Communauté de communes Brie des Rivières et Châteaux' communauté de communes de Seine-et-Marne associant 31 communes et 39 600 hab. sur 36 620 ha. Le siège est au Châtelet-en-Brie, qui a plus de 2 000 hab. ainsi que Chaumes-en-Brie, Évry-Grégy-sur-Yerre, Grisy-Suisnes, Guignes, Soignolles-en-Brie. Les Écrennes (620 Écrennois, 1 854 ha) est à 5 km à l’est du Châtelet-en-Brie et a une église inscrite du 13e s.; le château de la Loge des Prés est un peu au sud. Plus de la moitié du finage, à l’est, est dans la forêt de Villefermoy, au milieu de laquelle se maintient le hameau de la Grande-Commune. L’A5 traverse à l’ouest. La population a connu une progression sensible depuis le minimum à 220 hab. des années 1935 à 1975 mais stagne depuis 1999. Échouboulains (560 Échouboulinois, 2 091 ha dont 939 de bois) est formée par la réunion d’Échou au sud-ouest et de Boulains à l’est, qui est à 16 km ESE du Châtelet-en-Brie et comprend le village-centre, en clairière, et un château du 19e s. avec parc. La forêt de Villefermoy occupe une partie du finage au nord, sous la forme du bois d’Échou, au sein duquel s’ouvre un gouffre; la partie sud-est est dans la forêt de Saint-Martin, partagée avec Forges et Laval-en-Brie (CC de Montereau). La commune était à 340 hab. en 1975 (640 au maximum de 1886); elle a 40 hab. de plus qu’en 1999. Valence-en-Brie (1 050 Valençois, 1 103 ha dont 200 de bois) est sur la route de Montereau et dans le Val Javot, à 11 km au sud-est du Châtelet-en-Brie. Le nom était seulement Valence avant 1888. De 770 hab. en 1836, le nombre d’habitants était tombé à 420 en 1975; il augmente depuis, gagnant 390 hab. après 1999 (+59%). L’A5 et la LGV traversent le territoire du NO au SE à l’est du village. Paradoxalement, la commune n’a rien de la grande forêt de Valence qui s’étend au SO; au nord, elle participe au massif de Villefermoy par le bois des Quatre-Vingts. Pamfou (960 Pamfolliens, 1 041 ha dont 275 de bois) est à 8 km au sud-est du Châtelet-en-Brie sur la D605 et n’a été créée qu’en 1906 avec 310 hab., descendus à 230 en 1936 et en croissance depuis. L’A5 et la LGV traversent la commune au nord-est; château de Chapuis au sud-ouest, parc de Pamfou avec village de vacances au nord. Machault (800 Machauliens, 1 628 ha dont 788 de bois) est à 8 km SSE du Châtelet-en-Brie sur le plateau, doublé au nord par le proche hameau de Villiers; église inscrite. Au sud, la commune contient une partie du bois de Valence. Machault avait plus de 1 000 hab. vers 1850, 750 en 1900 puis Pamfou s’en est séparée en 1906, le nombre d’habitants tombant à moins de 400, et même moins de 300 en 1931; il n’était encore qu’à 300 en 1975, mais augmente depuis, gagnant 160 hab. après 1999. Féricy (620 Fériciens, 933 ha dont 400 de bois) est à 6 km au sud du Châtelet-en-Brie, complété juste au sud par le hameau de Ferland, au nord par le Montceau; église classée des 13e et 15e s. Le château de la Salle (19e s.) est sur un ancien domaine ecclésiastique, avec parc et petit étang, acquis par la municipalité en 2006 pour en faire un lieu festif. Son finage contient une partie de la forêt domaniale de Barbeau. Sa population, de plus de 600 hab. vers 1850, était descendue à 350 en 1968; elle croît depuis. (+110 hab. après 1999). Fontaine-le-Port (1 020 Portifontains, 789 ha dont 394 de bois) est à 4 km au SO du Châtelet-en-Brie en amont de Chartrettes sur la rive droite de la Seine. Il a aussi sa gare, un pont sur la Seine et une église inscrite. L’habitat comporte un vieux village en bord de Seine et un nouvel habitat sur le plateau. La commune a une part du Buisson de Massoury au nord-ouest, près du hameau de Massoury, et une part de la forêt de Barbeau au sud-est, où se niche le château du Grand Barbeau (19e s. avec parc) en bord de Seine. La population était de 300 hab. au début du 20e s. et croît depuis (560 hab. en 1975, 840 en 1999). Sivry-Courtry (1 140 Sivryens, 2 247 ha dont 614 de bois) est 8 km à l’est de Melun, 4 km au NO du Châtelet-en-Brie sur la N105. Tout au nord-est, un échangeur à péage est au croisement de l’A5 et de la route de Provins (D408); bétons A2C Préfa (110 sal.). Le hameau de Courtry, au NE, ancienne commune intégrée en 1842, conserve un château protégé. Au sud, le finage contient une part de la forêt du Buisson de Massoury. Géopétrol extrait un peu de pétrole à l’est de Sivry. La commune n’avait plus que 470 hab. en 1968, contre 610 un siècle avant; sa population croît depuis. Moisenay (1 390 Moséniens, 872 ha) est un village-rue à 9 km NO du Châtelet-en-Brie et 7 km NE de Melun, juste à l’est du parc de Vaux-le-Vicomte; église classée des 12e et 13e s. L’A5 et a LGV traversent au NE. La commune avait 570 hab. dans les années 1930 et sa population croît depuis; +210 hab. après 1999. Blandy (790 Blandynois, 1 399 ha dont 311 de bois) est 10 km au nord du Châtelet-en-Brie à l’est de l’A5 et de la LGV qui traversent le SO du finage, sur un promontoire qui domine l’Ancœur, et conserve une église classée des 13e et 18e s. et les cinq tours et le donjon d’un grand château fort du 12e au 16e s., avec musée et lumières, qui la situent parmi les «villages de charme». Le bois de Blandy est à l’est du finage; site archéologique de la Tour d’Aiguillon au SO. La population communale augmente depuis le minimum de 1936 (480 hab.), gagnant encore 70 hab. après 1999; mais elle avait dépassé 900 hab. au début du 19e s. La commune est parfois désignée, non officiellement, sous le nom de Blandy-les-Tours pour se distinguer du Blandy de l’Essonne. Châtillon-la-Borde (230 Châtillonnais-Labordillois, 725 ha dont 317 de bois) associe deux villages distants de 3 km, réunis pendant la Révolution. Châtillon est sur la route de Nangis et Provins (D408), 12 km à l’est de Melun, 6 km NNE du Châtelet-en-Brie; la Borde est au sud-est, plus étoffée, à l’orée du grand bois de la Borde qui occupe une bonne moitié du finage. La population communale, tombée à 90 hab. en 1962, augmente depuis. Bombon (950 Bombonnais, 1 500 ha dont 600 de bois) est à 12 km NE du Châtelet-en-Brie, 8 km SSO de Mormant par la route (4 km à vol d’oiseau). Elle a une église classée des 13e et 16e s., une maison de retraite Domusvi (60 sal.). Le château de Bombon (17e s.) et le château de Montjay (19e s.) sont au sud-ouest, tous deux avec parcs. Le bois de Bombon est à l’est, la ferme fortifiée des Époisses (13e et 16e-17e s.) au nord. Dans la vallée de l’Ancœur, au sud, qui dessine un étroit méandre, le site des Bordes Chalonges est classé en espace naturel sensible sur 68 ha. La commune était passée de près de 800 hab. au milieu du 19e s. à 460 hab. en 1931 et a lentement crû jusqu’en 1975 (550 hab.), un peu plus vite ensuite. Elle avait hébergé le poste de commandement du général Foch en 1918. Saint-Méry (340 Médériciens, 994 ha dont 613 de bois) est à 2 km ESE de Champeaux, 7 km au SO de Mormant au bord du ru d’Ancœur, une des têtes de l’Almont qui passe à Melun; elle a une église inscrite. Son territoire envoie une longue queue vers le sud-est, occupée par le bois de Saint-Méry et traversée par la D408. La commune avait 240 hab. en 1975, contre 560 au milieu du 19e s.; sa population augmente un peu depuis. Champeaux (820 Campéliens, 1 305 ha) est à 13 km NNE du Châtelet-en-Brie, 7 km OSO de Mormant sur la route de Melun (D215), et se distingue par sa grande collégiale des 12e-13e s., flanquée d’un cloître et où se tient depuis 1983 un festival d’art sacré en juin. Le château d’Aunoy (18e s.) est au sud, dans un parc de 70 ha, et se loue pour des réceptions; Ben Bella y avait été placé en résidence (très) surveillée avec ses codétenus en 1961, après avoir obtenu le statut de prisonniers politiques. La commune accueille une serrurerie BSB (35 sal.), les transports SAMAT (65 sal.). En augmentation après 1954 (540 hab.), sa population stagne depuis 1999. Fouju (610 Forjaviens, 781 ha) est à 10 km OSO de Mormant; ruines d’un château fort avec ses douves au village; carrière au sud-ouest, le long de l’A5 qui, flanquée par la LGV, qui suit la limite occidentale du finage. Fouju n’avait que 270 hab. entre 1960 et 1975 et sa population augmente depuis (+80 hab. après 1999). Crisenoy (620 Crisenoyens, 1 287 ha) est à 13 km OSO de Mormant et 10 km au NE de Melun; château du 18e s. avec parc. La commune est traversée du NE au SO par la N36 et à l’ouest par la LGV; tout au sud, échangeur à péage A5-N36 et bifurcation ferroviaire. Le finage abrite quelques écarts, dont au nord la ferme de Genouilly flanquée de l’ancien parc de chasse dit pépinière Croux, et le hameau de Suscy-sous-Yèbles, avec jardin signalé du domaine de Suscy; Suscy est ce qui reste d’une commune absorbée en 1842 avec sa trentaine d’habitants. Crisenoy n’avait guère que 400 hab. dans les années 1950 et 1960, et croît depuis. Champdeuil (740 Champdeuillais, 397 ha) est 14 km à l’ONO de Mormant et 11 km au NNE de Melun; quelques fermes d’allure fortifiée; transports Curry (150 sal.). La commune avait 200 hab. en 1931 et croît lentement depuis. Andrezel (310 Andrezeliens, 808 ha) est à 8 km à l’ouest de Mormant par la route, à 4 km au SE de Guignes; château du 17e s., hameau du Truisy à l’ouest, ferme fortifiée de Mainpincien au sud-ouest. La commune, dont la population croissait un peu depuis 1962, a perdu une soixantaine d’habitants après 1999. Yèbles (960 Ébuliens, 1 168 ha dont 277 de bois), jadis Ebula (un sureau à teinture) est juste à l’ouest de Guignes, à 10 km ONO de Mormant. La commune est traversée à la fois par la N19, la N36 et la D402, qui se réunissent à Guignes. Elle partage avec celle-ci le bois de Vitry au nord, à l’orée duquel est le hameau de Nogent-sur-Avon, et y ajoute au nord-ouest le bois de Rosay. L’Yerres fixe la limite nord du finage et reçoit à gauche l’Avon à la corne sud-ouest du bois de Vitry. Yèbles a de petites fabriques: métallerie des Ateliers de Yèbles (45 sal.), cosmétiques Contapharm (40 sal.), mécanique ATMP77 (30 sal.). Elle n’avait plus que 220 hab. en 1962 et a crû ensuite, gagnant 400 hab. depuis 1999 (+71%). Solers (1 260 Solersois, 628 ha) est sur le tracé de la N19, 15 km NNE de Melun. Le village est sur le coteau escarpé qui domine la rive concave d’un méandre de l’Yerres. La commune accueille un cimetière militaire allemand. Elle n’avait que 400 hab. en 1968, et a crû assez vite jusqu’en 1999 mais pas depuis. Coubert (1 890 Curtibéhardiens, 836 ha dont 200 de bois) est à 16 km au nord de Melun sur la N19; aboutissement du Chemin des Roses qui mène à Brie-Comte-Robert sur le site d’une ancienne voie ferrée, elle a un château du 18e s. avec parc à l’orée de la forêt domaniale de Coubert au nord-est. Celle-ci occupe 280 ha entre un massif privé et la forêt de Léchelle au nord, et elle est le site d’une triple fourche des LGV; fabrique de colles Bostik (95 sal.), bétons Sotubema (45 sal.); centre de gérontologie et rééducation de l’Ugecam (ESAT L’Orange épicée), maison de retraite (45 sal.). Coubert avait 700 hab. vers 1900, 900 en 1970, et accélère sa croissance, gagnant 550 hab. depuis les 1 340 hab. de 1999 (+41%). Courquetaine (200 Courquetainois, 782 de bois) est à 18 km NNE de Melun; château des 17e et 19e s. à douves; la ligne ferroviaire à grande vitesse et la voie ferrée Paris-Bâle encadrent le finage à l’ouest et à l’est. La commune avait 125 hab. au minimum de 1975. Ozouer-le-Voulgis (1 990 Ozouériens, 1 130 ha dont 315 de bois) est au NO de Guignes, 11 km au NO de Mormant, et a une église inscrite. Le bourg est sur le coteau qui domine l’Yerres; celle-ci dessine la limite méridionale de la commune. La N19 traverse le sud-ouest du finage au hameau des Étards. Au-delà de la voie ferrée Paris-Bâle, qui emprunte la vallée de la Marsanne avant son confluent avec l’Yerres, le relief s’élève à l’est et porte le bois d’Ozouer. La commune accueillait une fabrique d’équipements aérauliques Vokes Air (Mannemann, 90 sal.) mais elle a fermé en 2015; transports Bruno (65 sal.). Elle avait moins de 900 hab. avant la dernière guerre, et croît depuis. Entre 1972 et 1981, Courquetaine et Ozouer avaient été associées et formaient la commune d’Ozouer-Courquetaine; la fusion n’a pas réussi. Argentières (360 Argentiérois, 257 ha), 6 km NNO de Mormant, a un territoire très petit au bord de l’Yerres; elle avait seulement 120 hab. en 1962. Beauvoir (190 Bellevidériens, 394 ha) est juste au sud d’Argentières et proche de Verneuil-l’Étang, mais n’a pas accès aux bords de l’Yerres; elle avait 140 hab. en 1980. (4 330 Châtelains, 2 271 ha dont 300 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de Seine-et-Marne dans l’arrondissement de Melun, 12 km ESE de la préfecture, sur la D605 vers Montereau et dans la CC Brie des Rivières et Châteaux. La ville est fleurie (trois fleurs); elle a une église classée des 13e et 14e s. à haut clocher (42 m); le château des Dames, au village, fut propriété des religieuses dominicaines de Poissy. Les hameaux du Traveteau et de Saveteux sont au nord-est près de l’A5, dont le tracé écorne le finage, et le château de Bois-Louis se tient à la pointe nord-ouest de la commune. Un castrum fut établi à mi-chemin de la route de Condate (Montereau) à Melodunum (Melun) et fixa plus tard un castellum. La ville a un collège public, un institut médico-éducatif, une maison de retraite publique. Elle avait plus de 1 100 hab. vers 1840, était descendue à 900 en 1900, a repris ensuite lentement (1 100 hab. en 1960) puis a passé les 2 000 hab. en 1975, les 4 000 en 1990, et sa population a plafonné à 4 570 habitants en 1999. Elle accueille un centre E.Leclerc (85 sal.), une boulangerie industrielle de la Brioche Pasquier (260 sal.), les composants électroniques Devialet (55 sal.). (3 430 Calmétiens, 2 007 ha dont 500 de bois) est une commune de Seine-et-Marne dans la CC Brie des Rivières et Châteaux, 13 km au sud-est de Tournan-en-Brie. La commune est traversée par l’Yerres, très sinueuse; elle a une maison de retraite publique. Elle contient les hameaux d’Arcy au sud-est, de Maurevert au sud-ouest, Forest au nord-ouest, ces deux derniers proches de la N36 de Melun à Meaux qui traverse l’extrémité occidentale de la commune. Deux châteaux, des Tilleuls et d’Arcy (ou Arcis), du 19e s., s’ornent de parcs; mais il ne reste à peu près rien de l’ancienne abbaye bénédictine, sauf en sous-sol; l’église, en partie du 13e s., est classée. La commune est le berceau de la famille de musiciens Couperin. Chaumes, «en Brie» depuis 1905, avait 2 300 hab. en 1891 puis s’est un peu dépeuplée, jusqu’à un minimum de moins de 1 700 hab. en 1962; sa population augmente depuis; elle était de 2 500 hab. en 1990, 2 850 en 1999. (3 170 Évéryciens, 1 912 ha dont 350 de bois) est une commune de Seine-et-Marne dans la CC de la Brie des Rivières et Châteaux, 5 km au SSE de Brie-Comte-Robert. Elle associe depuis 1972 Évry-les-Châteaux, au sud de l’Yerres, et Grégy-sur-Yerre au nord de la rivière. Yerre est sans s à la fin, contrairement à la rivière. La commune a dans son patrimoine un pont des Romains sur l’Yerres (17e s.) et le pont de Grégy (17e s.), les châteaux d’Évry (19e s.) avec parc et de Grégy (17e et 19e s.) avec jardins. Elle accueille l’Institut d’informatique du groupe états-unien SAS (SAS Institute, 250 sal.). Les hameaux de Mardilly à l’est, de Tremblesseaux au sud, complètent l’habitat. La Francilienne et la N105 longent la limite occidentale de la commune, qui a un accès direct à trois échangeurs. La commune avait 800 hab. en 1975, puis a atteint 1 600 hab. en 1982 et 2 060 en 1999 et gagné 1 110 hab. ensuite (+54%). (2 770 Grisysoliens, 1 834 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CC Brie des Rivières et Châteaux à 5 km ESE de Brie-Comte-Robert. Le finage est limité au sud par la vallée sinueuse de l’Yerres, au bord de laquelle sont les hameaux de Cordon et de Suisnes (château du 17e s., inscrit). Il contient une roseraie, le château de Villemain (19e s. en style Louis XIII) au nord-ouest, une part de la forêt domaniale de Coubert au nord-est et le grand château de la Grange le Roi (16e-17e s.) à l’est, à l’orée des bois; un beffroi de 1897; une maison de retraite. Une ligne de TGV passe tout au nord, la D319 traverse la commune un peu au sud du village. Un «chemin vert» de Coubert à Brie-Comte-Robert, dit Chemin des Roses, emprunte le tracé d’une ancienne voie ferrée et forme un espace naturel sensible de 17 ha. Le doublet Grisy et Suisnes est d’origine ancienne; la commune a atteint le millier d’habitants en 1861, est restée ensuite à ce niveau jusqu’en 1970 puis sa population s’est mise à croître, passant les 2 000 hab. en 2000. (4 440 Guignols, 568 ha dont 280 de bois) est une commune de Seine-et-Marne dans la CC Brie des Rivières et Châteaux, 8 km ONO de Mormant, 15 km au nord-est de Melun. Le bourg est au croisement de la D319, de la N36 qui vient de Meaux, et de la D402 qui va de Coulommiers à Corbeil. La commune comprend au nord une moitié du bois de Vitry, l’autre revenant à Yèbles. La voie ferrée Paris-Bâle passe tout au nord, la gare étant à Verneuil-l’Étang. Guignes accueille un supermarché Carrefour (70 sal.). Longtemps restée proche de 1 000 hab. (1850 à 1960), la population communale augmenté depuis: 1 700 hab. en 1975, 2 430 en 1999 (+83% depuis). (2 060 Soignollais, 1 077 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CC Brie des Rivières et Châteaux, 10 km au sud-est de Brie-Comte-Robert, dans la vallée de l’Yerres. Son église est inscrite; gué au hameau de Barneau à l’est, hameau de la Burelle au nord-est sur la rive droite de l’Yerres. La D411 de Melun à Torcy contourne le village, qui accueille la récupération de recyclables Big Bennes (65 sal.), et un centre naturiste au château de Barneau. La mention «en Brie» est de 1919; la commune avait 600 hab. en 1936, 940 en 1975, 1 500 en 1990. |