Coteaux du Val d’Arros ' communauté de communes des Hautes-Pyrénées; siégeant à Tournay et associant 54 communes, 11 500 hab., 26 300 ha. Aucune commune n’atteint 2 000 hab. Tournay (1 280 Tournayais, 1 432 ha dont 522 de bois) est un ancien chef-lieu de canton des Hautes-Pyrénées dans l’arrondissement de Tarbes, 15 km ESE de la préfecture. La ville, dont le nom se prononce Tournaille, est au pied des Pyrénées et au creux de la vallée de l’Arros, que dominent les longues crêtes du plateau de Lannemezan. La N117 et la voie ferrée Toulouse-Tarbes y passent. La longue montée sur le plateau de Lannemezan, bien que la dénivellation n’excède guère 300 m, a toujours posé des problèmes aux camions et surtout aux trains, qui doivent parfois doubler leur tractrice. L’autoroute A64 suit la même voie, avec plus de souplesse, mais peut poser des problèmes en hiver. Tournay est apparue en 1307 comme bastide en paréage entre le seigneur local et le roi, et son nom aurait été emprunté à la ville belge de Tournai en commémoration d’une des victoires de Philippe le Bel. La ville est sur la rive droite de l’Arros, qui reçoit un peu en aval à gauche l’Arrêt. Le finage contient une colline à l’ouest, et s’étend surtout à l’est sur les reliefs du rebord du plateau de Lannemezan, entaillés par l’Hourquilon; il monte à 503 m sur le plateau, où il atteint le cours du haut Bouès. Francis Jammes y est né en 1868; une abbaye bénédictine, ouverte en 1952, propose des produits artisanaux. Curieusement Tournay a un arboretum (9 ha) et un musée de l’Arctique, qui semble résulter du fait qu’elle fut en 1940 le siège d’un détachement militaire canadien. Elle offre un collège public, un institut médico-éducatif, une gare, un fronton; transports Lacombe (25 sal.); elle est «station verte de vacances». Sa population n’a pratiquement pas changé de 1890 à 1999; elle a augmenté de 120 hab. depuis. Tournay est également le bureau du nouveau canton de La Vallée de l’Arros et des Baïses (70 communes, 12 400 hab.). Vers l’ouest du territoire communautaire, la proximité de Tarbes a fait croître la population de la plupart des communes, qui sont de petite taille. Bordes (780 Bordais, 1 122 ha dont 180 de bois), 3 km NO de Tournay, est la plus peuplée et a gagné 190 hab. après 1999. Le village est dans la plaine, drainée un peu à l’est par l’Arros, au passage de la voie ferrée et de l’ex-N117 (D817). L’autoroute passe un peu à l’ouest, sans accès mais avec une aire de repos au sud-est au bord de l’Arrêt. Au NO, le finage atteint le lac de l’Arrêt Darré; au SO, il monte à 4056 m sur la pouge qui domine l’Arrêt-Darré. Lhez (80 Lhézéens, 88 ha) est une minuscule commune 6 km NO de Tournay, étirée sur l’étroite pouge de l’Arrêt Darré et traversée par la D817. Mascaras (350 Mascarassiens, 476 ha), 9 km ONO de Tournay, a un finage délimité en triangle par le cours de l’Arrêt Darré à l’est et celui de son affluent le Lassarens. D817 et A64 le traversent au nord; le village est au centre du bas plateau et a gagné 40 hab. depuis 1999. Oueilloux (180 hab., 440 ha), 7 km OSO de Tournay, est à 460 m sur un plateau délimité par l’Arrêt Darré à l’ouest, le Riou Darré à l’est, qui confluent au nord de la commune; +60 hab. depuis 1999. Fréchou-Fréchet (170 Fréchouais, 297 ha), 11 km à l’ouest de Tournay, 15 km au SE de Tarbes, est au sud de Mascaras et à l’ouest d’Oueilloux, bordée à l’est par le cours encaissé de l’Arrêt Darré. Elle a gagné 80 hab. après 1999 (+88%). Les deux noms se rapportent au frêne. Barbazan-Dessus (160 Barbazanais, 424 ha), 13 km OSO de Tournay et 13 km au SE de Tarbes, se tient sur la pouge entre l’Arrêt Darré à l’est et la plaine de l’Adour à l’ouest. Hitte (170 Hittois, 291 ha), 11 km SO de Tournay, est à 520 m sur une forte colline dominant la rive droite de l’Arrêt Darré; +40 hab. après 1999. Luc (210 Lucais, 493 ha), 9 km SO de Tournay, est au sud d’Oueilloux sur le relief entre Arrêt Darré et Arrêt, le long de la D5. Oléac-Dessus (130 Oléacais, 372 ha), 7 km SO de Tournay, est sur la crête entre Riou Darré et Arrêt, à 420 m; +40 hab. depuis 1999. Poumarous (160 hab., 568 ha), 5 km SSO de Tournay, s’étire sur une pouge entre Arrêt et Arrédou; +40 hab. depuis 1999. Ozon (290 hab., 908 ha dont 276 de bois), 3 km au SE de Tournay, a son village sur la D817, sur un bas relief au-dessus de la rive droite de l’Arros. Son finage en arc de cercle s’étire vers le NE en montant sur le plateau de Lannemezan, où il atteint 526 m; vers le SO, il monte sur les reliefs de rive gauche de l’Arros, où le Castériou (427 m) aurait jadis fait figure d’oppidum, au-dessus du hameau d’Ozon Darré. La commune a eu 700 hab. en 1876; une communauté religieuse de moniales bénédictines s’est établie dans le château restauré du village. Lanespède (150 Lanespédiens, 447 ha), 4 km SE de Tournay, est au débouché de la Lenne dans la plaine de l’Arros, où s’engouffre le faisceau A64, D817, voie ferrée Tarbes-Toulouse, laquelle y a un viaduc de pierre de 1867 (200 m de long, 35 m de haut). Ricaud (65 Ricaudais, 330 ha), 7 km SSE de Tournay, est sur la rive droite de l’Arros dans sa vallée pyrénéenne plus étroite. Le finage monte vers le SE jusqu’à 555 m. Une quinzaine de communes se partagent le rebord occidental du plateau de Lannemezan, les unes ayant leur centre sur le plateau, d’autres au bord de l’Arros qui coule au pied. Bégole (210 Bégoliens, 1 024 ha dont 385 de bois), 11 km ESE de Tournay, est la plus proche de Lannemezan (6 km à vol d’oiseau) mais ne lui est pas directement reliée. Le village est à 550 m sur le plateau, dominant la vallée encaissée de la Baïse à l’est. Le finage atteint à l’ouest la vallée de la Lenne au viaduc de Lanespède; +30 hab. depuis 1999. Caharet (38 Caharetais, 123 ha),10 km SE de Tournay à 510 m, est juste sur le rebord du plateau au SO de Bégole, et son finage se limite à peu près au versant boisé de la Lenne, au pied duquel se faufile l’A64. Castéra-Lanusse (45 Castussais, 86 ha), à 7 km ESE de Tournay sur la serre du Lannemezan qui domine Tournay au SE, unit dans son petit finage les deux anciens villages de Castéra-Ozon sur le plateau, à 520 m, et Lanusse au creux d’un vallon au sud. Burg (280 Burgais, 1 256 ha dont 190 de bois), 9 km à l’est de Tournay, est au sein du plateau mais au pied du versant gauche de la vallée élargie de la Baïse, dont le cours borne le finage à l’est. Celui-ci s’étend à l’ouest sur le plateau où il monte à 545 m et où le Bouès a sa source. Bernadets-Dessus (160 Bernadetois, 786 ha dont 280 de bois), 10 km NE de Tournay au nord de Burg, a son village sur le plateau à 480 m, au-dessus du coteau droit du Bouès dont la vallée est déjà encaissée. Le Lizon borde la commune à l’est. Le hameau de Bourdalès est en face du village, en haut du versant gauche adouci du Bouès, et au-dessus des profonds vallons boisés qui accidentent le rebord du plateau en descendant vers l’Allier, affluent de droite de l’Arros. Orieux (120 Oroix, 819 ha dont 190 de bois ), 11 km NNE de Tournay, se tient sur l’étroite pouge entre Allier et Bouès, relayé au nord par le hameau de Meilhas. Le finage descend à l’ouest dans le vallon de l’Allier, est traversé au centre par la vallée du Bouès et atteint à l’est le cours du Lizon, enrichi par le réservoir du Lizon, dont le plan d’eau peut atteindre 23 ha mais n’occupe souvent que la moitié. Les autres communes sont au pied du plateau ou parmi les reliefs de sa bordure. Peyraube (170 Peyraubais, 346 ha), 3 km au nord de Tournay, disperse ses maisons au pied du relief et dans le vallon du Barran. Le finage monte à 490 m à l’est. Clarac (190 Claracois, 636 ha dont 170 de bois), 6 km au nord de Tournay, a un site un peu différent sur un replat au pied du relief de bordure, et l’Arros coule dans la partie occidentale de son finage. Moulédous (220 Moulédousais, 698 ha dont 322 de bois), 7 km au nord de Tournay, est sur la rive droite de l’Arros. Son finage est en partie dans la plaine et monte un peu vers l’ouest sur le versant gauche au-dessus du hameau de Pignats; surtout, il possède une très longue queue en enclave sur les reliefs orientaux, le long de l’Allier puis dans la forêt de Lasséoube où il monte à 491 m. Il enveloppe ainsi sur trois côtés le finage de Clarac. La commune a gagné 70 hab. depuis 1999 (+47%). Goudon (240 Goudonais, 753 ha), 9 km au nord de Tournay, est sur la rive droite de l’Arros au confluent de l’Allier. Son finage s’étend dans la plaine, atteignant au SO le cours de l’Arrêt Darré et son confluent avec l’Arros. Il monte un peu vers l’est mais sans atteindre le plateau, dont le sépare Peyriguère. Peyriguère (26 hab., 417 ha), 12 km NNE de Tournay, a un habitat en hauteur sur les pentes du rebord du plateau de Lannemezan, et un finage accidenté, montant à 429 m à l’est et atteignant au sud le cours de l’Allier. Thuy (19 hab., 53 ha), 11 km au nord de Tournay, est sur le versant droit de l’Arros, auquel se limite son minuscule finage. Aubarède (300 Aubaredois, 485 ha dont 206 de bois), 12 km au nord de Tournay, étale ses maisons dans la plaine de rive droite de l’Arros et sur le bas versant, mais son finage monte en triangle sur le rebord du plateau jusqu’à 426 m. La commune a gagné 80 hab. depuis 1999 (+36%). Mun (100 Munais, 481 ha), 16 km NNE de Tournay, est en arrière, étirant son village sur une étroite crête qui domine la vallée de l’Achella, profonde entaille du rebord du Lannemezan. Au pied s’est étoffé le hameau de Padouen (les pâtures). Le nom est probablement d’origine vasconne et désigne une hauteur; il n’a pas de rapport autre que l’homonymie avec la famille de Mun, qui s’est illustrée dans la politique et le champagne. Vers l’ouest, les autres communes sont dans les vallées et basses collines entre Arros et Estéous et la plupart ont eu Pouyastruc comme village-centre. La proximité de Tarbes vaut à la plupart de ces petits communes une croissance démographique sensible. Chelle-Debat (220 Chellois, 869 ha dont 239 de bois), 13 km au nord de Tournay, est sur la rive droite de l’Arros au confluent de l’Achella, et a surtout un finage de plaine. Au SO, le hameau d’Estaques est au pied du versant gauche de la vallée. Le relief monte un peu au SE. Marseillan (250 Marseillanois, 440 ha), 13 km NNO de Tournay, est sur le versant gauche de l’Arros et à la source du Lanénos. La commune, traversée par la D632, a 90 hab. de plus qu’en 1999 (+56%). Jacque (75 hab., 187 ha), 15 km NNO de Tournay, se tient sur une étroite crête entre la plaine de l’Arros à l’est et la vallée du Lanénos qui s’ouvre à l’ouest. Bouilh-Péreuilh (90 hab., 785 ha dont 246 de bois), 17 km NNO de Tournay et 7 km NNE de Pouyastruc, a son village principal sur la pouge qui domine l’Estéous, le hameau de Péreuilh étant un peu plus bas au NE sur le versant doux du Lanénos. Le Lanénos limite le finage à l’est, l’Estéous à l’ouest. Castéra-Lou (230 hab., 482 ha), 7 km au nord de Pouyastruc, est sur la pouge dominant le coteau oriental de la plaine de l’Adour et le canal d’Alaric fixe sa limite occidentale, l’Estéous sa limite orientale. Elle a gagné 60hab. depuis 1999 (+38%). Son nom est un exemple d’aberration toponymique: il fut en occitan lou Castéra (le château), mal écrit Lon-Castéra en 1841 et mal corrigé en Castéra-Lou en 1845… Soréac (53 Soréacais, 231 ha), 6 km au nord de Pouyastruc, juste au sud de Castéra-Lou, a son village plus bas sur le versant gauche de l’Estéous, et pour limite occidentale le cours du Loulès, qui débouche dans la plaine de l’Adour. Elle n’avait que 35 hab. en 1999. Louit (200 hab., 504 ha), 5 km au nord de Pouyastruc, va également du Loulès à l’Estéous, ses maisons se dispersant sur le versant doux de ce dernier; la commune a crû de 70 hab. depuis 1999 (+54%). Dours (230 hab., 499 ha dont 140 de bois), 6 km NNO de Pouyastruc, occupe l’éperon de confluence entre Loulès et plaine de l’Adour. Son finage est borné à l’ouest par le canal d’Alaric qu’il suit vers le nord, le séparant de Castéra-Lou par un grand bois de plaine; +50 hab. depuis 1999. Sabalos (150 hab., 220 ha), 5 km NO de Pouyastruc, est sur la même échine que Dours juste au sud. Son finage monte à l’est au-delà du Loulès, mais n’atteint pas la plaine à l’ouest; +40 hab. depuis 1999. Collongues (150 hab., 214 ha), 3 km au nord de Pouyastruc, est sur le relief qui borde à l’ouest la vallée de l’Estéous; celui-ci fixe la limite orientale du finage; +40 hab. depuis 1999. Pouyastruc (720 Pouyastrucais, 1 160 ha dont 298 de bois) est un ancien chef-lieu de canton des Hautes-Pyrénées dans l’arrondissement de Tarbes, 12 km au NE de la préfecture, 14 km NO de Tournay. Le village distribue ses maisons sur plusieurs des collines du versant gauche de la vallée de l’Esteous, dont le cours borde le finage à l’est. La D632 et la D5 s’y croisent; Messageries Rapides (25 sal.). La population communale progresse depuis 1962, où elle était tombée à 290 hab.; elle a augmenté de 180 hab. depuis 1999 (un tiers). Le nom gascon est l’équivalent de Beaumont. Oléac-Debat (170 Oléacais, 194 ha), 3 km à l’ouest de Pouyastruc, est sur la pouge entre Ousse et Loulès, son petit finage descendant vers le NE sur le versant gauche du Loulès; +60 hab. depuis 1999 (+56%). Boulin (290 Boulinois, 252 ha), 4 km au SO de Pouyastruc, 6 km au NO de Tarbes, est sur la même pouge. Elle n’avait plus que 70 hab. en 1931 et a connu une croissance spectaculaire entre 1975 et 1999, mais stagne depuis; maison de soins et de repos la Recouvrance. Le finage atteint l’Ousse à l’ouest; il est traversé par la D632. Lizos (110 hab., 173 ha), 3 km OSO de Pouyastruc, est sur une colline du versant gauche du Loulès, où passe la D932. Castelvieilh (240 Castelvieilhois, 531 ha), 3 km NE de Pouyastruc, est aussi sur la D632, son habitat occupant plusieurs collines du coteau droit de l’Estéous. Le finage descend à l’est vers l’Arros; hameaux de Baneilhac et des Bordes à l’est et au sud-est; +40 hab. après 1999. Cabanac (320 Cabanacais, 556 ha), 6 km à l’est de Pouyastruc, 11 km au nord de Tournay sur la rive gauche de l’Arros, a gagné 110 hab. depuis 1999 (+52%). Le village est dans la plaine de rive gauche de l’Arros, face à Aubarède, et son finage monte sur le versant gauche. Marquerie (80 hab., 346 ha), 3 km ESE de Pouyastruc, est sur les collines entre Arros et Estéous. Le finage est borné par l’Estéous à l’ouest, et n’a qu’une petite partie de la vallée à l’est, où il n’atteint pas l’Arros. Coussan (120 hab., 312 ha), 5 km SE de Pouyastruc, 8 km NNO de Tournay, est au sud de Marquerie dans une configuration semblable; au sud, le finage atteint le barrage de l’Arrêt-Darré, avec une petite base de loisirs. Gonez (29 hab., 108 ha), 7 km NNO de Tournay, est sur le versant gauche de l’Arros, auquel son finage se limite. Il s’agit là d’un site de capture remarquable: la partie amont de l’Estéous y a été détournée naturellement vers l’Arros après amincissement de l’interfluve. Cette vallée est de nos jours drainée par l’Arrêt-Darré (dont le nom signifie l’Arros de derrière, c’est-à-dire occidental). Ce dispositif a d’ailleurs permis de fixer en 1996 le barrage de 27 m qui retient le lac de l’Arrêt-Darré à l’endroit même de la capture, ce qui permet notamment de restituer à l’Estéous une partie des eaux que l’Arret-Darré détourne vers l’Arros. Le lac s’étend sur sept communes, Laslades, Linsac et Sinzos se partageant les principales parts du plan d’eau de 110 ha; il se vide de juin à novembre pour l’irrigation, et sert aussi à la pêche. Sinzos (150 hab., 411 ha), 5 km NNO de Tournay, est sur bas versant gauche de l’Arros, dont son finage n’atteint pas le cours; il englobe la plus grande partie de la rive droite du lac de l’Arrêt-Darré à l’ouest. Hourc (110 hab., 200 ha) est juste au sud de Pouyastruc. Son finage occupe une bande étroite et longue du versant gauche de l’Estéous. Souyeaux (310 Souyeaucois, 602 ha dont 233 de bois), 4 km au sud de Pouyastruc, aligne aussi ses maisons le long d’une croupe du versant gauche de l’Estéous. Son finage va de l’Ousse à l’Estéous; +100 hab. depuis 1999 (+48%). Laslades (360 Lasladais, 526 ha dont 190 de bois) est 6 km au sud de Pouyastruc et étire son finage de l’Ousse, à l’ouest, au lac de l’Arrêt-Darré, à l’est; la source de l’Estéous est à l’angle NE. La commune a gagné 60 hab. depuis 1999. Elle aligne une file de maisons d’ouest en est sur 3 km. Lansac (180 Lansacais, 387 ha), 7 km SSO de Pouyastruc et 9 km à l’est de Tarbes, au passage de la voie ferrée de Tarbes à Toulouse, possède à l’est une partie du plan d’eau du grand lac de barrage de l’Arret-Darré; nettoyage Confo Net (55 sal.). Lespouey (220 Lespoueysiens, 296 ha), 8 km au sud de Pouyastruc, atteint aussi le lac de l’Arrêt-Darré à l’est et la voie ferrée traverse le NE du finage; l’habitat est dispersé sur le long versant gauche de l’Arrêt-Darré. La commune a 50 hab. de plus qu’en 1999. Calavanté (330 Calavantais, 206 ha), 10 km au sud de Pouyastruc, 9 km ESE de Tarbes et 9 km ONO de Tournay, a gagné 140 hab. depuis 1999 (+74%). Le village est aussi sur le versant gauche en pente douce de l’Arrêt-Darré, mais il n’atteint pas la rivière ni son lac; l’A84 frôle le finage au sud. |