Parc national de la Guadeloupe Parc national de la Guadeloupe parc créé en 1989 sous l’autorité de l’État et des collectivités territoriales. Intéressant à l’origine onze communes, il comportait une «zone centrale» de réglementation contraignante, limitée aux hauteurs de la Basse Terre, soit 17 300 ha, englobant les deux tiers de la forêt tropicale (au-delà de 250 ou 300 m d’altitude) et les hautes savanes (au-delà de 900 m); une «zone périphérique» plus ouverte, de 16 200 ha, correspondant aux trois communes sous le Vent de Pointe-Noire, Bouillante et Vieux-Habitants. Puis la réserve naturelle du Grand Cul-de-Sac Marin, soit 1 600 ha de terre et 2 100 de mer, créée en 1987, lui a été rattachée, ainsi que 3 700 ha de mangrove en 2009. De ce fait la zone centrale comprend plusieurs unités distinctes occupant 21 850 ha et a été rebaptisée Cœurs du Parc, la zone périphérique de protection montant à 94 065 ha.Les sites les plus connus sont ceux de la Soufrière et ses voisins comme la Citerne, les chutes du Carbet, les Mamelles et la Traversée. Le parc a sa Maison à Saint-Claude et entretient une Maison du Bois à Pointe-Noire, une Maison du Volcan à Saint-Claude, le pavillon de la Providence et la Maison de la Forêt sur la route de la Traversée à Petit-Bourg. Il a créé le sentier de grande randonnée GRG1 et entretient 104 des 247 km de «traces» que compte Basse-Terre. |