(3 500 Lucquois, 5 315 ha dont 219 de bois) est dans la communauté Vie et Boulogne, 9 km au nord du Poiré. Le bourg est au-dessus de la vallée encaissée de la Boulogne, rive gauche. C’est un haut lieu des guerres de Vendée, dont la population fut victime d’un massacre en février 1794; musée-mémorial des guerres de Vendée de l’autre côté de la Boulogne, chapelle de 1867, chemin de la mémoire. Le Petit-Luc, sur un promontoire dominant la Boulogne, a des restes de remparts. C’est aussi une bourgade fleurie (3 fleurs) et étendue, réputée compter plus de 100 hameaux. Elle a plusieurs ateliers de produits alimentaires, dont les pâtes feuilletées Mariebel (55 sal.) et les plats préparés La Belle Henriette (50 sal.); menuiserie Le Rabot Vendéen (20 sal.), confection (jupes Sefa, 50 sal.) et bâtiment (maçonnerie Morisset, 85 sal.). La commune abrite également l’École départementale du patrimoine historique et naturel de Vendée, créée en 2000 avec des fonds du Conseil général et qui dispose d’une dizaine d’antennes dans les grands sites vendéens. Tout au SE du finage, hameau de Daunière. Les Lucs sont devenus «sur Boulogne» en 1891; la population communale a culminé en 1906 à 2 800 hab., s’est abaissée ensuite jusqu’à moins de 2 100 en 1968 puis a repris; elle a augmenté de 750 hab. depuis 1999 (+27%). |