Communauté de communes Plaines et Monts de France' communauté de communes de Seine-et-Marne associant 20 communes et 25 100 hab. sur 14 470 ha. Le siège est à Dammartin-en-Goële, qui pourtant n’en fait plus partie: la communauté a été amputée en 2016 de l’ensemble de 17 communes intégrées à la CA Roissy Pays de France, dont Dammartin-en-Goële. Annet-sur-Marne, Oissery, Saint-Pathus et Villevaudé ont plus de 2 000 hab. Marchémoret (610 Marchois, 704 ha), 6 km à l’est de Dammartin-en-Goële et limitrophe de l’Oise, comprend le hameau de Lessart, absorbé en 1794, à mi-chemin de Rouvres; elle n’avait que 110 hab. en 1968, comme en 1901, et 340 hab. en 1999, elle a presque doublé depuis. Montgé-en-Goële (730 Montgéens, 1 156 ha dont 500 de bois) est à 6 km ESE de Dammartin-en-Goële au pied et sur le flanc d’une butte, côté sud-ouest; la butte porte une ancienne tour de télégraphe optique; au nord subsistent des ruines d’un château au hameau de Saint-Thibault. Le nom de la commune de Montgé a été précisé en 1970; elle avait alors 350 hab. et croît depuis. La forêt régionale de Montgé s’étend sur 750 ha. Cuisy (470 Cuisiaciens, 333 ha dont 146 de bois) est à 8 km ESE de Dammartin-en-Goële au pied de la butte de Montgé et son petit finage comprend une moitié de butte boisée et une moitié de plaine cultivée. Près du village au sud, le hameau des Trois Villes tient un vieux carrefour. La commune n’avait plus que 88 hab. en 1962 et croît depuis. Le Plessis-l’Évêque (290 Plessis-Épiscopiens, 353 ha) est à 10 km ESE de Dammartin-en-Goële. Iverny (610 Ivernais, 176 ha) est à 11 km au SE de Dammartin-en-Goële. Elle n’avait que 220 hab. en 1962 et a 100 hab. de plus qu’en 1999. Le Plessis-aux-Bois (260 Plessisboisiens, 341 ha), 9 km au SE de Dammartin-en-Goële, n’a plus de bois mais contient le hameau de la Baste au SE. Vinantes (380 Vinantais, 527 ha) est à 7 km au SE de Dammartin-en-Goële; elle avait 180 hab. en 1975 et croît aussi. Nantouillet (300 Nantolétains, 515 ha) est à 7 km au sud de Dammartin-en-Goële au bord de la Beuvronne. Elle a un beau et ample château en brique de la première Renaissance, construit pour un chancelier de François Ier en 1525; l’église est juste un peu plus tardive et fort décorée. La commune n’avait que 180 hab. en 1990. Saint-Mesmes (620 Maximois, 769 ha) est 9 km au sud de Dammartin-en-Goële au bord de la Beuvronne; église classée du 13e s.; elle avait 210 hab. seulement de 1965 à 1985 et a gagné 160 hab. après 1999. Messy (1 220 Messiens, 1 033 ha), 11 km au sud de Dammartin-en-Goële, est au milieu d’une plaine de grande culture; église romane du 12e s., château de la Dîmeresse (17e s.). Messy avait 500 hab. environ de 1830 à 1965, puis sa population a commencé d’augmenter, passant 800 hab. en 1991, 900 en 1999 et gagnant un tiers depuis. Charny (1 590 Charnicois, 1 234 ha) est à 14 km SSE de Dammartin-en-Goële, 10 km à l’ouest de Meaux. De niveau assez constant entre 1820 et 1930 autour de 450 hab., sa population a fluctué ensuite et finalement pris son essor après 1970; autocars Trans Val de France (85 sal.), transports Vitrans (70 sal.). Villeroy (700 Villarétois, 571 ha), 8 km ONO de Meaux, est la commune où Charles Péguy a été tué le 5 septembre 1914 pendant la bataille de la Marne; musée de la guerre 14-18; transports Pascali (40 sal.). Elle avait 230 hab. en 1962 et a gagné 110 hab. après 1999. Charmentray (300 Carmentraciens, 467 ha), 19 km SSE de Dammartin-en-Goële, 9 km à l’ouest de Meaux, est sur la rive droite de la Marne au départ du canal de l’Ourcq, non loin de la N3; elle n’avait que 130 hab. en 1960. Sur la rive gauche de la Marne dans un méandre, le plan d’eau des Olivettes, partagé avec Trilbardou, est l’objet d’un arrêté de protection de biotope sur 103 ha. Précy-sur-Marne (780 Précyens, 481 ha), 10 km OSO de Meaux, est sur la rive droite de la Marne juste à l’aval de Charmentray, avec une sablière et son étang. Le canal de l’Ourcq traverse au nord, le finage, qui déborde au sud de la Marne. La commune a augmenté de 290 hab depuis 1999 (+59%); elle n’avait que 130 hab. en 1962. Précy fut un lieu de résidence de la chanteuse Barbara et le chanteur Yves Duteil fut son maire de 1989 à 2014. Fresnes-sur-Marne (960 Fresnois, 746 ha), 14 km à l’ouest de Meaux, a son village au bord du canal de l’Ourcq et non de la Marne, qui borde le finage au sud. Fresnes a un château du 17e s. avec parc. Au NO, un gros échangeur de la N3 est assorti d’un centre d’enfouissement de 200 ha (Veolia) qui déborde sur Charny, au ras de la nouvelle ligne à grande vitesse vers Strasbourg, et serait le plus vaste de France, recevant chaque jour 3 600 t de déchets «ultimes non dangereux». La commune avait 410 hab. en 1962 et n’avait guère changé jusqu’en 1999 (440 hab.) mais a plus que doublé depuis. La Biberonne, dont le nom vient tout droit des castors, rejoint la rive droite de la Marne à Fresnes. Au sud du village, Pétrorep continue à extraire un peu de pétrole. Le Pin (1 560 Pinois, 669 ha) forme l’appendice occidental de la communauté de communes, au sud de Villeparisis et à 17 km SSO de Dammartin-en-Goële. Le Pin a un échangeur de l’A104 (n°7) et de la D34: une usine de chaux Siniat (80 sal.). La commune n’avait encore que 500 hab. en 1954, 770 en 1982 et ne cesse de croître, gagnant 490 hab. après 1999 (+46%). L’aqueduc de la Dhuys et le GR 14A passent au nord du finage. (3 370 Annetois, 1 319 ha) est une commune de Seine-et-Marne, 3 km SE de Claye-Souilly dans la CC Plaines et Monts de France, près de la rive droite de la Marne. Son territoire est bordé au nord par la Beuvronne, qui conflue avec la Marne juste à l’est du bourg. Sur la rive gauche de la Marne, qui forme une boucle hors navigation, la base de loisirs dite de Jablines-Annet, avec une île, utilise une ancienne gravière. Un espace boisé subsiste au sud-ouest; de nombreuses galeries témoignent d’anciennes carrières de gypse. La LGV Est-Européenne traverse au NO, une fraction de LGV passe au NE. La ville est fleurie (trois fleurs); château d’Étry (18e s.) avec parc, château et parc de Sannois, château de Louche avec maison de retraite (50 sal.); travaux publics Polpré (45 sal.). Une usine de traitement des eaux SFDE (Veolia, 100 000 m3/j, 20 sal.), depuis 1973, sert 100 000 abonnés dont l’aéroport de Roissy. L’aqueduc de la Dhuys, suivi par le GR14a, passe dans les bois à l’ouest. La commune a eu environ 1 000 habitants durant tout le 19e s., et encore jusqu’en 1960, puis sa population s’est mise à croître: 1 700 hab. en 1975, 2 100 en 1990, 2 540 en 1999, +39% depuis. (2 480 Ostéraciens, 1 517 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CC Plaines et Monts de France; 12 km à l’est de Dammartin-en-Goële, au bord de la Thérouanne, et 14 km au NNO de Meaux. Oissery est une commune surtout résidentielle, et a reçu un collège public. Elle avait 340 hab. en 1954, 580 en 1982 puis a accéléré sa croissance, augmentant de 910 hab. après 1999 (+58%). (6 410 Pathusiens, 536 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CC Plaines et Monts de France, 10 km à l’est de Dammartin-en-Goële près de la vallée de la Thérouanne. La commune n’avait que 300 hab. en 1962; puis des lotissements sont apparus; elle est passée par 1 300 hab. dès 1975, et poursuit sa croissance, augmentant de 1 540 hab. après 1999 (+32%). Le village a une belle église romane du 12e s.; zone d’activités au sud-ouest de la ville, sur la N330. (2 150 Villevaudéens, 998 ha dont 260 de bois) est dans la CC Plaines et Monts de France au sud de Claye-Souilly, 6 km au SE de Villeparisis, avec l’échangeur n°6 de la Francilienne et de la D404. Villevaudé a une maison de retraite, les espaces verts Lachaux (75 sal.). Sa population est passée à 1 100 hab. en 1975, 1 500 en 1999. |