Communauté d’agglomération du Pays de Meaux' communauté d’agglomération de Seine-et-Marne associant 26 commues et 107 300 hab. sur 21 440 ha. Meaux (siège); Chauconin-Neufmontiers, Crégy-lès-Meaux, Mareuil-lès-Meaux, Nanteuil-lès-Meaux, Quincy-Voisins, Saint-Soupplets, Trilport, Varreddes et Villenoy dépassent 2 000 hab. Poincy (780 Pépitois, 639 ha dont 333 de bois) est à 5 km à l’est de Meaux sur la rive droite de la Marne. La commune est traversée par le canal de l’Ourcq et a reçu à l’ouest une zone industrielle prolongeant celles de Meaux; la voie ferrée et la N3 passent près de la limite sud de la commune, que borde Trilport sur la rive gauche. Elle accueille les fabriques d’emballages plastiques Seaquist (140 sal.) et de bétons KP1 (85 sal.), les transports par autocars Viabus (95 sal.) et Viaest (50 sal.). Poincy a aussi un port de plaisance (22 places). Elle avait 100 hab. vers 1850, 240 en 1954, 510 en 1975 et poursuit sa lente croissance. Germigny-l’Évêque (1 370 Germinois, 1 176 ha dont 600 de bois) est sur la rive gauche de la Marne, 8 km au NE de Meaux; ancien palais d’été des évêques de Meaux (17e s.) avec parc; un golf en bord de Marne. Le bois de la Mairesse, qui fait partie de la forêt domaniale de Montceaux, occupe les hauteurs au sud-est; s’y cache une bifurcation ferroviaire des voies de Paris vers Château-Thierry et vers Soissons. La commune n’avait que 210 hab. en 1962; elle est passée à 510 en 1975 et à 1 400 en 1990, avant de décroître légèrement. Montceaux-lès-Meaux (630 Monticellois, 472 ha) est tout à l’est, 10 km ESE de Meaux; son nom était seulement Montceaux jusqu’en 1981. Elle a un château du 16e s. avec parc, qui fut à Catherine de Médicis puis à Gabrielle d’Estrées et enfin à Marie de Médicis, avant de passer aux Conti puis abandonné. La population a eu des minima à 320 hab. en 1936 et 1962 avant d’entamer une nouvelle croissance. La forêt domaniale de Montceaux, qui s’étend sur 679 ha, n’est guère dans la commune, mais plus au nord, surtout dans celles de Trilport, Germigny-l’Évêque et Armentières-en-Brie. Villemareuil (390 Villemareuillais, 1 067 ha dont 370 de bois) est à 10 km au nord-est de Crécy, traversée par l’A4; la forêt du Mans, au sud-est, est partagée avec Pierre-Levée; son territoire porte un château des 17e-18e s. avec parc, plus le château de Brinches (19e s.) au nord, également orné d’un parc. La commune avait 150 hab. en 1962 (250 au 19e s.). Elle est à la source du ru des Cygnes, qui atteint la Marne à Nanteuil-lès-Meaux. Saint-Fiacre (4 600 Saint-Fiacrais, 275 ha) est une très petite commune à 8 km au sud-est de Meaux, donnant au nord sur le ru des Cygnes; elle n’avait que 115 hab. en 1962, mais le double au début du 19e s.; jardin d’agrément du prieuré; le gisement de pétrole de Montlevée a un puits dans la commune au sud; la chapelle Saint-Fiacre est à Villemareuil, au nord-est. Fublaines (1 410 Fublainois, 548 ha) est sur le versant gauche de la Marne entre Trilport et Nanteuil. Elle avait 250 hab. en 1936 et croît depuis; elle a passé les 1 000 hab. en 1999. Boutigny (840 Boutignaciens, 988 ha) est à 7 km au nord de Crécy; son finage, qui donne au nord sur le vallon du ru des Cygnes, contient les hameaux de Magny-Saint-Loup à l’ouest, de Prévilliers à l’est près d’une aire de repos de l’A4, et le château de Bélou au sud (19e s. avec parc). Boutigny avait 290 hab. autour de 1960, contre 880 en 1822; le nombre de ses habitants est stable depuis 1999. lsles-lès-Villenoy (1 160 Insuvillais, 697 ha) est sur la rive droite de la Marne, 4 km SSO de Villenoy et 7 km SSO de Meaux, desservie par la D5 et face à Esbly; elle a un Intermarché (20 sal.). Elle avait 250 hab. en 1954 et croît depuis. L’aérodrome dit de Meaux-Esbly (XYB/LFPE) est dans la commune, juste au nord du canal de l’Ourcq. Relevant de la gestion des Aéroports de Paris, il occupe 102 ha, dispose de trois pistes en herbe de 1 145, 1 075 et 1 020 m et il est activement fréquenté, enregistrant environ 80 000 mouvements par an; il est utilisé par quatre aéroclubs, dont au moins un avec école de pilotage et vols de nuit. Vignely (320 Vigneliens, 358 ha) est entre la Marne et le canal de l’Ourcq à 6 km SO de Meaux; la commune n’avait que 90 hab. en 1954, 140 en 1990. Trilbardou (690 Triboulois, 795 ha) est à 8 km OSO de Meaux sur la rive droite de la Marne. La commune est traversée au centre par le canal de l’Ourcq, au nord par la N3. Une partie du finage est sur la rive gauche de la Marne, avec l’observatoire ornithologique des Olivettes; château du 18e s. avec parc, usine élévatoire des eaux pour le canal (19e s.), créée en 1865 et classée, d’où sont commandées toutes les installations du canal. Le plan d’eau des Olivettes, partagé avec Charmentray, est l’objet d’un arrêté de protection de biotope sur 103 ha. La population communale était de 350 hab. en 1962 et 1975; elle a augmenté de 170 hab. après 1999 (un tiers). Penchard (1 370 Penchardais, 434 ha) est à 4 km au NO de Meaux, au pied d’une butte montant à 163 m et partagée avec Neufmontiers. Elle n’avait que 360 à 370 hab. dans les années 1960, a fait un premier saut à 620 hab. en 1975, et a poursuivi sa croissance., gagnant 560 hab. après 1999 (+70%). Monthyon (1 760 Monthyonnais, 1 211 ha), 7 km NO de Meaux, traversée par la N330 de Meaux à Senlis, fut un haut lieu de la bataille de l’Ourcq en 1914. La commune, jadis Mons Ionis, a un château du 18e s. sur un ancien site de château fort, et des plâtrières; travaux publics Eiffage (55 sal.), traitement de déchets par incinérateur de la Monthyonnaise de Valorisation (80 sal.), qui traite 135 000 t/an en provenance de plus de cent communes (235 000 hab.); maison de retraite. Le baron Jean-Antoine de Monthyon (1733-1820), alors titulaire du château, était un magistrat qui avait fondé et financé en 1782 un célèbre prix de vertu, décerné par l’Académie française jusqu’en 1970. La commune avait plus de 1 000 hab. dans la première moitié du 19e s., 750 seulement de 1936 à 1962, et croît depuis (+420 hab. après 1999, +31%). Forfry (240 Forfrysiens, 580 ha), au bord de la Thérouanne, est la commune la plus septentrionale du Pays de Meaux, 11 km NNO de Meaux. Sa population était tombée à 86 hab. en 1982 et a repris ensuite; le nom, Furferi au Moyen Âge, dériverait d’un patronyme latin Furferius. Gesvres-le-Chapitre (150 Gesvrois, 423 ha) est à 10 km NNO de Meaux, à l’est de Saint-Soupplets; elle avait 54 hab. en 1975 et à peine le double en 1830. Barcy (230 Barciens, 695 ha) est à 7 km au nord de Meaux et son église est classée. La LGV-Est passe dans la partie sud de la commune. Le nombre d’habitants augmente légèrement depuis le creux de 1982 (170 hab.). Chambry (1 050 Chambrysiens, 975 ha) est à 5 km au nord de Meaux; hameau de Mansigny à l’ouest, au pied d’une butte boisée; une nécropole nationale a trouvé place au nord. La commune avait 480 hab. en 1936 et sa population augmente depuis (+200 hab. après 1999). (3 680 Coconatiens-Neufmontois, 1 739 ha) est une commune du département de Seine-et-Marne dans la CA du Pays de Meaux, 3 km à l’ouest de Meaux. La commune est issue d’une fusion de 1971 entre Chauconin (280 hab.) et Neufmontiers-lès-Meaux (340 hab.), le quartier d’Orgemont ayant été auparavant (1968) intégré à Meaux. La population a sensiblement augmenté depuis, passant de 820 hab. en 1982 à 1 500 en 1990 et 1999 et faisant plus que doubler depuis. De nouveaux lotissements sont apparus à la pointe sud-est de la commune. Le village de Chauconin est proche de la N3, qui traverse la partie sud de la commune; Neufmontiers-lès-Meaux est un village à 1 km au nord, dominé par la butte isolée de Montassis (164 m), et qui conserve une église du 16e s.; château du Martroy (17e et 19e s.) avec parc, au sud; magasins Auchan (260 sal.) et Leroy-Merlin (120 sal.). Au NO du finage se voient la nécropole nationale de la Grande Tombe et le mémorial Charles Péguy en hommage à l’écrivain, tué dans les environs (à Villeroy) aux premiers jours de la guerre de 1914. La LGV-Est frôle ce site. La commune a reçu en 2004 un centre de détention, servant aussi de maison d’arrêt pour Meaux, de 578 places. (5 390 Crégyssois, 367 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA du Pays de Meaux, juste au nord de Meaux. Le nom était Crégy jusqu’en 1919. Le finage s’étire le long de la Marne, rive droite; le centre est au bord d’un ancien méandre de la Marne, le Brasset, où se glisse le canal de l’Ourcq; vestiges de remparts d’un ancien couvent de carmélites. La commune avait 350 hab. au début du 20e s., moins de 800 encore en 1975, et a fortement crû depuis, en extension de Meaux, passant par 2 300 hab. en 1990, 3 900 en 1999. Cette banlieue a un collège public, un supermarché Carrefour (40 sal.), un entrepôt de service du groupe Lidl (80 sal.). Une décharge (1981-1998) Onyx (depuis au groupe Veolia), installée dans une ancienne carrière de gypse, a recueilli un million de tonnes de déchets urbains sur 14 ha; des émanations de gaz méthane ont obligé à évacuer en 1999 les habitants du lotissement de Chaillouët (58 pavillons). (3 350 Mareuillois, 717 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA du Pays de Meaux à 5 km SSO de Meaux sur la rive droite de la Marne. Elle a deux échangeurs de l’A140, qui relie Meaux à l’A4, et un ensemble d’activités: cliniques Clinea (100 sal.) et Saint-Faron (100 sal., 80 lits), distribution pharmaceutique CERP (120 sal.), magasins E.Leclerc (200 sal.) et Bricorama (55 sal.), nettoyages Deca (125 sal.), gardiennage Lysécurité (140 sal.); La Poste (220 sal.). La commune avait autour de 600 hab. de 1950 à 1968 puis sa population a augmenté, passant les 1 000 hab. vers 1982. (56 060 Meldois, 1 480 ha) est une sous-préfecture de la Seine-et-Marne, siège de la CA du Pays de Meaux. Elle tire son nom de la tribu gauloise des Meldes, ont le nom apparaît dans le gentilé. Néanmoins, la contrée environnante se nomme le Multien. La ville occupe un grand méandre de la Marne dont le canal de l’Ourcq souligne au nord un ancien tracé, occupé par le Brasset. Elle est classée «ville d’art et d’histoire» et ville fleurie (quatre fleurs). Son patrimoine comprend un théâtre antique et le sanctuaire gallo-romain de la Bauve au nord-est du centre-ville, et surtout en centre-ville la cité épiscopale, comprenant une cathédrale des 12e et 15e s., le palais épiscopal (12e au 16e s.) et le Vieux Chapitre du 13e s., le jardin et le musée Bossuet et le jardin des Remparts restaurés; jardin des Trinitaires devant la gare, Mémorial Américain au nord-est, avec jardin. Le centre-ville contient aussi de nombreux hôtels des 16e-17e s., en partie liés au fort passé protestant de la ville. Meaux a été surtout une ville ecclésiastique au Moyen Âge, et n’a pas figuré parmi les villes des foires de Champagne, à l’encontre de Lagny et Provins. Elle a pu être protégée de l’invasion allemande de 1914. La ville originelle est tout à l’ouest du territoire communal, sur la rive droite de la Marne, avec la cathédrale et l’hôtel de ville, sur la rive concave d’un méandre dont elle a rapidement annexé l’étroit lobe au sud, sous forme de ville marchande. Une ville nouvelle s’est développée après 1500 à l’est, sur la partie sud d’un large lobe de méandre où sinue le canal de l’Ourcq, et dont la plaine alluviale est trouée d’étangs de sablières et gravières, avec terrains de sports et base nautique; les groupes d’immeubles Beauval et la Pierre Collinet y forment un vaste «quartier prioritaire» ayant un statut de zone franche urbaine. Une cité administrative a pris place à l’est du centre ancien, tandis que l’hôpital est à l’ouest, dans une extension du territoire au-delà du canal de l’Ourcq. La ville a cinq collèges publics et deux privés, trois lycées publics dont un professionnel, deux lycées privés dont un professionnel, quatre centres de formation en apprentissage, des centres d’aide par le travail. Le centre hospitalier public offre 900 lits dont 600 médicaux, un centre de médecine physique et réadaptation. Meaux a aussi plusieurs maisons de retraite. Elle est dotée d’un tribunal de grande instance, la maison d’arrêt étant en banlieue à Chauconin. Deux zones industrielles (135 ha, 2 500 emplois) sont à l’est de la ville, au nord de la ville nouvelle de part et d’autre de la voie ferrée; elles sont prolongées au nord-est par la zone industrielle de Poincy; la zone artisanale des Platanes (1 000 emplois sur 22 ha) est tout à l’est, entre la Marne et l’Ourcq. Les entreprises de production principales sont les radiateurs Frisquet (230 sal.), la fabrique de détergents BASF (110 sal.); hypermarché E.Leclerc (240 sal.); Caisse régionale de Crédit Agricole (250 sal.); aide à domicile Domdom (100 sal.); immobilier Pays de Meaux Habitat (100 sal.); blanchissage Elis (240 sal.), gardiennage ASE (280 sal.); intérim Agir (100 sal.); Autocars Marne et Morin (190 sal.), SNCF (450 sal.). Meaux avait 9 000 hab. vers 1950, 13 500 en 1900, 14 400 en 1936; elle a crû après la dernière guerre, passant à 22 300 hab. en 1962, 42 200 en 1975, puis le rythme s’est ralenti mais la ville a encore augmenté de 5 160 hab. depuis 1999. Meaux est le siège de la communauté d’agglomération du pays de Meaux, groupement intercommunal de la Seine-et-Marne associant 26 communes et 107 300 hab. L’arrondissement a 342 800 0 hab., 139 communes. La ville tire également quelque renommée du brie de Meaux, qui bénéficie d’une appellation (aoc) depuis 1980, mais qui peut être produit jusque dans la Meuse. La situation de Meaux sur la Marne en aval des vignobles champenois lui a également donné une spécialité de moutarde de Meaux, entretenue d’abord par des moines, puis depuis 1760 par la maison Pommery; elle est en principe «à l’ancienne», à graines apparentes et au vinaigre, en pots de grès. Le nouveau canton de Meaux a se limite à la commune. (6 860 Nanteuillais, 762 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA du Pays de Meaux, 4 km au SSE de Meaux; l’habitat s’éparpille sur les versants de plusieurs vallons, notamment celui du ru des Cygnes, débouchant sur la rive gauche concave du grand méandre de Meaux; l’aqueduc de la Dhuis traverse le territoire. Cette banlieue a un collège public et abrite un centre commercial de taille modérée avec un Carrefour (120 sal.) et des magasins divers; publicité Mediapost (50 sal.), garages. La commune avait 1 500 hab. en 1900, 2 100 en 1954, et a accéléré sa croissance après 1982 (2 900 hab.). Elle a crû de 1 800 hab. après 1999 (+36%). (5 490 Quincéens, 1 033 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA du Pays de Meaux, 6 km au nord-ouest de Crécy-la-Chapelle. Elle associe depuis longtemps deux gros villages, Voisins étant le plus occidental, sur le rebord du plateau qui domine la Marne; le château de Quincy (18e-19e s. avec un parc de 20 ha), entre les deux, est devenu un centre de culture et de loisirs municipal. La commune contient une bifurcation de l’A4 vers Meaux et les ruines d’une chapelle au petit hameau de Ségy, quelques entreprises: matériels électriques Savoy (605 sal.), installations électriques IDEE (140 sal.) et Agiscom (55 sal.), location de matériels de construction Bennes Service (70 sal.), ramassage d’ordures SEPUR (120 sal.). Quincy a absorbé Ségy en 1807, se nommant alors Quincy-Ségy, puis a substitué Voisins à Ségy dans son nom en 1929, en raison du développement de cet ancien hameau et du déclin de Ségy. La commune avait plus de 2 000 hab. dans les années 1830, est peu à peu descendue à 1 300 en 1954 puis a crû sensiblement à partir de 1970, atteignant 3 200 hab. en 1982, 4 600 en 1999. (3 620 Saint-Sulpiciens, 1 378 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA du Pays de Meaux, 3 km au NNO de Meaux sur la N330. Le nom est une déformation d’un ancien Saint-Sulpice, intervenue au 13e siècle. Le finage s’étend sur les reliefs doucement vallonnés de la Goële, en pays de grande culture, et monte au sud-ouest sur la butte boisée de Montgé. La commune a un collège public, une maison de retraite publique, et quelques entreprises. Les plâtres Knauf (180 sal.) exploitent de vastes carrières de gypse au sud, qui débordent sur Monthyon; emballages métalliques Medical Conteneur (50 sal.), maçonnerie Resina (60 sal.); supermarché Carrefour (40 sal.). La commune avait 660 hab. en 1962, 1 100 en 1975, 2 000 en 1982, 2 900 en 1999. (5 100 Trilportais, 1 097 ha dont 490 de bois) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA du Pays de Meaux, 5 km à l’est de Meaux sur la rive gauche de la Marne au passage de la D603. Elle a un collège public, une gare sur la voie de Paris à Strasbourg. La forêt domaniale de Montceaux apparaît à l’est sur le relief. Ses principales entreprises sont les plastiques Carpenter (120 sal.) et Proseat (75 sal.), un supermarché Carrefour (40 sal.). Trilport avait 1 000 hab. en 1906, 1 300 en 1954; elle a passé les 2 000 hab. vers 1971 et les 4 000 vers 1993 et poursuit sa croissance. (2 140 Ravetons, 800 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA du Pays de Meaux, à 6 km au nord-est de Meaux, entre la Marne et le canal de l’Ourcq, sur la D405 vers Soissons; église inscrite; maison de retraite les Bégonias (55 sal). Le finage s’étend également au nord du canal et sur le plateau du Multien qui domine la vallée de la Marne. De 1 300 hab. en 1831, la population de Varreddes était descendue à 740 en 1931, et progresse depuis, gagnant 310 hab. après 1999. (5 050 Villenoyens, 737 ha est une commune de Seine-et-Marne dans la CA du Pays de Meaux juste au sud-ouest de Meaux dans la plaine de la Marne. L’habitat se concentre dans la plaine alluviale, entre Marne et canal de l’Ourcq, à l’exception du quartier de la Chaussée de Paris, à l’extrémité nord, à la sortie de Meaux par la N3 vers Paris où l’habitat grimpe sur le plateau. La ville a un centre d’aide par le travail, et des ateliers et des silos le long de la voie ferrée qui longe la Marne, et de son triage. La commune avait 1 900 hab. en 1975, 3 580 en 1999 et sa population croît encore. |