Communauté d’agglomération du Bassin de Bourg-en-Bresse' communauté d’agglomération de l’Ain, associant 74 communes et 132 700 hab. sur 123 680 ha. Bourg-en-Bresse (siège), Attignat, Bresse Vallons, Ceyzériat, Foissiat, Marboz, Montagnat, Montrevel-en-Bresse, Péronnas, Polliat, Saint-Denis-lès-Bourg, Saint-Étienne-du-Bois, Val-Revermont et Viriat dépassent 2 000 hab. Buellas (1 890 Buellassiens, 1 021 ha), 8 km à l’ouest de Bourg, a une église du 12e s. à haut clocher et plusieurs parcs et jardins protégés; elle n’avait que 690 hab. en 1968, et a gagné 560 hab., soit +42%, après 1999. Montcet (720 Montceliens, 668 ha), 10 km à l’ouest de Bourg, est traversée puis longée à l’est par l’Irance. Elle a gagné 220 hab. après 1999 (+44%). Vandeins (730 hab., 940 ha) est 15 km à l’ouest de Bourg, L’Irance borde le finage au nord; +210 hab. après 1999 (+40%). Montracol (1 040 hab., 1 456 ha) est 8 km à l’ouest de Bourg. La D956 rectiligne traverse le finage au sud, par le hameau de l’Étoile, assorti de l’étang de Curtioux (20 ha). La commune a 410 hab. de plus qu’en 1999 (+65%). Saint-André-sur-Vieux-Jonc (1 210 Jonçois, 2 422 ha dont 391 de bois), est à 11 km au SO de Bourg, au bord du Vieux-Jonc. La commune s’est nommée Saint-André-le-Panoux jusqu’en 1902; elle avait 540 hab. au creux de 1968 et croît depuis; +230 hab. après 1999. Saint-Rémy (980 Sanrimois, 738 ha), 5 km à l’ouest de Bourg, aligne une série de lotissements sud-nord, l’ancien village au sud, le hameau de Corgenon un peu au nord traversé par la D936; petite zone d’activités au NE au bord de la Veyle, avec étangs et pisciculture; installations électriques Stemi (50 sal.), travaux publics Somec (70 sal.). La commune n’avait que 300 hab. en 1962 et a crû ensuite, dont +150 hab. après 1999. Servas (1 300 Servassiens, 1 305 ha dont 233 de bois) est à 7 km SSO de Bourg sur la D1083 et la voie ferrée vers Lyon. Elle a plusieurs étangs au sud, une fromagerie du groupe Bongrain, spécialisée dans le bresse bleu (Bressor, 170 sal.), une usine de viandes et charcuterie Le Bresse (90 sal.) et une fabrique de mortiers et bétons Saint-Gobain Weber (80 sal.). Sa population a gagné 370 hab. après 1999 (+40%). Lent (1 440 Lentais, 3 148 ha) est à 8 km SSO de bourg sur la D22, au bord de la Veyle, parmi bois et étangs; lignes électriques Sobeca (50 sal.), transports Cotton (45 sal.). Elle a 180 hab. de plus qu’en 1999. Dompierre-sur-Veyle (1 210 Dompierrois, 2 910 ha dont 701 de bois) est à 14 km au sud de Bourg, en Dombes parmi les étangs, dont le Grand Marais à l’ouest (87 ha); maçonnerie Tabouret (40 sal.); +230 hab. après 1999. Druillat (1 170 Druillatis, 2 072 ha dont 697 de bois), 18 km SSE de Bourg juste au NO de Pont-d’Ain, contient au NE un vaste échangeur qui fait communiquer l’A40 et l’A42, plus la N75(D1075) au-dessus du cours du Suran, 3 km avant son confluent avec l’Ain. Le hameau de Turgon est au-delà, celui des Rossettes au NO. Druillat a 280 hab. de plus qu’en 1999 (+31%). La Tranclière (290 Tranclériens, 1 475 ha dont 704 de bois) est un petit village de la Dombes à 13 km au SSE de Bourg, parmi bois et en étangs. L’A40 longe la limite orientale de son finage. Saint-Martin-du-Mont (1 920 Saint-Martinois, 2 809 ha dont 578 de bois), 15 km SSE de Bourg, 8 km au nord de Pont-d’Ain, est la commune la plus méridionale du Revermont, qui s’y termine en pointe au-dessus du Suran par le mont de la Vavre (433 m); elle bénéficie de la N75, de l’autoroute A40 et d’une gare à l’ouest de la commune; carrosserie (RBM, 30 sal.). La population communale, de 1 800 hab. au milieu du 19e s., était tombée à 900 en 1975 et augmente depuis. Elle a 590 hab. de plus qu’en 1999 (+44%). Certines (1 550 Certinois, 1 592 ha dont 534 de bois),10 km SSE de Bourg sur la rive gauche de la Reyssouze, accueille les transports Capuc (35 sal.), les travaux publics Eurovia (80 sal.), les espaces verts Mainaud (45 sal.) et le nettoyage Maisonhaute (30 sal.). L’A40, la N75 et la voie ferrée vers Belley passent à l’est; l’ouest de la commune est dans les bois et étangs de la Dombes. La commune n’avait pas 400 hab. en 1962 et croît depuis, gagnant encore 210 hab. après 1999. Tossiat (1 390 Tossiatis, 1 017 ha), 11 km SE de Bourg au pied du Revermont, fut jadis une ville fortifiée et en a conservé un plan en damier; le château de la Garde est du 16e s. Mais le petit village originel est submergé par les lotissements. À l’ouest, à la limite de Certines, la commune a une gare et un échangeur A40-N75, avec péage autoroutier, à 8 km de Bourg-en-Bresse, qui a attiré des entreprises; usine de colorants pour plastiques du groupe états-unien PolyOne (75 sal.); outils de levage Loc’Nacelle (55 sal.), transports Trans Touross 40 sal. et base des autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR, 60 sal.). La commune n’avait que 550 hab. entre 1954 et 1975 et croît depuis, gagnant 250 hab. après 1999. Saint-Just (980 Saint-Justins, 338 ha) jouxte Bourg au sud-est, sur la D979. Elle accueille une base logistique du groupe de distribution Système U (290 sal.) et des ateliers de meubles des cuisines Charles Réma (50 sal.), plus une agence de l’Apave (50 sal.) et une maison d’accueil spécialisée de l’AFHP (handicapés physiques). La commune n’avait que 210 hab. en 1968; elle en a gagné 180 depuis 1999. Revonnas (920 Rebenniens, 775 ha), 10 km SE de Bourg au pied du Revermont, a un habitat continu jusqu’à Ceyzériat au nord; hameau de Sénissiat au SE. La D975 et la voie ferrée vers Nantua contournent à l’est le Montagne Noire (534 m). La population a augmenté de 410 hab. depuis 1999 (+79%). Journans (390 Journanais, 245 ha), 12 km SE de Bourg, est une petite commune au pied même du Revermont, à la source de la Reyssouze juste à l’est de Tossiat; +50 hab. après 1999. Bohas-Meyriat-Rignat (970 hab., 2 351 ha dont 774 de bois), 16 km ESE de Bourg, dans le val du Suran, est issue d’une fusion de 1973 entre trois anciennes communes de 160, 190 et 190 hab.; elles en totalisaient 1 600 dans la première moitié du 19e s., mais leur population a un peu augmenté après la fusion, gagnant 230 hab. depuis1999. La commune n’atteint pas le cours de l’Ain à l’est. Hautecourt-Romanèche (780 Altacurciens, 2 160 ha dont 245 de bois), issue d’une fusion de 1972, s’étire sur 9 km nord-sud le long de la rive droite de l’Ain. Hautecourt est à 17 km ESE de Bourg, dans un val et sur la D929, qui franchit l’Ain 3 km à l’est. À l’ouest, le Mont Rosset (520 m) porte la très petite réserve naturelle de la grotte de Hautecourt (10 ha, fermée au public) et les ruines du donjon de Buenc. Romanèche est 3 km au nord dans le même val. À l’est; le versant droit de l’Ain, très raide, a un belvédère, des sites d’escalade et de vol libre et reste protégé par une longue zone naturelle. Tout au sud, le méandre de Chambod, recoupé par un court bief, offre ainsi une île (Chambod) avec colonie de vacances, base de loisirs et de nautisme, camping. Hautecourt et Romanèche avaient ensemble 1 600 hab. vers 1840 et ont connu leur minimum démographique au moment de la fusion; leur population a légèrement augmenté depuis; elle s’est encore accrue de 100 hab. après 1999. Cize (190 Cizois, 452 ha), 23 km à l’est de Bourg, a son village au-dessus de la rive droite de l’Ain, face à la presqu’île de Bolozon, dans le même val que Romanèche et Hautecourt. Tout au nord, la voie ferrée vers Nantua emprunte le viaduc de Cize-Bolozon qui enjambe l’Ain. La commune a 60 hab. de plus qu’en 1999. Grand-Corent (190 Corentins, 713 ha), 20 km à l’est de Bourg, perche son très petit village à 500 m sur la crête anticlinale qui domine le val d’Hautecourt-Cize et la rive droite de l’Ain. Sa population était tombée à 60 hab. en 1975 (320 en 1846); elle a augmenté de 80 hab. après 1999. Villereversure (1 380 Surannais dont 110 à part, 1 745 ha dont 365 de bois), 16 km ESE de Bourg, égrène ses hameaux dans le val synclinal du Suran, dont dérive son nom. Au nord, la gare sur la voie ferrée de Nantua a fait grandir le hameau de Cormorand, où sont des ateliers de plasturgie CAPV (Cleard, 55 sal.) et Anvi (30 sal.) et un institut médico-éducatif, ainsi que la mairie. Villereversure même n’est qu’un hameau au SO. La population de la commune a culminé à 1 300 hab. en 1841 puis était descendue au-dessous de 900 entre 1920 et 1965; elle augmente lentement depuis (+ 170 hab. après 1999). Ramasse (340 Ramassards, 986 ha) est 15 km à l’est de Bourg; le village est dédoublé, le hameau de Ramasse d’en bas est un peu à l’est dans la plaine. Sur le relief du Revermont à l’ouest, à la limite communale vers 590 m, observatoire de Ceyzériat-Ramasse; site karstique du Tunnel de l’Espoir au NE de la commune. Celle-ci a 120 hab. de plus qu’en 1999 (+55%). Nord-est Jasseron (1 860 Jasseronnais, 1 893 ha dont 875 de bois), a son village à 8 km à l’est de Bourg, au pied du Revermont sur la D956; château ruiné sur le relief, vestiges de poype (butte défensive) au sud. La part de plaine, très boisée (bois de Teyssonge) et traversée par l’A40, porte au SO l’aérodrome dit de Bourg-Ceyzériat (codes XBK, LFHS) doté d’une piste en dur de 1 140 m et d’une piste en herbe de 735 m, d’aéroclubs et d’un accueil pour l’aviation d’affaires. Tout près, l’A40 offre une aire de service. Jasseron a des ruines de château fort du 13e s., des restes plus ou moins remaniés de châteaux du 16e s., un observatoire astronomique du Revermont (point de vue). La commune n’avait que 600 hab. en 1931, 650 en 1968 et croît depuis; elle a gagné 590 hab. après 1999 (+46%). Meillonnas (1 410 Meillonnassiens, 1 774 ha dont 652 de bois) est juste au pied du Revermont à la sortie du Sevron, qui prend sa source dans la commune même. Le village a de belles maisons anciennes et des restes d’un château médiéval qui servit de faïencerie au 18e s.; quelques petits ateliers. Meillonnas n’avait que 610 hab. en 1962, contre 1 300 vers 1840, mais sa population croît depuis; elle a gagné 180 hab. après 1999. Drom (220 Dromniers, 778 ha), 12 km à l’est de Bourg, occupe un val synclinal connu pour ses formes karstiques souterraines; parcours karstique du Puits du Fay au sud; +60 hab. après 1999. Simandre-sur-Suran (670 Simandrins, 1 630 ha dont 536 de bois), 17 km ENE de Bourg, nommée Simandre simplement jusqu’en 1994, est dans le val synclinal du Suran, desservie par la voie ferrée vers Nantua. Elle a un atelier de plastiques (TMP Convert Jou Plast, 55 sal.), et une fruitière à comté. Près du village, subsiste le menhir de la Pierre Fiche. Le finage est occupé à l’ouest par la forêt domaniale de la Rousse et dominé à l’est par le mont du Couloir, que perce le tunnel de la voie ferrée vers Nantua au Petit-Simandre (tunnel de la Racouse). La population est étale depuis 1999. Corveissiat (6 200 Curtiveissiens, 2 269 ha dont 684 de bois) est à 25 km ENE de Bourg. Le village est perché à 460 m sur un plateau qui domine l’Ain par un escarpement rigide de 200 m de haut; dans un profond vallon s’ouvre la grotte de la Balme; plastiques Plastifal (25 sal.). La commune a été agrandie en 1944 en fusionnant avec celle de Saint-Maurice-des-Chazeaux (ou d’Échazeaux) au nord (50 hab.), en 1964, en intégrant celle d’Arnans (90 hab.) au NO; sa population a légèrement augmenté ensuite et a crû de 140 hab. depuis 1999 (+29%). Côté est, la limite du finage suit la rive droite de l’Ain. Tout au sud, le barrage de Chalours (dit aussi de Cize-Bolozon) a été édifié en 1931 et doté d’une usine électrique de 23 MW (90 GWh/an). Il retient deux plans d’eau, séparés par l’étroitesse de la partie encaissée du cours de l’Ain: un derrière le barrage, l’autre 6 km en amont, dans la petite plaine de confluence de l’Ain et de la Valouse, à la limite départementale. C’est là le site du hameau au nom significatif de Conflans, orné d’un beau château d’origine féodale (13e s.) mais plusieurs fois remanié. Il est dominé par l’escarpement qui longe l’Ain, et d’où l’on a une très belle vue. Juste en arrière, l’ancien village des Chasaux (parfois Chazeaux et même Échazeaux) a une église du 14e s., à toit de lauze, classée. Le plateau de Corveissiat est vers 500 m; il est surmonté à l’ouest par le plateau d’Arnans, 100 m plus haut; sur le flanc d’un promontoire dans un site très encaissé, subsistent des restes de l’ancienne chartreuse de Sélignac, construite au 13e s. et refaite en 1756 avant d’être dégradée pendant la Révolution. À l’extrême sud, le tunnel de la Raouze (1 684 m) débouche sur le viaduc de Cize-Bolozon, à la fois routier et ferroviaire, long de 269 m et haut de 52 m, bâti en 1875, et reconstruit en 1950 après avoir été détruit par la Résistance en juillet 1944. Nivigne-et-Suran (860 ha, 3 098 ha) est une commune nouvelle de 2017, limitrophe du département du Jura. Elle unit Chavannes-sur-Suran (720 ha, 2 150 ha) et Germagnat (140 hab., 948 ha). Les deux noms propres des communes ont été abandonnés au profit de ceux de la rivière (Suran) et du mont (signal de Nivigne, 768 m) qu’elles ont en commun. Chavannes est à 19 km ENE de Bourg, au milieu du val au bord du Suran, Germagnat est 6 km au NNE à la sortie d’une petite cluse débouchant sur le Suran. Chavannes est une ancienne bourgade forte, créée au Moyen Âge à la façon des bastides avec un plan en damier, et qui conserve des maisons anciennes; elle abrite un établissement des emballages plastiques Rovip (70 sal.), une fabrique de plastiques TMP (55 sal.). La commune compte plusieurs hameaux et monte à l’ouest jusqu’au sommet du Revermont; le château de Rosy (16e et 18e s.) s’y dissimule dans une étroite vallée qui divise le Revermont, parallèle à la crête. La commune a 280 hab. de plus que ses composantes en 1999 (+48%). Pouillat (83 Pouillatis, 623 ha dont 256 de bois) est à 26 km ENE de Bourg, 7 km au nord de Chavannes, et s’avance en pointe dans le département du Jura; elle occupe une étroite dépression entre le mont Nivigne à l’ouest, où elle atteint 768 m, et le mont Petit à l’est (467 m). Pouillat a eu 330 hab. en 1806, 26 en 1982, et a crû depuis. Courmangoux (510 Curtimengiens, 1 482 ha), limitrophe du Jura, a son village à 20 km NE de Bourg au pied des reliefs, appuyé à l’est par les gros hameaux de Chevignat et Roissiat sur la D52. Le finage s’étend dans les bois au sud-ouest. La commune a 150 hab. de plus qu’en 1999 (+42%). Bény (780 Bénéens, 1 825 ha dont 329 de bois) est à 16 km NE de Bourg, au bord du Sevron. La commune est traversée à l’est par la D1083 et la voie ferrée vers Lons-le-Saunier (gare) et flanquée à l’ouest par l’A39, qui y a une double aire de repos; traitement de déchets EGT (45 sal.). La commune a gagné 150 hab. après 1999 (+24%). Villemotier (650 Villemontois, 1 386 ha), 18 km au NE de Bourg, a son village sur la D1083; à l’ouest sont la voie ferré vers le Jura, le val du Sevron, puis hameau de Montfollet. La population a gagné 190 hab. depuis 1999 (+41%). Verjon (340 Verjonnais, 511 ha), 20 km NE de Bourg, au pied du relief, a des restes de son ancien château féodal de la Verjonnière; le mont Verjon ou Vergeon est à 496 m. La commune n’avait que 200 hab. en 1999. Salavre (280 hab., 777 ha dont 227 de bois), limitrophe du Jura, 21 km NNE de Bourg, a un village pittoresque qui s’enfonce dans un étroit vallon où se cache une grotte; l’altitude monte à 565 m sur le Revermont près du hameau de Dingier. Coligny (1 190 Colignois, 1 687 ha dont 572 de bois), limitrophe du Jura, est un ancien chef-lieu de canton, 22 km NNE de Bourg. Le village est sur la D1083 (ex-N83,) au pied du Revermont sur lequel le finage monte à un peu plus de 400 m; il a reçu un collège public. La population communale a été stable de 1950 à 1999, à son étiage, puis a gagné 80 habitants — mais elle atteignait encore 1 700 hab. en 1900. Pirajoux (420 Pirajelliens; 1 299 ha) est dans la plaine à 22 km NNE de Bourg. Le finage est limité à l’est par le Solnan et touche à l’ouest au val du Sevron; l’A39, dite Autoroute Verte, traverse à l’ouest. La commune a gagné 120 hab. (+40%) après 1999. Domsure (510 Domsurois, 1 520 ha), limitrophe du Jura et de la Saône-et-Loire, 4 km au SO de Saint-Amour, est à 28 km NNE de Bourg. Le finage est traversé à l’ouest par le Solnan et l’A39; +100 hab. après 1999. Beaupont (690 Beaupontois, 1 407 ha), limitrophe de la Saône-et-Loire, 26 km NNE de Bourg, est sur l’interfluve entre Sevron et Solnan, celle-ci suivie par l’A39 qui est équipée de l’échangeur à péage n°10 tout au NE. Au nord de la commune, à Bevey où est une vieille ferme à cheminée sarrasine protégée, un orphelinat de religieuses a hébergé pendant la dernière guerre Robert Schuman; il sert de foyer d’accueil médicalisé pour handicapés (50 places). Beaupont a gagné 190 hab. (+38%) depuis 1999. Cormoz (710 Cormoziens, 1 956 ha), limitrophe de la Saône-et-Loire, 30 km au nord de Bourg, a son village sur une basse colline de rive gauche du Sevron; au sud, zone d’activités des Reisses et étangs de pisciculture sur 160 ha. La commune a 190 hab. de plus qu’en 1999 (+37%). Nord-ouest Saint-Martin-le-Châtel (810 Castelmartinois, 1 277 ha) est à 15 km NO de Bourg; elle a gagné 150 hab. depuis 1999 (+23%). Curtafond (780 hab., 1 241 ha dont 220 de bois), 16 km NO de Bourg, accueille une maison de retraite (30 sal., groupe Medica) et a gagné 180 hab. après1999 (+30%). L’A40 longe le village au sud. Confrançon (1 370 Confrançonnais, 1 817 ha), 18 km NO de Bourg, est traversée par l’A40 et la N79, celle-ci passant par les hameaux du Logis Neuf et de l’Effondras au SO; château de Loriol (15e et 19e s.) au NO, parc animalier Eurofarm aux Mazettes à l’est; métallerie Latem (35 sal.). Confrançon a gagné 490 hab. depuis 1999 (+56%). Saint-Didier-d’Aussiat (870 Désidériens, 1 522 ha) est à 21 km au NO de Bourg; +190 hab. après 1999 (+26%). Saint-Sulpice (260 Saint-Sulpiciens, 526 ha) est à 23 km NO de Bourg; elle n’avait que 100 hab. en 1999. Marsonnas (1 050 hab., 1 838 ha) est à 24 km NO de Bourg à l’ouest de Montrevel; elle a 310 hab. de plus qu’en 1999 (+42%). Malafretaz (1 240 Malafertois, 919 ha), 16 km NNO de Bourg, est traversée par la D975 et la voie verte ex- ferrée vers Montrevel, et bornée à l’est par la Reyssouze. Des étangs au nord accueillent la base de loisirs de la Plaine Tonique. La commune a 560 hab. de plus qu’en 1999 (+82%). Jayat (1 260 Jayatis, 1 630 ha), 22 km NNO de Bourg, est sur la grand-route (D975) au nord de Montrevel; elle a un Intermarché (75 sal.). La Reyssouze limite le finage à l’est. La population communale a augmenté de 480 hab. après 1999 (+62%). Béréziat (490 hab., 1 083 ha) est à 27 km NO de Bourg, avec 150 hab. de plus qu’en 1999 (+44%). Saint-Jean-sur-Reyssouze (780 hab., 2 748 ha dont 297 de bois), 31 km NO de Bourg, a un atelier d’abattage de volailles Ronsard Bresse (55 sal.). Le village n’est pas au bord de la Reyssouze, mais à 3 km; toutefois, la rivière borde la commune au nord. La population de Saint-Jean dépassait 1 600 hab. au milieu du 19e s.; elle a diminué jusqu’en 1990 (540 hab.) mais a gagné 190 hab. après 1999 (+32%). Saint-Julien-sur-Reyssouze (730 hab., 752 ha), 26 km NNO de Bourg, a son village sur la D975 à la traversée de la Reyssouze. Elle a gagné 210 hab. après 1999 (+40%). Mantenay-Montlin (320 Mantenayrons, 1 080 ha), 29 km NNO de Bourg, résulte d’une fusion de 1807; Mantenay est sur la D975, avec un camping au bord de la Reyssouze; Montlin est un petit hameau à l’est; + 70 hab. après 1999. Lescheroux (720 Lescherouxiens, 2 005 ha dont 250 de bois) est à 28 km au NNO de Bourg; étang de Pontremble (36 ha); +120 hab. après 1999. Saint-Nizier-le-Bouchoux (630 hab., 2 830 ha) est à 34 km NNO de Bourg. Le finage est limitrophe de la Saône-et-Loire au nord-est, passé le hameau de Matrignat; +40 hab. après 1999. Curciat-Dongalon (450 Curciatis, 2 394 ha), limitrophe de la Saône-et-Loire, est à 35 km au NNO de Bourg, sur la D2; +40 hab. après 1999. Vernoux (310 hab., 1 020 ha) est limitrophe de la Saône-et-Loire, à 35 km NNO de Bourg; elle n’avait que 130 hab. en 1999. Courtes (300 hab., 906 ha), 33 km NNO de Bourg, jouxte Saint-Trivier au SE; au NE du finage, la ferme de la Forêt est aménagée en musée. La commune a 80 hab. de plus qu’en 1999. Saint-Trivier-de-Courtes (1 120 hab., 1 653 ha dont 233 de bois), limitrophe de la Saône-et-Loire, est un ancien chef-lieu de canton, 32 km NNO de Bourg sur la route de Tournus. (D975) au croisement de la D2. Le village a quelques restes de mur d’enceinte et une tour octogonale; un collège public, un ancien hospice transformé en maison de retraite d’une centaine d’hôtes; métallerie Sotrafa (20 sal.), atelier des Façonniers bressans (30 sal.), Intermarché (25 sal.). Au nord du village, la ferme du Tremblay, à cheminée sarrasine (gros foyer central), a été classée et rénovée comme ferme-musée. La commune a eu plus de 1 500 hab. dans les années 1840; sa population a lentement décliné ensuite, et durant tout le 20e s. Elle a crû de 70 hab. après 1999. Servignat (170 hab., 799 ha) 31 km NNO de Bourg, a son village sur le versant droit de la Reyssouze. Vescours (230 hab., 1 248 ha dont 352 de bois), limitrophe de la Saône-et-Loire est à 38 km NNO de Bourg; étang Morel (22 ha); +40 hab. après 1999. (3 370 Attignatis, 1 869 ha dont 226 de bois) est une commune du département de l’Ain dans la CA du Bassin de Bourg-en-Bresse, 12 km NNO de Bourg sur la D975, au bord de la Reyssouze. La commune bénéficie de la proximité de Bourg et d’un échangeur de l’A40, qui vient de Mâcon. Quatre entreprises émergent: la carrosserie Trouillet (45 sal.), les entreposages Mutual Logistics (140 sal.), les transports Blanc (25 sal.), les espaces verts Jérômes (50 sal.) La population communale croît depuis les années 1930, où elle était d’environ 1 100 hab. Elle a gagné 1 410 hab. après 1999 (+72%). Le nouveau canton d’Attignat a 18 communes, 25 100 hab. (43 360 Burgiens, 2 386 ha dont 734 de bois) est la préfecture du département de l’Ain. La ville est à 8 km à l’ouest du Revermont et fait le lien entre la Dombes au sud-ouest et la plaine de Bresse au nord-ouest. Elle y tient une étoile de 6 grandes routes complétée par un carrefour ferroviaire, et bénéficie de la jonction des autoroutes A40 et A39, qui contournent la ville par le nord et l’est, ainsi que des voies ferrées de Lyon à Besançon et de Mâcon à Genève. C’est depuis longtemps un chef-lieu, qui fut la capitale de la principauté de Bresse et une ville fort active au 16e s. Les symboles du pouvoir, hôtel de ville, palais de justice, collégiale renaissance (16e s.), théâtre, trônent en plein milieu d’un pentagone de boulevards bordé à l’est par le cours discret de la Reyssouze, et qui contient de nombreux hôtels anciens, surtout du 16e s. Près des boulevards, les anciens domaines religieux de plusieurs couvents procurent jardins et grands bâtiments, préfecture comprise au SO, et le grand champ de foires et marchés avec halles au NE. À 1 km au SE du centre à l’extérieur des boulevards, Marguerite d’Autriche a fait construire au début du 16e s. le monastère bénédictin de Brou. L’intérieur de l’église est somptueux, le toit en tuiles vernissées; le monastère, organisé autour de trois cours avec cloître, a été transformé en musée avec bibliothèque. L’ensemble est l’un des tout premiers monuments de la région. Bourg (on prononce Bourk) est dit «en Bresse» depuis 1955; la commune a eu 10 000 hab. en 1840, 20 000 en 1906, 30 000 en 1960 et a plafonné à 42 200 hab. en 1975, puis sa population a légèrement diminué, mais a regagné 350 hab. après 1999. La ville, fleurie (trois fleurs), est un actif centre tertiaire, doté d’enseignements supérieurs: IUT (quatre départements, dont informatique), IUFM, centre universitaire (droit, langues, économie, histoire), école de commerce; elle a quatre lycées publics et un privé, cinq collèges publics et trois privés, un centre hospitalier public de 550 lits (950 au total) mais à Fleyriat dans la commune voisine de Viriat, et une clinique privée Convert de 190 lits (270 sal., groupe CGS); maisons de retraite (La Pergola, 65 sal., groupe Emera) et la Doyenne de Brou (50 sal., groupe Medica), centre d’aide par le travail et institut médico-éducatif. Un parc des expositions Ainterexpo (sic) est à la sortie SE au-delà de Brou. À la sortie NE de Bourg, le centre technique Alimentec se veut un technopole, réunissant des institutions de recherche, deux départements d’IUT et des entreprises sur un parc de 70 ha, créé en 1992 et regroupant 300 personnes. L’industrie a commencé surtout avec l’apparition de la Tréfilerie et Câblerie de Lyon en 1918; elle a eu jusqu’à 1 500 salariés puis est devenue Tréfilunion, enfin Tréfileurope mais sous la houlette du groupe indien Mittal, avec un effectif réduit à 350 sal. La principale usine actuelle de Bourg est celle des poids lourds Volvo (Renault Trucks), qui emploie 1 130 salariés, produisant 23 000 véhicules par an et entraînant de nombreuses sous-traitances; elle est issue d’une usine Berliet installée en 1963, passée en 1980 à RVI (Renault Véhicules Industriels). Le groupe régional de poids lourds et de garages Bernard, fort au total de 2 100 personnes dont 650 à Bernard Trucks, emploie 140 salariés dans les ateliers des véhicules industriels Bernard; Cofamat-Métaco (50 sal.) assemble des bennes et remorques. Les autres emplois industriels sont diversifiés: treillages en inox Ugitech (Arcelor, 110 sal., ex-Sprintmetal); matériel d’anesthésie et réanimation Int Air Médical (120 sal.); viandes des Abattoirs des Crêts (100 sal.), Viandes de Bresse (90sal.) et Giraudet (70 sal.). Les emplois tertiaires équilibrent largement cet assortiment. Les transports juxtaposent la SNCF (400 sal.), Keolis Frans Bassin de Bourg (95 sal.); un hypermarché Carrefour (340 sal.), un centre Leclerc (140 sal.) et des supermarchés Carrefour (50 sal.) et Intermarché (80 sal.), Decathlon (55 sal.); négoces de fournitures industrielles Mabeo Cyclades (90 sal.), de produits industriels et de plomberie Tereva (240 sal.), d’électroménager Codep (70), de bois et matériaux C2M (80 sal.); immobilier Semcoda (510 sal.); informatique Local (90 sal.), conseil Bernard (110 sal.); installations électriques Soteb (140 sal.); nettoyages GSF (320 sal.), Carrard (70), APS (Ain Propreté, 75 sal.); blanchisserie et location de linge Initial BTMF Kalhyge (190 sal.); gardiennages Loomis (70 sal.), Securitas (70 sal.), ASPP (65 sal.), travail temporaire Adequat (270 sal.); travaux publics de la Bressanne de Travaux Publics (160 sal.) et Fontenat (50 sal.); distribution d’électricité Enedis (200 sal.); La Poste (250 sal.). La commune de Bourg bénéficie au SE, à Bouvent, autour d’un étang, d’une base de loisirs et du golf de Bouvent. Au nord du centre, les quartiers d’immeubles collectifs de la Reyssouze et du Pont des Chèvres sont classés prioritaires. La communauté d’agglomération du Bassin de Bourg-en-Bresse réunit 74 communes et 132 700 hab. L’arrondissement a 340 400 hab., 199 communes. Bourg-en-Bresse a deux nouveaux cantons à son nom; le premier (35 500 hab.) contient une partie de Belley et la commune de Viriat. Le second (26 240 hab.) contient le reste de Belley et les communes de Péronnas, Saint-Denis-lès-Bourg et Saint-Rémy. (2 410 hab., 2 598 ha) est une commune nouvelle de 2019, du département de l’Ain dans la CA du Bassin de Bourg-en-Bresse. Elle associe Cras-sur-Reyssouze (1 520 hab., 1 383 ha), 15 km NNO de Bourg-en-Bresse et Étrez (890 hab., 1 215 ha), 4 km au NE de Cras, qui a une coopérative laitière fabriquant beurre, crème et fromages (Étrez-Beaupont, 40 sal.). Gaz de France entretient à l’est du finage un réservoir souterrain de gaz d’environ un milliard de mètres cubes et une vingtaine de cavités, à 1 000 m de profondeur dans un dôme de sel (70 sal.). La commune a 830 hab. de plus que ses composantes en 1999 (+53%). (3 270 Ceyzériacois, 936 ha) est un ancien chef-lieu de canton du département de l’Ain dans l’arrondissement de Bourg-en-Bresse, 8 km au SE de la préfecture et dans la CA du Bassin de Bourg-en-Bresse. Le bourg est au pied du Revermont, qui monte à 593 m à l’angle NE du finage. Il a quelques maisons anciennes, une église à clocher vrillé; anciennes vignes, cascade et grottes aux abords sur les pentes du Revermont. La commune avait 800 hab. en 1936, 1 500 en 1968, 2 000 en 1989; elle a gagné 820 hab. après 1999 (un tiers). Ses principaux établissements sont une biscuiterie Bouvard (La Tour d’Albion, 200 sal.), l’informatique CMRE (Okteo, 120 sal.), les emballages plastiques Rovip (70 sal.); maison pour enfants handicapés (Adapei, 50 sal.), un foyer d’accueil. Le nouveau canton de Ceyzériat a 22 communes, 26 400 hab. (2 050 Foissiatis, 4 036 ha dont 577 de bois) est une commune de l’Ain dans la CA du Bassin de Bourg-en-Bresse à 21 km NNO de Bourg, 7 km au NE de Montrevel-en-Bresse. C’est une commune étendue de la plaine hors des grandes voies, qui a crû de 470 hab. depuis 1999 (+30%). (2 320 Marboziens, 4 014 ha dont 572 de bois) est une commune du département de l’Ain dans la CA du Bassin de Bourg-en-Bresse, 17 km au nord de Bourg. C’est un village fleuri (trois fleurs) qui propose un musée des figurines et dispose d’un collège privé et d’un centre d’aide par le travail; métallerie (DPMI, 25 sal.). Le Sevron passe juste à l’est du village. Marboz a eu 2 600 hab. en 1886 et un minimum de 1 700 autour de 1970, mais croît lentement depuis; elle a gagné 110 hab. après 1999. (2 190 hab., 1 375 ha dont 445 de bois) est une commune de l’Ain dans la CA du Bassin de Bourg-en-Bresse, sur la Reyssouze, à 7 km SE de Bourg; elle héberge quelques entreprises de banlieue comme la publicité Milee (50 sal.) et les transports Dupont Bedu (110 sal.). Elle n’avait que 400 hab. dans les années 1960 et a augmenté de 730 hab. (+50%) depuis 1999. (2 620 Montrevélois, 1 027 ha) est un ancien chef-lieu de canton du département de l’Ain dans l’arrondissement et la CA du Bassin de Bourg-en-Bresse, 17 km NNO de la préfecture. C’est l’un des principaux bourgs de la Bresse et une ancienne seigneurie, au bord de la Reyssouze; mais elle a peu de restes anciens, à part quelques maisons; un hôpital local avec maison de retraite (190 lits en tout), un collège public. Plusieurs entreprises y soutiennent l’emploi dont l’isolation PI Install (75 sal.), le supermarché Carrefour (40 sal.). De grands étangs à l’est du bourg ont été réaménagés en base de loisirs sous le nom de Plaine Tonique; le plan d’eau atteint une centaine d’hectares et un centre aquatique est alimenté par une eau chaude à 28 °C puisée à 400 m de profondeur. Au SO du village, musée océanien d’un ancien missionnaire au hameau de Cuet. La commune a adopté le statut de «station verte de vacances». Montrevel, «en Bresse» depuis 1955, avait 1 350 hab. à cette date; sa population a crû jusqu’en 1982 puis est restée étale, avant de gagner encore 580 hab. après 1999 (+28%). (6 740 Péronnassiens, 1 755 ha dont 645 de bois) est un ancien chef-lieu de canton du département de l’Ain dans l’arrondissement et la CA du Bassin de Bourg-en-Bresse, en banlieue SO de Bourg sur la N83. C’est surtout une commune résidentielle, avec peu d’industrie mais avec deux zones d’activités pour petites entreprises, et des activités de service, dont la Maison des Entreprises de l’Ain, la Maison des Communes de l’Ain avec les bureaux du Centre national de la fonction publique territoriale et la Mutuelle nationale territoriale; un collège public, un centre d’aide par le travail, un institut médico-éducatif (le Prélion); supermarché Carrefour (30 sal.), imprimerie SEPEC (50 sal.), installations électriques Bressane d’électricité (30 sal.) et Sogetel (30 sal.); gestion immobilière Logidia (45 sal.); nettoyage La Professionnelle (420 sal.); travaux publics Roux (25 sal), club de sports (40 sal.). Le territoire communal englobe à l’est la forêt domaniale de Seillon (600 ha), aménagée pour les loisirs et où l’ancienne chartreuse bénédictine de Seillon, rétablie au 19e s., sert de maison de rééducation pour enfants en difficulté. Plusieurs châteaux s’éparpillent dans le finage, dont celui de la Vernée (19e s.), qui abrite une maison familiale rurale. Péronnas avait 1 000 hab. en 1900, 1 700 en 1962, 4 600 en 1982; elle a gagné 780 hab. après 1999. (2 670 Polliatis, 2 007 ha dont 249 de bois) est une commune du département de l’Ain dans la CA du Bassin de Bourg-en-Bresse, 10 km au NO de Bourg au bord de la Veyle; la D1079 traverse le village, qui a aussi une gare; tôlerie Degottex (40 sal.), travaux publics Dannemuller (35 sal.) et Locati (35 sal.); Intermarché (30 sal.). Polliat avait moins de 1 400 hab. dans les années 1960 et a crû ensuite, du moins jusqu’en 1990 et à nouveau après 1999 (+610 hab., +30%). (5 140 Dionysiens, 1 258 ha) est une commune du département de l’Ain en banlieue ouest de Bourg-en-Bresse et dans la CA du Bassin de Bourg-en-Bresse. Surtout résidentielle, elle est bordée à l’ouest par le cours de la Veyle; supermarché Carrefour (70 sal.), plusieurs entreprises de bâtiment, travaux publics Colas (80 sal.) et Famy (40 sal.), négoce de matériaux Bourg Matériaux (30 sal.); nettoyage Onet (230 sal.). Le nom de la commune fut Saint-Denis-le-Ceyzériat et a pris sa forme actuelle en 1932. Sa population, stable à 1 100 hab. de 1881 à 1921, a crû durant tout le 20e s., passant les 2 000 hab. en 1963, les 4 000 en 1988; elle n’a gagné que 110 hab. après 1999. (2 580 Stéphanois, 2 838 ha dont 689 de bois) est une commune du département de l’Ain dans la CA du Bassin de Bourg-en-Bresse, 11 km NNE de Bourg au bord du Sevron sur l’axe vers Lons-le-Saulnier (D1083, gare). Elle a crû comme élément résidentiel du périurbain de Bourg. Une maison de pays présente les traditions de la Bresse, dans plusieurs anciennes fermes dont les maisons des Mangettes et de la Claison; un Intermarché (30 sal.), carrosserie Piroux (65 sal.). La forêt de Chareyziat est à l’ouest du finage. La population a connu un minimum à 1 350 hab. dans les années 1960 et augmente depuis; elle a gagné 490 hab. après 1999 (+23%). Le nouveau canton de Saint-Étienne-du-Bois a 26 communes, 22 600 ab. (2 560 hab., 4 542 ha) est une commune nouvelle de 2016 dans la CA du Bassin de Bourg-en-Bresse, fruit de la réunion de deux communes, en fait de trois. La principale est Treffort-Cuisiat, 2 300 Treffortois, 3 941 ha dont 882 de bois, elle-même issue d’une fusion de 1972, Treffort ayant 1 710 hab. en 2023, Cuisiat 590. L’autre est Pressiat (260 hab., 601 ha). Treffort est un ancien chef-lieu de canton, 17 km au NE de Bourg-en-Bresse. Le village de Treffort est au pied du Revermont, étageant ses maisons au débouché d’une petite cluse; c’est une ancienne bourgade fortifiée, qui a conservé des maisons des 15e et 16e s. et une halle de même origine; hameau de Montmerle au SE. Cuisiat est à 3 km au nord de Treffort, également au pied du Revermont, et propose un musée du Revermont orienté vers la vigne et doté d’un verger-potager d’espèces anciennes; ruines de château féodal au nord du village; base de loisirs de la Grange du Pin avec étang à l’ouest. Pressiat est 3 km au nord de Cuisiat, également au pied du Revermont; site mérovingien sur le relief, église inscrite. La commune a quelques petites entreprises, dont les plus étoffées sont l’atelier de carrosserie Piroux (110 sal.), complété par un atelier de traitement de surfaces (25 sal.), les armatures métalliques Germain (60 sal.), les plastiques Rovipharm (75 sal., groupe Rovip, seringues et doseurs), la métallerie Akwel (20 sal.); fruitière à comté; centre d’aide par le travail (centre de vie rural de Lucinges). Son finage s’arrête à la crête du Revermont, qui monte à 681 m au-dessus de Cuisiat. La partie occidentale de la commune est occupée par les bois de Treffort et des Grandes-Communes La population a gagné 420 habitants depuis 1999 (+20%). (6 820 Viriatis, 4 504 ha dont 876 de bois) est un ancien chef-lieu de canton du département de l’Ain dans l’arrondissement de Bourg-en-Bresse et dans la CA du Bassin de Bourg-en-Bresse, 6 km au nord de la préfecture. Le territoire communal, traversé par la Reyssouze, s’étend jusqu’aux premières maisons de Bourg et comportait une quarantaine de hameaux. Commune essentiellement agricole jusqu’aux années 1960, elle est devenue une extension de l’agglomération de Bourg, équipée de quatre zones d’activité, du centre hospitalier public de Bourg-en-Bresse (550 lits médicaux, 950 au total) à Fleyriat, et d’un centre psychothérapeutique. Un échangeur des autoroutes A40, A39 et de la D1083 est dans la partie orientale de la commune. Viriat a eu constamment autour de 2 600 hab. entre 1840 et 1962, puis sa population s’est mise à augmenter; elle a gagné 1 400 hab. après 1999 (+26%). Les principaux employeurs industriels sont l’usine de plats cuisinés Marie (200 sal.) du groupe britannique Uniq, la fabrique d’étiquettes SEEC (70 sal.) au groupe belge Stratus, la scierie Le Bois (LBSA, 60 sal.), la carrosserie Brevet (100 sal.), le matériel de signalisation pour automobiles Faab (110 sal.). Dans le tertiaire ressortent la location de matériels médicaux Linde Homecare (75 sal.), un magasins Castorama (120 sal.); autocars Philibert (70 sal.); nombreux garages dont Bernard Trucks (50 sal.) |