Communauté d’agglomération Cœur d’Essonne Agglomération' communauté d’agglomération de l’Essonne, associant 21 communes et 203 500 hab. sur 13 270 ha. Sainte-Geneviève-des-Bois (siège), Arpajon, Brétigny-sur-Orge, Breuillet, Bruyères-le-Châtel, Cheptainville, Égly, Fleury-Mérogis, Leuville-sur-Orge, Longpont-sur-Orge, Marolles-en-Hurepoix, Morsang-sur-Orge, La Norville, Ollainville, Le Plessis-Pâté, Saint-Germain-lès-Arpajon, Saint-Michel-sur-Orge, Villemoisson-sur-Orge et Villiers-sur-Orge ont plus de 2 000 hab. Avrainville (1 040 Avrainvillois, 914 ha) est à 3 km au sud d’Arpajon et a une église inscrite, en partie du 11e s., un château du 18e s. avec parc; la N20 passe dans la commune près de la limite ouest et y a deux échangeurs flanqués de quelques activités. La population était de 250 hab. en 1962 et croît depuis. Le finage monte au sud sur le plateau de Beauce, aux Bois Blancs (152 m) et dans la petite forêt régionale de Cheptainville. Guibeville (910 Guibevillois, 267 ha) est à 3 km au sud-est d’Arpajon et son finage est très petit; elle n’avait d’ailleurs que 45 hab. en 1861, 70 entre 1936 et 1970, puis des lotissements ont monté sa population à 220 hab. en 1990, 650 en 1999; espaces verts Arbres et Paysages (95 sal.), transports Tempo (55 sal.), réseaux Fragnier (55 sal.). (11 380 Arpajonnais, 240 ha) est un ancien chef-lieu de canton de l’Essonne dans l’arrondissement de Palaiseau, 16 km au sud de celle-ci sur les deux rives de l’Orge, la vieille ville étant rive droite; elle est dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération, 6 km au SO de Brétigny-sur-Orge. Elle est issue d’un camp romain et se nomma jadis Chastres ou Châtres, nom dérivé de castrum. Son nom actuel est celui du seigneur, marquis d’Arpajon (actuel Arpajon-sur-Cère près d’Aurillac), qui lui a été attribué en 1720 seulement. La ville a une église inscrite, des halles du 16e s. (refaites à l’identique en 1952), des portes et de belles places, dont celle de l’hôtel de ville (18e s.), plus de nombreuses maisons anciennes (16e-18e s.) et un hôtel-Dieu (15e et 17e s.). Arpajon eut un grand rôle comme centre d’une banlieue maraîchère de la capitale, étendue aux communes voisines; leurs maraîchers approvisionnaient les halles de Paris par un petit train sur route qui a circulé de 1911 à 1936 (l’Arpajonnais). La ville maintient une foire aux haricots en septembre, qui attire plus de 100 000 personnes. Le territoire, très petit, est entièrement urbanisé. Arpajon a une gare du RER C, un centre hospitalier public (170 lits médicaux, 370 en tout), une clinique des Charmilles (75 sal., 65 lits), deux maisons de retraite; trois lycées publics dont un professionnel, mais pas de collèges, qui sont dans les communes voisines de La Norville et Saint-Germain. Les principales entreprises sont une fabrique de cloisons Taquet (130 sal.), les transports Jardel (70 sal.); nettoyages Antes (100 sal.) et Onet (65 sal.), service des eaux Veolia (60 sal.). La commune est longée à l’ouest par la N20 et traversée d’est en ouest par la voie ferrée. Elle a eu 2 000 hab. vers 1850, 3 000 vers 1900 et 4 000 en 1936, puis est montée à 8 100 hab. en 1975; elle a encore gagné près de 2 120 hab. depuis 1999 (+23%). Le nouveau canton d’Arpajon a 16 communes et 65 600 hab. (27 470 Brétignolais, 1 456 ha) est un ancien chef-lieu de canton de l’Essonne dans l’arrondissement de Palaiseau, 15 km au sud-est de celle-ci., dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération. La ville a une église inscrite du 12e s.; son nom est sans rapport avec le traité de Brétigny de 1360, qui fut signé au hameau homonyme en Eure-et-Loir (commune de Sours). Le territoire est bien limité à l’ouest par le cours de l’Orge, mais l’essentiel de l’habitat est à l’écart de la vallée, plus à l’est sur le bas plateau vers 80 m. L’espace urbanisé a pour axe la voie ferrée Paris-Orléans, dont la gare est desservie par le RER C, avec un triage et une bifurcation vers Dourdan et de grandes zones d’activités au sud (les Saussaies, la Moinerie, les Cochets). Au sud-ouest, un autre ensemble d’habitat forme le quartier des Boulins. Le moulin d’Aulnay est à l’angle sud-ouest de la commune, sur l’Orge. L’aérodrome de Brétigny, occupé par la BA 217, mord à peine sur le territoire communal à l’est, mais la commune abritait le Centre d’essais en vol (CEV), le site départemental de Météo-France et l’Institut de médecine aéronautique (Imassa). Toutefois, le CEV a été transféré à partir de 2004 à Toulouse, Cazaux et Istres, et s’est effacé complètement de Brétigny en 2010; la BA 217 a fermé en 2012 mais le site sert; seul l’Imassa devrait être renforcé, passant de 250 à 500 personnes encore à des activités de sécurité, notamment en drones. Au nord-ouest, le château La Fontaine, entouré d’un parc et proche d’un étang équipé en base de loisirs, et d’un échangeur de la Francilienne, abrite un IUT. La ville a deux collèges et un lycée publics, un collège privé, une clinique de 65 lits, un centre d’aide par le travail et une maison de retraite. Un établissement horticole, à l’ouest, est le foyer originel (1899) des «graines d’élite» Clause, actuellement au groupe Limagrain. L’éventail d’entreprises est large et les emplois sont relativement nombreux: fabrique de médicaments Delpharm (160 sal.); analyses et inspections Eurocontrol (450 sal.), formation professionnelle Alive (150 sal.); hypermarché Auchan (530 sal.), magasin Decathlon (180 sal.), Marché Frais Géant (110 sal.), entrepôts Amazon (970 sal.) et ID Logistics (100 sal.); blanchisserie Elis (MAJ, 280 sal.), constructions Conmet (130 sal.); location de camions FLCM (150 sal.); distribution de gaz GRDF (230 sal.). La ville a eu 3 000 hab. en 1931, 6 800 en 1962, 19 600 en 1975; elle a poursuivi sa croissance à un rythme plus modéré, puis augmenté de 5 320 hab. après 1999 (+24%). Le nouveau canton de Brétigny-sur-Orge a 6 communes et 65 200 hab. (9 000 Breuilletois, 669 ha) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération entre Arpajon et Saint-Chéron dans la vallée de l’Orge, rive gauche. La Rémarde et l’Orge, celle-ci doublée par la Grande Boëlle des Chevaliers, confluent juste à l’aval du centre ancien, près duquel sont le château du Chapitre et un ancien moulin. Elles entretiennent des étangs qui ont attiré des séries de pavillons (Port-Sud). La plus grande partie de l’habitat, toutefois, est sur le promontoire de plateau qui sépare la vallée de l’Orge de celle de la Rémarde au nord; la Boissière complète l’habitat sur la rive droite de la Rémarde au nord-ouest du finage. La commune a deux gares du RER C, l’une à l’ancien village, l’autre à l’extrémité nord-est près de Port-Sud. La commune accueille quelques petites entreprises et une maison de retraite. Breuillet avait 700 hab. au début du 20e s., 1 300 en 1936, 2 000 en 1962; le nombre des habitants a fait un saut entre 1965 et 1975 (6 600 hab.) puis la croissance a repris après 1999, gagnant 1 600 hab. (+21%). (3 630 Bruyérois, 1 290 ha dont 622 de bois) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération, 5 km à l’ouest d’Arpajon. Elle a une église classée, un château avec parc (14e et 18e s.), le menhir de la Pierre Beaumirault au bord de la Rémarde, plus un parc d’aventures et parcours en arbres Floreval. Le hameau de Verville complète à l’ouest la petite agglomération. Le finage est bordé au sud par la vallée de la Rémarde, occupée par le grand bassin de retenue de l’Orge près du confluent de l’Orge et de la Rémarde, et près de laquelle se dresse le château d’Arny (19e s.). En amont, la petite vallée de la Charmoise, affluent de gauche de la Rémarde, a fixé au sud-ouest de la commune le hameau d’Arpenty. Le finage communal englobe au nord la butte qui porte la forêt départementale de la Roche Turpin et monte à 167 m. Un négoce de produits pour animaux de compagnie Vitakraft (100 sal.) occupe le site de l’ancien château de Morionville (18e s.), dont il ne reste que quelques vestiges. Une gare du RER C est proche, mais sur le territoire de Breuillet. La commune avait 840 hab. en 1936, puis sa population est montée à 2 100 en 1975, 3 000 en 1999. Surtout, au pied de la Roche Turpin à l’est, le camp militaire de Linas-Montlhéry empiète sur la commune; c’est le site du technopole Teratec, qui contient le plus puissant calculateur d’Europe. Le Commissariat à l’Énergie Atomique y emploie 2 000 personnes (et Bull 1 320), notamment à la simulation du comportement et des effets de l’arme nucléaire; le TGCC (Très grand centre de calcul) y disposait depuis 2006 d’une puissance de plus de 50 Tflops (50 000 milliards d’opérations par seconde) selon un contrat CEA-Bull. La puissance se compte désormais en petalops (millions de milliards d’opérations par seconde). Des recherches sur la structure de l’univers (projet Horizon) ont également lieu sur le site, qui est abondamment utilisé par de nombreuses grandes entreprises. (2 250 Cheptainvillois, 715 ha dont 220 de bois) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération à 5 km SSE d’Arpajon. Elle a conservé son allure de village-rue, complété par un château du 19e s. et le lotissement pavillonnaire de Bonneville à l’angle nord-est du finage; zoo parc de Cheptainville. La commune avait 600 hab. en 1954 et croît depuis. Elle a gagné 770 hab. après 1999 (+53%). (6 810 Aglatiens, 395 ha) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération, juste au sud-ouest d’Arpajon, sur la rive droite de l’Orge. Elle a un clocher inscrit du 12e s., un institut médico-éducatif, une gare du RER C; le château de Villelouvette (19e s.), tout à l’ouest au confluent de l’Orge et de la Rémarde, abrite en son parc un centre aéré de la commune de Montrouge. La ville accueille un Intermarché (130 sal.), la centrale d’achats Sport 2000 (120 sal.). La N20 traverse la partie orientale de la commune, séparant du centre les quartiers de la Croix-Rouge et de la Croix d’Égly, soudés aux habitats d’Arpajon; elle offre un échangeur au sud-est, partagé avec Avrainville. Égly n’avait encore que 500 hab. en 1954; elle est passée à 1 300 hab. en 1968, 4 400 en 1975, 5 360 en 1999; elle a gagné 1 450 hab. depuis (+27%). (14 000 hab., 651 ha dont 242 de bois) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération juste à l’est de Sainte-Geneviève-des-Bois. La Francilienne traverse la partie méridionale de la commune; elle laisse au sud la zone d’activités des Ciroliers et croise par un échangeur en trèfle presque parfait la N445, qui traverse la commune du nord au sud dans sa partie occidentale. L’habitat se concentre à l’est de la N445, un peu au nord-ouest dans les quartiers du Lac et de la Greffière, agrémentés d’un bois et d’un étang. Vers le sud, le parc de la Marquise abrite près de la mairie un centre hospitalier privé, avec deux cliniques de 15 et 70 lits, une école de réadaptation et une maison de retraite. La plus grande partie du territoire, à l’est de la commune, est occupée par les bois des Châtaigniers au sud, des Chaqueux et de l’Hôtel-Dieu au centre, la Sapinière au nord, qui entourent la masse considérable de la prison de 2 900 places, achevée en 1968. Elle mobilise 1 400 agents (30% de femmes) et occupe un terrain de 180 ha; elle est composée d’une maison d’arrêt pour hommes et d’une autre pour femmes, ainsi que d’un centre pour jeunes détenus, et elle est accompagnée par une caserne de gendarmerie et une école d’administration pénitentiaire. La commune a aussi un centre d’aide par le travail. L’A6 rase la limite communale au nord-est, près de la zone d’activité des Radars partagée avec Grigny. Un petit quartier d’immeubles au sud de la Greffière, au nord-ouest de la commune, est classé en «quartier prioritaire» avec le quartier des Aunettes de Sainte-Geneviève-des-Bois. La ville accueille une boulangerie industrielle Bimbo QSR (170 sal.), un magasin Brico-Dépôt (100 sal.); négoce d’électronique Sonelog (150 sal.), les transports GXO (220 sal.), Martin Bronner (220), STOP (140 sal.) et TEA (130 sal.); travaux publics Medinger (170 sal.). La commune n’avait encore que 350 hab. en 1962; elle est brusquement passée à 6 600 en 1975, 9 700 en 1990. Après avoir légèrement baissé ensuite, elle a augmenté de 4 710 hab. après 1999, soit de moitié. (4 350 Leuvillois, 249 ha) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération, 3 km au NNE d’Arpajon et au sud-est de l’autodrome de Montlhéry-Linas. Son petit territoire est encadré par l’Orge à l’est, la Francilienne au nord et la N20 à l’ouest. Il conserve des restes d’un château des 17e-18e s. L’habitat est à l’écart de la vallée humide de l’Orge, sur un élément étroit du bas plateau au-dessus de la plaine alluviale, qui reste en partie agricole et en partie boisée. La mention «sur Orge» a été ajoutée en 1891. La commune avait alors 770 hab., et 830 en 1936; la population a crû après la guerre, et surtout depuis 1980: 1 500 hab. en 1968, 2 500 en 1990, 3 800 en 1999. (6 500 Longipontains, 505 ha) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération, à l’est de Montlhéry. Elle conserve la basilique d’une ancienne abbaye (12e-13e et 19e s.). Son territoire s’étire du sud au nord sur la rive gauche de l’Orge et inclut au nord-ouest les quartiers pavillonnaires du Moulin à Vent, du Mesnil et des Échassons, et une zone commerciale le long de la N20, qui est à la limite du territoire; la large urbanisation de Guiperreux. La Francilienne passe à la limite sud du finage. Le château de Villebouzin (17e s.) est tout au nord et abrite une clinique (100 sal.). Longpont a trois maisons de retraite dont celle du château de Lormoy (110 sal.) et celle du château de Villebouzin (Clinea, 100 sal.), dans un grand château des 17e, 18e et 19e s. près de l’Orge. Elle a reçu un établissement central de Brico Dépôt (320 sal.), un Intermarché (120 sal.); location de matériels de chantier Somag (60 sal.). Le nom de la commune était simplement Longpont jusqu’en 1951; elle avait 920 hab. en 1936, puis a accéléré sa croissance en passant par 1 800 hab. en 1968, 3 200 en 1975, 4 800 en 1990; elle a gagné 630 hab. depuis 1999. (5 720 Marollais, 647 ha) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération, 5 km au sud de Brétigny-sur-Orge, sur le bas plateau vers 80 m. Autour du petit village-rue originel se sont rassemblés des lotissements qui forment une agglomération relativement compacte, traversée par la voie ferrée flanquée d’une gare du RER C et, au nord, d’une zone industrielle dans le prolongement de la gare de triage et des activités de Brétigny-sur-Orge. La ville a un collège public et a accueilli de 1970 à 2000 une usine de blindés du groupe Panhard (130 sal.), dans la commune natale de l’ingénieur Émile Levassor (1843-1897), cofondateur en 1891 du groupe qui fut absorbé par Citroën en 1965. La commune héberge la location de matériel de travaux publics Solomat (130 sal.), les constructions Vinci (60 sal.) et des magasins Carrefour (55 sal.) et Lidl (50 sal.). La commune avait 650 hab. en 1911, 1 100 en 1954, et a crû surtout après 1970, passant à 2 700 hab. en 1975, 4 700 en 1999 et gagnant 1 020 hab. depuis (+22%). (20 950 Morsaintois, 439 ha) est un ancien chef-lieu de canton de l’Essonne dans l’arrondissement d’Évry, 8 km ONO de la préfecture, membre de la CA Cœur d'Essonne Agglomération. En fait, l’Orge ne fait que borner l’angle nord-ouest de la commune, où passe aussi l’autoroute du Soleil (A6). Le château (17e au 19e s.), avec parc et étang, occupe cet angle et abrite diverses institutions municipales, notamment culturelles et sociales. Plus au sud, le Parc Beauséjour est un ancien domaine urbanisé au début du 20e s., notamment par l’architecte Hector Guimard. Le territoire communal est limité à l’est par celui de Viry-Châtillon, au sud par Sainte-Geneviève-des-Bois, à l’ouest par Villemoisson-sur-Orge. La commune, dont le territoire est entièrement urbanisé, surtout en pavillons, est principalement résidentielle mais sans accès ferroviaire, si ce n’est par la gare RER de Savigny-sur-Orge au nord; elle a deux collèges publics et un lycée professionnel public, un centre d’aide par le travail, un institut médico-éducatif, mais peu d’entreprises notables. Morsang n’avait encore que 1 000 hab. vers 1900, puis a atteint 3 600 hab. en 1936, 8 000 en 1962, 20 200 en 1975, 19 470 en 1999. (4 360 Norvillois, 452 ha) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération, juste à l’est d’Arpajon. Elle a une gare du RER C au nord, et son territoire touche à l’est à la voie ferrée de Paris à Orléans. Le centre s’organise en lotissements autour d’un château des 17e-18e s., assorti d’un grand parc, et du parc de la Galanderie; il est prolongé vers l’ouest par le lotissement de pavillons des Champs Joly. Le finage n’atteint pas au nord le cours de l’Essonne, mais est densément peuplé au nord de la voie ferrée dans la vallée. La ville a deux collèges publics et un institut de traitement de la surdité infantile (120 places); La Poste déclare 130 salariés. La commune avait 470 hab. vers 1900, 970 en 1936 et a dépassé les 2 000 hab. en 1975; la croissance a été vive entre 1982 (2 300 hab.) et 1990 (3 800 hab.) mais a ralenti depuis, passant par 4 000 hab. en 1999. (5 380 Ollainvillois, 1 133 ha dont 308 de bois) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération, juste à l’ouest d’Arpajon, au-dessus de la rive gauche de l’Orge juste en amont du confluent de la Rémarde; il abrite un collège public et un établissement régional d’enseignement adapté (erea) dans un château du 19e s. néo-Louis XIII. La commune s’orne également des châteaux de la Roche (17e et 19e s.) et du Rué (19e s.), et d’anciens moulins des 18e et 19e s. Le finage s’étire vers le nord où, autour du hameau de Baillot, dans le bois de Saint-Eutrope et sur le plateau juste à l’ouest de l’autodrome de Montlhéry; il est largement occupé par le camp militaire de Linas-Montlhéry, qui abrite le 121e régiment du train. Le camp avait d’abord été affecté à l’enfermement de Tsiganes en novembre 1940. Au nord-est, le quartier de la Roche est séparé du centre-ville comme du camp, mais jointif des espaces bâtis de Leuville-sur-Orge et Saint-Germain-lès-Arpajon. Une zone d’activités, au nord-ouest, est partagée avec Bruyères-le-Châtel. La commune accueille la fabrique d’appareils thermostatiques Vernet (330 sal.), une centrale d’achats Biocoop (170 sal.). La population communale croît depuis 1906 où elle n’était que de 440 hab., et a passé les 1 000 hab. en 1960, les 2 000 vers 1978, 4 660 en 1999. (4 210 Plesséiens, 758 ha) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération, juste à l’est de Brétigny-sur-Orge; le nom est apparu en 1218. L’aérodrome de Brétigny (LFPY puis LF41), qui s’étend sur 750 ha, est principalement dans la commune, dont il occupe la plus grande partie. Créé en 1938 pour l’armée, il est doté de deux pistes bitumées de 3 000 et 2 200 m et a été utilisé pour le contrôle aérien, la gestion de satellites, les essais en vol jusqu’en 2004; il abrite depuis 1976 la base aérienne 217 de l’armée de l’air, qui en a l’entière possession depuis 2005 et occupe 2 200 personnes. La base a été fermée en 2012, le site ne conservant que le pôle médical de l’armée de l’air; une bonne part des terrains est utilisée par le centre de recherche zootechnique de l’INRAE à Bressonvilliers, situé dans la commune voisine de Leuville. La D19 traverse la commune au nord de l’emprise aéroportuaire. L’habitat est fait de lotissements pavillonnaires au nord de la route, jouxtant ceux de Brétigny à l’est. Le territoire communal accueille les fabriques d’équipements de contrôle Thales (330 sal.), de peintures Nippon Paint (140 sal.), de cosmétiques SVR (Emulscience, 80 sal.); entreposage Carrefour (110 sal.), transports Premat (210 sal.), Rialet (Astre, 95 sal.), Kuehne Nagel (75 sal.), Seine Express (50 sal.), Francilienne TS (50 sal.); surgelés Fresca (130 sal.), négoce de cosmétiques SVR (140 sal.); travaux publics Neovia (75 sal.), assainissement SECHE (230 sal.). La commune n’avait que 400 hab. en 1954 puis sa population est montée à 1 200 en 1975, 2 700 en 1982, 3 180 en 1999. (36 140 Génovéfains, 927 ha) est un ancien chef-lieu de canton de l’Essonne dans l’arrondissement de Palaiseau, 11 km au sud-est de celle-ci. Elle est le siège de la CA Cœur d'Essonne Agglomération. La rive droite de l’Orge sert de limite nord-ouest à la commune. Dans la vallée de l’Orge en aval, un grand parc est aménagé autour du bois des Genoux Blancs et de l’étang du Breuil; non loin sont le centre hospitalier spécialisé du Perray-Vaucluse et la gare du RER C. Vers l’amont, s’étire le parc des Bords de l’Orge. Au sud-est, la commune comprend le parc de Liers et le domaine du château du Parc Pierre, aménagé en parc animalier et centre de loisirs; ainsi qu’un grand cimetière russe avec église orthodoxe, créés après 1917 et où sont enterrées de nombreuses personnalités de l’émigration, dont Nouréiev et Tarkovski. La Francilienne traverse cette extrémité méridionale de la commune; un échangeur donne accès à la zone d’activités de la Croix-Blanche, au sud de la Francilienne, où fut ouvert le premier hypermarché de France, un Carrefour, en 1963. Toute la partie septentrionale de la commune a été dessinée selon un plan régulier, associant une étoile autour de la place de Stalingrad, sur l’ancienne route principale de Paris (voie royale, actuelle route de Corbeil, D117) et un dessin en arêtes de poisson à rues parallèles et obliques dont l’artère principale est l’avenue Gabriel-Péri, apparue d’abord comme avenue de la gare, reliant la gare à l’étoile. Le grand ensemble des Aunettes, à l’est, est classé en «quartier prioritaire». La ville est fleurie (quatre fleurs); elle a trois collèges publics et deux lycées publics, cinq maisons de retraite. Du passé lointain reste un donjon (14e s.) du château (14e et 17e s.), devenu hôpital. Les principaux établissements sont l’hypermarché Carrefour (260 sal.), des magasins Leroy-Merlin (290 sal.), Kiloutou (100 sal.); la centrale d’achats de pièces pour automobiles Precisium (110 sal.); des gardiennage ÉASGC (130 sal.) et Étoile Protection (100 sal.); assainissement SECHE (230 sal.). La commune n’avait encore que 650 hab. en 1900; elle est rapidement passée à 7 400 hab. en 1936, 17 700 en 1962, 31 900 en 1975 et poursuit modérément sa croissance (32 300 hab. en 1999). Le nouveau canton de Sainte-Geneviève-des-Bois a 4 communes et 68 300 hab. (11 390 Germinois, 631 ha) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération au nord-est d’Arpajon. Son finage s’étire du nord-ouest au sud-est, où il atteint la gare de triage de Brétigny. Elle a une église inscrite, le château de Chanteloup (13e et 18e-19e s.) avec un grand parc et une réserve ornithologique près de la mairie, d’anciens moulins. La commune est traversée par l’Orge, la N20 et une voie ferrée — la gare du RER est à la limite de la commune mais sur le territoire de La Norville. À l’est de la vallée, quelques bois subsistent près des ensembles d’habitations des quartiers d’Aulnay, la Bretonnière, les Boulins. La ville accueille un collège public, une maison de retraite (ehpad de l’Orge, 55 sal.), une fabrique d’ingrédients alimentaires CHR Hansen (170 sal.) au moulin d’Aulnay; un supermarché et la direction régionale des magasins Lidl (230 sal.), un Intermarché (50 sal.); entrepôts du groupe Carrefour (310 sal.); location de chaufferies Tibbloc (90 sal.). La commune se nommait Saint-Germain-lès-Châtres jusqu’en 1720 et a changé de nom en même temps que Châtres. Elle a eu son premier millier d’habitants en 1930, 2 100 en 1962, 5 900 en 1975, 8 300 en 1999 et poursuit sa croissance. (21 590 Saint-Michellois, 529 ha) est un ancien chef-lieu de canton de l’Essonne dans l’arrondissement de Palaiseau, 12 km au sud-est de celle-ci, dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération. Le territoire communal est entièrement urbanisé. Il est voisin de ceux de Sainte-Geneviève-des-Bois, Brétigny-sur-Orge et Longpont-sur-Orge. La rive droite de l’Orge forme sa limite occidentale et la vallée accueille le centre de loisirs de la Canardière, avec un étang et des installations de sports. Au sud, le finage est parcouru par la Francilienne, bordée par un Techniparc; la voie ferrée Paris-Orléans traverse le territoire du nord au sud et offre une gare du RER C. À l’est, le domaine du Bois des Roches, anciennement au groupe sucrier Say, a été converti en un grand ensemble de logements (2 600 appartements) et se trouve classé en «quartier prioritaire». Une autre partie de la commune a été couverte de pavillons Villagexpo. La ville a deux collèges et un lycée publics, deux maisons de retraite. Les principaux établissements sont les emballages plastiques Valve Précision (valves pour aérosols, 110 sal.), les ingrédients alimentaires Planrex (55 sal.); un hypermarché Casino (150 sal.), des négoces de fournitures Rubix (Brammer, 380 sal.), de matériels Fenwinck-Linde (60 sal.), d’électronique Sitech (60 sal.); location de matériels Aggreko (85 sal.); entreposage GXO (150 sal.); La Poste (110 sal.), nettoyage Renov Action (170 sal.). La commune a eu 1 000 hab. en 1900, 2 000 en 1932, 3 700 en 1962 puis sa population a bondi à 15 300 hab. en 1968 et 20 700 en 1975, avant de se stabiliser. (7 190 Villemoissonnais, 231 ha) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération, 4 km au SSE de Longjumeau. L’Orge fixe la limite nord et ouest de la commune, la voie rapide D257 sa limite orientale; la limite sud court le long du territoire de Sainte-Geneviève-des-Bois. Le finage contient le bois des Genoux Blancs à l’ouest, le parc des Érables au centre-sud-est où est aussi le Castel d’Orgeval, un original manoir (inscrit) dessiné en 1887 par Hector Guimard. Au nord-ouest passe la voie ferrée de Paris à Orléans, mais elle n’offre pas de gare dans la commune; la plus proche gare du RER est celle d’Épinay-sur-Orge au nord. La commune est surtout résidentielle; elle a un collège public et deux maisons de retraite dont celle du Château de Villemoisson (50 sal.), et une clinique (75 lits). La population communale était de 430 hab. en 1900 et a commencé à croître peu après: 1 700 hab. en 1936, 4 100 en 1975, 6 920 en 1999; la croissance est ralentie depuis 1990. (4 620 Villiérains, 178 ha) est une commune de l’Essonne dans la CA Cœur d'Essonne Agglomération, 4 km au sud de Longjumeau. L’Orge borde la limite sud-est de la commune, longée par un parc doté d’équipements de loisirs (parc de la Seigneurie). Elle jouxte l’hôpital psychiatrique du Perray-Vaucluse (commune d’Épinay-sur-Orge) et abrite une clinique (Alliance Repotel, 270 sal.), les constructions PMB (80 sal.), une maison d’accueil spécialisée, une maison de retraite. La commune n’avait encore que 750 hab. en 1962, mais est passée à 2 000 dès 1968, 3 300 en 1982,3 780 en 1999. |