de bailliage du Bassigny, intégré à la France en 1766 par la succession de Stanislas de Lorraine; il conserve d’anciens remparts; quelques ateliers (scieries), un collège public.
La commune avait déjà absorbé en 1973 Gonaincourt, au nord sur la rive droite de la Meuse et la voie ferrée, sans changer de nom. Ont rejoint la nouvelle commune en 2 016 Nijon (110 hab., 771 ha dont 262 de bois) qui est de l’autre côté de la crête, 8 km à l’est dans le bassin du Mouzon, avec la butte ronde de Rethaumont; et Goncourt (320 Goncourtois, 1 877 ha dont 571 de bois), 6 km au NNE de Bourmont sur la D74 et la rive gauche de la Meuse. Goncourt est le pays natal des frères écrivains, dont un ancêtre papetier nommé Huot avait décidé d’ajouter à son nom «de Goncourt» pour marquer sa réussite.
Harréville-les-Chanteurs (300 Harrévillois, 1 576 ha dont 703 de bois), est la dernière commune sur la Meuse avant l’entrée en Lorraine, sur la D74. Le curieux complément a été ajouté en 1907. Il évoquerait un passé de camelots et brocanteurs nomades en bimbeloterie, pratiqué jadis par des familles du lieu, sans doute à la faveur de la situation à la limite de la Champagne et de la Lorraine.
Vers l’est, le plateau du calcaire bathonien se termine par un vigoureux escarpement au-dessus des collines du Lias.
Sommerécourt (83 hab., 766 ha dont 302 de bois), limitrophe des Vosges, est sur le Mouzon 13 km ENE d’Illoud.
Outremécourt (90 hab., 910 ha dont 211 de bois), limitrophe des Vosges, est 3 km à l’est de Sommerécourt dans un vallon; fabrique de sièges Toquard (20 sal.). Juste au sud, partagée avec Soulaucourt, la butte de la Mothe (ou la Motte, 486 m) est un site classé qui porte les traces d’une ancienne seigneurie, dont la puissante forteresse fut détruite sur ordre de Mazarin en 1645 mais dont les défenses se lisent sur le terrain, bien que la butte ait été plantée de résineux en 1863.
Soulaucourt-sur-Mouzon (100 hab., 920 ha dont 333 de bois), limitrophe des Vosges, est sur la rive droite du Mouzon au sud de la butte de la Motte partagée avec Outremécourt. La mention sur-Mouzon a été ajoutée en 1906.
Vaudrecourt (35 hab., 260 m) est au pied de la Côte jurassique 3 km au sud de Sommerécourt. Le Mouzon frôle le finage à l’est.
Graffigny-Chemin (230 Gouris-Taitiens, 1 727 ha dont 778 de bois), limitrophe des Vosges, est au pied de la Côte jurassique 10 km ESE d’Illoud. Chemin est un hameau-rue au nord de Graffigny, déjà réuni en 1801.
Chaumont-la-Ville (120 hab., 1 122 ha dont 235 de bois), 14 km SE d’Illoud, limitrophe des Vosges, est frôlée à l’est par l’A31, qui y a l’échangeur à péage de Robécourt (Vosges). La commune avait 500 hab. vers 1840 et n’a pas cessé de se dépeupler depuis. Le nom est surprenant, pour une petite commune dans un département dont la préfecture est Chaumont; il était tel en 1790; mais on sait que Chaumont est un nom de lieu très répandu.
Champigneulles-en-Bassigny (44 Champignollais, 682 ha dont 160 de bois), limitrophe des Vosges, est à 2,5 km au sud de Chaumont-la-Ville. La mention en-Bassigny a été acquise en 1924.
Germainvilliers (92 Germainvillageois, 660 ha), limitrophe des Vosges, 4 km au NE de Breuvannes, est écornée à l’est par l’A31.
Breuvannes-en-Bassigny (690 Breuvannais, 4 855 ha dont 869 de bois), 8 km à l’est de Clefmont et 18 km SSE d’Illoud, est limitrophe des Vosges. Le village est au bord du Flambart, affluent de droite de la Meuse, longé par la voie ferrée de Chalindrey à Neufchâteau. Il conserve une église classée du 16e s. où se donnent des concerts; il eut jadis une réputation dans la fabrication de cloches, de limes et de rouets; musée; centre d’aide par le travail pour handicapés. Ajoutant alors en-Bassigny à son nom, la commune a intégré en 1972 Meuvy (80 hab. en 2021) 6 km OSO sur la rive droite de la Meuse, et Colombey-les-Choiseul (100 hab.) 4 km au sud-est, et ainsi, grâce à une quasi-enclave très contournée de 800 ha dans les Vosges, une fraction de l’ancien aérodrome militaire de Damblain (Vosges) et même une part de la forêt domaniale de Morimond tout à l’est au-delà du Flambart et de l’étang de Morimond. Le finage est traversé par l’A31 et contient à l’ouest, au-dessus de Meuvy, la butte-témoin du Haut de Lormont (411 m). Un alignement de chemins traverse la Meuse à Meuvy, signalant le passage de l’ancienne voie romaine de Langres à Trèves. La population a diminué de 90 hab. depuis 1999 -
Merrey (100 hab., 684 ha, 9 km SE de Clefmont), 25 km SSE d’Illoud, traversée par l’A31, a une gare avec bifurcation ferroviaire où la société des eaux de Vittel a créé une plate-forme logistique (Michel, groupe Transalliance, 25 sal.). La commune a perdu 40 hab. depuis 1999.
Bassoncourt (65 Bassonicurticiens, 649 ha), 6 km SO de Breuvannes, a son petit village juste au sud du Haut Mont, un peu à l’est de la Meuse. La voie romaine traverse à l’ouest.
Audeloncourt (90 Audeloncourtois, 1 160 ha dont 141 de bois) est au pied de la Côte jurassique juste au nord de Clefmont; son finage atteint la rive gauche de la Meuse au NE.
Maisoncelles (61 hab., 420 ha.) est dans un petit vallon de gauche de la Meuse, sur la D74, à 11 km SSO d’Illoud.
Vroncourt-la-Côte (26 Vroncourtois, 419 ha) est au bas de la Côte jurassique au NO de Maisoncelles. La mention la-Côte est de 1924.
Levécourt (90 Levécourtois, 670 ha) est à 11 km au sud d’Illoud sur la rive droite de la Meuse, longée par la voie ferrée.
Doncourt-sur-Meuse (39 hab., 593 ha) est juste au NE de Levécourt; sur-Meuse a été ajouté en 1924.
Malaincourt-sur-Meuse (55 hab., 383 ha) n’est pas sur Meuse mais plus à l’est, dans un vallon affluent en amont de Hâcourt, 8 km SE d’Illoud; sur-Meuse a été ajouté en 1925.
Hâcourt (40 hab., 294 ha) est sur la rive droite de la Meuse juste au nord de Doncourt, avec la voie ferrée.
Brainville-sur-Meuse (76 Brainvillois, 593 ha) est au bas du relief du Conat de Bourmont, sur la rive droite de la Meuse, face à Bourg-Saint-Maurice; sur-Meuse a été ajouté en 1924.
Bourg-Sainte-Marie (100 hab., 919 ha dont 279 de bois) est sur la D74 au pied de la Côte jurassique, avec un finage partagé entre le plateau, la Côte et la vallée de la Meuse, 5 km au SE d’Illoud.
Huilliécourt (120 Huilliécourtois, 887 ha dont 265 de bois) est sur la D74 à 7 km SSO d’Illoud au pied de la Côte; la Meuse borne à l’est son finage, qui monte à l’ouest sur le plateau creusé de carrières.
Romain-sur-Meuse (90 Romanéens, 1 644 ha dont 695 de bois) a son village à la fois sur le rebord du plateau, avec un ancien château, et en contrebas à la tête d’une cuve de la Côte jurassique, 7 km SSO d’Illoud. Le finage s’étend largement au NO sur le plateau. Il n’atteint pas la Meuse à l’est, le complément étant donc quelque peu usurpé.
Au centre
Thol-lès-Millières (35 Thollois, 691 ha dont 188 de bois), 14 km SO d’Illoud juste au nord de Clefmont, est un village du plateau, en quasi-clairière.
Longchamp (66 hab., 611 ha dont 138 de bois), 18 km SO d’Illoud est juste à l’ouest de la forêt de Clefmont sur le plateau drainé vers le Rognon.
Mennouveaux (71 hab., 780 ha dont 237 de bois) est à 22 km SO d’Illoud dans un des hauts vallons du Rognon.
Millières (120 hab., 1 409 ha dont 380 de bois), 20 km SO d’Illoud, complète l’excroissance méridionale du territoire intercommunal au sud de Consigny.
Consigny (71 Consignéens, 1 095 ha dont 514 de bois) est à 17 km SO d’Illoud en clairière sur le plateau.
Ozières (37 Ozièrois, 962 ha dont 544 de bois) est à 12 km SO d’Illoud sur le plateau en partie boisé.
Clinchamp (73 Clinchampessois, 1 607 ha dont 808 de bois), 14 km OSO d’Illoud (7 km à vol d’oiseau), dans un vallon sous-affluent du Rognon, occupe une clairière.
Chalvraines (190 Chalvrainois, 2 635 ha dont 1 123 de bois) est à 7 km ONO d’Illoud, entourée de bois côté sud.
Semilly (110 hab., 1 460 ha dont 411 de bois) est 2 km au NO de Chalvraines. Elle avait fusionné avec Saint-Blin de 1972 à 1996.
Liffol-le-Petit (330 hab., 2 572 ha dont 1 715 de bois) a un finage en rectangle le long de la limite départementale, avec son village sur la D674, voisin de Liffol-le-Grand qui est 5 km ENE; bien qu’entourée par elle sur trois côtés, elle ne fait pas partie de l’intercommunalité Meuse-Rognon, ayant préféré rejoindre Liffol-le-Grand dans la communauté de l’Ouest Vosgien; forêt du Jarney au SE.
Aillianville (160 Aillianvillois, 2 363 ha dont 1 465 de bois), occupe une clairière limitrophe des Vosges, 5 km au sud de Grand et 10 km au NO de Liffol-le-Grand.
Prez-sous-Lafauche (290 Preziens, 2 259 ha dont 720 de bois), sur la D674 au pied de la Côte, 13 km au NO d’Illoud, a un musée «aux branches» où des branchages figurent des animaux.
Lafauche (81 Lafeischois, 516 ha dont 284 de bois), juste au nord de Praz, est dominée par les ruines d’un château fort du 11e s.
Vesaignes-sous-Lafauche (130 hab., 1 378 ha dont 649 de bois), est 6 km à l’ouest de Lafauche un peu au nord de la D674, au pied de la Côte.
Saint-Blin (380 Saint-Blinois, 2 233 ha dont 1 200 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de la Haute-Marne, 33 km au NE de la préfecture, au pied de la côte du Rauracien dans le couloir de circulation de la «Vallée». Elle avait été réunie à Semilly de 1972 à 1996. La population reste stable.
Manois (460 Manoisiens, 1 036 ha dont 453 de bois), 4 km à l’ouest de Saint-Blin, est un peu en retrait mais a profité d’un détour de la voie ferrée. La vénérable tréfilerie Trefilac (70 sal., à Arcelor-Mittal), héritière d’une usine de 1854, a fermé en 2015. La commune a perdu 50 hab. après 1999.
Humberville (68 Humbervillois, 644 ha dont 346 de bois) est à 6 km au NO de Saint-Blin dans un renfoncement de la Côte.
Orquevaux (75 Orcivaliens, 1 570 ha dont 940 de bois) est à 9 km au nord de Saint-Blin dans un vallon. Le finage est limitrophe des Vosges au nord. Près de la limite, se creuse une célèbre dépression fermée karstique presque circulaire, de 200 m de large et 65 de profondeur, nommée le Cul du Cerf (site Natura 2000).
Leurville (80 Leurvillois, 1 044 ha dont 308 de bois), 10 km au NNO de Saint-Blin, accueille dix des éoliennes du parc dit des Hauts-Pays, partagé avec Chambroncourt, 80 (2018).
À l’ouest
Reynel (120 Reynellois, 1 861 ha dont 1 282 de bois), 8 km NNE d’Andelot, dans un vallon à étang, a un château à deux grosses tours rondes, rebâti au 18e s., doté de riches collections.
Domremy-Landéville (80 hab., 1 864 ha dont 693 de bois) a son village à 6 km NE de Doulaincourt, avec le hameau de Landéville (17 hab.) 3 km au NE, issu d’une commune fusionnée en 1972.
Doulaincourt-Saucourt (830 Doulaincourtois, 4 386 ha dont 3 419 de bois) est un ancien chef-lieu de canton, 17 km au SSE de Joinville dans la vallée du Rognon. La commune résulte d’une fusion de 1972 entre Doulaincourt sur la rive droite du Rognon et Saucourt-sur-Rognon 3 km à l’aval sur la même rive. Le bourg est encadré de forêts et a un collège public, une maison familiale rurale et une maison de retraite publique; hameau de Saint-Brice sur la rive gauche. Saucourt, devenue sur-Rognon en 1941, avait 230 hab. en 1970, 140 en 2021. La commune a perdu 260 hab. depuis 1999, presque un quart de sa population.
Roches-Bettaincourt (570 hab., 4 138 ha dont 3 200 de bois) a deux villages dans la vallée du Rognon, réunis depuis 1973, Bettaincourt-sur-Rognon à l’aval rive droite sur la route, et Roches-sur-Rognon en amont rive gauche. Le site a eu des fonderies et conserve une fabrique de matériel agricole Bugnot (la Batterie, 75 sal.). La commune a 40 hab. de moins qu’en 1999.
Montot-sur-Rognon (130 Montagnards, 784 ha dont 429 de bois) est sur la rive droite du Rognon, 9 km à l’amont de Doulaincourt.
Signéville (80 Signévillois, 808 ha dont 334 de bois) est en face de Montot, au bas d’un amphithéâtre de méandre du Rognon.
Vignes-la-Côte (69 hab., 310 hab.) est au confluent du Rognon et de la Sueurre qui vient de l’est. La mention la-Côte a été ajoutée en 1925.
Rimaucourt (680 Rimaucourtois, 2 026 ha dont 1 100 de bois) est au bord de la Sueurre, 6 km à l’est d’Andelot sur la D674. Elle a un château (16e au 19e s.) et plusieurs entreprises, dont la serrurerie industrielle Matfor (Cerenn, 55 sal.).
Andelot-Blancheville (880 Andelotiens, 3 318 ha dont 1 497 de bois) est un ancien chef-lieu de canton à 23 km au NE de Chaumont, 24 km ONO d’Illoud, au pied de la côte du Rauracien dans la trouée du Rognon; gare, N74 (D674). Le village a une église du 12e s. La commune vient d’une fusion de 1973, avec Blancheville à 4 km au SO, au pied de la Côte, qui n’avait guère apporté que 80 hab. au chef-lieu; la population a un peu augmenté ensuite, passant par un maximum à 1 040 hab. en 1982; elle a perdu 140 hab. après 1999. Un peu à l’ouest dans le finage de Blancheville, l’ancienne abbaye royale de Septfontaines, fondée en 1125, passée aux prémontrés et reconstruite au 18e s., conserve des bâtiments, jardins et canaux au pied de la Côte. La commune a également un site néolithique, et au-dessus du village les ruines de la forteresse de Montéclair sur une butte-témoin.
Chantraines (230 hab., 1 042 ha dont 306 de bois), 5 km au SO d’Andelot, est au pied de la Côte, tout près de Blancheville.
Cirey-lès-Mareilles (150 hab., 1 459 ha dont 574 de bois) est à 6 km au sud d’Andelot. Au nord dans la vallée de la Sueurre, le hameau de Morteau vient d’une commune absorbée en 1968.
Mareilles (150 Mareillais, 2 228 ha dont 1 059 de bois) est à 8 km SSO d’Andelot; la D674 passe à l’ouest du village.
Darmannes (260 Darmannois, 1 815 ha dont 588 de bois) est à 10 km au SO d’Andelot sur la D674.
Bourdons-sur-Rognon (290 Bourdonnais, 3 945 ha dont 2 590 de bois), à 20 km ENE de Chaumont, 14 km au sud d’Andelot, a son village juché sur un promontoire dominant le Rognon rive gauche. La mention sur-Rognon a été acquise en 1925. Au nord au bord du Rognon se voit l’ancienne abbaye de la Crête (ou la Crète), fondée en 1121 à la demande du seigneur de Clefmont, et qui a contribué à la mise en valeur du plateau mais un peu à l’ombre de l’abbaye proche des Septfontaines, mieux dotée; détruite au 17e s., elle a été reconstruite au 18e s. La petite commune de Lacrète a été réunie à Bourmont en 1966, avec une dizaine d’habitants.
Ecot-la-Combe (39 Ecotois, 2 093 ha dont 1 662 de bois) a son petit village au bord de la Sueurre dans les bois, 10 km au SE d’Andelot, avec un château et un étang. La mention la-Combe a été ajoutée en 1924.